Laurac
Laurac Écouter est une commune française située dans le Nord-Ouest du département de l'Aude, en région Occitanie. Elle est la capitale du Lauragais jusqu'au XIVe siècle.
Laurac | |||||
Vue générale. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Occitanie | ||||
Département | Aude | ||||
Arrondissement | Carcassonne | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Piège-Lauragais-Malepère | ||||
Maire Mandat |
Yolande Steenkeste 2020-2026 |
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Code postal | 11270 | ||||
Code commune | 11196 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Lauracois | ||||
Population municipale |
181 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 16 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 43° 14′ 00″ nord, 1° 59′ 00″ est | ||||
Altitude | 410 m Min. 196 m Max. 413 m |
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Superficie | 11,58 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Castelnaudary (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de la Piège au Razès | ||||
Législatives | Troisième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Aude
Géolocalisation sur la carte : Occitanie (région administrative)
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Liens | |||||
Site web | HTTPS://laurac-le-grand.fr | ||||
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Sur le plan historique et culturel, la commune fait partie du Lauragais, l'ancien « Pays de Cocagne », lié à la fois à la culture du pastel et à l’abondance des productions, et de « grenier à blé du Languedoc ». Exposée à un climat méditerranéen, elle est drainée par l'Hers-Mort, le ruisseau de Mairevieille, le ruisseau de Rivaillère, le ruisseau des Canonges et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable : un site Natura 2000 (le « piège et collines du Lauragais ») et deux zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Laurac est une commune rurale qui compte 181 habitants en 2021, après avoir connu un pic de population de 732 habitants en 1851. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Castelnaudary. Ses habitants sont appelés les Lauracois ou Lauracoises.
Le patrimoine architectural de la commune comprend un immeuble protégé au titre des monuments historiques : l'église Saint-Laurent, inscrite en 1948.
Géographie
modifierLe village, établi sur une petite colline, est un castrum médiéval dont les ruelles entourent le sommet sur lequel se situe l'église fortifiée édifiée à proximité de l'ancien château qui a donné son nom au Lauragais. Il se situe sur un relief surplombant la plaine du Lauragais et est inscrit à l'inventaire des sites pittoresques de l'Aude depuis le [1]. Laurac est située à 10 km de Fanjeaux, à 12 km de Castelnaudary, à 24 km de Belpech et à 25 km de Mirepoix en Pays Lauragais.
Communes limitrophes
modifierLes communes limitrophes sont La Cassaigne, Fonters-du-Razès, Generville, Laurabuc, Mireval-Lauragais et Villasavary.
Hydrographie
modifierLa commune est pour partie dans le bassin de la Garonne, au sein de la circonscription administrative de bassin Adour-Garonne[3], et pour partie dans la région hydrographique « Côtiers méditerranéens », au sein du bassin hydrographique Rhône-Méditerranée-Corse[4]. Elle est drainée par l'Hers Mort, le ruisseau de Mairevieille, le ruisseau de Rivaillère, le ruisseau des Canonges, le ruisseau de Bitrac, le ruisseau de la Peyrote, le ruisseau de Lauzil, le ruisseau de Malassan, le ruisseau de Releytou et le ruisseau de Saint-Jean de Laval, qui constituent un réseau hydrographique de 16 km de longueur totale[5],[Carte 1].
L'Hers-Mort, d'une longueur totale de 89,3 km, prend sa source dans la commune et s'écoule du sud-est vers le nord-ouest. Il traverse la commune et se jette dans la Garonne à Grenade, après avoir traversé 40 communes[6].
Climat
modifierEn 2010, le climat de la commune est de type climat du Bassin du Sud-Ouest, selon une étude s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[7]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[8].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 779 mm, avec 9,8 jours de précipitations en janvier et 5,5 jours en juillet[7]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Fanjeaux à 7 km à vol d'oiseau[9], est de 14,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 625,0 mm[10],[11]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[12].
Milieux naturels et biodiversité
modifierRéseau Natura 2000
modifierLe réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 1]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive oiseaux : le « piège et collines du Lauragais »[14], d'une superficie de 31 216 ha, ayant une position de transition entre la Montagne noire et les premiers contreforts pyrénéens et on y voir donc régulièrement des espèces à grand domaine vital soit en chasse, soit à la recherche soit de sites de nidification : le Vautour fauve, l'Aigle royal, le Faucon pèlerin sont ainsi plus ou moins régulièrement observés sur le territoire concerné[15].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
modifierL’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Deux ZNIEFF de type 2[Note 2] sont recensées sur la commune[16] :
- la « bordure orientale de la Piège » (11 102 ha), couvrant 22 communes du département[17] ;
- les « collines de la Piège » (27 918 ha), couvrant 40 communes dont 38 dans l'Aude et 2 dans la Haute-Garonne[18].
Urbanisme
modifierTypologie
modifierAu , Laurac est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[19]. Elle est située hors unité urbaine[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Castelnaudary, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[I 1]. Cette aire, qui regroupe 34 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[20],[21].
