Le Tour-du-Parc
Le Tour-du-Parc [lətuʁdypaʁk] est une commune française, située dans le département du Morbihan en région Bretagne.
Le Tour-du-Parc | |||||
La plage de Roch Vétür. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Bretagne | ||||
Département | Morbihan | ||||
Arrondissement | Vannes | ||||
Intercommunalité | Golfe du Morbihan - Vannes agglomération | ||||
Maire Mandat |
François Mousset 2020-2026 |
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Code postal | 56370 | ||||
Code commune | 56252 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Parcais | ||||
Population municipale |
1 237 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 133 hab./km2 | ||||
Population agglomération |
12 712 hab. | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 47° 31′ 36″ nord, 2° 38′ 39″ ouest | ||||
Altitude | 12 m Min. 0 m Max. 17 m |
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Superficie | 9,3 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Vannes (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Séné | ||||
Législatives | Première circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Morbihan
Géolocalisation sur la carte : Bretagne (région administrative)
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Liens | |||||
Site web | Site officiel de la commune | ||||
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Toponymie
modifierLe nom de la localité est mentionné sous la forme Troenparc dès 1543.
En breton, comme indiqué sur les panneaux de signalisation routière, elle s'appelle Tro-Park. Son toponyme vient de l'ancien parc du château de Suscinio. « Le Tour-du-Parc » est un simple secteur géographique, un lieu-dit, son territoire touche le mur, encore visible par fragments, du grand enclos servant jadis de réserve de chasse au château de Suscinio[1].
Géographie
modifierLe Tour-du-Parc fait partie du Parc naturel régional du golfe du Morbihan.
Situation
modifierBordée au nord par la rivière de Penerf[2] et, au sud par l’océan Atlantique et l’étier de Kerboulico, cette commune ainsi délimitée sur trois côtés est une petite presqu’île dans la presqu'île de Rhuys située entre les communes de Sarzeau à l’ouest, Surzur au nord et Damgan à l’est.
Sa situation géographique particulière a permis le développement local d’activités économiques importantes, en particulier l’ostréiculture (implantée en rivière de Pénerf depuis 1858[3]) et le tourisme. Les marais de Bourgogne et l’étier de Kerboulico ont connu autrefois l'activité de la saliculture puis la reconversion en claires ostréicoles pour l’affinage des huîtres.
Communes limitrophes
modifierSurzur | Surzur | |||
Sarzeau | N | Surzur Damgan | ||
O Le Tour-du-Parc E | ||||
S | ||||
Sarzeau | Rivière de Penerf | Rivière de Penerf Damgan |
Hameaux, lieux-dits et écarts
modifierPrincipaux hameaux, lieux-dits ou écarts situés sur la commune du Tour-du-Parc :
- Balanfournis
- Banastère
- Boderharff
- Caden
- Kerjambet
- Kermor
- Kervaniet
- le Grand Mare
- le Pont-Neuf
- Pencadénic
- Rouvran
- Toulcaden
Climat
modifierEn 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Bretagne orientale et méridionale, Pays nantais, Vendée, caractérisée par une faible pluviométrie en été et une bonne insolation[5]. Parallèlement l'observatoire de l'environnement en Bretagne publie en 2020 un zonage climatique de la région Bretagne, s'appuyant sur des données de Météo-France de 2009. La commune est, selon ce zonage, dans la zone « Littoral doux », exposée à un climat venté avec des étés cléments[6].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 11,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 800 mm, avec 12,5 jours de précipitations en janvier et 6,2 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Sarzeau à 9 km à vol d'oiseau[7], est de 12,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 741,1 mm[8],[9]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[10].
Hydrographie
modifierDe nombreux cours d’eau du bassin versant alimentent la rivière de Penerf qui est, en fait, une ria longue de 15 kilomètres couvrant une superficie de 136 kilomètres carrés qui se poursuit en amont par la rivière de Sarzeau et l’étier de Caden. Ce mélange d’eau douce et d’eau salée a été propice au développement de la conchyliculture.
Accès et Transports
modifier- Voies Routières
- Pistes cyclables
La commune du Tour du Parc a achevé en en partenariat avec la Communauté de Communes de la Presqu’île de Rhuys la création d’une piste cyclable la reliant à la commune de Saint-Armel[11]. Un autre cheminement doux (servitude de passage piéton littoral, SPPL[12]), empruntant le tracé du GR34 permet de faire le tour de la commune. Porté par le département du Morbihan, le projet de poursuite de ce GR34 est prévu pour aller vers Surzur, au nord.
