Joseph Luc Alfred Savoie
Joseph Luc Alfred Savoie, né le à Néguac (Nouveau-Brunswick) et mort le à McGivney (en) (Nouveau-Brunswick), est un chirurgien dentiste et un homme politique néo-brunswickois (canadien).
Joseph Luc Alfred Savoie | |
Fonctions | |
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Député à l'Assemblée législative du Nouveau-Brunswick | |
– (1 an, 5 mois et 27 jours) |
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Élection | 23 octobre 1967 |
Circonscription | Northumberland |
Législature | 46e |
Groupe politique | Libéral |
Successeur | Frank E. Kane (en) |
Biographie | |
Date de naissance | |
Lieu de naissance | Newcastle (Nouveau-Brunswick, Canada) |
Date de décès | (à 44 ans) |
Lieu de décès | McGivney (en) (Nouveau-Brunswick, Canada) |
Nature du décès | Accident de voiture |
Nationalité | Canadienne |
Parti politique | Parti libéral du Nouveau-Brunswick |
Diplômé de | Université du Nouveau-Brunswick |
Profession | Chirurgien dentiste |
Religion | Catholique |
Résidence | Newcastle |
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Il est député libéral à l'Assemblée législative du Nouveau-Brunswick de la circonscription de Northumberland de 1967 jusqu'à sa mort en 1969.
Biographie
modifierNé le à Néguac au Nouveau-Brunswick, Joseph Luc Alfred Savoie est le fils d'Édouard et Demerise Savoie. Il étudie à l'Université Saint-Joseph, à l'université de Genève en Suisse et à l'Université de Montréal. Il détient un baccalauréat en sciences médicales, un doctorat en médecine dentaire, une licence en médecine dentaire et un second doctorat en chirurgie dentaire[1]. Il exerce sa profession de dentiste à Newcastle avant de se lancer en politique.
Lors des élections du , il est élu député à l'Assemblée législative du Nouveau-Brunswick dans la circonscription de Northumberland sous la bannière du Parti libéral du Nouveau Brunswick[1].
Le , il meurt en fonction à l'âge de 44 ans, dans un accident de voiture à McGivney (en) lorsque sa voiture entre en collision avec le train de passagers L'Océan à un passage à niveau[2].
Famille
modifierJoseph Luc Alfred Savoie épouse Marie-Thérèse Paulin, fille du Dr J. E. Paulin de Tracadie, le et le couple a deux enfants, Marie Chantal et Joseph Gilles[1].
Notes et références
modifier- The Canadian Parliamentary Guide 1968, Ottawa, Pierre G. Normandin, , 901 p. (lire en ligne [PDF]), p. 597, 601
- La Presse canadienne, « Une collision entre une automobile et un train coûte la vie au député J.-L.-A. Savoie du N.-B. », Le Soleil, , p. 7 (lire en ligne)
Liens externes
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