Occupation des sols
modifierL'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (70,9 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (72,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (66,6 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (26,3 %), terres arables (4,2 %), forêts (2,8 %)[22]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Risques majeurs
modifierLe territoire de la commune de Laurac est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité très faible)[23]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[24].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (75,2 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 128 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 128 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 94 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[25],[Carte 3].
Toponymie
modifierLa carte de Cassini mentionne « Laurac le grand », cependant, administrativement parlant, le village s'appelle toujours Laurac. Ce nom est peut-être utilisé pour le différencier de Laurac-en-Vivarais en Ardèche.
Histoire
modifierAutrefois fortifié et doté de chevaliers, il a donné son nom au Lauragais. C'était une ancienne forteresse, datant du VIIIe siècle dont les seuls restes sont la porte Saliége et quelques bouts de remparts.
Pendant longtemps le château appartient aux vicomtes de Carcassonne. Puis il appartient à Guillaume IV de Toulouse qui, en 1071, les donna en fief au comte de Barcelone. En 1179, le roi d'Aragon donne à Roger II de Béziers le château de Laurac et le Lauragais. Mais en 1211, Simon de Montfort s'empare du château de Laurac.
En 1213, le comte Raymond VI de Toulouse remet entre les mains du roi le château de Laurac. De 1226 à 1238, Bernard-Othon est seigneur de Laurac. En 1233, il construit de nouveaux murs d'enceinte et agrandit les fortifications. Le Lauragais est alors érigé en comté en 1478 et donné en échange à Bertrand de La Tour. Catherine de Médicis devient comtesse du Lauragais[26]. Après le XIVe siècle, la capitale du Lauragais se déplace vers Castelnaudary et Saint-Papoul qui ont plus d'influences[27].
Comme dans beaucoup d'autres villages français, on constate que les symboles de la royauté (fleur de lys notamment) qui ornaient les édifices et les registres administratifs ont été détruits lors de la Révolution.
Politique et administration
modifierDémographie
modifierL'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[29].
En 2021, la commune comptait 181 habitants[Note 4], en évolution de +5,85 % par rapport à 2015 (Aude : +2,47 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
selon la population municipale des années : | 1968[32] | 1975[32] | 1982[32] | 1990[32] | 1999[32] | 2006[33] | 2009[34] | 2013[35] |
Rang de la commune dans le département | 256 | 272 | 245 | 261 | 275 | 263 | 246 | 248 |
Nombre de communes du département | 439 | 436 | 435 | 437 | 438 | 438 | 438 | 438 |
Économie
modifierRevenus
modifierEn 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 77 ménages fiscaux[Note 5], regroupant 170 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 20 160 €[I 2] (19 240 € dans le département[I 3]).
Emploi
modifierDivision | 2008 | 2013 | 2018 |
---|---|---|---|
Commune[I 4] | 7,5 % | 10,3 % | 7 % |
Département[I 5] | 10,2 % | 12,8 % | 12,6 % |
France entière[I 6] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 113 personnes, parmi lesquelles on compte 65,2 % d'actifs (58,3 % ayant un emploi et 7 % de chômeurs) et 34,8 % d'inactifs[Note 6],[I 4]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Castelnaudary, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 4],[I 7]. Elle compte 15 emplois en 2018, contre 21 en 2013 et 19 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 67, soit un indicateur de concentration d'emploi de 22,2 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 48,7 %[I 8].
Sur ces 67 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 12 travaillent dans la commune, soit 18 % des habitants[I 9]. Pour se rendre au travail, 79,4 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 7,4 % les transports en commun, 2,9 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 10,3 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 10].
Activités hors agriculture
modifierNeuf établissements[Note 7] sont implantés à Laurac au [I 11]. Le secteur de l'administration publique, l'enseignement, la santé humaine et l'action sociale est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 22,2 % du nombre total d'établissements de la commune (2 sur les 9 entreprises implantées à Laurac), contre 13,2 % au niveau départemental[I 12].
Agriculture
modifierLa commune est dans le Razès, une petite région agricole occupant l'ouest du département de l'Aude[36], également dénommée localement « Volvestre et Razès »[Carte 5]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 8] sur la commune est la polyculture et/ou le polyélevage[Carte 6].
1988 | 2000 | 2010 | 2020 | |
---|---|---|---|---|
Exploitations | 15 | 11 | 11 | 13 |
SAU[Note 9] (ha) | 535 | 527 | 776 | 909 |
Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 15 lors du recensement agricole de 1988[Note 10] à 11 en 2000 puis à 11 en 2010[38] et enfin à 13 en 2020[Carte 7], soit une baisse de 13 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 60 % de ses exploitations[39],[Carte 8]. La surface agricole utilisée sur la commune a quant à elle augmenté, passant de 535 ha en 1988 à 909 ha en 2020Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 36 à 70 ha[38].
