Landser

commune française du département du Haut-Rhin

Landser
Landser
Église de l'Assomption.
Blason de Landser
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Grand Est
Collectivité territoriale Collectivité européenne d'Alsace
Circonscription départementale Haut-Rhin
Arrondissement Mulhouse
Intercommunalité Saint-Louis Agglomération
Maire
Mandat
Daniel Adrian
2020-2026
Code postal 68440
Code commune 68174
Démographie
Population
municipale
1 642 hab. (2021 en augmentation de 4,79 % par rapport à 2015)
Densité 235 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 41′ 09″ nord, 7° 23′ 30″ est
Altitude Min. 254 m
Max. 348 m
Superficie 6,98 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Landser
(ville-centre)
Aire d'attraction Bale - Saint-Louis (partie française)
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Brunstatt
Législatives Sixième circonscription
Localisation
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Landser
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Landser
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Landser

Landser est une commune française de l'aire urbaine de Mulhouse située dans la circonscription administrative du Haut-Rhin et, depuis le , dans le territoire de la Collectivité européenne d'Alsace, en région Grand Est.

Elle fait partie de la région historique et culturelle d'Alsace, et du pays historique du Sundgau.

Géographie modifier

Localisation modifier

Landser fait partie de l'arrondissement de Mulhouse et est situé entre la forêt de la Harth et les cantons de Habsheim, de Steinbrunn-le-Bas, de Mulhouse, d'Altkirch et de Huningue. À l'est, il touche l'embranchement de Huningue au canal du Rhône au Rhin.

Géologie et relief modifier

Hydrogéologie et climatologie : Système d’information pour la gestion de l’Aquifère rhénan, par le BRGM :

Territoire communal : Occupation du sol (Corinne Land Cover); Cours d'eau (BD Carthage),
Géologie : Carte géologique; Coupes géologiques et techniques,
Hydrogéologie : Masses d'eau souterraine; BD Lisa; Cartes piézométriques.

Sismicité modifier

Commune située dans une zone 4 de sismicité moyenne[1].

Lieux-dits et écarts modifier

Hydrographie et les eaux souterraines modifier

Cours d'eau traversant la commune :

  • Landser est traversée par le ruisseau le Muhlbach ?. C'est ce ruisseau qui inspirera le fameux poème Nage en eaux marécage.
  • Ruisseau Weiherbachgraben[2].
  • Ruisseau le Riedgraben[3].

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat semi-continental et est dans la région climatique Alsace, caractérisée par une pluviométrie faible, particulièrement en automne et en hiver, un été chaud et bien ensoleillé, une humidité de l’air basse au printemps et en été, des vents faibles et des brouillards fréquents en automne (25 à 30 jours)[5].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 697 mm, avec 8,8 jours de précipitations en janvier et 9 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Mulhouse », sur la commune de Mulhouse à 8 km à vol d'oiseau[6], est de 11,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 747,6 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 39,4 °C, atteinte le ; la température minimale est de −21,5 °C, atteinte le [Note 1],[7],[8].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[9]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[10].

Voies de communications et transports modifier

Voies routières modifier

  • D 6bis vers Dietwiller[11].
  • D 6bis > D21 vers Steinbrunn-le-Bas, Steinbrunn-le-Haut.
  • A35, aussi appelée autoroute des cigognes ou l'Alsacienne. Échangeur n°2 Sausheim.

Transports en commun modifier

SNCF modifier

Gare de Sierentz.

Intercommunalité modifier

Commune membre de la communauté d'agglomération Saint-Louis Agglomération.

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Landser est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[12],[13],[14]. Elle appartient à l'unité urbaine de Landser, une agglomération intra-départementale regroupant 3 communes[15] et 4 275 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[16],[17].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bale - Saint-Louis (partie française), dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 94 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[18],[19].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (68,8 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (70,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (68,6 %), zones urbanisées (22,7 %), forêts (8,6 %), zones agricoles hétérogènes (0,2 %)[20]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Histoire modifier

Toponymie modifier

  • Castrum Landisera en 1246 ;
  • Hus Landsere en 1279.

Origine du village modifier

C'est dans une charte de l'année 1246 qu'apparaît pour la première fois le nom de Landser, sous la forme castro dicto Landisera. Le fief appartenait aux seigneurs de Butenheim, qu'on soupçonne de n'avoir été que des chevaliers pillards qui rançonnaient les voyageurs. Le village est construit peu après 1269, et presque aussitôt détruit. Burkard de Frick mentionne l'existence du village et écrit qu'en 1303 le château et le village de Landser furent achetés par les princes de la maison d'Autriche. Cette acquisition fut faite soit par Rodolphe Ier du Saint-Empire, soit par son fils Albert Ier de Habsbourg, avec le consentement de l'église de Bâle, à qui les seigneurs de Butenheim avaient donné le château en fief. Un ancien cadastre de Landser de 1394 faisait connaître la ruine de ce village et sa conversion en une ville. A la fin du XIVe siècle Landser a perdu son statut de ville, mais elle reste le chef-lieu de la seigneurie, divisée en Haut- et Bas-Bailliage de Landser, résidence de l'Obervogt (représentant de l'autorité souveraine sur un territoire déterminé)[21].

