Juvincourt-et-Damary

commune française du département de l'Aisne
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Juvincourt-et-Damary est une commune française située dans le département de l'Aisne, en région Hauts-de-France.

Juvincourt-et-Damary
Juvincourt-et-Damary
La mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Aisne
Arrondissement Laon
Intercommunalité Communauté de communes de la Champagne Picarde
Maire
Mandat
Jean-Louis Ducatillon
2020-2026
Code postal 02190
Code commune 02399
Démographie
Gentilé Juvincourtois(es)
Population
municipale
611 hab. (2021 en évolution de +4,8 % par rapport à 2015)
Densité 20 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 26′ 50″ nord, 3° 53′ 35″ est
Altitude Min. 52 m
Max. 101 m
Superficie 29,82 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Reims
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Villeneuve-sur-Aisne
Législatives Première circonscription
Localisation
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Juvincourt-et-Damary
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Géographie

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Localisation

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Cartographies de la commune
Carte
La commune dans le département
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Carte topographique
Carte topographique
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  • 2Carte Openstreetmap
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Le territoire communal est limité à l'est par l'autoroute A26 et à l'ouest par l'ancienne RN 44 (actuelle RD 1044). L'ex RN 375 (actuelle RD 975) se trouve au sud de la commune.

Hydrographie

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Réseau hydrographique

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La commune est située dans le bassin Seine-Normandie. Elle est drainée par l'Aisne, la Miette et le ruisseau de Fayau[1],[2],[Carte 1].

L'Aisne est un cours d'eau naturel navigable de 256 km de longueur, traversant les cinq départements Meuse, Marne, Ardennes, Aisne, Oise. Elle est un affluent de rive gauche de l'Oise, ce qui fait d'elle un sous-affluent de la Seine[3]. Les caractéristiques hydrologiques de l'Aisne [partielle] sont données par la station hydrologique située sur la commune de Berry-au-Bac. Le débit moyen mensuel est de 35 m3/s[Note 1]. Le débit moyen journalier maximum est de 434 m3/s, atteint lors de la crue du . Le débit instantané maximal est quant à lui de 443 m3/s, atteint le [4].

La Miette, d'une longueur de 15 km, prend sa source dans la commune de Amifontaine et se jette dans l'Aisne en limite de Pontavert et de Berry-au-Bac, face à Cormicy, après avoir traversé cinq communes[5].

Gestion et qualité des eaux

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Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Aisne Vesle Suippe ». Ce document de planification, dont le territoire s'étend sur 3 096 km2 répartis sur trois départements (Aisne, Marne et Ardennes) et deux régions (Champagne-Ardenne et Picardie), a été approuvé le 16 décembre 2013. La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est le Syndicat d'aménagement des bassins Aisne Vesle Suippe (SIABAVES)[6].

La qualité des cours d'eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l'eau et l'Agence française pour la biodiversité[Carte 2].

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[7]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l'année et un hiver froid (°C)[8].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 694 mm, avec 11,4 jours de précipitations en janvier et 8,7 jours en juillet[7]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Martigny-Courpierre à 16 km à vol d'oiseau[9], est de 10,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 734,4 mm[10],[11]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[12].

Urbanisme

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Typologie

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Au , Juvincourt-et-Damary est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[13]. Elle est située hors unité urbaine[14]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Reims, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[14]. Cette aire, qui regroupe 294 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[15],[16].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (89,6 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (89,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (88,5 %), forêts (5,1 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (3,6 %), zones urbanisées (1,1 %), zones agricoles hétérogènes (1,1 %), eaux continentales[Note 3] (0,6 %)[17].

L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie

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Juvincourt est attesté sous les formes Juvinicurtis (1082) ; Jovincurt (1156) ; Jovinicurtis (1163) ; Givincurt (1165) ; Juvincort (1221) ; Givincourt (1233) ; villa de Gevincort (1234) ; Juvincortis (1238) ; Joviscurtis (1263) ; Gevincourt-Magnus (1340) ; Gevincourt (1343)[18].

Damary, ancien hameau, est attesté sous les formes Damaria, Damerie (1244) ; Damemaria (1246) ; Territorium de Domina Maria (1248) ; Dame-Marie (XIIIe siècle) ; Dame-Marie, Daleiz-Jevincourt (1363) ; Dame-Marie-et-Faiault (1568) ; Dannemarie (1729) ; Damarie (1735) ; Dammemarie[19].
Damary, du bas latin domna et du nom de sainte Maria : « sainte Marie ».

