Kings World Cup

compétition de football internationale

La Kings World Cup est une compétition de football à sept organisée par la Kings League et présidée par l'ancien footballeur Zlatan Ibrahimović. Elle a lieu au Mexique du au et se déroule par une première phase en système suisse suivie d'une phase à élimination directe.

Kings World Cup
Description de cette image, également commentée ci-après
Logo de la compétition
Généralités
Sport Football à sept avec des règles spécifiques
Organisateur(s) Kings League
Catégorie Sport
Divertissement
Lieu(x) Drapeau du Mexique Mexique
Date Du 26 mai au 8 juin 2024
Participants 32 équipes
(36 en incluant la phase qualificative)
Matchs joués 55 rencontres
(59 en incluant la phase qualificative)
Site web officiel https://kingsleague.pro/en/world-cup

Palmarès
Vainqueur Drapeau de l'Espagne Porcinos FC
Finaliste Drapeau du Brésil G3X FC
Demi-finalistes Drapeau de l'Espagne xBuyer Team
Drapeau de l'Espagne Saiyans FC
Meilleur joueur Drapeau du Brésil Kelvin Oliveira (G3X FC)
Meilleur(s) buteur(s) Drapeau du Brésil Kelvin Oliveira (G3X FC) (13 buts)

Au total, 32 équipes sont en lice : dix équipes issues de la Kings League espagnole, dix autres de la Kings League sud-américaine et douze équipes invitées. Chaque équipe peut compter jusqu'à treize joueurs, incluant trois joueurs invités.

La compétition, diffusée sur Twitch, est à mi-chemin entre football et divertissement, avec des règles spécifiques qui comprennent par exemple des cartes joker. Les rencontres du final four se dérouleront le à l’Estadio BBVA de Monterrey. Le vainqueur de la compétition remportera la somme d'un million de dollars.

Présentation de la compétition

modifier

Origines

modifier

En 2023, Gerard Piqué lance la Kings League en Espagne, une compétition alliant football et divertissement[1]. Il s'agit d'une compétition de football à sept avec des nouvelles règles spécifiques dans le but de garantir le spectacle lors des rencontres. Pour augmenter l'attractivité de son projet, Piqué s'entoure de plusieurs personnalités : quelques-unes issues d'Internet, comme Ibai Llanos, mais aussi des anciens joueurs de football célèbres comme Iker Casillas et Sergio Agüero, ayant chacun leur équipe dans la compétition, ou encore Ronaldinho, ayant fait des apparitions en tant que joueur invité[2]. Forte de son succès[3], la compétition s'exporte en Amérique du Sud, qui possède depuis sa propre compétition.

Dans la continuité de son développement, la Kings League présente en 2024 la Kings World Cup, une nouvelle compétition entre des équipes issues de la Kings League sud-américaine et de la Kings League espagnole, ainsi que d'autres équipes en provenance de divers pays du monde et créées spécifiquement pour l'occasion[4]. La compétition est présidée par l'ancien footballeur international suédois Zlatan Ibrahimović[5],[6].

Aspect financier

modifier

L'équipe vainqueur de la compétition remportera un montant d'un million de dollars américains, soit 920 000 euros[7].

Qualifications

modifier

Une partie des équipes qui participent à la compétition sont issues de la Kings League sud-américaine et de la Kings League espagnole : les 8 premières équipes de chacun des deux championnats sont directement qualifiées pour la phase finale. Les huit restantes (quatre équipes par championnat) s'affrontent au cours d'une phase qualificative nommée Redemption Games : celle-ci comporte quatre matchs où chacune des équipes affrontent les trois autres équipes de sa ligue. Ces rencontres ont lieu le , la veille du début officiel de la compétition, et déterminent quatre équipes qualifiées (les deux meilleures parmi les quatre). Au total, les deux Kings League qualifient donc 20 équipes.

Les 12 autres équipes sont invitées. Elles sont regroupées sous la dénomination de Wild Card et proviennent de différents pays. Elles sont toutes présidées par des personnalités d'Internet, à l'exception d'une équipe présidée par le chanteur colombien Maluma. Certaines sont aussi co-présidées par des personnalités issues du football traditionnel Andriy Shevchenko, Mario Götze ou Francesco Totti.

La phase finale de la compétition oppose 32 équipes, d'abord par une phase à système suisse, puis, pour les 16 équipes restantes, par une phase à élimination directe[8],[9],[7].

Phase à système suisse

modifier

Durant cette première phase, les équipes jouent chacune 2 ou 3 matchs et doivent réaliser 2 victoires pour accéder à la phase à élimination directe. Elle suit le format suivant :

  • Un premier tour, nommé Round 1, est composé de 16 rencontres tirées au sort.
  • Un second tour, nommé Round 2, se décompose en 2 branches :
    • La branche des vainqueurs regroupe les équipes ayant remportées leur premier tour. Les équipes qui gagnent ce second tour sont directement qualifiées pour la phase suivante. Les équipes qui le perdent accèdent au Last Chance Round.
    • La branche des perdants regroupe les équipes ayant perdu leur premier tour. Les équipes qui gagnent ce second tour accèdent au Last Chance Round. Les équipes qui le perdent sont éliminées de la compétition.
  • Un troisième tour, nommé Last Chance Round, regroupe les équipes comptant 1 victoire et 1 défaite. Comme son nom l'indique, il constitue la dernière possibilité d'accéder à la phase suivante. Les équipes gagnantes sont qualifiées, les perdantes sont éliminées.