Sous l'impulsion des Habsbourg, Landser se métamorphose pour devenir une véritable ville, qu'on entoure de remparts dès le début du XIVe siècle.

Le bourg de Landser modifier

Au XVe siècle, Landser est ruiné et retourne au rang de simple bourg, tout en restant le siège d'une seigneurie les plus importantes de la Haute-Alsace. L'étendue de Landser, le privilège qu'elle obtint pour tenir des marchés, lui ont mérité le nom de bourg et de marktflecken. En 1664, il y fut fondé un couvent des capucins. Près du bourg existait autrefois deux autres villages : Mersheim et Eisweiler qui ont été pillés puis incendiés au XIVe siècle, de sorte qu'il ne reste plus aucun vestige. Entre Landser et Steinbrunn-le-Bas se trouve un fossé qui sépare les deux banlieues prénommé Kuttelsgraben qui veut dire fossé ou ruisseau des tripes.

Un bourg incendié modifier

En 1635, les troupes françaises du duc de Rohan, aux côtés des Suédois contre l'Empire, sèment la terreur et incendient Landser et tous les villages aux alentours. Landser est la localité la plus touchée et est quasiment anéantie. La reconstruction du village ne se fera qu'un siècle après. Des notables s'y installeront.

La Révolution modifier

Pendant la Révolution, Landser est érigé en chef-lieu du canton, mais étant écarté de toute voie de communication, son importance va en déclinant. En 1948, c'est Sierentz qui prendra la relève.

Le château de Landser modifier

D'après les chroniques de l'époque Landser possédait un château. La première mention en a été faite par Boucard de Frick, lorsqu'il prétend, que sous la date de 1303, le château et la ville de Landser furent achetés par les princes de la maison d'Autriche. Cette acquisition fut faite soit par Rodolphe Ier ou son fils Albert Ier de Habsbourg avec l'approbation de l'église de Bâle à qui les Buttenheim avait donné le château en fief. Un ancien cadastre de Landser de 1394, indiquait l'emplacement de la ruine et sa conversion en un village. Elle resta cependant la résidence de l'Obervogt et le chef-lieu de la seigneurie. L'étendue de Landser, lui donna le privilège de tenir des marchés, ce qui lui conféra le nom de bourg et de marktflecken.

Château des Flaxlanden

La maison située rue Eugène Kalt est dite Château des Flaxlanden. Cette propriété était l'une des nombreuses résidence de la famille Flaxlanden. Actuellement propriété de la famille Potelleret-Hourcade elle fait l'objet d'une intense restauration telle que l'escalier en pierre couvrant les quatre niveaux (l'un des rares escaliers dont les marches montent jusqu'au grenier), le plafond du XVIIe siècle nouvellement restauré . La maison comporte la date de 1626 qui correspond à une partie de l'ensemble de la construction. Le bâtiment définitif sera terminé lorsque le calme de la guerre de trente ans se sera imposé. Une partie des matériaux provient certainement de l'ancien château de Landser détruit.

Faits particuliers modifier

Les chroniques rapportent qu'en mars 1496 naquit à Landser un animal monstrueux, un cochon avec une tête mais deux corps séparés et huit pattes. Deux éminents artistes de l'époque, frappés par cet événement comme tous leurs contemporains, en ont fait leur source d'inspiration : il s'agit de Sébastien Brant (qui rédigea un poème diffusé sous forme de « feuille volante » surmontée d'une gravure représentant le cochon avec le château de Landser en arrière-plan) et d’Albert Dürer (qui a réalisé une petite gravure sur cuivre représentant le cochon monstrueux de Landser)[22].

Héraldique modifier

Blason de Landser

Les armes de Landser se blasonnent ainsi :
« D'argent au palmier de sinople tigé au naturel et fruité d'or. »[23]

Politique et administration modifier

Liste des maires successifs[24]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1945 1950 Prosper Kuentz   Entrepreneur agricole
1950 1977 Lucien Schnebelen   Exploitant agricole
1977 2008 Jean-Louis Lorrain UDF puis UMP Médecin, Conseiller général du canton de Sierentz (1979-2011)
Sénateur (1995-2004, 2010-2013)
2008 En cours
(au 31 mai 2020)
Daniel Adrian [25]
Réélu pour le mandat 2020-2026
DVD Économe, Conseiller général du canton de Sierentz (2011-2015)
Conseiller départemental du canton de Brunstatt depuis 2015

Budget et fiscalité 2021 modifier

La mairie et l'ancienne école de Landser.

