Lapte
Lapte est une commune française située à l'est du Velay, dans le département de la Haute-Loire en région Auvergne-Rhône-Alpes.
Lapte | |||||
Église Saint-Jean et son clocher | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Auvergne-Rhône-Alpes | ||||
Département | Haute-Loire | ||||
Arrondissement | Yssingeaux | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes des Sucs | ||||
Maire Mandat |
Huguette Liogier 2022-2026 |
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Code postal | 43200 | ||||
Code commune | 43114 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Laptois | ||||
Population municipale |
1 740 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 57 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 45° 11′ 11″ nord, 4° 13′ 04″ est | ||||
Altitude | Min. 600 m Max. 914 m |
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Superficie | 30,75 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Yssingeaux (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton d'Yssingeaux | ||||
Législatives | Première circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Haute-Loire
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
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Liens | |||||
Site web | lapte43.fr | ||||
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Géographie
modifierLocalisation
modifierLa commune de Lapte se trouve dans le département de la Haute-Loire, en région Auvergne-Rhône-Alpes[I 1].
Elle se situe à 39 km par la route[Note 1] du Puy-en-Velay[1], préfecture du département, et à 12 km d'Yssingeaux[2], sous-préfecture
Les communes les plus proches[Note 2] sont[3] : Grazac (2,6 km), Les Villettes (6,1 km), Raucoules (6,1 km), Chenereilles (6,5 km), Sainte-Sigolène (6,5 km), Saint-Maurice-de-Lignon (7,5 km), Montfaucon-en-Velay (7,6 km), Saint-Pal-de-Mons (8,1 km).
Climat
modifierEn 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Sud-est du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 1 000 à 1 500 mm, minimale en été, maximale en automne[5].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 8,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 931 mm, avec 9,7 jours de précipitations en janvier et 7,2 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Yssingeaux », sur la commune d'Yssingeaux à 9 km à vol d'oiseau[6], est de 9,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 948,9 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].
Urbanisme
modifierTypologie
modifierAu , Lapte est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[10]. Elle est située hors unité urbaine[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Yssingeaux, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[I 1]. Cette aire, qui regroupe 9 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[11],[12].
Occupation des sols
modifierL'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (60,6 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (60,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (47 %), forêts (35,9 %), zones agricoles hétérogènes (13,6 %), eaux continentales[Note 4] (2,5 %), zones urbanisées (1 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Habitat et logement
modifierEn 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 1 095, alors qu'il était de 1 059 en 2013 et de 979 en 2008[I 2].
Parmi ces logements, 67 % étaient des résidences principales, 20,1 % des résidences secondaires et 12,9 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 93,2 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 6,3 % des appartements[I 3].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Lapte en 2018 en comparaison avec celle de la Haute-Loire et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (20,1 %) supérieure à celle du département (16,1 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 80,4 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (78,6 % en 2013), contre 70 % pour la Haute-Loire et 57,5 pour la France entière[I 4].
Typologie | Lapte[I 2] | Haute-Loire[I 5] | France entière[I 6] |
---|---|---|---|
Résidences principales (en %) | 67 | 71,5 | 82,1 |
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) | 20,1 | 16,1 | 9,7 |
Logements vacants (en %) | 12,9 | 12,4 | 8,2 |
Voies de communication et transports
modifierLapte est traversé par la route départementale 65 (RD 65), la route départementale 105 (RD105) qui relie Montfaucon-en-Velay à Yssingeaux et la route départementale 47 (RD47).
Toponymie
modifierHistoire
modifierSelon une légende locale, le site actuel du bourg de Lapte était l'emplacement d'un dolmen (à comprendre dans le sens large de lieu de culte antérieur à la christianisation de la Gaule) dont les pierres auraient été brisées et intégrées dans les fondations de la première église de Lapte[14]. Dédiée à saint Jean Baptiste, cet édifice peut tout à fait avoir installé pendant les temps tardo-antiques ou mérovingiens[15].
Antiquité
modifierLe trésor de Lapte : le le cultivateur Jean Maisonnial découvre un vase de terre gris rougeâtre brisé qui contient environ 170 statères[16].
Ce trésor est partiellement dispersé. Il s'agit probablement de pièces arvernes d'une époque proche de celle de Vercingétorix.