- Transports en commun
Urbanisme
modifierTypologie
modifierAu , Le Tour-du-Parc est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[13]. Elle est située hors unité urbaine[14]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Vannes, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[14]. Cette aire, qui regroupe 47 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[15],[16].
La commune, bordée par l'océan Atlantique, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[17]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, comme par exemple le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit[18].
Occupation des sols
modifierL'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (59,1 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (78,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (26 %), zones agricoles hétérogènes (23,8 %), prairies (22 %), terres arables (13,3 %), zones humides côtières (8,1 %), zones humides intérieures (6,2 %), eaux continentales[Note 2] (0,6 %)[19]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Histoire
modifierLe nom de la commune vient de son histoire[20].
Au début du XIIIe siècle, deux lieux prestigieux de nature fort différente se partagent l'immense forêt giboyeuse de chênes et de hêtres qui couvre l'intégralité de la presqu'île de Rhuys : à l'est, l'Abbaye Saint-Gildas de Rhuys, abbaye bénédictine, qui existe depuis le Xe siècle et, plus au centre, le château de Suscinio, résidence d'été des ducs de Bretagne dont les documents attestent réellement l'existence à partir de 1213. Né en 1217, le duc de Bretagne Jean Ier de Bretagne dit Le Roux, fils de Pierre Ier de Bretagne appelé aussi Pierre Mauclerc, entretient des relations si conflictuelles avec le clergé qu'il sera excommunié plusieurs fois. Avec la puissante voisine, l'abbaye de Saint-Gildas (qui eut le célèbre Pierre Abélard comme abbé entre 1127 et 1132), on se doute bien qu'il ne s’agit point de différends de nature religieuse (Jean Ier le Roux participera même à la Huitième croisade avec Louis IX) mais, plus prosaïquement, de conflits provenant des droits d'usage de la forêt, bois et gibier. En 1247, il décide alors d'enclore, par des murs de deux mètres de hauteur ce qu'il considère comme étant son domaine ducal, plusieurs grands parcs de chasse dont un, le plus grand, tout à l'est de la presqu'île de Rhuys. Mais ce faisant, il englobe de force un prieuré avec ses terres alentour, le prieuré de Coëtlan-Saint-Pabu qui appartient à l'abbaye. Frappé d'anathème par les autorités ecclésiastiques, il se rachète en fondant à ses frais, en échange, un nouveau prieuré : le prieuré de Lauglenec (du breton « auglenic », « petit lavoir ») qui sera construit en dehors du mur ducal (40 km de circonférence) qu'il a fait construire. La traversée de ce parc enclos étant strictement réservée aux personnages importants du duché de Bretagne et aux chasses du Duc, il faudra désormais, pour aller de Surzur à Sarzeau, faire le tour du parc. Pour aller, par exemple, de Pont Caden à Kerblay près de Sarzeau, il faudra effectuer 18 kilomètres au lieu des 6 kilomètres actuels. Ce mur ducal terminé vers 1250 s'appellera « le mur du Roy » quand la Bretagne sera rattachée officiellement à la Couronne de France en 1532[21] sous François Ier. On en voit encore aujourd'hui quelques vestiges plutôt bien conservés entre le hameau de Kerguet et le château de Suscinio.
Il a fallu de nombreuses années pour que le Tour-du-Parc devienne d'abord une paroisse puis une commune indépendante de Sarzeau. Elle devint paroisse en 1841 et put enfin construire l'église Saint-Vincent Ferrier (1845 à 1854), un cimetière et un presbytère. Puis elle devint commune le par un décret-loi signé aux Tuileries par Napoléon III.
Politique et administration
modifierListe des maires
modifierDémographie
modifierL'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1866. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[24]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[25].
En 2021, la commune comptait 1 237 habitants[Note 3], en évolution de +0,32 % par rapport à 2015 (Morbihan : +3,21 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Entreprises, commerces et services
modifierLa commune dispose de :
- Un hôtel 3 étoiles avec restaurant,
- Une supérette en centre-bourg
- Un bar-tabac
- Une boulangerie
- Deux campings en bord de mer dont un municipal et l’autre privé
- Des gîtes ruraux
- 33 chantiers ostréicoles (à Pencadénic et Castel)
- Une trentaine d’artisans
- Un vivier / poissonnerie
- Une école primaire, les Courlis
- Une bibliothèque municipale
- Une maison de santé avec médecin, ostéopathe et réflexologue plantaire
- Un kinésithérapeute
- Une antenne ADMR (Aide à Domicile en Milieu Rural)
- Un salon de coiffure mixte
- Diverses associations culturelles et de loisirs
Culture et patrimoine
modifierLieux et monuments
modifierMonuments religieux
modifier- Le calvaire de la mission sur la place de l'Église ;
- L'église Saint-Vincent-Ferrier (XIXe siècle), en forme de croix latine. Elle abrite un Christ en croix[28], datant de la première moitié du XVIIe siècle provenant de l'ancienne chapelle Saint-Clair et inscrit dans la Base Palissy (mobilier religieux) de l'Inventaire Général des Monuments Historiques.
