Alain Joyandet
Alain Joyandet, né le à Dijon, est un entrepreneur et un homme politique français, membre des Républicains. Industriel et patron de presse locale, il a été secrétaire d'État chargé de la Coopération et de la Francophonie, du au , date à laquelle, mis publiquement en difficulté au sein du gouvernement, il démissionna de son poste.
Alain Joyandet | |
Alain Joyandet, en 2015. | |
Fonctions | |
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Conseiller régional de Franche-Comté puis de Bourgogne-Franche-Comté | |
En fonction depuis le (8 ans, 9 mois et 29 jours) |
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Élection | 13 décembre 2015 |
Réélection | 27 juin 2021 |
Circonscription | Haute-Saône |
Président | Marie-Guite Dufay |
Groupe politique | LR (2021-2024) NI (depuis 2024) |
– (3 mois et 21 jours) |
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Élection | 21 mars 2010 |
Circonscription | Doubs |
Président | Marie-Guite Dufay |
Groupe politique | UMP |
Successeur | Jacques Grosperrin |
Sénateur français | |
En fonction depuis le (10 ans, 1 mois et 1 jour) |
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Élection | 28 septembre 2014 |
Réélection | 27 septembre 2020 |
Circonscription | Haute-Saône |
Groupe politique | UMP (2014-2015) LR (depuis 2015) |
– (6 ans, 8 mois et 16 jours) |
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Élection | 24 septembre 1995 |
Circonscription | Haute-Saône |
Successeur | Christian Bergelin |
Député français | |
– (1 an, 10 mois et 14 jours) |
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Circonscription | 1re de la Haute-Saône |
Législature | XIIIe (Cinquième République) |
Groupe politique | UMP |
Prédécesseur | Patrice Debray |
Successeur | Alain Chrétien |
– (5 ans et 10 mois) |
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Élection | 16 juin 2002 |
Réélection | 17 juin 2007 |
Circonscription | 1re de la Haute-Saône |
Législature | XIIe et XIIIe (Cinquième République) |
Groupe politique | UMP |
Prédécesseur | Christian Bergelin |
Successeur | Patrice Debray |
Maire de Vesoul | |
– (16 ans, 6 mois et 26 jours) |
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Élection | 18 juin 1995 |
Réélection | 18 mars 2001 16 mars 2008 |
Prédécesseur | Loïc Niepeceron |
Successeur | Alain Chrétien |
Secrétaire d'État chargé de la Coopération et de la Francophonie | |
– (2 ans, 3 mois et 16 jours) |
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Président | Nicolas Sarkozy |
Premier ministre | François Fillon |
Gouvernement | Fillon II |
Prédécesseur | Jean-Marie Bockel |
Successeur | Henri de Raincourt (indirectement, Coopération) Yamina Benguigui (indirectement, Francophonie) |
Biographie | |
Date de naissance | |
Lieu de naissance | Dijon (France) |
Nationalité | Française |
Parti politique | UDR (1972-1976) RPR (1976-2002) UMP (2002-2015) LR (depuis 2015) |
Profession | Chef d'entreprise |
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Maires de Vesoul | |
modifier |
Il a été maire de Vesoul pendant 17 ans, de 1995 à 2012, et député de la 1re circonscription de la Haute-Saône. En 2014, deux ans après avoir quitté tous ses mandats politiques et avoir annoncé mettre un terme à sa carrière parlementaire, il redevient néanmoins sénateur.
Il est élu conseiller régional de Bourgogne-Franche-Comté le 13 décembre 2015 et est réélu le 27 juin 2021.
Biographie
modifierOrigines et formation
modifierIl est le fils d'un hôtelier-restaurateur devenu marchand de bestiaux et d'une commerçante et le petit-fils d'agriculteurs. Il grandit dans le commerce de ses parents à Champlitte, en Haute-Saône. Il pratique durant son adolescence le football et se verra même être appelé par plusieurs clubs professionnels, mais son père refuse qu'il s'y engage, préférant le voir poursuivre ses études.
