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Kate Edgerley

enseignante et botaniste néo-zélandaise
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Pour les articles homonymes, voir Edgerley.

Kate Violet Edgerley, née le et morte le , est une botaniste et enseignante néo-zélandaise.

Kate Edgerley
Kate Edgerley en 1911.
Biographie
Naissance
Décès
Voir et modifier les données sur Wikidata (à 52 ans)
AucklandVoir et modifier les données sur Wikidata
Sépulture
St Mark's Anglican Church Cemetery (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Nationalité
Formation
Activités
Parentèle
John Edgerley (en) (grand-père)Voir et modifier les données sur Wikidata
Autres informations
A travaillé pour
Auckland Girls' Grammar School (en)Voir et modifier les données sur Wikidata
Maître
Algernon Thomas (en)Voir et modifier les données sur Wikidata

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Biographie modifier

Née à Auckland en 1887, Kate Edgerley est la petite-fille de John Edgerley (en), l'un des premiers botanistes néo-zélandais. Ayant remporté le premier prix de sciences à la Auckland Grammar School, elle continue ses études. En 1911, elle obtient une maîtrise avec mention très bien en botanique de la Auckland University College, sous la direction du biologiste Algernon Thomas (en) [1]. Sa thèse porte sur les organes reproducteurs des mousses Lycopodium et est publiée dans le Transactions de la Société royale de Nouvelle-Zélande en 1914[2].

Edgerley enseigne à la Auckland Girls 'Grammar School de 1912 jusqu'à sa mort subite en 1939[3]. Elle est la première présidente du Botany Club, qui a remplacé le Rambling Club en 1919. En 1935, elle est élue première femme présidente de l'Association des assistants des écoles secondaires de Nouvelle-Zélande[3].

Le personnel et les élèves de l'école ont présenté à l'école les deux volumes de Illustrations of the New Zealand flora de Thomas F. Cheeseman (1914) en mémoire d'Edgerley. Lors de la remise des prix de l'école, le prix commémoratif Kate Edgerley est décerné d'abord pour la botanique, puis plus tard pour les sciences naturelles[3].

En 2017, Edgerley est sélectionnée comme l'une des 150 women in 150 words (en) (« 150 femmes en 150 mots ») de la Royal Society Te Apārangi, célébrant les contributions des femmes au savoir en Nouvelle-Zélande[1].

Œuvres modifier

  • (en) Kate Edgerley, « The prothallia of three New Zealand lycopods », Transactions, Royal Society of New Zealand, vol. 47,‎ , p. 94–111[2]

Notes et références modifier

(en) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en anglais intitulé « Kate Edgerley » (voir la liste des auteurs).
  1. ↑ a et b (en) « Kate Edgerley » [archive du ] Accès libre, sur Royal Society Te Apārangi (consulté le )
  2. ↑ a et b (en) « Transactions and Proceedings of the New Zealand Institute for the Year 1914 [electronic resource] » [archive du ] Accès libre, sur rsnz.natlib.govt.nz (consulté le )
  3. ↑ a b et c (en) Godley, « NZBotSoc newsletter 2008 » [archive du ] Accès libre [PDF], (consulté le )

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