- L'ancienne chapelle Saint-Clair attachée au prieuré (disparue), elle était autrefois sous le vocable de Saint-Michel. Elle faisait autrefois partie du Prieuré de Lauglenec.
- Le prieuré de Lauglenec, dépendant de l'abbaye Saint-Gildas de Rhuys, aujourd'hui disparu ;
- La croix de Caden (1806) ;
- Les croix du bourg, datant du XIXe siècle : la croix de Caden et la croix de Boderharff.
Monuments civils
modifier- Le port de pêche et de plaisance de Pencadenic, sur la rivière de Pénerf ;
- Le manoir de Caden (XIIIe siècle-XVe siècle), cité pour la première fois en 1378, et sa chapelle (XVe siècle-XVIe siècle). Ce manoir fut la propriété d'officiers ducaux et, au XVIIe siècle, du gouverneur de Suscinio. La tour carrée fut ajoutée en 1641. Cette demeure est aujourd'hui une propriété privée qui ne se visite pas.
- La fontaine Saint-Clair, surmontée d'un motif celtique d'inspiration viking ;
- La maison du Pont-Neuf (1784).
Manifestations culturelles et festivités
modifierL'année 2014 a marqué les 150 ans de la commune, fondée en 1864. À cette occasion, une fête a eu lieu les 12 et .
Héraldique
modifierLes armoiries de Le Tour du Parc se blasonnent ainsi : |
Autre version rencontrée: Différences entre dessin et blasonnement : La croix est une croix simple. Cette erreur vient de la source[29].. |
Personnalités liées à la commune
modifier- Marie Le Franc (1879-1964), romancière, prix Femina pour son roman Grand-Louis l'innocent en 1927.
- Raymond Marcellin (1914-2004) député puis sénateur du Morbihan, ministre titulaire de différents portefeuilles sous plusieurs gouvernements entre 1962 et 1974.
Notes et références
modifierNotes
modifier- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
modifier- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
modifier- Michèle Bourret - 1996 - Le patrimoine des communes du Morbihan - Volume 1 - Page 970.
- http://educatif.eau-et-rivieres.asso.fr/pdf/penerf.pdf
- « aurythmedesmarees.fr/qui-somme… »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Les zones climatiques en Bretagne. », sur bretagne-environnement.fr, (consulté le ).
- « Orthodromie entre Le Tour-du-Parc et Sarzeau », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Sarzeau Sa » (commune de Sarzeau) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Sarzeau Sa » (commune de Sarzeau) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « Réseau cyclable de la Presqu'île de Rhuys », sur af3v.org (consulté le ).
- « Ministère de la Transition Ecologique et Solidaire (MTES) Conseil Départemental du Morbihan (CD56) - PDF Free Download », sur docplayer.fr (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Vannes », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Les communes soumises à la loi littoral. », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr, (consulté le ).
- « Loi relative à l’aménagement, la protection et la mise en valeur du littoral. », sur cohesion-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- « Étymologie et histoire du Tour-du-Parc », sur infobretagne.com.
- Jess Bontemps, « La Bretagne rattachée au royaume de France - Histoire à sac à dos », sur Histoire à sac à dos, (consulté le ).
- « Municipales au Tour-du-Parc. François Mousset réélu maire », sur Ouest-Franc, (consulté le ).
- « Législatives 2022 en Morbihan. Qui sont les candidats dans la 1re circonscription », sur ouest-france.fr, (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- https://www.pop.culture.gouv.fr/notice/palissy/IM56003913
- "l'armorial du Morbihan" de Froger et Pressensé
Voir aussi
modifierArticles connexes
modifierLiens externes
modifier- Site de la mairie du Tour-du-Parc
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Architecture du Tour du Parc - Base Mérimée
- Liens historiques par réf -https://moroccanluxurytours.com/
- Le Tour-du-Parc sur le site de l'Institut géographique national