Il suit des études secondaires au lycée Montchapet à Dijon, puis au lycée Cournot à Gray et entame des études de médecine à Dijon avant de réaliser un DESS de gestion et de comptabilité[1].
Carrière médiatique
modifierEntre 1974 et 1978, il travaille pour l'hebdomadaire de Haute-Saône La Presse de Gray, en tant que journaliste[2]. En 1981, il lance La Presse de Vesoul, et avec la libéralisation des ondes, fonde un réseau de radios locales, dont Radio Val-de-Saône (RVS). En 1982, il fonde et préside le Club des créateurs d’entreprises de la Haute-Saône[2]. Il rachète en 1986 le Groupe des éditions comtoises (GREC), propriétaire de La Presse de Gray, et regroupe ces entreprises au sein de la Société nouvelle des éditions comtoises (Snec), groupe médiatique d'une cinquantaine de salariés en 2009[3], qui comprend également à partir de 1996, Franche-Comté impressions, imprimerie basée à Auxonne[2]. Il prend également en 1986 la présidence du club de football USFC Vesoul, qu'il abandonnera lors de son élection à la mairie de Vesoul, neuf ans plus tard[2].
Membre fondateur en 1991 du GIE « Les Indépendants », devenu « Les Indés Radios », regroupant des radios régionales, il revend ses stations à NRJ Group. En 2005, il lance L'Hebdo de Besançon[3]. Il est également propriétaire à 99 % de Médiatour, SARL au capital d'1,85 million d'euros, qui regroupe ses activités nautiques et dont sa femme est gestionnaire. Médiatour possède 80 % de trois sociétés : Bateaux Moteur Bavaria France, Europe Yachts et Yachting Selection, qui sont toutes trois gérées par sa fille et qui achètent, vendent et louent des bateaux de plaisance[4].
Carrière politique
modifierEn Haute-Saône
modifierIl entre en politique en 1989, comme conseiller municipal d'opposition de Vesoul, s'opposant notamment à la privatisation de la gestion de l'eau de ville[5]. En 1992, il prend la tête de la Communauté de communes de l'agglomération de Vesoul et devient vice-président du conseil général de la Haute-Saône après son élection dans le canton de Vesoul-Ouest[3].
Élu sénateur entre 1995 et 2002, il devient député de la 1re circonscription de la Haute-Saône le 19 juin 2002[6]. Il est réélu député le , pour la XIIIe législature (2007-2012), sous l'étiquette UMP.
Il est élu maire de la ville de Vesoul en 1995, face au maire socialiste sortant Loïc Niepceron, et sénateur de la Haute-Saône. Il quitte la présidence de la Communauté de communes de l'agglomération de Vesoul en 1998, et est réélu à la mairie en 2001.
Secrétaire national du RPR chargé des nouvelles technologies, il met en place dans sa ville, à partir de 1998, le projet Étoile, qui vise à connecter à Internet les établissements scolaires et les administrations et à initier des habitants au multimédia via un espace public numérique[7].
Début 2012, il annonce quitter son poste de maire de Vesoul, qu'il occupait depuis 17 ans[8]. La succession avait été préparée depuis plusieurs années : son report de 2010 à 2012 avait causé des tensions avec Alain Chrétien[9].
Membre du bureau politique du RPR puis de l'UMP, il est proche d'Alain Juppé puis de Nicolas Sarkozy et enfin de Xavier Bertrand[10]. Il devient secrétaire national aux fédérations de l'UMP puis secrétaire général adjoint de l'Association des Amis de Nicolas Sarkozy en 2012. Il soutient finalement la candidature de François Fillon pour la présidence de l'UMP lors du congrès d'automne 2012.
Il annonce en qu'il ne se présentera pas pour un nouveau mandat de député, bien qu'il ait obtenu l'investiture de l'UMP[11], et qu'il met un terme à sa carrière parlementaire[12]. En , il déclare voir en Xavier Bertrand "le futur président de la République"[13].
Réélu en 2014 à la présidence du conseil de surveillance du nouveau centre hospitalier de Vesoul (dont il est à la tête depuis 1995), il se représente pourtant aux élections sénatoriales dans la Haute-Saône et est élu au premier tour en arrivant en deuxième position avec 57,10 % des voix.