Histoire

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Dans une enclave avançant sur la Miette se trouve depuis fort longtemps un regroupement de feux appelé Dame-Marie. La mémoire locale fait remonter la renaissance du village à la donation faite par Elinand, évêque de Laon aux religieux du Mont-d'Hor, en 1087, qui était en désolation[20]. Le village est cité en 1218 dans un cartulaire de Laon par un aveux de Milon, chevalier de Sissone pour la forteresse Munitio et la ville de Dame-Marie, aussi en 1704 comme seigneur Julien Philippe de Billy. Les abbés de Saint-Thierry en étaient seigneurs et ceux de Saint-Remi des décimateurs.

Le site du Gué de Mauchamp à Juvincourt-et-Damary est l'un des rares habitats mérovingiens qui aient fait l'objet d'une fouille presque complète, des tombes furent mises au jour en 1874 sur le petit tertre qui surplombe Damary à ce qui devait être le cimetière qui entourait l'église disparue. Le notaire de Juvincourt, M. Lermier, et son successeur Chemin en avaient décrit les fouilles.

Un important chantier de reconstitution de ce site a été réalisé au musée des Temps Barbares à Marle, sous le nom de « village franc ». Il permet au public de découvrir la vie quotidienne des paysans mérovingiens[21]

Juvincourt et Danemarie sont réunies le par l'assemblée provinciale de Soissons, ce est confirmé lors de la Révolution française, le , par l'arrêté du directoire du département de l'Aisne[22], formant la commune de Juvincourt-et-Damary.

Sous l'Ancien Régime, Juvincourt est constitué de deux paroisses : le Petit Juvincourt, dont l'église est placée sous le vocable de Saint-Rémy, et le Grand Juvincourt, dont l'église est placée sous celui de Sainte-Preuve[23]. Quasiment accolées, ces deux paroisses sont séparées par la rivière la Miette. La carte de Cassini indique Damary comme un hameau.

Première Guerre mondiale
Le monument aux morts

La commune est occupée par l´ennemi pendant quatre ans et située, en 1917, en pleine ligne de bataille du Chemin des Dames.

Le village est considéré comme détruit à la fin de la guerre[24] et a été décoré de la Croix de guerre 1914-1918, le [25].

En 1920, Juvincourt-et-Damary est adopté par le Cantal dans le cadre de l'adoption des communes dévastées par les régions non sinistrées. Afin de reconstruire le village, la coopérative de reconstruction de Juvincourt-et-Damary, constituée le et dissoute le . Elle permit la réhabilitation notamment du lavoir en 1925[26]

L'aérodrome

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Le terrain d'atterrissage photographié en 1944 par l'aviation américaine.

Afin de défendre le territoire national dans le cadre de la montée des périls, l'armée française exproprie 120 ha de terrain en 1937 pour y aménager une plate-forme d'opérations, c'est-à-dire un terrain d'atterrissage sommaire pour l'aviation. Ce site, abandonné par l'armée française, est occupé par la Luftwaffe après l'occupation de la France.

La Luftwaffe construit, hors du site initial, un important Flugplätz qui devient l'aérodrome militaire le plus important de la France occupée, constitué de trois pistes d'environ 1 600 × 50 m, bétonnée pour celle située la plus au sud et en tarmacadam pour les deux autres, ensemble réuni par une voie de circulation empruntant elle-même une section de la R 44. L'aérodrome est alors la base de plus de 300 avions de toutes natures. Parmi eux, certains y réalisent leurs premières missions opérationnelles (Messerschmitt 262, Arado Ar 234)

Après la Libération, l'aérodrome de Juvincourt devient un important centre logistique utilisé pour le rapatriement des prisonniers de guerre vers leur pays d'origine, avant d'être restitué à l'armée Française le . L'équipement est réutilisé dans le cadre des accords interalliés comme base aérienne d'opérations de l'OTAN dotée :

  • d'une piste de 1 850 m utilisant au maximum la piste sud,
  • d'un taxiway parallèle,
  • de 12 aires de départ à chaque extrémité de la piste,
  • de 48 aires de dispersion.

L'aérodrome de Juvincourt sera finalement déclassé du domaine public de l'État en [27],[28].

Politique et administration

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Découpage territorial

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La commune de Juvincourt-et-Damary est membre de la communauté de communes de la Champagne Picarde, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Saint-Erme-Outre-et-Ramecourt. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[29].

Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Laon, au département de l'Aisne et à la région Hauts-de-France[14]. Sur le plan électoral, elle dépend du canton de Villeneuve-sur-Aisne pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[14], et de la première circonscription de l'Aisne pour les élections législatives, depuis le dernier découpage électoral de 2010[30].

