Lavalade

commune française du département de la Dordogne

Lavalade est une commune rurale française, située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.

Lavalade
Lavalade
L'église de Lavalade.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Dordogne
Arrondissement Bergerac
Intercommunalité Communauté de communes des Bastides Dordogne-Périgord
Maire
Mandat
Thierry Testut
2020-2026
Code postal 24540
Code commune 24231
Démographie
Gentilé Lavaladois
Population
municipale
103 hab. (2021 en évolution de +18,39 % par rapport à 2015)
Densité 26 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 41′ 47″ nord, 0° 51′ 51″ est
Altitude Min. 147 m
Max. 220 m
Superficie 3,95 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Lalinde
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Lavalade
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Lavalade
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Lavalade
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Lavalade
Liens
Site web www.lavalade.fr

Géographie

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Généralités

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Dans le quart sud-est du département de la Dordogne, en Bergeracois, la commune de Lavalade est brièvement bordée par le Brayssou, un affluent du Dropt.

Traversé par la route départementale (RD) 660, le petit bourg de Lavalade est situé, en distances orthodromiques, trois kilomètres au nord-ouest de la bastide de Monpazier et onze kilomètres au sud-est de celle de Beaumont-du-Périgord, et la ville la plus proche est Villeneuve-sur-Lot, distante de 34 km.

Entre Lolme et Marsalès, le sentier de grande randonnée GR 36 traverse le nord de la commune sur deux kilomètres et demi.

Communes limitrophes

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Lavalade est limitrophe de quatre autres communes dont Rampieux à l'ouest sur environ 125 mètres. Au sud-est, le territoire de Gaugeac est distant d'une cinquantaine de mètres et au nord, celui de Saint-Romain-de-Monpazier est éloigné de moins de 500 mètres.


Communes limitrophes de Lavalade
Lolme
Rampieux Lavalade Marsalès
Saint-Cassien

Géologie et relief

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Géologie

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Situé sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordé à son extrémité nord-est par une frange du Massif central, le département de la Dordogne présente une grande diversité géologique. Les terrains sont disposés en profondeur en strates régulières, témoins d'une sédimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le département peut ainsi être découpé sur le plan géologique en quatre gradins différenciés selon leur âge géologique. Lavalade est située dans le quatrième gradin à partir du nord-est, un plateau formé de dépôts siliceux-gréseux et de calcaires lacustres de l'ère tertiaire[1].

Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de formations superficielles du Quaternaire et de roches sédimentaires datant pour certaines du Cénozoïque, et pour d'autres du Mésozoïque. La formation la plus ancienne, notée c5e, date du Campanien 5, des calcaires bioclastiques jaunâtres à rudistes, orbitoides media, Larrazetia, calcaires gréseux jaunes à grands silex versicolores, lumachelles à huîtres. La formation la plus récente, notée CFvs, fait partie des formations superficielles de type colluvions carbonatées de vallons secs : sable limoneux à débris calcaires et argile sableuse à débris. Le descriptif de ces couches est détaillé dans la feuille « no 831 - Belvès » de la carte géologique au 1/50 000 de la France métropolitaine[2],[3] et sa notice associée[4].

Carte géologique de Lavalade.

Relief et paysages

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Le département de la Dordogne se présente comme un vaste plateau incliné du nord-est (491 m, à la forêt de Vieillecour dans le Nontronnais, à Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (2 m à Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant à elle entre 147 m et 220 m[5],[6].

Dans le cadre de la Convention européenne du paysage entrée en vigueur en France le , renforcée par la loi du 8 août 2016 pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a été élaboré sous maîtrise d’ouvrage de l’État et publié en [7]. Les paysages du département s'organisent en huit unités paysagères[Note 1] et 14 sous-unités[8]. La commune est dans le Bergeracois, une région naturelle présentant un relief contrasté, avec les deux grandes vallées de la Dordogne et du Dropt séparées par un plateau plus ou moins vallonné, dont la pente générale s’incline doucement d’est en ouest. Ce territoire offre des paysages ouverts qui tranchent avec les paysages périgourdins. Il est composé de vignes, vergers et cultures[9],[10].

La superficie cadastrale de la commune publiée par l'Insee, qui sert de référence dans toutes les statistiques, est de 3,95 km2[5],[11],[Note 2]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 4,02 km2[3].

Hydrographie

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Réseau hydrographique

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La commune est située pour partie dans le bassin de la Dordogne et pour partie dans le bassin de la Garonne au sein du Bassin Adour-Garonne[14]. Elle est drainée par le Brayssou et le ruisseau du Fraisse et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 6 km de longueur totale[15],[Carte 1].

Le Brayssou, d'une longueur totale de 13,74 km, prend sa source en Dordogne dans la commune de Rampieux et se jette en rive droite du Dropt en Lot-et-Garonne, à Rives[16]. Il marque très brièvement la limite communale au sud-ouest sur 120 mètres, face à Rampieux.