Moyen Âge
modifierLa plus ancienne mention connue de Lapte[17] est issue d'une charte du monastère de Chamalières rédigée entre 1021 et 1028[18],[19] qui relate la donation réalisée alors par dame Godolène et ses deux fils d'un domaine agricole probablement situé dans le secteur du village actuel de La Chaud. On apprend alors que Lapte est le centre d'une paroisse et d'une seigneurie, ce qui veut dire qu'un château et une église existent déjà à cette date à Lapte.
L'évêque du Puy est coseigneur du château de Lapte au moins dès le milieu du XIIIe siècle et dispose sur place d'un grande tour quadrangulaire ainsi que d'un représentant local de son autorité qui prend le titre de bailli. Une famille des seigneurs de Lapte existe entre le XIIe et le XIIIe siècle[20].
Temps modernes
modifierEn 1789 Lapte est comprise dans la province du Velay, la subdélégation et sénéchaussée du Puy. La paroisse fait alors partie au diocèse du Puy-en-Velay et à l’archiprêtré de Monistrol-sur-Loire[21].
Époque contemporaine
modifierLa commune est desservie, de 1902 à 1952, par une ligne de chemin de fer secondaire à voie métrique exploitée par les CFD Réseau du Vivarais qui la reliait à Raucoules-Brossettes et Lavoûte-sur-Loire.
Politique et administration
modifierDécoupage territorial
modifierLa commune de Lapte est membre de la communauté de communes des Sucs[I 1], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Yssingeaux. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[22].
Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement d'Yssingeaux, au département de la Haute-Loire, en tant que circonscription administrative de l'État, et à la région Auvergne-Rhône-Alpes[I 1].
Sur le plan électoral, elle dépend du canton d'Yssingeaux pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[I 1], et de la première circonscription de la Haute-Loire pour les élections législatives, depuis le redécoupage électoral de 1986[23].
Tendances politiques et résultats
modifierLors du premier tour des élections municipales de 2014 en Haute-Loire, la liste SE menée par André Defour obtient la majorité absolue des suffrages exprimés, avec 486 voix (50,41 %, 15 conseillers municipaux élus dontg 2 communautaires), devançant de 8 voix celle, également SE, menée par Jean-Pierre Lacaton (478 voix, 49,58 %, 4 conseillers municipaux élus dont 1 communautaire).
Lors de ce scrutin, 23,52 % des électeurs se sont abstenus.
Lors du premier tour des élections municipales de 2020 en Haute-Loire, une seule liste se présente, menée par Yohan Fanget, et obtient donc la totalité des 372 suffrages exprimés. Ses 19 membres sont donc élus et 3 d'entre eux sont également élus conseillers communautaires, lors d'un scrutin marque par la pandémie de Covid-19 en France où 62,31 des électeurs se sont abstenus et 30,59 % des votants ont émis un vote blanc ou nul[24].
Liste des maires
modifierPopulation et société
modifierDémographie
modifierÉvolution démographique
modifierL'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[33].
En 2021, la commune comptait 1 740 habitants[Note 5], en évolution de +2,11 % par rapport à 2015 (Haute-Loire : +0,11 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Pyramide des âges
modifierLa population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 33,9 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (31 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 27,3 % la même année, alors qu'il est de 31,1 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 904 hommes pour 817 femmes, soit un taux de 52,53 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (49,13 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Économie
modifierRevenus
modifierEn 2018, la commune compte 741 ménages fiscaux[Note 6], regroupant 1 780 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 20 490 €[I 9] (20 800 € dans le département[I 10]).
Emploi
modifierDivision | 2008 | 2013 | 2018 |
---|---|---|---|
Commune[I 11] | 5,3 % | 7,3 % | 6,2 % |
Département[I 12] | 6,3 % | 7,7 % | 7,7 % |
France entière[I 13] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 999 personnes, parmi lesquelles on compte 77,2 % d'actifs (71 % ayant un emploi et 6,2 % de chômeurs) et 22,8 % d'inactifs[Note 7],[I 11]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction d'Yssingeaux, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 2],[I 14]. Elle compte 193 emplois en 2018, contre 240 en 2013 et 219 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 712, soit un indicateur de concentration d'emploi de 27,1 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 56,5 %[I 15].
Sur ces 712 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 136 travaillent dans la commune, soit 19 % des habitants[I 16]. Pour se rendre au travail, 92,1 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 0,4 % les transports en commun, 2,8 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 4,6 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 17].