Administration municipale

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Liste des maires successifs[31]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
mars 2001 mars 2008 Bernard Soudant    
mars 2008[32] 2014 Denis Brillouet    
2014 février 2016[33] Pierre Soudant DVD Retraité agricole
Décédé en fonction
avril 2016 En cours
(au 12 juillet 2020)
Jean-Louis Ducatillon   Retraité de l'enseignement
Réélu pour le mandat 2020-2026

Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[35].

En 2021, la commune comptait 611 habitants[Note 4], en évolution de +4,8 % par rapport à 2015 (Aisne : −2,08 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
534578630690786808806820842
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
837788786677705666638640605
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
580641568301429463493433546
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
509467413412392370444454544
2017 2021 - - - - - - -
599611-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[36] puis Insee à partir de 2006[37].)
Histogramme de l'évolution démographique

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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  • Église Saint-Rémi.
  • L'ancien terrain d'aviation de Juvincourt, créé par l'Armée de l'air un peu avant la dernière guerre (trois pistes d'envol en béton aménagées par les Allemands, qui en font l'une des principales plateformes de la Luftwaffe en France occupée)[38].
  • Monument aux morts[39].

Personnalités liées à la commune

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Juvincourt dans les arts

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  • Roman : Georges Thomas, Les chars d'assaut à Juvincourt, Paris, J. Rouff, coll. « Patrie », , 32 p. (lire en ligne), lire en ligne sur Gallica.

Voir aussi

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Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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  1. Les moyennes interannuelles (écoulements mensuels) ont été calculées le 28/07/2024 à 02:06 TU à partir des 496 QmM (débits moyens mensuels) les plus valides du 01/01/1982 au 01/06/2024.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. « Réseau hydrographique de Juvincourt-et-Damary » sur Géoportail (consulté le 17 septembre 2024).
  2. « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le )
  3. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. Sandre, « le ruisseau de Fayau »
  2. « Fiche communale de Juvincourt-et-Damary », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines dans le bassin Seine-Normandie (consulté le )
  3. Sandre, « l'Aisne »
  4. « Station hydrométrique « L'Aisne [partielle] à Berry-au-Bac» », sur l'Hydroportail, Ministère de la transition écologique et de la cohésion des territoires, (consulté le )
  5. Sandre, « la Miette »
  6. « SAGE Aisne Vesle Suippe », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
  7. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  8. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  9. « Orthodromie entre Juvincourt-et-Damary et Martigny-Courpierre », sur fr.distance.to (consulté le ).
  10. « Station Météo-France « Martigny-Courpierre » (commune de Martigny-Courpierre) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  11. « Station Météo-France « Martigny-Courpierre » (commune de Martigny-Courpierre) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  12. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  13. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  14. a b c et d Insee, « Métadonnées de la commune ».
  15. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Reims », sur insee.fr (consulté le ).
  16. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  17. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  18. Auguste Matton, Dictionnaire topographique de l'Aisne, Paris, (lire en ligne), p. 147.
  19. Auguste Matton, Dictionnaire topographique de l'Aisne, Paris, (lire en ligne), p. 91.
  20. Abbé Poquet, Almanch...Matot-Braine de 1874, 16e année, Reims, P63
  21. Musée des Temps Barbares
  22. Archives départementales de l'Aisne, « Juvincourt-et-Damary - Archives » (consulté le ).
  23. « Église paroissiale Saint-Remi et Sainte-Preuve de Juvincourt-et-Damary », sur hautsdefrance.fr (consulté le ).
  24. Carte spéciale des régions dévastées, document mentionné en liens externes, 1920.
  25. Journal officiel du 21 octobre 1920, p. 16155.
  26. Inès Guérin, « Le village de Juvincourt-et-Damary », Aisne, Région Hauts-de-France - Inventaire général, (consulté le ).
  27. « Atlas DGAC – Berry-au-Bac – juvincourt », Atlas historique des terrains d'aviation de France métropolitaine 1919-1947, Anciens aérodromes (consulté le ).
  28. « Dates - clefs du site de Juvincourt », Actualités, sur bosch.fr, (consulté le ).
  29. « communauté de communes de la Champagne Picarde - fiche descriptive au 1er avril 2020 », sur banatic.interieur.gouv.fr (consulté le ).
  30. « Découpage électoral de l'Aisne (avant et après la réforme de 2010) », sur politiquemania.com (consulté le ).
  31. « Les maires de Juvincourt-et-Damary » (consulté le ) : « http://www.francegenweb.org ».
  32. Préfecture de l'Aisne consulté le 7 juillet 2008
  33. « A la mémoire de Monsieur Pierre Soudant », sur memoire.lavoixdunord.fr (consulté le ).
  34. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  35. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  36. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  37. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  38. « Juvincourt », Anciens aéroports (consulté le ).
  39. « Monument aux morts », notice no IA02001922, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.