Les kokubun-ji (国分寺?) sont des temples bouddhistes établis dans chacune des provinces du Japon par l'empereur Shōmu durant l'époque de Nara (710-794)[1]. Shōmu (701-756 ?) décrète qu'un kokubun-ji soit établi dans chaque province pour les bhikkhu (moines) et qu'un kokubunni-ji (国分尼寺?) le soit pour les bhikkhuni (moniales). Le Tōdai-ji, temple provincial de la province de Yamato, est à la tête de tous les kokubun-ji, et le Hokke-ji remplit ce rôle pour les kokubunni-ji.

Mutsu Kokubun-ji Yakushido.

Les mots « kokubun-ji » et « kokubunni-ji » sont à l'origine de nombreux noms de lieux encore en usage de nos jours tels que :

Références

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  1. Kokubunji, Tokyo, Shogakukan, (lire en ligne).

Voir aussi

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