Léguevin

commune française du département de la Haute-Garonne

Léguevin (occitan : Legavin, prononcé /'lɛ.gɔ.bi/ Lègobi) est une commune française située dans le nord du département de la Haute-Garonne en région Occitanie.

Léguevin
Léguevin
La mairie de Léguevin.
Blason de Léguevin
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Haute-Garonne
Arrondissement Toulouse
Intercommunalité Communauté de communes Le Grand Ouest Toulousain
Maire
Mandat
Étienne Cardeilhac pugens(DVC)
2020-2026
Code postal 31490
Code commune 31291
Démographie
Gentilé Léguevinois
Population
municipale
9 474 hab. (2021 en évolution de +5,88 % par rapport à 2015)
Densité 387 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 35′ 59″ nord, 1° 14′ 02″ est
Altitude Min. 164 m
Max. 237 m
Superficie 24,45 km2
Type Centre urbain intermédiaire
Unité urbaine Toulouse
(banlieue)
Aire d'attraction Toulouse
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Léguevin
(bureau centralisateur)
Législatives Sixième circonscription
Localisation
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Léguevin
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Léguevin
Liens
Site web Mairie de Léguevin

Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le Pays toulousain, qui s’étend autour de Toulouse le long de la vallée de la Garonne, bordé à l’ouest par les coteaux du Savès, à l’est par ceux du Lauragais et au sud par ceux de la vallée de l’ Ariège et du Volvestre. Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par l'Aussonnelle, le Courbet, le ruisseau de Saint-Blaise, le ruisseau du paradis et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable composé de quatre zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique. Une partie de la forêt de Bouconne est située sur le territoire de la commune.

Léguevin est une commune urbaine qui compte 9 474 habitants en 2021, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1975. Elle appartient à l'unité urbaine de Toulouse et fait partie de l'aire d'attraction de Toulouse.

Les habitants de Léguevin sont les Léguevinoises et les Léguevinois.

Géographie

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Localisation

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La commune de Léguevin se trouve dans le département de la Haute-Garonne, en région Occitanie[I 1].

Sur le plan historique et culturel, Léguevin fait partie du pays toulousain, une ceinture de plaines fertiles entrecoupées de bosquets d'arbres, aux molles collines semées de fermes en briques roses, inéluctablement grignotée par l'urbanisme des banlieues[1].

Elle se situe à 17 km à vol d'oiseau de Toulouse[2], préfecture du département.

Les communes les plus proches[Note 1] sont[3] : Brax (1,7 km), La Salvetat-Saint-Gilles (4,0 km), Pibrac (4,6 km), Fontenilles (6,1 km), Plaisance-du-Touch (6,3 km), Pujaudran (6,8 km), Lasserre-Pradère (6,8 km), Mérenvielle (7,0 km).

Léguevin est limitrophe de huit autres communes dont une dans le département du Gers.

Géologie et relief

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La superficie de la commune est de 2 445 hectares ; son altitude varie de 164 à 237 mètres[5].

Hydrographie

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Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier de Léguevin.

La commune est dans le bassin de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[6]. Elle est drainée par l'Aussonnelle, le Courbet, le ruisseau de Saint-Blaise, le ruisseau du paradis, la Moulinasse, le Couget, le ruisseau de la Goutille, le ruisseau de maudinat et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 32 km de longueur totale[7],[Carte 1].

L'Aussonnelle, d'une longueur totale de 42,4 km, prend sa source dans la commune de Saint-Thomas et s'écoule du sud-ouest vers le nord-est. Il traverse la commune et se jette dans la Garonne à Seilh, après avoir traversé 12 communes[8].

Le Courbet, d'une longueur totale de 10,1 km, prend sa source dans la commune et s'écoule du sud-ouest vers le nord-est. Il traverse la commune et se jette dans L'Aussonnelle à Colomiers, après avoir traversé 4 communes[9].

En 2010, le climat de la commune est de type climat du Bassin du Sud-Ouest, selon une étude s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[10]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[11].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 704 mm, avec 8,9 jours de précipitations en janvier et 5,4 jours en juillet[10]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Cugnaux à 11 km à vol d'oiseau[12], est de 14,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 635,7 mm[13],[14]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[15].

Milieux naturels et biodiversité

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Carte des ZNIEFF de type 1 localisées sur la commune.

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Trois ZNIEFF de type 1[Note 2] sont recensées sur la commune[16] :

  • le « cours de l'Aussonnelle et rives » (76 ha), couvrant 12 communes du département[17] ;
  • la « forêt de Bouconne » (2 868 ha), couvrant 10 communes dont neuf dans la Haute-Garonne et une dans le Gers[18],
  • les « prairies et cultures du sud de Léguevin » (229 ha), couvrant 2 communes du département[19] ;

et une ZNIEFF de type 2[Note 3],[16] : les « terrasses de Bouconne et du Courbet » (2 088 ha), couvrant 5 communes du département[20].

Urbanisme

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Typologie

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Au , Léguevin est catégorisée centre urbain intermédiaire, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[I 2]. Elle appartient à l'unité urbaine de Toulouse[Note 4], une agglomération inter-départementale regroupant 81 communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 5],[I 3],[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Toulouse, dont elle est une commune de la couronne[Note 6],[I 1]. Cette aire, qui regroupe 527 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[I 4],[I 5].

Voies de communication et transports

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Ancien panneau de Léguevin.

Située sur l'ancien tracé de la route nationale 124 qui relie Toulouse à Auch à onze kilomètres à l'est de l’Isle-Jourdain. Depuis , la RN 124 ne dessert plus le bourg, la RN 124 dispose d'un nouveau tracé; une 2x2 voies. Auparavant, Léguevin était un des principaux points noirs routiers de l'agglomération toulousaine avant la réalisation de la déviation achevée en .

Léguevin partage une gare SNCF (Gare de Brax-Léguevin) avec la commune voisine de Brax. Cette desserte ferroviaire place Léguevin à 20 minutes du cœur de Toulouse en train. Depuis 2005, la SNCF a mis en place un service cadencé avec une rame toutes les 1/2 heures aux heures de pointe.

La ligne 305 du réseau Arc-en-Ciel relie le centre de la commune à la station Arènes du métro de Toulouse depuis Rieumes.

Risques majeurs

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Le territoire de la commune de Léguevin est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts et séisme (sismicité très faible)[21]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[22].

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment le Courbet. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1989, 1993, 1999, 2002, 2009 et 2014[23],[21].

Un plan départemental de protection des forêts contre les incendies a été approuvé par arrêté préfectoral du 25 septembre 2006. Léguevin est exposée au risque de feu de forêt du fait de la présence sur son territoire du massif de Bouconne. Il est ainsi défendu aux propriétaires de la commune et à leurs ayants droit de porter ou d’allumer du feu dans l'intérieur et à une distance de 200 mètres des bois, forêts, plantations, reboisements ainsi que des landes. L’écobuage est également interdit, ainsi que les feux de type méchouis et barbecues, à l’exception de ceux prévus dans des installations fixes (non situées sous couvert d'arbres) constituant une dépendance d'habitation[24],[25].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Léguevin.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (88,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 2 712 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 2 712 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 98 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[26],[Carte 2].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[27].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1998, 2003, 2011, 2015, 2017 et 2020 et par des mouvements de terrain en 1999[21].

Toponymie

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Histoire

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La découverte d'outils préhistoriques atteste que Léguevin fut occupé de bonne heure. Ces outils (galets aménagés en quartzite), sont difficiles à dater. Cependant, l'un d'eux, retrouvé sur les berges du Courbet serait daté de l'Acheuléen, période du Paléolithique inférieur. Une pierre de foyer serait datée du Néolithique, mais cette datation est controversée car certains pensent qu'étant donné qu'elle fut trouvée près de boulets de basalte utilisés pendant la guerre de Cent Ans, elle a très bien pu être amenée par les Anglais.

Le nom de Léguevin, vient de l’occitan Legavin, qui signifie 20 lieues, cet arrêt étant en effet situé à une vingtaine de lieues de la ville d’Auch. Léguevin a renoué avec cette tradition. Un accueil est à la disposition des pèlerins de Saint-Jacques. Il est situé près de la halle en plein cœur de la vieille cité.

Croix de sauveté.

Léguevin subit l'occupation des anglais à partir de 1344 lors de la guerre de Cent Ans et le passage destructeur du Prince Noir en 1355. On décida alors de procéder à la fortification du village qui fut achevée le . Léguevin fut rattachée successivement au comté de l'Isle-Jourdain, au comté d'Armagnac puis aux rois de Navarre. Henri III de Navarre, futur Henri IV de France, fut seigneur de Léguevin de 1572 à 1579 et traversera Léguevin en 1579 et 1580. Le la seigneurie de Léguevin passera à Guy Du Faur de Pibrac.

Léguevin ne sera pas épargné par les guerres de religion au XVIe siècle. En les troupes de Blaise de Montluc traversèrent Léguevin ; le curé Balthazar Vintimiglia fut suspecté de protestantisme et arrêté ; et le village fut mis à sac par une troupe de protestants le .

Louis XIV passera à Léguevin en 1659, et Napoléon en juillet 1808.

Léguevin fut incorporé au département de la Haute-Garonne en 1790.

Une municipalité révolutionnaire fut créée à l'instigation du curé en août 1789. L'Hôtel de Ville fut pris et pillé par des manifestants à deux reprises, le et le . Un contingent de prisonniers espagnols séjourna dans le village en 1795, accentuant les difficultés provoquées par la famine de 1794. Les 8 et des royalistes abattirent l’arbre de la Liberté et renversèrent l’autel de la Patrie.

Du 26 au les troupes de Wellington occupèrent Léguevin. Ce furent près de 7 000 fantassins et 800 cavaliers, placés sous le commandement du lieutenant général, sir Rowland Hill, qui séjournèrent sur la commune[28].

Les Hospitaliers

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La sauveté de Léguevin est citée dès le XIIe siècle dans un document de 1108 dans lequel des nobles font donation de terres aux Hospitaliers de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem dans le « territoire de Léguevin entre deux ruisseaux ». Ces deux ruisseaux sont le Courbet et le Paradis. La région est alors en effet en cours de défrichement par les frères hospitaliers de l'Ordre. Rien n'atteste de la présence d'un village à cette époque.

Le village de Léguevin a sans doute été créé au XIIIe siècle. À l'origine, il s'agissait d'une halte sur la via Tolosana destinée aux pèlerins qui se rendaient à Saint-Jacques-de-Compostelle par la voie d'Arles. Les premières constructions furent un hôpital et une église, construites à l'emplacement de la halle actuelle. Une commanderie fut construite à l'emplacement du château de Castelnouvel.

Une rivalité s'établira entre les Hospitaliers et Jourdain V (qui donna son nom à L'Isle-Jourdain). Le un accord de paréage mit fin à la brouille et fit de Léguevin une bastide[29],[30]. Un odonyme local (place du 28-Novembre-1309) rappelle cet événement.

Politique et administration

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Rattachements administratifs et électoraux

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Léguevin appartient à l'arrondissement de Toulouse et au canton de Léguevin, redécoupé en 2014, dont elle est le bureau centralisateur.

Pour l’élection des députés, la commune fait partie de la sixième circonscription de la Haute-Garonne, représentée depuis 2007 par Monique Iborra (LREM, ex-PS).

Intercommunalité

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Depuis le , date de sa création, la commune appartient à la communauté de communes Le Grand Ouest Toulousain.

Administration municipale

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Le nombre d'habitants au recensement de 2017 étant compris entre 5 000 habitants et 9 999 habitants, le nombre de membres du conseil municipal pour l'élection de 2020 est de vingt-neuf[31],[32].

Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
vers 1941 ? Gabriel Bonnet    
vers 1958[33] ? Alfred Molinier SFIO Exploitant forestier
Conseiller général de Léguevin (1945 → 1951)
? Laurent Lacroix    
Gilles Blanco PS Médecin
[34] Stéphane Mirc DVD puis
UMPLR
Ingénieur
Conseiller régional de Midi-Pyrénées (2010 → 2015)
Réélu en 2008 et 2014[35]
En cours Étienne Cardeilhac-Pugens DVC Vacataire
1er vice-président de la CC Le Grand Ouest Toulousain (2020 → )
Les données manquantes sont à compléter.

Tendances politiques et résultats

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  • Élection municipale de 2020

Finances locales

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Cette sous-section présente la situation des finances communales de Léguevin[Note 7].

Pour l'exercice 2013, le compte administratif du budget municipal de Léguevin s'établit à 12 373 000  en dépenses et 11 589 000  en recettes[A2 1] :

En 2013, la section de fonctionnement[Note 8] se répartit en 7 367 000  de charges (849  par habitant) pour 8 453 000  de produits (974  par habitant), soit un solde de 1 085 000  (125  par habitant)[A2 1],[A2 2] :

  • le principal pôle de dépenses de fonctionnement est celui des charges de personnels[Note 9] pour 3 636 000  (49 %), soit 419  par habitant, ratio inférieur de 18 % à la valeur moyenne pour les communes de la même strate (513  par habitant). Sur la période 2009 - 2013, ce ratio fluctue et présente un minimum de 391  par habitant en 2012 et un maximum de 419  par habitant en 2013 ;
  • la plus grande part des recettes est constituée des impôts locaux[Note 10] pour 2 428 000  (29 %), soit 280  par habitant, ratio inférieur de 38 % à la valeur moyenne pour les communes de la même strate (448  par habitant). Sur la période 2009 - 2013, ce ratio fluctue et présente un minimum de 269  par habitant en 2009 et un maximum de 280  par habitant en 2013.

Les taux des taxes ci-dessous sont votés par la municipalité de Léguevin[A2 3]. Ils ont varié de la façon suivante par rapport à 2012[A2 3] :

La section investissement[Note 11] se répartit en emplois et ressources. Pour 2013, les emplois comprennent par ordre d'importance[A2 4] :

  • des dépenses d'équipement[Note 12] pour une valeur de 4 557 000  (91 %), soit 525  par habitant, ratio supérieur de 36 % à la valeur moyenne pour les communes de la même strate (385  par habitant). En partant de 2009 et jusqu'à 2013, ce ratio fluctue et présente un minimum de 335  par habitant en 2012 et un maximum de 525  par habitant en 2013 ;
  • des remboursements d'emprunts[Note 13] pour 337 000  (7 %), soit 39  par habitant, ratio inférieur de 51 % à la valeur moyenne pour les communes de la même strate (79  par habitant).

Les ressources en investissement de Léguevin se répartissent principalement en[A2 4] :

  • subventions reçues pour une valeur totale de 442 000  (14 %), soit 51  par habitant, ratio inférieur de 27 % à la valeur moyenne pour les communes de la même strate (70  par habitant). Sur les 5 dernières années, ce ratio fluctue et présente un minimum de 51  par habitant en 2013 et un maximum de 201  par habitant en 2009 ;
  • fonds de Compensation pour la TVA pour 360 000  (11 %), soit 41  par habitant, ratio voisin de la valeur moyenne de la strate.

L'endettement de Léguevin au peut s'évaluer à partir de trois critères : l'encours de la dette[Note 14], l'annuité de la dette[Note 15] et sa capacité de désendettement[Note 16] :

  • l'encours de la dette pour une somme de 3 066 000 , soit 353  par habitant, ratio inférieur de 60 % à la valeur moyenne pour les communes de la même strate (881  par habitant). Depuis 5 ans, ce ratio diminue de façon continue de 608  à 353  par habitant[A2 5] ;
  • l'annuité de la dette pour une valeur totale de 415 000 , soit 48  par habitant, ratio inférieur de 57 % à la valeur moyenne pour les communes de la même strate (112  par habitant). Pour la période allant de 2009 à 2013, ce ratio diminue de façon continue de 73  à 48  par habitant[A2 5] ;
  • la capacité d'autofinancement (CAF) pour une valeur totale de 1 366 000 , soit 157  par habitant, ratio inférieur de 13 % à la valeur moyenne pour les communes de la même strate (181  par habitant). Pour la période allant de 2009 à 2013, ce ratio fluctue et présente un minimum de 143  par habitant en 2009 et un maximum de 197  par habitant en 2012[A2 6]. La capacité de désendettement est d'environ 2 années en 2013. Sur une période de 14 années, ce ratio présente un minimum en 2013 et un maximum très élevé, de plus de 50 années en 2001.

Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[36]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[37]. En 2021, la commune comptait 9 474 habitants[Note 17], en évolution de +5,88 % par rapport à 2015 (Haute-Garonne : +7,43 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
7056726576996428298171 0471 080
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
9749489508881 003984974948896
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
914850826706795820801861929
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
1 0141 6222 0912 7644 2176 1727 4837 8538 692
2018 2021 - - - - - - -
9 3289 474-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[38] puis Insee à partir de 2006[39].)
Histogramme de l'évolution démographique
Évolution du rang de la commune
selon la population municipale des années : 1968[40] 1975[40] 1982[40] 1990[40] 1999[40] 2006[41] 2009[42] 2013[43]
Rang de la commune dans le département 41 44 42 30 22 24 21 22
Nombre de communes du département 592 582 586 588 588 588 589 589

En l'espace de cinq décennies, Léguevin est passée d'une population de 1 000 habitants environ en 1950 à près de 7 000 en 2005. Cette multiplication par 7 a eu de profondes répercussions sur l'ambiance de la commune. Initialement centrée sur l'activité agricole, Léguevin est maintenant une ville dynamique de la grande agglomération toulousaine. L'urbanisation rapide se poursuit à partir de 2006 avec la mise en place de nouvelles ZAC qui permettent un développement économique.

Économie

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Revenus

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En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 3 937 ménages fiscaux[Note 18], regroupant 9 510 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 25 360 [I 6] (23 140  dans le département[I 7]). 62 % des ménages fiscaux sont imposés[Note 19] (55,3 % dans le département).

Taux de chômage
2008 2013 2018
Commune[I 8] 4,8 % 6,1 % 6,8 %
Département[I 9] 7,7 % 9,6 % 9,3 %
France entière[I 10] 8,3 % 10 % 10 %

En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 6 324 personnes, parmi lesquelles on compte 82 % d'actifs (75,2 % ayant un emploi et 6,8 % de chômeurs) et 18 % d'inactifs[Note 20],[I 8]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.

La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Toulouse, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 3],[I 11]. Elle compte 1 391 emplois en 2018, contre 1 376 en 2013 et 1 309 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 4 789, soit un indicateur de concentration d'emploi de 29 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 70,5 %[I 12].

Sur ces 4 789 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 627 travaillent dans la commune, soit 13 % des habitants[I 13]. Pour se rendre au travail, 88,5 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 3,3 % les transports en commun, 5 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 3,2 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 14].

Activités hors agriculture

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Secteurs d'activités

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536 établissements[Note 21] sont implantés à Léguevin au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 22],[I 15].

Secteur d'activité Commune Département
Nombre % %
Ensemble 536 100 % (100 %)
Industrie manufacturière,
industries extractives et autres
28 5,2 % (5,7 %)
Construction 63 11,8 % (12 %)
Commerce de gros et de détail,
transports, hébergement et restauration
127 23,7 % (25,9 %)
Information et communication 24 4,5 % (4,1 %)
Activités financières et d'assurance 19 3,5 % (3,8 %)
Activités immobilières 21 3,9 % (4,2 %)
Activités spécialisées, scientifiques et techniques
et activités de services administratifs et de soutien
90 16,8 % (19,8 %)
Administration publique, enseignement,
santé humaine et action sociale
103 19,2 % (16,6 %)
Autres activités de services 61 11,4 % (7,9 %)

Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 23,7 % du nombre total d'établissements de la commune (127 sur les 536 entreprises implantées à Léguevin), contre 25,9 % au niveau départemental[I 16].

Entreprises et commerces

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Les cinq entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[44] :

  • Scal Exploitation, supermarchés (34 828 k€) ;
  • Garage Alcazar, entretien et réparation de véhicules automobiles légers (2 082 k€) ;
  • SMG, travaux de maçonnerie générale et gros œuvre de bâtiment (349 k€) ;
  • SARL ERGO, activité des économistes de la construction (251 k€) ;
  • Didier Yaon Peinture, travaux de maçonnerie générale et gros œuvre de bâtiment (229 k€).

L'artisanat ainsi que le commerce y sont bien représentés : 180 artisans et commerçants en 2015[45].

Industrie

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La population de Léguevin a connu un développement très rapide lié à l’activité aéronautique de l’agglomération toulousaine et plus précisément de Colomiers. Sa population, qui n’atteignait pas 1 000 habitants en 1950, compte en 2012 8 629 personnes. Site du fabricant de tuile en terre cuite pour toiture la tuilerie Edilians.

Agriculture

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La commune est dans les « Coteaux du Gers », une petite région agricole occupant une partie nord-ouest du département de la Haute-Garonne, caractérisée par une succession de coteaux peu accidentés, les surfaces cultivées étant entièrement dévolues aux grandes cultures[46]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 23] sur la commune est la polyculture et/ou le polyélevage[Carte 4].

1988 2000 2010 2020
Exploitations 41 19 21 24
SAU[Note 24] (ha) 1 405 1 193 1 120 1 223

Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 41 lors du recensement agricole de 1988[Note 25] à 19 en 2000 puis à 21 en 2010[48] et enfin à 24 en 2020[Carte 5], soit une baisse de 41 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 57 % de ses exploitations[49],[Carte 6]. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de 1 405 ha en 1988 à 1 223 ha en 2020[Carte 7]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 34 à 51 ha[48].

Les terres de la commune de Léguevin, essentiellement argileuses, occupent la troisième terrasse de la Garonne. La présence de galets de grande taille en est le témoignage le plus évident. Les sols sont par conséquent lourds et difficiles à travailler.

La culture de la vigne qui occupait une partie importante de la commune jusque dans les années trente a aujourd'hui totalement disparu. Elle a été remplacée par la polyculture élevage dans les années 1950 puis par la spécialisation à partir du milieu des années 1970.

Aujourd'hui trois fermes développent encore une activité d'élevage, les autres se sont tournées vers les cultures. Les céréales (blé, maïs et orge), le tournesol et le colza se partagent la sole. L'explosion démographique des vingt dernières années et le développement anarchique des zones pavillonnaires provoquent une concurrence pour l'appropriation du foncier. Les rendements observés sont faibles et sujets à de fortes variations interannuelles liées aux différences notables de précipitations observées entre les différents printemps.

Vie locale

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Enseignement

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Léguevin fait partie de l'académie de Toulouse.

La ville de Léguevin dispose de trois écoles maternelles, de trois écoles élémentaires (école primaire des Gachots, école primaire Madeleine Brès et école primaire Jules-Ferry) ainsi que du collège Forain François-Verdier.

Culture

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Service public

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Léguevin possède un service départemental d'incendie et de secours, une gendarmerie, une poste, un service de police municipale,

Les Duckies de Léguevin équipe de baseball évoluant en Championnat de France de baseball Nationale 2 saison 2013, 2011 et 2008. Piscine municipale, union sportive de Leguevin Football, club de rugby à XV le Coq Léguevinois, Une équipe de basket est également présente sur la commune : le Basket Club léguevinois.

Centre Communal d'Action Sociale, maison de retraite "CURTIS", centre social "La Maison des Quartiers",

Écologie et recyclage

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La collecte et le traitement des déchets des ménages et des déchets assimilés ainsi que la protection et la mise en valeur de l'environnement se font dans le cadre de la communauté de communes de la Save au Touch[50].