Un de ses affluents sans nom marque la limite territoriale au sud-ouest sur un kilomètre et demi, face à Saint-Cassien.

Le ruisseau du Fraisse, affluent de rive gauche de la Véronne et sous-affluent de la Couze, prend sa source dans le nord du territoire communal qu'il arrose sur 900 mètres.

Gestion et qualité des eaux

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Le territoire communal est couvert par les schémas d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Dordogne Atlantique » et « Dropt ». Le SAGE « Dordogne Atlantique », dont le territoire correspond au sous‐bassin le plus aval du bassin versant de la Dordogne (aval de la confluence Dordogne - Vézère)., d'une superficie de 2 700 km2 est en cours d'élaboration. La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[17]. Le SAGE « Dropt », dont le territoire correspond au bassin versant du Dropt, d'une superficie de 1 522 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est le syndicat mixte EPIDROPT[18]. Ils définissent chacun sur leur territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [19].

La partie nord du territoire communal (environ 55 %) correspond au bassin versant de la Véronne, affluent de la Couze et dépend du SAGE Dordogne Atlantique. Au sud, le reste, qui correspondant au bassin versant du Brayssou, est rattaché au SAGE Dropt.

La qualité des eaux de baignade et des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].

Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique aquitain[20]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[21].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 901 mm, avec 11,7 jours de précipitations en janvier et 7,1 jours en juillet[22]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Lacapelle-Biron à 11 km à vol d'oiseau[23], est de 13,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 833,3 mm[24],[25]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[26].

Urbanisme

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Typologie

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Au , Lavalade est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[27]. Elle est située hors unité urbaine[28] et hors attraction des villes[29],[30].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (87 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (75,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (59,3 %), prairies (27,7 %), forêts (13 %)[31]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Prévention des risques

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Le territoire de la commune de Lavalade est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible)[32]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[33].

Lavalade est exposée au risque de feu de forêt. L’arrêté préfectoral du fixe les conditions de pratique des incinérations et de brûlage dans un objectif de réduire le risque de départs d’incendie. À ce titre, des périodes sont déterminées : interdiction totale du 15 février au 15 mai et du 15 juin au 15 octobre, utilisation réglementée du 16 mai au 14 juin et du 16 octobre au 14 février[34]. En septembre 2020, un plan inter-départemental de protection des forêts contre les incendies (PidPFCI) a été adopté pour la période 2019-2029[35],[36].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Lavalade.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[37]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[38]. 78,8 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (58,6 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national métropolitain)[Carte 4]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 4],[39].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982 et 1999, par la sécheresse en 2009 et par des mouvements de terrain en 1999[32].

Toponymie

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En occitan, la commune porte le nom de La Valada[40].

Histoire

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En 1801, la commune portait le nom de La Valade.

Politique et administration

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Administration municipale

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La population de la commune étant inférieure à 100 habitants au recensement de 2017, sept conseillers municipaux ont été élus en 2020[41],[42].

Liste des maires

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La mairie de Lavalade, à côté de l'église.
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
         
1808   Étienne Malaurie    
1831   Pierre Malaurie    
1836   Étienne Caminade    
1851   Bournazel    
1853   Dubreil    
1871   Dubreuil    
1872   Bournazel    
1874   Caphite    
1880   Caminade    
1881   Guillaume Dubrel    
         
avant 1988 ? Raoul Souffron    
         
1995 mars 2014 Bernard Auroux SE[43]  
mars 2014[44]
(réélu en mai 2020)
En cours Thierry Testut    

Équipements et services publics

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Justice

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Dans le domaine judiciaire, Lavalade relève[45] :

Population et société

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Démographie

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Les habitants de Lavalade se nomment les Lavaladois[46].

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[47]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[48].

En 2021, la commune comptait 103 habitants[Note 5], en évolution de +18,39 % par rapport à 2015 (Dordogne : −0,41 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
175233318213191197229240225
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
188186177174176165164158146
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
146151144109108100988086
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
77817755638097101106
2015 2020 2021 - - - - - -
87100103------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[5] puis Insee à partir de 2006[49].)
Histogramme de l'évolution démographique

Animations sportives

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Chaque année, le comité des fêtes met en place une randonnée pédestre et équestre, ainsi qu'une randonnée VTT.

Économie

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Appellation d'origine contrôlée (AOC) sur le territoire

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Lavalade se trouve dans la zone d'appellation d'origine contrôlée (AOC) pour les noix du Périgord[50].

En 2015[51], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent quarante personnes, soit 46,0 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (quatre) est resté stable par rapport à 2010 et le taux de chômage de cette population active s'établit à 10,0 %.

Établissements

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Au , la commune compte treize établissements[52], dont sept au niveau des commerces, transports ou services, deux dans la construction, deux relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale, un dans l'industrie, et un dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche[53].