Secrétaire d'État chargé de la Coopération et de la Francophonie
modifierHomme de confiance de Nicolas Sarkozy et proche des milieux maçonniques[14], il est nommé, lors du remaniement ministériel suivant les élections municipales de 2008, secrétaire d'État chargé de la Coopération et de la Francophonie dans le gouvernement François Fillon II, en remplacement de Jean-Marie Bockel qui avait publiquement dénoncé le détournement de l'argent du pétrole par certains dirigeants africains[15]. Il continue néanmoins de siéger comme maire de Vesoul et son suppléant à l'Assemblée nationale, Patrice Debray, lui succède comme député.
Comme secrétaire d'État, à l'opposé de son prédécesseur qui avait affirmé vouloir mettre fin à la Françafrique, il renoue les relations avec les dirigeants africains, rencontrant à Libreville Omar Bongo trois semaines après sa nomination. Alors que son ministre de tutelle, Bernard Kouchner, s'occupe peu de ce continent, Alain Joyandet se fait la voix du secrétaire général de l'Élysée Claude Guéant et du conseiller de Nicolas Sarkozy, Robert Bourgi, qui mènent une diplomatie parallèle dans ces pays. Il défend une politique pragmatique, soutenant l'élection d'Ali Bongo au Gabon[16].
Après être intervenu pour le règlement de la crise politique à Madagascar, il acte l'arrivée au pouvoir du putschiste Andry Rajoelina[17]. Il est également critiqué lorsqu'il se montre aux côtés d'autres dirigeants putschistes, le Mauritanien Mohamed Ould Abdel Aziz et le Guinéen Moussa Dadis Camara[18].
Son action s'appuie sur une vision « entrepreneuriale » de la coopération, via l'encouragement de l'investissement privé en Afrique plutôt que les prêts, sans parvenir à s'affirmer vis-à-vis de l'Agence française de développement, et sur la promotion de la francophonie[18],[16]. Sa proposition de faire financer partiellement l'aide au développement en Afrique par un loto a reçu un accueil contrasté[19].
Il est critiqué par des ONG pour certaines de ses déclarations[20], notamment pour une entrevue à Libération au cours de laquelle il déclare « on veut aider les Africains, mais il faut que cela nous rapporte »[21], et pour le fait qu'il ne maîtrise pas l'anglais[15].
À l'occasion du 40e anniversaire de l'accession au pouvoir de Mouammar Kadhafi, il déclare que le dirigeant libyen « est devenu fréquentable » et affirme que « si des avions de chasse doivent être vendus, autant que ce soit la France qui les vende ». Le , Alain Joyandet signe un « accord de coopération pour le développement des utilisations pacifiques de l'énergie nucléaire » avec le ministre libyen des Affaires européennes[22].
En , ses propos sur « l'occupation américaine d'Haïti » et sa demande d'une enquête de l'ONU sur l'aide humanitaire américaine dans le pays provoque une brève crise diplomatique entre la France et les États-Unis[23].
Démission du gouvernement
modifier- Jet privé
Sa location d'un jet privé pour 116 500 € afin de se rendre en Martinique, où il devait participer à une conférence internationale pour la reconstruction après le tremblement de terre d'Haïti, déclenche une polémique qui incite le Premier ministre François Fillon à rappeler les règles concernant les conditions de déplacement des membres du gouvernement[24],[25].
- Permis de construire
Quelques mois plus tard, Le Canard enchaîné le soupçonne d'avoir bénéficié d'un permis de construire illégal pour l'agrandissement de son mas de Grimaud, permis auquel il renonce peu après tout en clamant son innocence[26]. En , une perquisition a lieu dans ce dossier à la mairie de Grimaud[27].
Ébranlé par ces deux affaires et dans un climat plus général de mise en cause de plusieurs membres du gouvernement, il annonce sa démission du gouvernement le [28]. Le porte-parole du gouvernement Luc Chatel précise ensuite que ce sont le président Nicolas Sarkozy et le Premier ministre François Fillon qui ont demandé cette démission, en même temps que celle du secrétaire d'État au Grand Paris Christian Blanc, lui-aussi au centre d'une polémique[29]. Le , il retrouve automatiquement son mandat de député un mois après son départ du gouvernement.