Phase à élimination directe

modifier

Cette seconde phase à élimination directe regroupe les 16 équipes qualifiées lors de la phase précédente. Après les deux premiers tours (huitièmes de finale et quarts de finale), les deux derniers tours constituent un final four qui se dispute le même jour.

Villes et stades

modifier

Jusqu'aux quarts de finale inclus, toutes les rencontres ont lieu à la Kings League Arena du quartier Coyoacán de Mexico, un hangar réservé pour la compétition. Le final four se déroule quant à lui à l'Estadio BBVA, à Monterrey[10],[7].

Règles de jeu

modifier

Les règles appliquées en match sont les mêmes que celles de la Kings League[7],[8],[9],[11].

Durée et déroulement d'un match

modifier

Les matchs durent 2 mi-temps de 20 minutes, pour un total de 40 minutes, mais le match se découpe en plusieurs périodes bien distinctes.

Le début du match s'effectue en 2 contre 2, 1 joueur de champ avec 1 gardien pour chaque équipe. L'engagement s'effectue avec les joueurs derrière la ligne de but, et la balle est lâchée au centre du terrain depuis une cage située en hauteur. En cas de faux-départ, le ballon est donné à l'autre équipe. Après chaque minute, un nouveau joueur entre sur le terrain pour chaque équipe, passant au 3 contre 3 après 1 minute, au 4 contre 4 après 2 minutes, et ainsi de suite. À la 5ème minute, l'équipe se retrouve au complet, avec 7 joueurs dans chaque équipe.

À la 18ème minute (première mi-temps), le match s'arrête. Un dé est lancé, et le numéro indiqué par le dé représente le nombre de joueurs par équipe qui finira la mi-temps. Un nouvel engagement à lieu à cette occasion.

À la 38ème minute (18ème minute de la seconde mi-temps), le jeu est de nouveau stoppé; si le score est une égalité, alors la règle du but en or s'applique jusqu'à la fin du match, sinon, les buts comptent double jusqu'à la fin du match. Dans les deux cas, la balle est remise en jeu via un nouvel engagement.

Hors-jeux

modifier

Les hors-jeux ne sont sifflés que s'ils se passent après la ligne de la surface de réparation. Les hors-jeux n'existent donc pas au centre du terrain.

Engagements

modifier

L'engagement s'effectue avec les joueurs derrière la ligne de but, comme au water polo. Au coup de sifflet, la balle est lâchée au centre du terrain, et les joueurs sont autorisés à entrer en jeu. En cas de faux-départ, le ballon est donné à l'autre équipe.
Après un but, l'engagement diffère, et est identique à celui réaliser dans le football.

Sanctions/Pénalités

modifier

Les cartons jaunes entrainent une exclusion temporaire du joueur du terrain pendant 2 minutes. Cela est similaire à son usage dans le rugby. Les cartons rouges permettent d'exclure un joueurs définitivement du match, mais l'équipe peut le remplacer numériquement au bout de 5 minutes de pénalité.

Pénalty shootout

modifier

Le pénalty shootout est inspiré de la manière de départager les équipes lors des matchs de Major League Soccer 1999. Le tireur s'élance du point d'engagement et a 5 secondes pour marquer, sans que la balle ne puisse ni sortir du terrain, ni être touchée par le gardien sans que il y ai but. En cas de manquement, le pénalty est considéré comme échoué.

Pénalty du président

modifier

Au cours du match, les présidents peuvent choisir de tirer un pénalty chacun, comptant pour un but s'il est marqué. Si un président ne veut pas le tirer, il peut désigner un joueur pour prendre sa place. Dans ce cas là, le joueur doit tirer un pénalty shootout. Ce bonus est optionnel, et les présidents s'accordent avant le début du match de sa présence ou non.

Cartes joker

modifier

Les coachs tirent une carte joker avant le début du match. Ce joker peut être activé à n'importe quel moment du match, même si les effets bonus ne sont plus pris en compte après la 38ème minute. Le bonus de la carte sera l'un parmi les suivants[9],[7]:

  • Double Goal Card : les buts de l'équipe comptent doubles pour 4 minutes;
  • Sanction Card : l'équipe choisi un joueur adverse à suspendre pour 4 minutes. L'autre équipe joue alors avec un joueur en moins;
  • Penalty Shoot Card : l'équipe tire un pénalty;
  • Penalty Shootout Card : l'équipe tire un pénalty "shootout";
  • Star Player Card : l'équipe désigne un joueur pour qui son prochain but comptera double;
  • Joker Card : l'équipe peut choisir n'importe lequel des bonus précédents, ou alors utiliser ce bonus pour supprimer la carte joker adverse.

Égalité à la fin du temps-réglementaire

modifier

En cas d'égalité à la fin du match, une séance de pénalty shootout à lieu. Chaque équipe tire tour à tour 5 pénaltys pour désigner le vainqueur. En cas de nouvelle égalité, chaque équipe retire un pénalty chacune, jusqu'a ce qu'il y ai un vainqueur.

Autres règles

modifier
  • Les remplacements peuvent avoir lieu à n'importe quel instant du match, de manière illimité, à partir de la 5ème minute.
  • L'arbitre bénéficie de l'assistance vidéo si nécessaire. Il est aussi équipé d'un micro pour expliquer ses décisions.

Qualifications

modifier

Les Redemption Games ont lieu le 25 mai 2024, la veille du début officiel de la compétition, et constituent la phase qualificative.




À l'issue de ce tour, quatre équipes sont éliminées : l'Atlético Parceros FC de James Rodriguez, le vainqueur de la première édition de la Kings League espagnole El Barrio, Los Chamos et le Rayo de Barcelona. Ce tour ne compte pas en termes de statistiques pour la compétition.