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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Personnalités liées à la commune

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Héraldique

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Léguevin

Son blasonnement est : D'azur à deux tours d'argent posées sur une terrasse du même surmontées de deux flanchis d'or formant le nombre romain vingt.

Pour approfondir

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Bibliographie

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Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
  2. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  3. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  4. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  5. Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. Dans le cas de l'unité urbaine de Toulouse, il y a une ville-centre et 80 communes de banlieue.
  6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  7. Cette sous-section Finances locales est issue d'une synthèse des données du site alize2.finances.gouv.fr du ministère de l'Économie et des Finances. Elle est présentée de façon standardisée pour toutes les communes et ne concerne que le périmètre municipal. Pour constituer cette partie, l'outil Finances locales version 1.2.1 : Yin Yang Kappa Logo de l'outil Finances localesLettre grecque Kappa en majuscule et minuscule a effectué la synthèse des 98 pages du site alize2.finances.gouv.fr concernant Léguevin. Finances locales est un logiciel libre distribué en copyleft sous licence GNU GPL version 3.
  8. La « section de fonctionnement » est constituée des dépenses courantes et récurrentes nécessaires au bon fonctionnement des services municipaux et à la mise en œuvre des actions décidées par les élus, mais sans influence sur la consistance du patrimoine de la commune.
  9. Les « charges de personnel » regroupent les frais de rémunération des employés par la commune.
  10. Les « impôts locaux » désignent les impôts prélevés par les collectivités territoriales comme les communes pour alimenter leur budget. Ils regroupent les impôts fonciers, la taxe d'habitation ou encore, pour les entreprises, les cotisations foncières ou sur la valeur ajoutée.
  11. La section « investissement » concerne essentiellement les opérations visant à acquérir des équipements d’envergure et aussi au remboursement du capital de la dette.
  12. Les « dépenses d’équipement » servent à financer des projets d’envergure ayant pour objet d’augmenter la valeur du patrimoine de la commune et d’améliorer la qualité des équipements municipaux, voire d’en créer de nouveaux.
  13. Les « remboursements d'emprunts » représentent les sommes affectées par la commune au remboursement du capital de la dette.
  14. L'« encours de la dette » représente la somme que la commune doit aux banques au de l'année considérée
  15. L'« annuité de la dette » équivaut à la somme des intérêts d'emprunts de la commune et du montant de remboursement du capital au cours de l'année
  16. La « capacité de désendettement » est basée sur le ratio suivant défini par la formule : ratio = encours de la dettecapacité d'autofinancement. Ce ratio montre, à un instant donné, le nombre d'années qui seraient nécessaires au remboursement des dettes en considérant les ressources de Léguevin.
  17. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  18. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
  19. La part des ménages fiscaux imposés est le pourcentage des ménages fiscaux qui ont un impôt à acquitter au titre de l'impôt sur le revenu des personnes physiques. L'impôt à acquitter pour un ménage fiscal correspond à la somme des impôts à acquitter par les foyers fiscaux qui le composent.
  20. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
  21. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
  22. Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
  23. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
  24. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
  25. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[47].
  • Cartes
  1. « Carte hydrographique de Léguevin » sur Géoportail (consulté le 5 novembre 2021).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
  3. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
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  5. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  6. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  7. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

Base de données du ministère du Budget, relative aux comptes des communes

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  3. a et b « Les comptes des communes - Léguevin : fiche détaillée » (consulté le ).
  4. a et b « Les comptes des communes - Léguevin : opérations d'investissement » (consulté le ).
  5. a et b « Les comptes des communes - Léguevin : endettement » (consulté le ).
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Références

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Site de l'Insee

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Autres sources

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  45. http://www.ville-leguevin.fr/liste_artisans_commercants.aspx
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  51. R. D., « L'église Saint-Jean Baptiste, un patrimoine préservé », La Dépêche du midi,‎ (lire en ligne)