En 2021, le budget de la commune était constitué ainsi[26] :

  • total des produits de fonctionnement : 1 327 000 , soit 796  par habitant ;
  • total des charges de fonctionnement : 1 136 000 , soit 682  par habitant ;
  • total des ressources d'investissement : 203 000 , soit 121  par habitant ;
  • total des emplois d'investissement : 757 000 , soit 454  par habitant ;
  • endettement : 1 141 000 , soit 685  par habitant.

Avec les taux de fiscalité suivants :

  • taxe d'habitation : 24,77 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés bâties : 28,15 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés non bâties : 50,58 % ;
  • taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0,00 % ;
  • cotisation foncière des entreprises : 0,00 %.

Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2020 : médiane en 2020 du revenu disponible, par unité de consommation : 26 970 [27].

Économie modifier

Entreprises et commerces modifier

Agriculture et élevage modifier

  • Culture de céréales, de légumineuses et de graines oléagineuses[28].
  • Culture et élevage associés.
  • Élevage d'autres animaux.

Tourisme modifier

  • Restauration traditionnelle.
  • Hébergements et restauration à Bruebach, Zimmersheim, Magstatt-le-Bas.
  • Ancien restaurant dit auberge Au Boeuf[29].
  • Maison, hôtel de Flachlanden[30].

Commerces modifier

  • Commerces et services[31].

Population et société modifier

Démographie modifier

Évolution démographique modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[33].

En 2021, la commune comptait 1 642 habitants[Note 4], en augmentation de 4,79 % par rapport à 2015 (Haut-Rhin : +0,59 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
573631674528611635582579586
1856 1861 1866 1871 1875 1880 1885 1890 1895
524542554561473437399385377
1900 1905 1910 1921 1926 1931 1936 1946 1954
339345317314318301351409453
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
3393301 7502 1141 9411 6871 5921 5611 576
2021 - - - - - - - -
1 642--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[34] puis Insee à partir de 2006[35].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement modifier

Établissements d'enseignements[36] :

  • Écoles maternelles et primaires,
  • Collège,
  • Lycée.

Santé modifier

Professionnels et établissements de santé[37] :

Cultes modifier

Lieux et monuments modifier

Patrimoine religieux :

  • Église de l'Assomption.
Cette église, construite primitivement dès 1269, a depuis été détruite. Il ne subsiste plus aujourd'hui que la tour, dont les fondations datent du XVe siècle[39].
L'intérieur de l'église est de style néo-classique, se distinguant par les deux chapelles latérales surmontées d'une tribune.
Orgue de tribune[40],[41].
Cloche de 1711[42],[43].
Châsse de Saint Justin[44].
Station de chemin de croix[45].
  • Haut-relief de la Résurrection[46]
  • Le Mont des Oliviers[47].
  • Presbytère[48].
  • Croix de chemin[49].
  • Couvent de capucins (monastère Saint-Alphonse)[50].
Un premier couvent a été construit à cet emplacement à l'initiative d'Ulric et J. Christophe Hug au milieu de XVIIe siècle et occupé par une communauté de capucins à partir de 1659. Pendant plus d'un siècle, ces religieux développèrent leur activité spirituelle (offices, prédication, confessions...) au couvent, dans les paroisses environnantes et dans une grande partie du Sundgau.
Mais la Révolution française entraîna la suppression et la dispersion de la communauté des pères capucins. Les bâtiments, devenus biens nationaux, furent vendus. La propriété changea plusieurs fois de mains. Une grande partie des bâtiments fut détruite. L'ensemble resta à l'abandon pendant de nombreuses années.
En 1842, à l'initiative d'Henri Wagner, un habitant de Landser, la propriété fut acquise par les rédemptoristes qui y installèrent une communauté. Les bâtiments furent remis en état ; on construisit une nouvelle aile et une nouvelle chapelle.
Sous administration allemande, le couvent fut fermé en 1873 en raison du Kulturkampf mis en œuvre par le chancelier Otto von Bismarck. Il resta vide jusqu'en 1921. Les rédemptoristes y installèrent alors provisoirement leur noviciat.
En 1929, le couvent fut offert aux sœurs rédemptoristines ; de nouvelles transformations furent entreprises et la communauté des sœurs s'y établit en 1931. Depuis cette date (sauf de 1939 à 1945), les sœurs rédemptoristines sont présentes à Landser et y mènent une vie entièrement consacrée à Dieu.