Équipes participantes

modifier

Toutes les équipes sont composées au maximum de 13 joueurs, incluant 10 joueurs sélectionnés parmi des candidatures lors d'une draft, et jusqu'à 3 joueurs invités, que les présidents ont pu choisir librement. Les joueurs sous contrat avec un club professionnel ne sont pas autorisés à faire partie d'une équipe en tant que joueur, mais peuvent en être président.

Équipe[10],[4] Président(e)(s) Joueurs invités
WildCard (12 équipes)
Drapeau de la Belgique Deptostra FC Drapeau de la Belgique Céline Dept
Drapeau de la Belgique Eden Hazard
Drapeau de la Belgique Nabil Jaadi, Drapeau de la Belgique Ethan Hazard, Drapeau de la Belgique Eden Hazard
Drapeau du Royaume-Uni FIVE FC Drapeau de l'Angleterre Rio Ferdinand
Drapeau du Royaume-Uni Jeremy Lynch
Drapeau du Royaume-Uni Jack "Street Panna" Downer, Drapeau de l'Angleterre Anton Ferdinand, Drapeau de l'Angleterre Jermaine Pennant
Drapeau de la France Foot2Rue Drapeau de la France AmineMaTue Drapeau de la France Samir Nasri, Drapeau de la France Jérémy Ménez
Drapeau du Brésil Furia F.C. Drapeau du Brésil O Estagiário
Drapeau du Brésil Falcão
Drapeau du Brésil Neymar Jr.
Drapeau du Brésil Marcelinho Urbano, Drapeau du Brésil Falcão, Drapeau du Brésil Matheus "Negrete" Nunes
Drapeau du Brésil G3X FC Drapeau du Brésil Gaules (en) Drapeau du Brésil Andreas Vaz, Drapeau du Brésil Bruno Agnello (en), Drapeau du Brésil Kelvin Oliveira
Drapeau de la Turquie Limon FC Drapeau de la Turquie Elraenn
Drapeau de la Turquie Arda Turan
Drapeau de la Turquie Serhat Kot (en), Drapeau de l'Allemagne Memos Sözer, Drapeau de la Turquie Mete Demir (en)
Drapeau de la Colombie Medallo City Drapeau de la Colombie Maluma Drapeau de l'Espagne Sergi Monsalve, Drapeau de l'Espagne Bernat Burguera, Drapeau de l'Angleterre Jonathan Sánchez
Drapeau du Japon Murash FC Drapeau du Japon Junichi Kato (en) Drapeau du Japon Itsuki Yamada (en), Drapeau du Japon Daisuke Nasu, Drapeau du Japon Shohei Moriyasu (en)
Drapeau de l'Italie Stallions Drapeau de l'Italie Blur
Drapeau de l'Italie Francesco Totti
Drapeau de l'Italie Francesco Totti, Drapeau de la Belgique Radja Nainggolan, Drapeau de l'Italie Emiliano Viviano
Drapeau de l'Arabie saoudite SXB FC Drapeau de l'Arabie saoudite SHoNgxBoNg Drapeau de l'Azerbaïdjan Williams "Vassoura" Oliveira, Drapeau de l'Arabie saoudite Yasser al-Qahtani, Drapeau du Brésil Élton "Arábia" Gomes
Drapeau de l'Ukraine UA Steel Drapeau de l'Ukraine Leb1ga (en)
Drapeau de l'Ukraine Andriy Shevchenko
Drapeau de l'Ukraine Yevhen Konoplyanka, Drapeau de l'Ukraine Andriy Pyatov, Drapeau de l'Ukraine Oleh Shelayev, Drapeau de l'Ukraine Júnior Moraes, Drapeau de la Croatie Darijo Srna, Drapeau de l'Ukraine Marlos, Drapeau de l'Ukraine Andriy Voronin, Drapeau de l'Ukraine Artem Fedetskyi, Drapeau de l'Ukraine Valeriy Fedorchuk
(Comme expliqué par Gerard Piqué durant un live avec AmineMaTue, compte-tenu de la situation en Ukraine, tous les joueurs ont été sélectionnés, sans passer par la draft.)
Drapeau de l'Allemagne Youniors F.C. Drapeau de l'Allemagne Younes (de)
Drapeau de l'Allemagne Mario Götze
Drapeau de la Belgique Julien Vercauteren, Drapeau de l'Allemagne Besar Halimi (en), Drapeau de l'Allemagne Daniel Brosinski
Américas Kings League (10 équipes, dont 2 via les Redemption Games)[12]
Drapeau du Mexique Club de Cuervos
(via les Redemption Games)
Drapeau du Mexique Mercedes Roa Drapeau du Mexique Max Levy, Drapeau du Mexique José Azkenazi
Drapeau de la République dominicaine Galácticos del Caribe Drapeau de la République dominicaine Los Futbolitos
Drapeau de la République dominicaine Alofoke
Drapeau de l'Argentine Leandro Gómez, Drapeau du Mexique Daviz Junco, Drapeau de l'Argentine Gabriel Peñalba
Drapeau des États-Unis Los Aliens FC
(via les Redemption Games)
Drapeau des États-Unis Castro 1021 Drapeau du Mexique David Cabrera (en), Drapeau du Mexique Miguel Rebollo, Drapeau du Mexique César Vallejo
Drapeau de l'Argentine Muchachos FC Drapeau de l'Argentine Jero Freixas Drapeau de l'Argentine Emanuel "Tito" Villa, Drapeau du Mexique Jonathan Orozco, Drapeau du Mexique Diego Martínez (en)
Drapeau du Mexique Olimpo United Drapeau du Mexique Javier "Chicharito" Hernández Drapeau du Mexique Rodolfo Salinas (en), Drapeau du Mexique Marco Bueno, Drapeau du Mexique Mario Osuna (en)
Drapeau du Mexique Peluche Caligari Drapeau du Mexique Alex Montiel
Drapeau du Mexique Gabriel Montiel (en)
Drapeau du Mexique Luis Lozoya (en), Drapeau du Mexique José Joaquín "Shaggy" Martínez (en), Drapeau du Mexique Mauricio Campos
Drapeau du Pérou Persas FC Drapeau du Pérou Zeein Drapeau du Mexique Antonio Monterde, Drapeau du Mexique Juan Peña, Drapeau du Mexique Juan López
Drapeau de l'Uruguay Raniza FC Drapeau du Mexique Alana
Drapeau de l'Uruguay Barcagamer
Drapeau du Paraguay Osvaldo Martínez, Drapeau du Mexique Obed Martínez (en), Drapeau de l'Équateur Walter Ayoví
Drapeau du Chili Real Titán FC Drapeau du Chili Germán Garmendia