Activités
modifierDeux tableaux publiés par l'INSEE synthétisent l'activité économique[36] : le premier décrit le nombre d'établissements existants au 31 décembre 1975, il montre qu'il existe 104 établissements dont 7 ont entre 10 et 19 salariés, aucun n'a une taille plus importante ; le second décrit le nombre de postes salariés existants dans les établissements de la commune. Au total ceux-ci emploient 119 salariés, dont 39 sont dans l'industrie et 47 appartiennent à l'administration publique, à l'enseignement, à la santé et à l'action sociale.
Établissements actifs par secteur d'activité au 31 décembre 2015
modifierTotal | % | 0 salarié | 1 à 9 salarié(s) | 10 à 19 salariés | 20 à 49 salariés | 50 salariés ou plus | |
---|---|---|---|---|---|---|---|
Ensemble | 104 | 100,0 | 77 | 23 | 4 | 0 | 0 |
Agriculture, sylviculture et pêche | 13 | 12,5 | 12 | 1 | 0 | 0 | 0 |
Industrie | 17 | 16,3 | 12 | 4 | 1 | 0 | 0 |
Construction | 15 | 14,4 | 7 | 8 | 0 | 0 | 0 |
Commerce, transports, services divers | 49 | 47,1 | 40 | 9 | 0 | 0 | 0 |
dont commerce et réparation automobile | 14 | 13,5 | 12 | 2 | 0 | 0 | 0 |
Administration publique, enseignement, santé, action sociale | 10 | 9,6 | 6 | 1 | 3 | 0 | 0 |
Postes salariés par secteur d'activité au 31 décembre 2015
modifierTotal | % | 1 à 9 salarié(s) | 10 à 19 salariés | 20 à 49 salariés | 50 à 99 salariés | 100 salariés ou plus | |
---|---|---|---|---|---|---|---|
Ensemble | 119 | 100,0 | 58 | 61 | 0 | 0 | 0 |
Agriculture, sylviculture et pêche | 1 | 0,8 | 1 | 0 | 0 | 0 | 0 |
Industrie | 39 | 32,8 | 20 | 19 | 0 | 0 | 0 |
Construction | 19 | 16,0 | 19 | 0 | 0 | 0 | 0 |
Commerce, transports, services divers | 13 | 10,9 | 13 | 0 | 0 | 0 | 0 |
dont commerce et réparation automobile | 2 | 1,7 | 2 | 0 | 0 | 0 | 0 |
Administration publique, enseignement, santé, action sociale | 47 | 39,5 | 5 | 42 | 0 | 0 | 0 |
Culture locale et patrimoine
modifierLieux et monuments
modifier- L'église Saint-Jean et son clocher historique, inscrite au titre des monuments historiques par arrêté du [37].
- Barrage de Lavalette.
- Château de la Rochette
Personnalités liées à la commune
modifierBibliographie
modifier- Pierre-Eric Poble, Le château de Lapte et ses seigneurs (XIe siècle-XVIe siècle), in Cahiers de la Haute-Loire 2006, Le Puy, Cahiers de la Haute-Loire, (lire en ligne)
Voir aussi
modifierArticles connexes
modifierLiens externes
modifier- Site de la mairie
- « Dossier complet : Commune de Lapte (43114) », Recensement général de la population de 2019, INSEE, (consulté le ).
- « Lapte »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), Ma commune, Ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales, .
- « Lapte » sur Géoportail.
Notes et références
modifierNotes et cartes
modifier- Notes
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
- Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
- Cartes
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
Références
modifierSite de l'Insee
modifier- Insee, « Métadonnées de la commune de Lapte ».
- « Chiffres clés - Logement en 2018 à Lapte » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Lapte - Section LOG T2 » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Lapte - Section LOG T7 » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la Haute-Loire » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
- « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Lapte (43114) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département de la Haute-Loire (43) », (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Lapte » (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans la Haute-Loire » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Lapte » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la Haute-Loire » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
- « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Lapte » (consulté le ).
- « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
- « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
Autres sources
modifier- Stephan Georg, « Distance entre Lapte et Le Puy-en-Velay », sur fr.distance.to (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Lapte et Yssingeaux », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Communes les plus proches de Lapte », sur villorama.com (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Lapte et Yssingeaux », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Yssingeaux », sur la commune d'Yssingeaux - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Yssingeaux », sur la commune d'Yssingeaux - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Yssingeaux », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Jean Arsac, Toponymie du Velay, Le Puy, Cahiers de la Haute-Loire, , n°112, p. 67..