Élections régionales
modifierSeul candidat à la primaire, il est désigné par les militants UMP pour conduire la liste du parti à l'élection régionale de 2010 en Franche-Comté, obtenant 2 365 voix[30]. En tête du premier tour, cité en exemple par Nicolas Sarkozy pour sa ténacité et sa défense du bilan gouvernemental lors de la campagne[réf. nécessaire], il s'incline face à la socialiste Marie-Guite Dufay, dans une triangulaire avec le Front national, la liste qu'il conduit recueillant 38,35 % des voix contre 47,43 % à celle de son adversaire de gauche[31], sans que sa carrière ministérielle ne soit remise en cause. Durant cette campagne, il gère le rapatriement de deux jeunes Franc-Comtoises condamnées pour trafic de drogue en République dominicaine[réf. nécessaire][17].
Le , il présente sa candidature à la candidature pour les élections régionales de 2015 dans la nouvelle région Bourgogne-Franche-Comté et est désigné « chef de file » par l'UMP en , alors que la presse fait état d'un accord conclu avec l'UDI pour accorder la tête de liste à François Sauvadet[32]. Après l'annonce à la presse de son équipe de campagne, Jean-Marie Sermier et Jacques Pélissard démentent successivement faire partie de ses soutiens[33]. C'est finalement François Sauvadet qui devient la tête de liste lors de ces élections.
Le , il devient conseiller politique des Républicains[34].
Il soutient Nicolas Sarkozy pour la primaire présidentielle des Républicains de 2016[35]. Dans le cadre de sa campagne, il est nommé avec plusieurs personnalités conseiller politique.
Il parraine Laurent Wauquiez pour le congrès des Républicains de 2017, scrutin lors duquel est élu le président du parti[36].
Le 27 juin 2021, il est réélu conseiller régional de Bourgogne-Franche-Comté. Il prend ses fonctions le vendredi 2 juillet 2021 et siège au sein de la commission permanente.
Lors de la campagne présidentielle de 2022, il explique croire en la théorie du grand remplacement : « je trouve que c’est un danger qui existe, et je trouve très bien que Valérie Pécresse en ait parlé. Notre campagne doit se faire à droite. On ne la gagnera pas à gauche. Si on ne fait rien de sérieux, le grand remplacement aura lieu »[37].
Il défend l'idée d'un accord entre LR et le parti présidentiel Renaissance[38]. Fin janvier 2024, il est exclu du groupe du "Rassemblement de la droite, du centre et des écologistes indépendants" au Conseil régional de Bourgogne-Franche-Comté à la suite de sa prise de position en faveur d'une coalition entre son parti et la majorité présidentielle[39].
Détail des mandats et fonctions
modifierVoici la liste des mandats politiques d'Alain Joyandet [40] :
Gouvernement
modifier- - : secrétaire d'État chargé de la Coopération et de la Francophonie (gouvernement François Fillon II)
Mandats nationaux
modifier- - et depuis : sénateur de la Haute-Saône
- - et - : député de la 1re circonscription de la Haute-Saône
Collectivités locales
modifier- - : membre du conseil général de la Haute-Saône
- - : maire de Vesoul (Haute-Saône)
- - : conseiller régional de Franche-Comté
- depuis le : conseiller régional de Bourgogne-Franche-Comté
Fonctions politiques
modifier- 1999-2002 : secrétaire national aux nouvelles technologies au RPR ; membre du bureau politique du RPR
- 2002-2008 : secrétaire national de l'UMP, chargé des fédérations
Alain Joyandet est en outre président de l'Amicale gaulliste de Haute-Saône, constituée à son initiative le [41].
Fonctions associatives
modifier- 1986 - 1995 : président du club Vesoul Haute-Saône Football
Notes et références
modifier- « Biographie », sur joyandet2015.fr (consulté le ).
- diplomatie.gouv.fr, France Diplomatie.
- « Le système Joyandet à Vesoul : M. le maire au scanner », L'Express, 28 janvier 2009
- David Servenay, « Alain Joyandet, un homme d'affaires au gouvernement », Rue89, 24 février 2010.
- Séverin Husson, « Le système Joyandet à Vesoul : L'art du verrouillage », L'Express, 28 janvier 2009
- « Législatives : Alain Joyandet jette l'éponge », Le Monde.fr, (lire en ligne, consulté le )
- « Ces personnalités qui font avancer la région », Les Echos n° 18489 du 17 septembre 2001
- « Bourgogne-Franche-Comté : actualités et infos en direct », sur France 3 Bourgogne-Franche-Comté (consulté le ).
- « Alain Joyandet cède la mairie de Vesoul à Alain Chrétien », MaCommune.info, 15 janvier 2012
- Xavier Bertrand : L'Élysée, j'y pense dix fois par jour, Le Point, 21 janvier 2013
- La Presse de Vesoul, 5 avril 2012
- Joyandet jette l'éponge, Le Monde, 6 avril 2012
- Xavier Bertrand bat la campagne pour s'inviter dans la cour des grands, Le Monde, 3 septembre 2013
- Ludovic Vigogne, « Le système Joyandet à Vesoul : Au service du président », L'Express, 28 janvier 2009
- Alain Joyandet, bon soldat du président », Le Monde, 30 novembre 2009
- Philippe Bernard, « Alain Joyandet, fidèle exécutant de la realpolitik africaine de Nicolas Sarkozy », Le Monde du 6 juillet 2010
- « Alain Joyandet : voir Vesoul et parcourir l'Afrique », Nouvelobs.com et AFP, 5 juillet 2010
- Marianne Enault, « Joyandet, commis voyageur », leJDD.fr, 5 juillet 2010
- « Un loto pour financer l'aide au développement en Afrique », L'Express, 7 août 2009.
- Indignation des ONG suite aux propos d’Alain Joyandet
- « On veut aider les Africains, mais il faut que cela nous rapporte », Libération, 24 juin 2008.
- Nucléaire : Sarkozy réécrit ses relations avec Kadhafi, Le Monde, 17 avril 2012
- French minister rips US 'occupation', Huffington Post, 20 mars 2010
- « Un ministre se paye un vol en jet privé à 116.500 euros pour sauver Haïti »
- « Matignon serre la vis sur les voyages », Le Figaro, 2 avril 2010.
- « Alain Joyandet renonce à son permis de construire », Le Monde, 22 juin 2010.
- Perquisition dans l'affaire Joyandet, Nice Matin, 24 février 2014.
- « Alain Joyandet démissionne du gouvernement », Ouest France, 4 juillet 2010.
- Double démission au sommet, TF1-LCI, 4 juillet 2010.
- « http://www.u-m-p.org/site/index.php », Les résultats aux primaires régionales.
- Élections régionales de 2010 - résultats en Franche-Comté sur le site du ministère de l'Intérieur.
- [1], Sauvadet assuré par Nicolas Sarkozy d'être tête de liste à droite?, Infos Dijon
- Pelissard surpris, Le Progrès, 31 janvier 2015
- « Nominations », republicains.fr, 8 janvier 2016.
- Ludovic Vigogne, « Primaire à droite: la liste des premiers soutiens parlementaires », lopinion.fr, 20 avril 2016.
- Ludovic Vigogne, « La liste des 136 parrains de Laurent Wauquiez », lopinion.fr, 11 octobre 2017.
- « Le sénateur LR Etienne Blanc se prononce pour l’« union des droites » », sur Public Senat, .
- « Ces LR qui plaident pour voir un des leurs à Matignon », sur l'Opinion, .
- « Région : le sénateur LR Alain Joyandet exclu par son groupe », sur Le Bien Public, (consulté le )
- « Historique », sur assemblee-nationale.fr (consulté le ).
- « La Haute-Saône a son amicale gaulliste. », sur www.macommune.info.
Voir aussi
modifierArticles connexes
modifierLiens externes
modifier
- Ressources relatives à la vie publique :