Igor Lichnovsky

Drapeau de l'Espagne Fran Hernández, Drapeau du Mexique Alberto García (en), Drapeau du Mexique Carlos Calvo (en)
Drapeau de la Colombie West Santos FC Drapeau de la Colombie WestCOL
Drapeau de Porto Rico Arcángel
Drapeau de la Colombie Jhon Monsalve, Drapeau du Mexique Francisco Estrada (en), Drapeau de la Colombie Fredy Rodríguez
Kings League espagnole (10 équipes, dont 2 via les Redemption Games)
Drapeau de l'Espagne 1K FC Drapeau de l'Espagne Iker Casillas Drapeau de l'Espagne David Barral, Drapeau de l'Espagne Marc Torrejón, Drapeau de l'Espagne Iván Mateo
Drapeau de l'Espagne Aniquiladores FC Drapeau de la Colombie Juan Guarnizo Drapeau de l'Espagne Javier Espinosa (en), Drapeau de l'Espagne Hugo Fraile (en), Pays inconnu Gerard Verge
Drapeau de l'Espagne Jijantes FC Drapeau de l'Espagne Gerard Romero Drapeau de l'Espagne Nando Quesada (en), Drapeau de l'Espagne Sergio Juste (en), Drapeau de l'Espagne Diego Díaz
Drapeau de l'Espagne Kunisports Drapeau de l'Argentine Sergio "Kun" Agüero Drapeau de l'Argentine Nico Pareja, Drapeau de l'Espagne Jordi Gómez, Drapeau de l'Argentine Nicolás Gaitán
Drapeau de l'Espagne Los Troncos FC Drapeau de l'Espagne Perxitaa Drapeau de l'Espagne Carles Planas, Drapeau de l'Espagne Joan Verdú, Drapeau de l'Espagne Max Marcet
Drapeau de l'Espagne PIO FC
(via les Redemption Games)
Drapeau du Mexique Rivers (en) Drapeau de l'Espagne Víctor Mongil (en), Drapeau de l'Argentine Rubens Sambueza, Drapeau de l'Espagne Jordi Cano
Drapeau de l'Espagne Porcinos FC Drapeau de l'Espagne Ibai Llanos Pays inconnu Nadir Louah, Drapeau de l'Espagne Pablo Hernández, Drapeau de l'Espagne Adrián Lledó
Drapeau de l'Espagne Saiyans FC Drapeau de l'Espagne TheGrefg Drapeau de l'Argentine Martín Mantovani, Drapeau de l'Argentine Augusto Fernández, Drapeau de l'Espagne David López
Drapeau de l'Espagne Ultimate Móstoles Drapeau de l'Espagne DjMaRiiO Drapeau de l'Espagne Ferran "Coro" Corominas, Pays inconnu Diego de la Mata, Drapeau de l'Espagne Alberto de la Bella
Drapeau de l'Espagne xBuyer Team
(via les Redemption Games)
Drapeau de l'Espagne xBuyer
Drapeau de l'Espagne MiniBuyer
Pays inconnu Fuad El Amrani, Pays inconnu Fernando Velillas, Drapeau de l'Espagne Pere Martínez (en)

En plus des joueurs invités, plusieurs joueurs professionnels sont présents : Yannis Salibur (Deptostra FC), l'international algérien Abdeljalil Medioub (Foot2Rue), l'international iranien Ashkan Dejagah (Youniors F.C.), l'international tunisien Änis Ben-Hatira (Youniors F.C.), Gustavo Guillén (en) (Peluche Caligari) ou encore l'ancien international uruguayen Álvaro Pereira (Real Titán FC).

Logo de l'équipe française Foot2Rue.

La France est représentée par l'équipe Foot2Rue, nommée en référence à la série animée du même nom. Elle est présidée par AmineMaTue[13] et entraînée par Saïd Dorbani de la chaîne YouTube Pieds Carrés. Driss Zidane, neveu de Zinedine Zidane, fait partie du staff[14]. Après avoir reçu des milliers de candidatures[15], les dix joueurs sélectionnés via la draft sont Christian Nsapu, Allan Rakotovazaha, Melvin Bachelet, Salah Bouazza, Abdeljalil Medioub, Théo Chendri, Clément Goguey, Lucas Valeri, Yanis Barka et Amara Fofana. Samir Nasri et Jérémy Ménez complètent l'équipe en tant que joueurs invités. Adil Rami, initialement annoncé, s'est vu refuser sa participation par l'organisateur de la compétition pour problèmes administratifs. Paul Pogba et Hatem Ben Arfa ont aussi été approchés pour faire partie de l'équipe mais déclinent l'invitation[16],[17].

