Lachapelle-sous-Gerberoy

commune française du département de l'Oise

Lachapelle-sous-Gerberoy est une commune française située dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France.

Lachapelle-sous-Gerberoy
Lachapelle-sous-Gerberoy
La mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Beauvais
Intercommunalité Communauté de communes de la Picardie verte
Maire
Mandat
Bruno Ronseaux
2020-2026
Code postal 60380
Code commune 60335
Démographie
Population
municipale
154 hab. (2021 en évolution de +4,76 % par rapport à 2015)
Densité 31 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 32′ 09″ nord, 1° 52′ 10″ est
Altitude Min. 103 m
Max. 182 m
Superficie 4,93 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Beauvais
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Grandvilliers
Législatives 2e circonscription de l'Oise
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Lachapelle-sous-Gerberoy
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Lachapelle-sous-Gerberoy
Géolocalisation sur la carte : Oise
Voir sur la carte topographique de l'Oise
Lachapelle-sous-Gerberoy
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Voir sur la carte administrative des Hauts-de-France
Lachapelle-sous-Gerberoy
Liens
Site web https://www.lachapelle-sous-gerberoy.com/

Géographie

modifier

Description

modifier

Lachapelle-sous-Gerberoy est un village picard du Beauvaisis, dans la vallée du Thérain jouxtant Songeons et situé à 8 km à vol d'oiseau au sud-ouest de Marseille-en-Beauvaisis, 20 km au nord-ouest de Beauvais, 12 km au nord-est de Gournay-en-Bray, 25 km au sud-est de Forges-les-Eaux et 15 km au sud-ouest de Grandvilliers.

Louis Graves indiquait en 1836 que son « territoire s'étend sur les deux côtés de la rivière du Thérain, et son ensemble présente une surface dont la dimension du nord au midi est quadruple de celle qui est parallèle à la vallée: Le chef-lieu est sur la rive droite de la rivière[1] ».

Communes limitrophes

modifier

Les communes limitrophes sont Gerberoy, Grémévillers, Hanvoile, Songeons, Vrocourt et Wambez.

Communes limitrophes de Lachapelle-sous-Gerberoy
Songeons Grémévillers
Gerberoy Lachapelle-sous-Gerberoy Vrocourt
Wambez Hanvoile
Le Thérain.

Hydrographie

modifier

Réseau hydrographique

modifier

La commune est située dans le bassin Seine-Normandie. Elle est drainée par le Thérain, le ruisseau de Wambez[2] et le Tahier[3],[4],[Carte 1].

Le Thérain, d'une longueur de 94 km, prend sa source dans la commune de Gaillefontaine et se jette dans l'Oise à Saint-Leu-d'Esserent, après avoir traversé 43 communes[5].

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseau hydrographique de Lachapelle-sous-Gerberoy[Note 1].

Gestion et qualité des eaux

modifier

Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Sensée ». Ce document de planification concerne un territoire de 1 219 km2 de superficie, délimité par le bassin versant du Thérain. Le périmètre a été arrêté le et le SAGE proprement dit est, en 2024, en cours d'élaboration. La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est le syndicat intercommunal de la Vallée du Thérain (SIVT)[6].

La qualité des cours d'eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l'eau et l'Agence française pour la biodiversité[Carte 2].

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[7]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans une zone de transition entre les régions climatiques « Nord-est du bassin Parisien » et « Côtes de la Manche orientale »[8].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 784 mm, avec 12,1 jours de précipitations en janvier et 8,6 jours en juillet[7]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Saint-Arnoult à 11 km à vol d'oiseau[9], est de 10,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 797,2 mm[10],[11]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[12].

Urbanisme

modifier

Typologie

modifier

Au , Lachapelle-sous-Gerberoy est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[13]. Elle est située hors unité urbaine[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Beauvais, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[I 1]. Cette aire, qui regroupe 162 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[14],[15].

Occupation des sols

modifier
Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (95 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (95 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (62,5 %), prairies (19,1 %), zones agricoles hétérogènes (13,4 %), zones urbanisées (5 %)[16]. L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

Habitat et logement

modifier

En 2020, le nombre total de logements dans la commune était de 75, alors qu'il était de 72 en 2015 et de 76 en 2010[I 2].