Vie locale
modifierEnseignement
modifierLaurac fait partie de l'académie de Montpellier.
Culture et festivité
modifierAssociation Sort Loisir Culture[40].
Activités sportives
modifierChasse, pétanque, randonnée pédestre,
Écologie et recyclage
modifierLaurac a subi un réaménagement foncier agricole et forestier important dans les années 2020[41].
La collecte et le traitement des déchets des ménages et des déchets assimilés ainsi que la protection et la mise en valeur de l'environnement se font dans le cadre du SMICTOM (Syndicat mixte intercommunal de collecte et de traitement des ordures ménagères)[42].
Culture locale et patrimoine
modifierLieux et monuments
modifier- Restes de remparts de l'enceinte médiévale.
- Église castrale Saint-Laurent. L'église (à l'exception de la chapelle Sud, de la partie reconstruite du mur Sud et de l'étage supérieur du clocher) a été inscrit au titre des monuments historiques en 1948[43]. L'église date du XIIIe siècle possédant un arc triomphal roman, des sculptures datant de la Renaissance, un maître-autel en marbre, un chemin de croix et un tableau bois sculpté. Sur son porche est sculpté les armoiries sur le frontispice du portail d'entrée dont l'arbre de l'écusson est un laurier, emblème de la gloire et du succès. L'église de Laurac, si elle est encore en travaux est caractérisée par son porche, qui lorsqu'on le traverse du regard, laisse entrevoir à mi-vision le Christ sur sa croix, ce qui représente une scène remarquable. En effet, regarder au travers du porche permet de voir la lumière jusqu'au lointain, et en plein milieu de cette clarté qui jaillit de l'ombre, apparaît le Christ.
- Porte Saliège du VIIIe siècle gardait l'entrée du village. Elle était constituée par des panneaux de bois épais garnis de plaques de fer.
- Mur dit de Blanche de Laurac (Blanche de Paracols) parfaite de la région, témoignage du catharisme.
- Malemort est l'emplacement de trois gibets du XIe siècle et témoin du massacre de la Saint-Barthélemy.
- Le village est inscrit au titre des sites naturels depuis 1946[44].
Personnalités liées à la commune
modifier- Bernard-Othon de Niort (1201-1245), petit-fils de Blanche de Laurac, seigneur de Laurac.
- Aimery de Montréal (?-1211), seigneur de Laurac.
- Catherine de Médicis (1519-1589), comtesse du Lauragais.
- Pierre Poussines (1609-1686), jésuite, né à Laurac.
Héraldique
modifierBlason | D'argent aux deux pointes de sable posées en chevron. |
|
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Galerie
modifier-
Rue principale de Laurac.
-
Porte principale des remparts médiévaux.
Pour approfondir
modifierBibliographie
modifierArticles connexes
modifierLiens externes
modifier
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
Notes et références
modifierNotes et cartes
modifier- Notes
- Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[13].
- Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
- Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
- L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
- L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
- Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
- Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[37].
- Cartes
- « Réseau hydrographique de Laurac » sur Géoportail (consulté le 8 décembre 2021).
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
- « Les petites régions agricoles(PRA) dans l’Aude », sur aude.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
Références
modifierSite de l'Insee
modifier- Insee, « Métadonnées de la commune ».
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Laurac » (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans la Aude » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Laurac » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans l'Aude » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
- « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Laurac » (consulté le ).
- « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
- « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
- « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Laurac » (consulté le ).
- « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans l'Aude » (consulté le ).
Autres sources
modifier- « Village de l'Aude », mairieaude.com (consulté le ).
- Carte IGN sous Géoportail
- « Le réseau hydrographique du bassin Adour-Garonne. » [PDF], sur draaf.occitanie.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Désoupage en territoires SDAGE/DCE du bassin Rhône-Méditerranée-Corse », sur rhone-mediterranee.eaufrance.fr, (consulté le ).
- « Fiche communale de Laurac », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le ).
- Sandre, « l'Hers Mort »
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Laurac et Fanjeaux », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Fanjeaux_sapc » (commune de Fanjeaux) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Fanjeaux_sapc » (commune de Fanjeaux) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
- « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Laurac », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « site Natura 2000 FR9112010 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Liste des ZNIEFF de la commune de Laurac », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF la « bordure orientale de la Piège » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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- « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Castelnaudary », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- « Les risques près de chez moi - commune de Laurac », sur Géorisques (consulté le ).
- BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
- D'après un texte d'époque des Éd. Palau Frères
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- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- INSEE, « Population selon le sexe et l'âge quinquennal de 1968 à 2012 (1990 à 2012 pour les DOM) », sur insee.fr, (consulté le ).
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- https://www.ladepeche.fr/2019/10/02/nouvelles-consignes-pour-le-tri-selectif,8452212.php
- « Eglise Saint-Laurent », sur pop.culture.gouv.fr (consulté le ).
- « Village (Laurac le Grand) ».