Déroulement de la compétition

modifier

Phase à système suisse

modifier

Round 1

modifier

Le premier tour se déroule du 26 au 28 mai.
















Note : les rencontres A et D, initialement prévues pour le 26 mai, ont été déplacées au 27 mai pour cause d'orages ayant impacté le réseau électrique de la KL Arena[18].

Round 2

modifier

Le second tour se déroule du 29 au 31 mai.

Branche des vainqueurs








Branche des perdants








Note : plusieurs rencontres du ont été interverties dans le calendrier : celle entre Peluche Caligari et Foot2Rue, celle entre Deptostra FC et PIO FC, celle entre Furia F.C. et Stallions et celle entre Olimpo United et Medallo City.

Last Chance Round

modifier

Le troisième tour se déroule le 2 juin 2024.








Note : la majorité des rencontres ont été reprogrammées par rapport au calendrier d'origine. Les rencontres entre Raniza FC et Jijantes FC, et entre Ultimate Móstoles et 1K FC ont été interverties dans le calendrier. La rencontre entre Limon FC et Murash FC est déplacée de 12h00 à 16h00, celle entre Saiyans FC et PIO FC passe de 13h00 à 15h00, celle entre Foot2Rue et Muchachos FC, initialement prévue à 14h00, est avancée à 12h00, celle entre Stallions et Persas FC est déplacée de 15h00 à 14h00, et enfin celle entre SXB FC et Olimpo United est déplacée de 16h00 à 13h00.

Phase à élimination directe

modifier

Le tirage au sort des rencontres a lieu le , avant les matches de Last Chance.

Tableau final

modifier
  Huitièmes de finale
KL Arena, Mexico
Quarts de finale
KL Arena, Mexico
Demi-finales
Stade BBVA, Monterrey
Finale
Stade BBVA, Monterrey
 
 
  5 juin, 15h00 (UTC-6)     6 juin, 14h00 (UTC-6)     8 juin, 19h30 (UTC-6)     8 juin, 22h30 (UTC-6)
 
  Drapeau du Mexique Peluche Caligari 3
 
  Drapeau de la Turquie Limon FC 4  
  Drapeau de la Turquie Limon FC 3
  5 juin, 14h00 (UTC-6)
    Drapeau de l'Espagne Porcinos FC 4  
  Drapeau de l'Espagne Porcinos FC 5
  6 juin, 15h00 (UTC-6)
  Drapeau de l'Italie Stallions 3  
  Drapeau de l'Espagne Porcinos FC 7
  5 juin, 16h00 (UTC-6)
    Drapeau de l'Espagne xBuyer Team 3  
  Drapeau de l'Espagne xBuyer Team 4
  8 juin, 20h45 (UTC-6)
  Drapeau de l'Espagne Jijantes FC 3  
  Drapeau de l'Espagne xBuyer Team 9
  5 juin, 17h00 (UTC-6)
    Drapeau de l'Espagne Los Troncos FC 4  
  Drapeau de l'Espagne Los Troncos FC 5
  6 juin, 16h00 (UTC-6)
  Drapeau des États-Unis Los Aliens FC 4  
  Drapeau de l'Espagne Porcinos FC 5
  4 juin, 14h00 (UTC-6)
    Drapeau du Brésil G3X FC 3
  Drapeau de l'Espagne Aniquiladores FC 5 (0)
   
  Drapeau de l'Espagne Saiyans FC 5 (2)  
  Drapeau de l'Espagne Saiyans FC 4
  4 juin, 15h00 (UTC-6)
    Drapeau du Mexique Olimpo United 3  
  Drapeau de l'Espagne Kunisports 2
  6 juin, 17h00 (UTC-6)
  Drapeau du Mexique Olimpo United 4  
  Drapeau de l'Espagne Saiyans FC 3
  4 juin, 17h00 (UTC-6)
    Drapeau du Brésil G3X FC 6  
  Drapeau du Brésil Furia F.C. 7
   
  Drapeau de l'Argentine Muchachos FC 3  
  Drapeau du Brésil Furia F.C. 3
  4 juin, 16h00 (UTC-6)
    Drapeau du Brésil G3X FC 5  
  Drapeau du Brésil G3X FC 4
   
  Drapeau de l'Espagne Ultimate Móstoles 3  
 

Huitièmes de finale

modifier

Les huitièmes de finale se déroulent les 4 et 5 juin 2024.








Quarts de finale

modifier

Les quarts de finale se déroulent le 6 juin 2024.




Demi-finales

modifier

Les demi-finales se déroulent le 8 juin 2024.


Note : Les deux demi-finales changent d'horaire le 7 juin, la première étant avancée de 20h à 19h30, et la seconde de 21h30 à 20h45.

La finale se déroule le 8 juin 2024.

Note : La finale change d'horaire le 7 juin en étant avancée de 23h00 à 22h30.