- Michel Aubrun, L'ancien diocèse de Limoges des origines au milieu du XIe siècle, Clermont-Ferrand, , p.294-299..
- A. Blanchet, « Chronique de numismatique celtique’ », Revue celtique, vol. XXXI, , p. 49-59 (lire en ligne, consulté le ), sur Gallica.
- Augustin Chassaing et Antoine Jacotin, Dictionnaire topographique du département de la Haute-Loire, Paris, (lire en ligne), p. 153..
- H. Fraisse, Cartularium conventus Sti Egidii Camaleriarum ordinis Sti Benedicti, Le Puy, Desbenoit, , charte n°56, p. 24.
- Augustin Chassaing, Cartulaire de Chamalières-sur-Loire en Velay, prieuré conventuel dépendant de l'abbaye de Saint-Chaffre, Paris, Alphonse Picard et Fils, , charte n° 62, p. 29.
- Pierre-Eric Poble, Le château de Lapte et ses seigneurs (XIe-XVIe s.), dans Cahiers de la Haute-Loire,, Le Puy, (lire en ligne), p. 69-82.
- Société de la Diana, Institut des études régionales et des patrimoines Dictionnaire topographique du département de la Haute-Loire Collection IERP et La Diana Saint-Etienne, édition réimprimée par Université de Saint-Etienne en 2003, 393 p. p.153
- « communauté de communes des Sucs - fiche descriptive au », sur la Base nationale sur l'intercommunalité (consulté le ).
- « Découpage électoral de la Haute-Loire (avant et après la réforme de 2010) », sur politiquemania.com (consulté le ).
- « Résultats de l'élection municipale et communautaire de 2020 à Lapte », sur Ministère de l'intérieur, (consulté le ).
- « Trois élus locaux décorés à Lapte », Le Progrès, (lire en ligne, consulté le ) « Adrien Pons, qui est toujours en place dans l'actuel conseil comme adjoint, totalise 40 années de présence dans la mairie laptoise. Conseiller dans la municipalité conduite par Marcel Paillet, il a été adjoint puis maire après la démission du premier magistrat (...) Jean Liogier, qui a été maire de la commune, de 2001 à 2008, a passé 19 ans à la mairie. Retiré depuis les dernières élections, il a reçu le diplôme de maire honoraire ».
- Liste des maires de la Haute-Loire sur le site de la préfecture (consulté le 27 août 2014).
- « Des vœux de la municipalité sous le signe de la solidarité », L’Éveil de la Haute-Saône, (lire en ligne, consulté le ) « Entouré de l'équipe municipale (...) ainsi que les trois maires qui l'ont précédé : Adrien Pons, Jean Liogier et Louis-Marc Bonnefoy ».
- « Lapte : Yohann Fanget élu maire : La nouvelle équipe a remercié chaleureusement le maire sortant, André Defour, pour son implication et celle de son équipe tout au long de son mandat », Le Progrès, (lire en ligne, consulté le ) « Yohann Fanget, seul candidat au poste de maire de la liste unique élue, a pris ses fonctions ».
- « Les élus de Lapte veulent provoquer de nouvelles élections municipales : Les dissensions entre le maire Yohann Fanget et sa première adjointe Huguette Liogier ont conduit à la démission de l'adjointe mardi. La veille au soir, les élus de Lapte ont validé l'idée de démissions multiples pour provoquer de nouvelles élections municipales avant l'été », La commère 43, (lire en ligne, consulté le ).
- Julie Garnier, « Explosion au sein du conseil, de nouvelles élections attendues : C’est un véritable raz-de-marée qui balaye la municipalité de Lapte. Neuf conseillers municipaux seraient sur le départ, dont Huguette Liogier, première adjointe et vice-présidente à la communauté de communes des Sucs. De nouvelles élections devront se tenir dans les prochaines semaines. », Le Progrès, (lire en ligne, consulté le ).
- Nicolas Binoux, « Huguette Liogier, élue maire de Lapte : « Prouver que nous serons à la hauteur » : L’ex-première adjointe a remporté l’élection municipale partielle intégrale face à Stéphane Badier avec 61,39 % des voix. Elle loue une campagne « apaisée » après les dissensions qui ont provoqué la démission de la moitié du conseil municipal », Le Progrès, (lire en ligne, consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- « Dossier complet Commune de Lapte », .
- Notice no PA43000011, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture