Joaquim Alvaro Pereira Leite
Joaquim Alvaro Pereira Leite, né le à Palmeiras de Goiás, est un homme politique brésilien.
Joaquim Alvaro Pereira Leite | |
Fonctions | |
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Ministre brésilien de l'Environnement | |
– (1 an, 6 mois et 8 jours) |
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Président | Jair Bolsonaro |
Gouvernement | Bolsonaro |
Prédécesseur | Ricardo Salles |
Successeur | Marina Silva |
Biographie | |
Nom de naissance | Joaquim Alvaro Pereira Leite |
Date de naissance | |
Lieu de naissance | Palmeiras de Goiás (Brésil) |
Nationalité | Brésilienne |
Diplômé de | Université de Marilia |
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Le , il est nommé ministre de l'Environnement du Brésil dans le gouvernement du président Jair Bolsonaro. Cela s'est produit le jour même où le Diário Oficial da União a annoncé le limogeage par Bolsonaro de Ricardo Salles [1],[2], à la suite de l’ouverture d’une enquête judiciaire contre son ministre pour exportation illégale de bois amazonien[3].
Joaquim Alvaro Pereira Leite était jusqu'alors responsable du Secrétariat de l'Amazonie et des services environnementaux au Ministère de l'Environnement[4].
Territoire indigène Jaragua
modifierLa famille de Joaquim est impliquée dans un procès contre le peuple indigène et contre la protection du Territoire Indigène Jaraguá dans la ville de São Paulo[5]. Des documents indiquent qu'il y a eu une présence permanente dans ce lieu des Guaranis depuis les années 1940[6].
Références
modifier- (pt) « Cai o ministro Ricardo Salles, do Meio Ambiente », sur G1 (consulté le ).
- (pt) « Quem é Joaquim Alvaro Pereira Leite, que substitui Salles no Ministério do Meio Ambiente », sur G1 (consulté le ).
- (pt) « Ricardo Salles é investigado por esquema de exportação ilegal de madeira; entenda », sur G1 (consulté le ).
- https://www.gov.br/mma/pt-br/acesso-a-informacao/institucional/quem-e-quem-1/secretaria-da-amazonia-e-servicos-ambientais/joaquim-leite.pdf
- (pt) João Fellet, « Família de novo ministro do Meio Ambiente disputa posse em terra indígena em SP » , sur uol.com.br, Folha de S.Paulo, (consulté le ).
- (pt) Giovana Girardi, « Área delimitada para tribo no Jaraguá equivale a dois campos de futebol », O Estado de São Paulo, (lire en ligne , consulté le ).