Sanctions et discipline

modifier

À l'issue du premier tour, Piqué annonce que de potentielles sanctions disciplinaires seront discutées après que plusieurs débordements aient été observés durant les rencontres, notamment l'échauffourée entre Foot2Rue et PIO FC à l'issue de la séance de pénaltys. Le 29 mai, plusieurs sanctions tombent, visant à la fois des joueurs, des membres de staff ainsi que des présidents. Elles sanctionnent aussi de manière plus globale les équipes. Les principales sanctions annoncées sont les suivantes[20]:

  • Westcol (président, West Santos FC): 1 joueur de moins pendant 3 minutes durant le prochain match[sanctions 1], pour des propos irrespectueux envers les fans.
  • Alberto Lopo (staff, PIO FC): exclusion de la compétition.
  • José Manuel Fontcuberta (joueur, PIO FC): 5 matchs de suspension pour le joueur, ainsi qu'un joueur de moins pendant 5 minutes durant le prochain match[sanctions 1], ayant pour motif l'agression physique de joueurs adversaires.
  • David Barral (joueur, 1K FC): 5 matchs de suspension pour le joueur, ainsi qu'un joueur de moins pendant 5 minutes durant le prochain match[sanctions 1], pour avoir insulté un responsable de la compétition.
  • Juan Guarnizo (président, Aniquiladores FC): 1 joueur de moins pendant 3 minutes durant le prochain match[sanctions 1], pour avoir insulté David Barral.
  • Pol Font (entraineur, Real Titán): 3 matchs de suspension pour le joueur, ainsi qu'un joueur de moins pendant 3 minutes durant le prochain match[sanctions 1], pour insultes.
  • Abdel Mahmoud (staff, Foot2Rue): 2 matchs de suspension pour le joueur, ainsi qu'un joueur de moins pendant 2 minutes durant le prochain match[sanctions 1], pour avoir réalisé des gestes "provocateurs" envers la présidente du PIO FC (accusations contestées, voir la section Accusations de favoritisme pour les équipes hispaniques).
  1. a b c d e et f À partir de la 5ème minute de jeu, l'équipe devra jouer avec un joueur en moins, équivalent à une exclusion temporaire.

Controverses et polémiques

modifier

Imbroglio autour de la présence d'Adil Rami

modifier

Le 24 mai 2024, AmineMaTue publie sur les réseaux sociaux une vidéo de présentation de son équipe Foot2Rue. Cette vidéo contient une liste des joueurs sélectionnés, dévoilant ainsi le troisième joueur invité, le champion du monde français Adil Rami[21],[22]. Cependant le 26 mai, Piqué déclare « Nous avons dû démentir parce que, comme je l'ai dit, les équipes sont clôturées depuis le 16 (mai) »[23],[24], signifiant que Rami ne serai pas autorisé à jouer.

À la suite de cela, Amine accuse les équipes espagnoles d'avoir fait pression sur Piqué pour annuler la présence d'Adil Rami et explique qu'il aurait aimé bénéficier d'une souplesse à propos de la date limite d'enregistrement des joueurs, pour compenser des retards causés par des problèmes dans l'organisation. Il dira « [...] j'en veux [...] aux autres équipes qui sont venues pleurer », visant directement les Espagnols et plus particulièrement Ibai. Ce dernier lui rétorquera au cours d'un live sur Twitch « Pourquoi tu ne dis pas la vérité ? Parce que tu es un menteur ? Qui s'est plaint ? »[25].

L'équipe Foot2Rue n'est par conséquent composée uniquement de 12 joueurs pour la compétition.

Accusations de favoritisme pour les équipes hispaniques

modifier

Au cours de la compétition, plusieurs évènements ont provoqués la colère de certaines équipes, ainsi que des soupçons de favoritismes vis-à-vis des équipes espagnoles et sud-américaines.

À l'issue du premier tour, et de l'altercation en fin de match entre les français de Foot2Rue et les espagnols de PIO FC, plusieurs sanctions tombent, dont une visant un membre du staff français, accusé d'avoir réalisé des gestes obscènes envers la streameuse espagnole. Ceci est rapidement démenti par AmineMaTue, expliquant qu'il s'agissait d'une célébration mimant un clown, comme ont pu le faire Neymar ou Vinícius Júnior au cours de leurs carrières. Il explique aussi qu'aucune vidéo n'est en mesure de prouver les accusations faites, et qu'il s'agit d'une sanction "politique", pour contrebalancer la sanction envers l'équipe de PIO FC (pour agression physique envers un joueur de Foot2Rue, cette fois-ci filmée). AmineMaTue explique d'ailleurs qu'il existe une conversation WhatsApp entre les présidents des équipes hispaniques, conversation via laquelle ils font pression sur l'organisateur du tournoi.

Durant le second tour, l'arbitrage est de nouveau douteux, que ce soit envers l'équipe française ou envers l'équipe belge de Deptostra FC. La rencontre Deptostra FC et PIO FC voit un pénalty non-sifflé pour les belges, pour une obstruction nette sur Eden Hazard dans la surface, ainsi qu'une touche donnée à PIO FC alors que les espagnols sortent la balle du terrain. Même si cette dernière peut sembler insignifiante, elle aurait pu, alors qu'il ne restait quelques secondes, permettre aux belges de revenir au score. Amine, qui commentait le match, s'exclame après cela: « Hé ça y est, je le dis, c'est de la triche. Il y a de la triche. C'est bon, il y a de la triche. Moi, je le dis, c'est n'importe quoi. Ça ne va que dans le sens des Hispaniques. »[26]. L'équipe de Deptostra FC fera un communiqué officiel après son élimination, exprimant sa frustration envers l'arbitrage[27],[28]:

« Nous pourrions montrer plus de 10 actions où les arbitres ont pris des décisions absurdes. Mais nous ne mettrons pas plus d'énergie là-dedans. Nous allons nous concentrer sur nous-mêmes. Nous avons fait ce que nous pouvions. Nous savons tous ce qui s'est passé aujourd'hui. C'est une honte. Il est temps pour un nouveau chapitre. Nous vous aimons tous et nous serons toujours debout pour le respect et le fair-play. »

— Communiqué du Deptostra FC après leur élimination de la compétition

Après la compétition, Lillo Guarneri, joueur du Deptostra FC, dira à propos de l'arbitrage de la compétition: « Il suffit de voir les images. L'arbitrage était une cata. À un moment, Eden prend une carte d'exclusion temporaire, mais le timer n'était pas activé par moments... On a vite compris. Ça ne les arrange pas que les autres équipes aillent loin, ils veulent le Mexique et l'Espagne en finale »[29].