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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  • Église Saint-Martin[54] : l'église est placée sous le patronage de la « translation des reliques de saint Martin ». Il y a peu d'écrits la concernant. Au cours de son histoire, l'église a subi de nombreuses modifications qui ne peuvent être datées avec précision.
    Elle aurait été construite en deux fois. Son plan comporte une nef unique se terminant par une abside hémicirculaire[55]. Elle est précédée d'une tour servant de clocher-porche ajoutée au XIXe siècle.
    Dans sa travée centrale subsistent des murs romans avec des colonnes surmontées de chapiteaux sculptés portant deux doubleaux. Les chapiteaux de la première arcade sont décorés de feuillages avec des volutes aux angles. Les chapiteaux supportant la deuxième arcade sont historiés : côté nord, représentation du péché originel, côté sud, deux lions opposés[56].
    Des chapelles ont été ajoutées au nord et au sud de cette travée. De part et d'autre de la travée centrale romane, les travées ont été reconstruites à une date inconnue, peut-être sur d'anciennes fondations.
  • La commune compte un cromlech.

Personnalités liées à la commune

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Le docteur Laville, qui a créé le premier hôpital en Chine à Tien-Sing, faisait partie des habitants de Lavalade en 1900.

Pour approfondir

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Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie

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  • Élisée Cérou, La commune de Lavalade, dans Cahier du Groupe archéologique de Monpazier, no 4 (lire en ligne)

Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. Une unité paysagère est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagères propres.
  2. La superficie publiée par l’Insee est la superficie évaluée en 1975 par le service du cadastre de la Direction Générale des Impôts, corrigée des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privé, cadastrées ou non cadastrées, à l'exception des lacs, étangs et glaciers de plus d'un kilomètre carré ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement à la surface géographique[12],[13]
  3. La ligne de partage des eaux entre le bassin de la Dordogne et le bassin de la Garonne est représentée par une ligne verte en tirets-points.
  4. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Réseau hydrographique de Lavalade » sur Géoportail (consulté le 17 juillet 2022).
  2. « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le ).
  3. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  4. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références

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  1. « Géologie de la Dordogne - Périgord », sur espritdepays.com (consulté le ).
  2. « Carte géologique de Lavalade » sur Géoportail (consulté le 14 juin 2022).
  3. a et b « Caractéristiques géologiques et hydrogéologiques de la commune de Lavalade », sur le Système d’information pour la gestion des eaux souterraines (SIGES) en Occitanie (consulté le ).
  4. « Notice associée à la feuille no 831 - Belvès de la carte géologique harmonisée au 1/50 000 de la France métropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consulté le ).
  5. a b et c Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  6. IGN, « Répertoire géographique des communes (RGC) 2014 », sur drive.google.com.
  7. « Pourquoi un Atlas des paysages du Dordogne ? », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
  8. « Unités paysagères de la Dordogne », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
  9. « Repères géographiques du Bergeracois », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
  10. « Portrait du Bergeracois », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
  11. Insee, « Comparateur de territoire - Commune de Lavalade », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  12. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Indicateurs en données ouvertes (superficie) », sur l'Observatoire des territoires (consulté le ).
  13. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Répertoire géographique des communes d'Île-de-France - définition de certains champs (dont la superficie) », sur data.iledefrance.fr (consulté le ).
  14. « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le ).
  15. « Fiche communale de Lavalade », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en région Aquitaine (consulté le ).
  16. Sandre, « le Brayssou »
  17. « SAGE Dordogne Atlantique », sur gesteau.fr (consulté le ).
  18. « SAGE Dropt », sur gesteau.fr (consulté le ).
  19. « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  20. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  21. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  22. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
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  26. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
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  30. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  31. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  32. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Lavalade », sur Géorisques (consulté le ).
  33. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  34. « Dossier départemental des risques majeurs de la Dordogne », sur dordogne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Feux de forêts.
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  37. « Dossier départemental des risques majeurs de la Dordogne », sur dordogne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  38. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
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  43. « Voici vos 557 maires », édition spéciale de Sud Ouest du 3 avril 2008, p. 14.
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  47. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  48. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  49. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  50. INAO, « Fiche produit » (consulté le ). Cliquer sur « Aire géographique » puis télécharger la liste.
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  52. « Établissement - Définition », sur Insee (consulté le ).
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  54. Jean-Pierre Verdon - Les églises romanes du Monpaziérois - pp. 22-25 - Groupe archéologique de Monpazier - (ISSN 0767-9475).
  55. http://www.pays-de-bergerac.com/images/decouvrir/galerie/monuments-religieux/lavalade.jpg
  56. Docteur Régis L'Honneur, Les chapiteaux de l'église de Lavalade, dans Bulletin de la Société historique et archéologique du Périgord, 1901, tome XXVIII, p. 181 (lire en ligne)