La Fiancée qui venait du froid
La Fiancée qui venait du froid est une comédie française réalisée en 1983 de Charles Nemes sortie en 1983.
Réalisation | Charles Nemes |
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Scénario |
Charles Nemes Christian Watton Jean-Jacques Tarbès |
Musique | Robert Charlebois |
Acteurs principaux | |
Sociétés de production |
Uranium Films Ginis Films |
Pays de production | France |
Genre | Comédie romantique |
Durée | 95 minutes |
Sortie | 1983 |
Pour plus de détails, voir Fiche technique et Distribution.
Synopsis
modifier. Réalisateur de films publicitaires, Paul héberge Maurice chez lui. Maurice, c'est un drôle de type, quelqu'un qui s'incruste et qui vit de combines. Surtout lorsque Paul, comme c'est souvent le cas, n'est pas chez lui. Rentrant un jour de voyage, celui-ci a la surprise de trouver Anne devant lui, celle qui l'a quitté deux ans plus tôt. Son but aujourd'hui, ce n'est pas de revenir vivre avec Paul, mais de lui faire épouser une Polonaise qui pourra ainsi quitter son pays où elle vient de passer deux ans en prison et où son opposition au régime est devenue trop voyante. L'idée est inattendue, mais Paul finit par accepter...
Fiche technique
modifier- Réalisateur : Charles Nemes
- Scénario : Charles Nemes
- Photographie : Georges Barsky
- Musique : Robert Charlebois
- Régisseur : James Megis
- Année : 1983
- Durée : 1h35
- Genre : Comédie romantique
- Date de sortie :
Distribution
modifier- Thierry Lhermitte : Paul Monet
- Barbara Nielsen : Zosia
- Gérard Jugnot : Maurice
- Sophie Barjac : Anne
- Alexandra Szpulska : Ula
- Stephan Paryla : Marek
- Wlodek Press : Alexandre
- Catherine Sauvage : La mère de Paul
- Ida Krottendorf : La mère de Zosia
- Pierre Charras : Le frère de Paul
- Eugeniusz Priwieziencew : Led
- Sébastien Floche : Le maître d'hôtel
Accueil
modifierAccueil critique
modifierPour le magazine Télé 7 jours, La Fiancée qui venait du froid n'a « pas vraiment de mise en scène, mais un film fourre-tout, prétexte à des gags auxquels se prêtent sympathiquement Thierry Lhermitte et Gérard Jugnot »[1].
Bernard Génin de Télérama se montre moins sévère. "Le point de départ est joli : opposer la frivolité d'un pur représentant de la société de consommation à la gravité et la maturité d'une jolie femme politisée. Charles Nemès réussi de sympathiques glissements de ton, bifurquant de la comédie au drame, en posant quelques questions essentielles."
Notes et références
modifier- Télé 7 jours n° 1404, du 25 avril au 1er mai 1987, p. 77
Liens externes
modifier- Ressources relatives à l'audiovisuel :