Le Banquet des fraudeurs

film sorti en 1952

Le Banquet des fraudeurs est un film belge de fiction réalisé par Henri Storck sur un scénario de Charles Spaak, produit par Frantz Van Dorpe pour Tevefilm/Efilm et sorti le .

Le Banquet des fraudeurs

Réalisation Henri Storck
Scénario Charles Spaak
Acteurs principaux
Sociétés de production Efilm
Tevefilm
Pays de production Drapeau de la Belgique Belgique
Allemagne de l'Ouest Allemagne de l'Ouest
Genre Policier, drame, romance, thriller
Durée 90 minutes
Sortie 1952

Pour plus de détails, voir Fiche technique et Distribution.

La musique de ce film de 90 minutes est d'André Souris (1899-1970)[1]. Il s'agit d'une fiction qui anticipe sur l'Europe d'aujourd'hui.

Synopsis

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Ce film de commande milite pour la suppression des frontières en racontant la vie des habitants d'un village belge à la frontière de l’Allemagne et des Pays-Bas. Il retrace l'univers des travailleurs, celui des douaniers et celui des fraudeurs… Henri Storck tisse entre tous ces acteurs une intrigue amoureuse entre Siska, la fille du douanier belge Achille, et Pierre, un contrebandier.

Fiche technique

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  • Titre français : Le Banquet des fraudeurs
  • Titre flamand : Het bankett der smokkelaars
  • Réalisation : Henri Storck
  • Assistant réalisateur : Georges Lust
  • Scénario : Charles Spaak
  • Musique : André Souris
  • Photographie : Eugen Schüfftan
  • Prise de vues : Raymond Picon-Borel
  • Son : Jacques Carrere, Rudolf Epstein
  • Montage : Georges Freedland
  • Décors : Alfred Butow
  • Conseiller technique : André Cayatte
  • Production : Frantz Van Dorpe de Tevefilm
  • Pays d'origine : Belgique
  • Direction de la production : Léon Canel
  • Régie générale : F. de Geneffe
  • Distribution : AGDC
  • Genre : Policier, drame, romance et thriller
  • Durée : 105 minutes
  • Date de sortie : .
  • Format : noir et blanc

Distribution

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Production

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André Cayatte est le conseiller technique du film.

Accueil

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Luc de Heusch, président du Fonds Henri Storck, écrit [2] : « Fidèle à l'esprit du cinéma du réel, Storck illustre une série de problèmes sociaux en prenant prétexte de la naissance du Benelux. Il traite avec humour, des embarras du passage des frontières dans un village belge situé au carrefour de l'Allemagne et des Pays-Bas. Il plaide ainsi de manière plaisante en faveur de la future Union européenne. »

Distinctions

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Le film a été présenté en sélection officielle en compétition au Festival de Cannes 1952[3].

Notes et références

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  1. Ce compositeur est spécialisé en musique ancienne, au dodécaphonisme, au jazz comme à la musique de film et aux musiques ethniques, est également de 1937 à 1945 chef d'orchestre à l'institut national de Radiodiffusion.
  2. « Fonds Henri Storck »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?)
  3. « La sélection – 1952 – Compétition », site officiel du Festival de Cannes

Voir aussi

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Articles connexes

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Liens externes

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