Le 2 juin 2024 se déroule le match de repêchage entre Foot2Rue et les argentins de Muchachos FC. Cette rencontre est de nouveau marquée par de multiples erreurs d'arbitrage, avec plusieurs penaltys non-sifflés pour l'équipe française, et ce malgré l'usage de l'arbitrage vidéo, ainsi qu'une obstruction d'un joueur argentin sur un corner français qui n'est pas sanctionnée. La rencontre se finit sur une égalité et se départage donc aux pénaltys. Après une nouvelle faute non-sifflée sur Amara Fofana, déséquilibré par le gardien lors de sa tentative, l'équipe Foot2Rue se voit éliminée après un penalty argentin tout d'abord refusé puis validé. Le joueur argentin voit sa tentative un premier temps stoppée par Christian Nsapu, gardien de Foot2Rue, et les écrans du stades indiquent une tentative échouée (les écrans deviennent rouges et la lumière s'assombrit dans le stade). Mais alors que tout le monde se prépare à continuer la séance de pénaltys, les 5 secondes pour marquer étant écoulées, le ballon, qui s'était envolé, redescend puis finit sa course dans les filets après plusieurs rebonds. L'arbitre valide alors le pénalty argentin, qualifiant les Muchachos et éliminant l'équipe française[30],[31],[32].

Plusieurs points sont contestés par l'équipe française après cet événement, dont le fait que le ballon ait surement touché soit le toit du hangar[33], soit l'un des éclairages[34], la balle ayant eu une trajectoire non conventionnelle lors de sa retombée. Il est aussi critiqué le fait que le buzzer ait retenti, indiquant que le pénalty était non-inscrit, et que la balle entre dans les cages après les 5 secondes autorisées par le règlement[35]. Le staff français tente alors de faire une réclamation, s'entretenant pendant plusieurs dizaines de minutes avec Gerard Piqué. Samir Nasri et AmineMaTue expriment aussi leur frustration face à ce qu'ils considèrent comme un vol.

« On peut perdre mais on se fait baiser de A à Z par l'arbitrage. [...] Il ne faut pas abuser non plus. C'est quoi ces règles ? Ce sont des fous ! On ne peut pas accepter ça ! On a raté de nombreuses occasions, d'accord, mais on demande un arbitrage normal ! »

— Samir Nasri, sur le live d'AmineMaTue après la rencontre[31]

« Tout le monde en parle, même les Espagnols qui sont contre nous nous disent "les gars, c'est une honte". Ce qui se passe n'est pas normal, je peux faire quoi de plus ? Je suis allé voir Gerard, je lui ai dit "frérot écoute, fais quelque chose", je ne sais pas ce qu'il va se passer, je vais le revoir après. »

— AmineMaTue, après les discussions avec Gerard Piqué[32]

Ibai Llanos, d'habitude grand rival de la France, validera également l'erreur d'arbitrage: « Le ballon touche le plafond. Vol flagrant. »[34].

En France, les rencontres seront diffusées sur Twitch, intégralement sur la chaîne officielle de la Kings League, ainsi que partiellement sur la chaîne d'AmineMaTue[36],[7]. Le 23 mai 2024, le Groupe M6 signe un partenariat pour également diffuser la compétion, gratuitement via sa plateforme M6+[37].

Le 27 mai, le premier match de l'équipe Foot2Rue d'AmineMaTue, diffusé sur sa chaine Twitch, a réuni environ 400 000 personnes, avec un pic à 500 000 spectateurs en simultanées[38].

Lors de la diffusion de la seconde rencontre de Foot2Rue, le 29 mai, le pic de spectateurs sur la chaîne d'AmineMaTue atteint 540 000 personnes[39],[40].