Parmi ces logements, 82,7 % étaient des résidences principales, 9,3 % des résidences secondaires et 8 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 100 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 0 % des appartements[I 3].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Lachapelle-sous-Gerberoy en 2020 en comparaison avec celle de l'Oise et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (9,3 %) supérieure à celle du département (2,4 %) et comparable à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 95,2 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (93,8 % en 2015), contre 61,4 % pour l'Oise et 57,5 pour la France entière[I 4].

Le logement à Lachapelle-sous-Gerberoy en 2020.
Typologie Lachapelle-sous-Gerberoy[I 2] Oise[I 5] France entière[I 6]
Résidences principales (en %) 82,7 90,5 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 9,3 2,4 9,7
Logements vacants (en %) 8 7,1 8,2

Voies de communication et transports

modifier

Le village est desservi par l'ancienne route nationale 30, actuelle RD 930.

La commune est desservie, en 2023, par les lignes 612, 6103 et 6104 du réseau interurbain de l'Oise[17].

Énergie

modifier

La société « Vent Collectif » envisage en 2020 l'installation de quatre ou cinq éoliennes sur le plateau entre le centre du village et le hameau de Balleux. Consulté par la municipalité, les habitants rejettent à 81 % le projet lors d'un scrutin informel[18].

Toponymie

modifier

Le nom de la localité est attesté sous les formes Capella (1131) ; de capella (1163) ; Johannes de capella (1241) ; la chapelle soubz Gerberoy (1454) ; Capella subtus Gerboredum (XVe) ; la Chapelle soubz Gerberoy (1557) ; la Chappelle de sainct Pierre de Gerberoy (1557) ; la Chapelle sous Garberoy (1572) ; la Chapelle sous Gerbray (1631) ; la Chapelle s. Gerb (1667) ; la Chapelle sous Gerbe la Montagne (1794) ; la Chapelle sous Thérain (1794) ; la Chapelle sur Thérain (1794) ; la Chapelle-sous-Gerberoy (1840)[19].

Lachapelle est à l'est de Gerberoy.

Histoire

modifier

Ancien Régime

modifier

Lachapelle-sous-Gerberoy faisait partie du vidamé de Gerberoy, qui prélevait un droit de péage pour le passage sur le pont du Thérain, qui était pendant longtemps le premier en partant de sa source. L'église était la propriété du chapitre de Gerberoy, qui y venait en procession le pour de saint Maur[1].

Époque contemporaine

modifier

En 1836, on compte dans la commune deux moulins à eau, et la population était composée d'agriculteurs ou de maçons[1].

La commune est desservie de 1894 à 1935 par le chemin de fer de Milly-sur-Thérain à Formerie, une ligne de chemin de fer secondaire à voie métrique du réseau des chemins de fer départementaux de l'Oise exploitée pour le compte du département par la compagnie des Chemins de fer de Milly à Formerie et de Noyon à Guiscard et à Lassigny, puis, à compter de 1920, par la compagnie générale de voies ferrées d'intérêt local[20].

Politique et administration

modifier

Rattachements administratifs et électoraux

modifier

Rattachements administratifs

modifier

La commune se trouve dans l'arrondissement de Beauvais du département de l'Oise.

Elle faisait partie depuis 1802 du canton de Songeons[21]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux

modifier

Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Grandvilliers

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la deuxième circonscription de l'Oise.

Intercommunalité

modifier

Lachapelle-sous-Gerberoy est membre de la communauté de communes de la Picardie verte, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé fin 1996 et auquel la commune a transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Liste des maires

modifier
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
         
1959 1974 Marc Toutain[22] SFIO puis PS Vétérinaire
Conseiller général de Songeons (1945 → 1949 et 1955 → 1973)
1974[23]   Jean-Claude Léger    
         
mars 1989 juin 1995 Jean-Claude Legendre[24]    
         
mars 2001 mai 2020 Gaëtane Coussement[25]  
mai 2020[26],[27] En cours
(au 9 juin 2023)
Bruno Ronseaux[28]   Professeur d'éducation physique et sportive

Population et société

modifier

Démographie

modifier

Évolution démographique

modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[30].

En 2021, la commune comptait 154 habitants[Note 3], en évolution de +4,76 % par rapport à 2015 (Oise : +0,89 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
258254274261243226237240252
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
239224224217207210210210223
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
177164158107112139131117158
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
133142119112134141159162152
2017 2021 - - - - - - -
148154-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[21] puis Insee à partir de 2006[31].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges

modifier

La population de la commune est relativement jeune.

En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 32,4 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 29,1 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 65 hommes pour 83 femmes, soit un taux de 56,08 % de femmes, largement supérieur au taux départemental (51,11 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[32]
HommesClasse d’âgeFemmes
1,5 
90 ou +
0,0 
3,1 
75-89 ans
7,2 
30,8 
60-74 ans
16,9 
23,1 
45-59 ans
21,7 
13,8 
30-44 ans
18,1 
13,8 
15-29 ans
8,4 
13,8 
0-14 ans
27,7 
Pyramide des âges du département de l'Oise en 2021 en pourcentage[33]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,4 
5,5 
75-89 ans
7,6 
15,6 
60-74 ans
16,3 
20,8 
45-59 ans
20 
19,4 
30-44 ans
19,4 
17,6 
15-29 ans
16,2 
20,6 
0-14 ans
19,1 

Culture et patrimoine

modifier

Lieux et monuments

modifier
  • L'église Notre-Dame, inscrite monument historique en 2011, comprend des parties de la nef initiale du XIe siècle, un chœur refait dans ses parties supérieures au XIIe siècle, ainsi qu'une petite chapelle au nord. Le clocher est refait au XIVe siècle, ainsi que sa base avec la construction de quatre arcades au tracé très aigu et d'une voûte d'ogives aux détails soignés[34]
Elle renferme d'importantes peintures murales du XIVe siècle consacrées à l'Annonciation, à la légende de Saint Eustache et réalisées sur un badigeon de chaux, lui-même posé sur un enduit composé de sable, de chaux et d'argile (environ par tiers). Le fond est de couleur crème, les pigments proviennent des terres dans plusieurs nuances d'ocre jaune et d'ocre rouge.
Seule l'église de Ponchon dispose également de peintures murales médiévales dans l'Oise[35],[36].
L'église est inutilisée depuis les années 2010 et les cultes ont lieu à Songeons.
  • Ancien moulin de Gerberoy[37].
  • Un chemin de randonnées dénommé « Balade d'Histoire en histoire » permet de découvrir douze monuments répartis entre Songeons, La Chapelle-sous-Gerberoy et Gerberoy[38].

Personnalités liées à la commune

modifier

Pour approfondir

modifier

Sur les autres projets Wikimedia :

Articles connexes

modifier

Liens externes

modifier

Notes et références

modifier
  1. Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. « Réseau hydrographique de Lachapelle-sous-Gerberoy » sur Géoportail (consulté le 22 septembre 2024).
  2. « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le )
  3. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

modifier

Site de l'Insee

modifier

Autres sources

modifier
  1. a b et c Louis Graves, Précis statistique sur le canton de Songeons, arrondissement de Beauvais (Oise), Beauvais, Achille Desjardins, , 148 p. (lire en ligne), p. 78-79.
  2. Sandre, « le ruisseau de Wambez »
  3. Sandre, « le Tahier »
  4. « Fiche communale de Lachapelle-sous-Gerberoy », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines dans le bassin Seine-Normandie (consulté le )
  5. Sandre, « le Thérain »
  6. « SAGE Sensée », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
  7. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  8. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  9. « Orthodromie entre Lachapelle-sous-Gerberoy et Saint-Arnoult », sur fr.distance.to (consulté le ).
  10. « Station Météo-France « Saint-Arnoult » (commune de Saint-Arnoult) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  11. « Station Météo-France « Saint-Arnoult » (commune de Saint-Arnoult) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  12. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  13. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  14. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Beauvais », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  17. « Transports en commun à Lachapelle-sous-Gerberoy », sur oise-mobilite.fr, (consulté le ).
  18. « Les habitants de Lachapelle-sous-Gerberoy disent non aux éoliennes à 80 % : À l'issue d'une consultation, les habitants de Lachapelle-sous-Gerberoy (Oise) ont dit non au projet éolien. Mais le dossier n'est peut-être pas définitivement refermé », L'Éclaireur - La Dépêche,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  19. Émile LAMBERT, Dictionnaire topographique de l'Oise, Amiens, (lire en ligne), p. 128.
  20. Daniel Delattre (dir.), Emmanuel Delattre, Odette Delattre et Laëtitia Delattre-Rigaux, Les chemins de fer de l'Oise au début du XXe siècle., Grandvilliers, ed. Delattre, , 168 p. (ISBN 978-2-915907-84-1, présentation en ligne), p. 64-70
  21. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  22. Candidat aux législatives de 1962 dans la cinquième circonscription de l'Oise : « OISE : beaucoup moins de candidats qu'en 1958 », Le Monde,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  23. Sylvie Godin, « Madame Borgoo est passée du papier carbone à l'informatique », Marie-Thérèse Borgoo a assumé le secrétariat de mairie pendant trente et un ans. Elle passe le témoin à Erika Peroz qui arrive de Martincourt. La nouvelle secrétaire, Erika Peroz réside à Martincourt, no 3292,‎ , p. 10.
  24. a et b Nicolas Apaire, « Hommage. Le tilleul du parc de la mairie de Lachapelle-sous-Gerberoy, toute une histoire : La Fête nationale a été l'occasion de reparler de la symbolique liée au tilleul planté à Lachapelle-sous-Gerberoy, en octobre 1989 », L'Éclaireur - La Dépêche,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  25. Réélue pour le mandat 2014-2020 : « Les maires déjà en place », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3284,‎ , p. 10.
  26. « Lachapelle-sous-Gerberoy : Bruno Ronseaux, ou quand le hasard vous amène à devenir maire : À Lachapelle-sous-Gerberoy, un nouveau maire vient d'être élu. Bruno Ronseaux qui ne pensait pas devenir 1er magistrat de sa commune est entouré d'une toute nouvelle équipe », L'Éclaireur - La Dépêche,‎ (lire en ligne, consulté le ) « C'est ainsi que les habitants se sont retrouvés avec deux listes aux élections, celle de la maire sortante Gaëtane Coussement face à celle de Bruno Ronseaux agréablement surpris du résultat. "Nous pensions qu'il y allait avoir un peu de panachage mais à notre grande surprise, les habitants nous font confiance et ont voté majoritairement pour notre liste. Ce qui fait que nous sommes tous passés au premier tour. Je remercie la population pour leur soutien ».
  27. « La mairie cherche absolument à renflouer ses caisses : En manque cruel de liquidités, la commune est dans l'impossibilité de financer ses projets. Face à la situation, élus et habitants sont invités à faire des efforts », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3612,‎ .
  28. Juliette Duclos, « Entre petits déboires et grandes galères, les nouveaux maires de l'Oise racontent leurs débuts : Ils viennent de revêtir, pour la première fois, l'écharpe tricolore. Pour ces élus, les difficultés commencent. Ils nous racontent », Le Parisien, édition de l'Oise,‎ (lire en ligne Accès payant, consulté le ).
  29. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  30. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  31. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  32. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Lachapelle-sous-Gerberoy (60335) », (consulté le ).
  33. Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département de l'Oise (60) », (consulté le ).
  34. Dominique Vermand, « La Chapelle-sous-Gerberoy, église Notre-Dame : Diocèse : Beauvais », sur Églises de l'Oise - art roman et gothique, (consulté le ).
  35. Sylvie Godin, « Oise/Lachapelle-sous-Gerberoy : et si l'église devenait une salle d'exposition ? : L'église a perdu son usage religieux depuis plusieurs années. La mairie veut lui redonner vie après consultation des habitants. Mais avant cela, il faut chiffrer les travaux pour juger de la viabilité du projet », Le Bonhomme picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  36. Sylvie Godin, « La Chapelle-sous-Gerberoy : des découvertes sur la nef de l'église : Stefania Dotti, restauratrice d'œuvres d'art, s'est penchée sur les polychromes de l'église Notre-Dame que la commune souhaite restaurer », Le Bonhomme picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  37. « Ancien moulin à Gerberoy », sur monumentum.fr (consulté le ).
  38. « Quatre nouveaux itinéraires de randonnée pour découvrir la Picardie verte : Nom porté par la communauté de communes du Nord-Ouest de l'Oise depuis 1996, la Picardie verte est réputée pour la qualité de ses espaces naturels. Prairies, bois et chemins, faune et flore sont de véritables atouts touristiques », L'Observateur de Beauvais,‎ (lire en ligne, consulté le ).