Autres patrimoines :

  • Ancien château de Landser, cité dans un document de 1246 comme propriété des Butenheim[52]
  • Château des Flaxlanden.
  • Corps de garde[53].
  • Fontaine :
Fontaine du XVIIe siècle[54],[55],[56].
C'est une fontaine à colonne (« Stockbrunna ») de 1661. Cette date ainsi que le blason de la famille Hug, commanditaire de cette réalisation, sont sculptés sur la base de la colonne. Celle-ci est surmontée d'un lion qui tient entre ses pattes les armoiries de Landser (à l'origine, il s'agissait d'un chêne ; à l'occasion d'une restauration au XIXe siècle, il s'est transformé en palmier !).
  • Pressoir à noix.
  • Moulin à farine, Ferme dit Kloestermuhl[57].
  • Ferme du XVIIIe siècle.
  • Pigeonnier à colombages[58]
  • Établissement Don-Bosco.
En 1929, les pères salésiens (congrégation fondée au XIXe siècle à Turin par don Bosco) créèrent à Landser, grâce à une donation de Mme Laillier-Ruell (descendante de la famille Wendling), une école d'agriculture. Transformée en collège d'enseignement secondaire, il accueillait dans son internat des jeunes de toute l'Alsace. Aujourd'hui, le collège et le lycée Don-Bosco accueillent 1050 élèves externes et demi-pensionnaires (2019-2020). Les classes vont du CM2 à la terminale.

Personnalités liées à la commune modifier

Bibliographie modifier

Articles connexes modifier

Sur les autres projets Wikimedia :

Liens externes modifier

"Landser" Le patrimoine de la commune sur www.pop.culture.gouv.fr/

Notes et références modifier

Notes modifier

  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes modifier

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références modifier

  1. Fiche de synthèse des risques majeurs
  2. Ruisseau Weiherbachgraben
  3. Ruisseau le Riedgraben
  4. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  6. « Orthodromie entre Landser et Mulhouse », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Mulhouse », sur la commune de Mulhouse - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Station Météo-France « Mulhouse », sur la commune de Mulhouse - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  9. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le )
  10. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le )
  11. Voies routières
  12. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  14. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  15. « Unité urbaine 2020 de Landser », sur insee.fr (consulté le ).
  16. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  17. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
  18. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Bâle - Saint-Louis (partie française) », sur insee.fr (consulté le ).
  19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  21. Définition du Bailli
  22. Le pourceau monstrueux de Landser, Pierre Nuss France Bleu Elsass
  23. Archives Départementales du Haut-Rhin
  24. Source : Revue municipale de LANDSER - n°55 - Décembre 2008
  25. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
  26. Les comptes de la commune
  27. Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet
  28. Annuaires
  29. « Restaurant dit auberge Au Boeuf, 2, 3 place de la Paix », notice no IA00122404, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  30. « Maison, hôtel de Flachlanden », notice no IA00122406, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  31. Le cadre de vie des Territoires
  32. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  33. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  34. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  35. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  36. Établissements d'enseignements
  37. Professionnels et établissements de santé
  38. Communauté de paroisses "Les Prairies de la Zorn"
  39. « Église paroissiale de l'Assomption », notice no IA00122398, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  40. « orgue de tribune : partie instrumentale de l'orgue et buffet d'orgue », notice no PM68000893, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  41. « orgue (grand orgue à positif) », notice no IM68004920, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  42. « église paroissiale de l'Assomption », notice no IM67012690, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture
  43. « Cloche Beffroi », notice no IM68005044, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  44. « châsse : saint Justin », notice no IM68004925, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  45. « Station de chemin de croix », notice no PM68001095, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  46. Haut-relief de la Résurrection
  47. Le Mont des Oliviers
  48. « Presbytère, 4 rue de l'Eglise », notice no IA00122400, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  49. « Croix de chemin », notice no IM68005043, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  50. « Couvent de capucins, de rédemptoristes, chemin Klostergaessle », notice no IA00122410, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  51. Monument aux morts
  52. « Château fort », notice no IA00122402, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  53. « Corps de garde, place de la Paix », notice no IA00122401, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  54. « Place : fontaine », notice no AP99L002454, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mémoire, ministère français de la Culture.
  55. « Fontaine place de la Paix », notice no PA00085501, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  56. Fontaine monumentale
  57. « Moulin à farine, Ferme dit Kloestermuhl », notice no IA00122408, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  58. « Pigeonnier à colombages », notice no AP99L002453, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mémoire, ministère français de la Culture.
  59. Jean-Baptiste Eugène Kalt