Références

modifier
  1. Yann Soudé, « La Kings World Cup, l'idée royale de Piqué », sur L'Équipe, (consulté le )
  2. « Foot : Ronaldinho rejoint Gerard Piqué et sa Kings League », sur Le Figaro, (consulté le )
  3. « Kings League: les chiffres de l’incroyable succès de la première saison achevée dans un Camp Nou rempli », sur RMC Sport/BFM TV, (consulté le )
  4. a et b « Kings World Cup : tout savoir sur la coupe du monde de foot des streamers en 4 questions », Presse-citron,‎ (lire en ligne Accès libre)
  5. « La Kings League de Gerard Piqué annonce une Coupe du monde », sur L'Équipe, (consulté le )
  6. « Ibrahimovic nouveau président de la Kings League », sur 20 Minutes, (consulté le )
  7. a b c d e et f Maxime T'sjoen, « Samir Nasri, Eden Hazard, Neymar... C'est quoi la Kings World Cup, compétition de foot complétement déjantée », Actu.fr,‎ (lire en ligne Accès libre)
  8. a et b Lohan Lebreton, « Kings World Cup: joueurs pros, influenceurs, format, programme, diffusion... Tout ce qu'il faut savoir sur la compétition révolutionnaire de Gerard Piqué », sur RMC Sport/BFM TV, (consulté le )
  9. a b et c « Format Et Règles De La Kings World Cup - Twitch Game », sur Mandatory.gg, (consulté le )
  10. a et b (es) Dossier Marca sur la Kings World Cup, sur Marca (consulté le )
  11. Ruben Michavila, « Tout comprendre sur les règles insolites de la Kings World Cup, la compétition de foot de Gerard Piqué », sur L'Équipe, (consulté le )
  12. (es) Fernando Guarneros Olmos, « Kings League Américas: Ellos son los presidentes de la liga », sur expansion.mx, (consulté le )
  13. Antoine Ronté, « Comment AmineMaTue s'est retrouvé sélectionneur de l'équipe de France pour la Kings World Cup », sur L'Équipe, (consulté le )
  14. Alexandre Jaquin, « Kings World Cup: comment Driss Zidane, le neveu de Zizou, a joué le directeur sportif pour l’équipe Foot2Rue », sur RMC Sport/BFM TV, (consulté le )
  15. Alexandre Jaquin, « Kings World Cup: AmineMaTue a reçu "des milliers de candidatures" pour intégrer son équipe de France », sur RMC Sport/BFM TV, (consulté le )
  16. Hicham Bennis, « Paul Pogba et Hatem Ben Arfa vers la Kings World Cup ? », sur Sport.fr, (consulté le )
  17. Jordan Pardon, « Paul Pogba était tout proche de participer à la Kings World Cup », sur Foot Mercato, (consulté le )
  18. (es) Kevin Barquin López, « Resultados jornada 1 Kings World Cup: debut de Hazard y Totti con dos partidos suspendidos », sur As, (consulté le )
  19. (es) Víctor Ayora, « FIVE FC no se presenta a jugar contra Jijantes en el mundial de la Kings League », sur Movistar eSports (en)/As, (consulté le )
  20. « Kings World Cup: coup dur pour Foot2Rue, sanctionné après une fin de match houleuse face au Pio FC », sur RMC Sport/BFM TV, (consulté le )
  21. Chemssdine Belgacem, « Kings World Cup : un champion du monde va représenter la France ! », sur Foot Mercato, (consulté le )
  22. « Kings World Cup. Adil Rami, dernière star à rejoindre l’équipe de France au côté de Nasri et Ménez », sur Ouest-France, (consulté le )
  23. Lohan Lebreton, « Kings World Cup: gros imbroglio autour d'Adil Rami, qui serait finalement privé de tournoi avec l'équipe française », sur RMC Sport/BFM TV, (consulté le )
  24. Claude Dautel, « Adil Rami viré de la Kings World Cup par Gerard Piqué », Foot01,‎ (lire en ligne Accès libre)
  25. « Kings World Cup: "Parce que tu es un menteur?", l’imbroglio Adil Rami ravive la rivalité France-Espagne », sur RMC Sport/BFM TV, (consulté le )
  26. « Kings World Cup: "Il y a de la triche", le coup de gueule d’AmineMaTue contre les arbitres qui avantagent "les Hispaniques" », sur RMC Sport/BFM TV, (consulté le )
  27. Pierre Lambert, « Eden Hazard et la Belgique éliminés de la Kings World Cup », sur RTBF, (consulté le )
  28. Camille Fischbach, « Kings World Cup : le camp Hazard crie au scandale ! », sur topmercato.com, (consulté le )
  29. Florent Malice, « L'ancien du Standard Lillo Guarneri nous raconte la Kings World Cup : " L'arbitrage, une catastrophe ! » », sur walfoot.be, (consulté le )
  30. Clément Le Lay, « Kings World Cup : le tir au but complètement fou qui élimine Foot2Rue de la compétition », sur Ouest-France, (consulté le )
  31. a et b « Kings World Cup : l’élimination de la France sur un but inattendu fait polémique », sur Le Parisien, (consulté le )
  32. a et b Valentin Feuillette, « Kings World Cup : l’énorme coup de gueule du streamer AmineMaTue », sur Foot Mercato, (consulté le )
  33. « Kings World Cup : l’équipe française éliminée à cause… du toit du stade », sur Libération, (consulté le )
  34. a et b « Kings World Cup: pourquoi l’équipe française Foot2Rue crie au vol après un tir au but invraisemblable », sur RMC Sport/BFM TV, (consulté le )
  35. « Kings World Cup: l'équipe française Foot2Rue éliminée et frustrée par l'arbitrage », sur RMC Sport/BFM TV, (consulté le )
  36. Hervé Vila, « Kings World Cup : Sur quelle chaîne et à quelle heure voir l'entrée en lice de la France ? », 20 Minutes,‎ (lire en ligne Accès libre)
  37. Thomas Pisselet, « Droits TV, le très joli coup de M6 ! », sur Sport.fr, (consulté le )
  38. (en) Statistiques de visionnage de la chaîne Twitch d'AmineMaTue, le 27 mai 2024, sur twitchtracker.com (consulté le )
  39. Jeanne Maisiat, « Expliquez-nous la Kings World Cup », sur France Info, (consulté le )
  40. (en) Statistiques de visionnage de la chaîne Twitch d'AmineMaTue, le 29 mai 2024, sur twitchtracker.com (consulté le )

Voir aussi

modifier

Liens externes

modifier

(en) Site officiel de la Kings League