Le Plessis-Bouchard

commune française du département du Val-d'Oise

Le Plessis-Bouchard est une commune française située dans le département du Val-d'Oise, en région Île-de-France.

Le Plessis-Bouchard
Le Plessis-Bouchard
La mairie.
Blason de Le Plessis-Bouchard
Blason
Le Plessis-Bouchard
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Île-de-France
Département Val-d'Oise
Arrondissement Argenteuil
Intercommunalité Communauté d'agglomération Val Parisis
Maire
Mandat
Gérard Lambert-Motte
2020-2026
Code postal 95130
Code commune 95491
Démographie
Gentilé Plessis-Bucardésiens
Population
municipale
8 393 hab. (2021 en évolution de +2,77 % par rapport à 2015)
Densité 3 155 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 00′ 00″ nord, 2° 14′ 00″ est
Altitude 66 m
Min. 57 m
Max. 81 m
Superficie 2,66 km2
Type Grand centre urbain
Unité urbaine Paris
(banlieue)
Aire d'attraction Paris
(commune du pôle principal)
Élections
Départementales Canton de Domont
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Le Plessis-Bouchard
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Liens
Site web https://ville-le-plessis-bouchard.fr/

Ses habitants sont appelés les Plessis-buccardesiens.

Géographie

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Localisation

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Le Plessis-Bouchard se situe en vallée de Montmorency, à 20 km au nord-ouest de Paris.

Représentation cartographique de la commune
Carte OpenStreetMap
Carte topographique

Communes limitrophes

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La commune est limitrophe de Saint-Leu-la-Forêt (nord-est), Ermont (sud-est), Franconville (sud), Taverny (nord-ouest).

Communes limitrophes du Plessis-Bouchard[1]
Taverny Saint-Leu-la-Forêt
Plessis-Bouchard[1]
Franconville Ermont

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat océanique et le climat océanique altéré et est dans la région climatique Sud-ouest du bassin Parisien, caractérisée par une faible pluviométrie, notamment au printemps (120 à 150 mm) et un hiver froid (3,5 °C)[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 649 mm, avec 10,2 jours de précipitations en janvier et 7,7 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Pontoise à 11 km à vol d'oiseau[4], est de 12,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 666,7 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme

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Typologie

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Au , Le Plessis-Bouchard est catégorisée grand centre urbain, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[8]. Elle appartient à l'unité urbaine de Paris[Note 1], une agglomération inter-départementale regroupant 407 communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 2],[9],[10]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune du pôle principal[Note 3],[10]. Cette aire regroupe 1 929 communes[11],[12].

Voies de communication et transports

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La commune est facilement accessible par la gare de Franconville - Le Plessis-Bouchard (Transilien Paris-Nord et ligne C du RER) ou par l'autoroute A15 puis A115 (sortie no 2).

La commune est également desservie par les lignes de bus de la compagnie Cars Lacroix, 30-14 et 30-27.

Toponymie

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Le nom Bouchard vient de Bouchard le Barbu[13], premier seigneur de Montmorency. « Plessis » vient, quant à lui, de « Plesi » (1237) ou « Plesseio » (1269), suivis de « Plesseyum » (1274) et « Plesseiz » (1281), évoquant la palissade qui devait entourer le village[14].

Anciennement Plesseyum Buccardi, puis Plessis au XIIe siècle, la ville est une des plus petites communes de la vallée de Montmorency.

Histoire

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Antiquité et Moyen Âge

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En des temps indéterminés, les premiers habitants du Plessis-Bouchard se sont installés dans un environnement peu favorable : bois, landes et marais. Pour se protéger de la faune venue de la forêt de Boissy toute proche (cerfs, chevreuils, sangliers...), ils entourent leur hameau de claies ou de haies (plaisses), d’où le nom du village. Mais ils disposent d’un atout, peut-être à l’origine de leur installation : la proximité de la chaussée Jules-César, construite dans le premier quart du Ier siècle.

Au XIIe siècle, le hameau du Plessis fait partie de la paroisse de Saint-Leu, diocèse de Paris. En 1192, Maurice de Sully, évêque de Paris, érige le Plessis-Bouchard en paroisse. La chapelle existante devient alors l’église Saint-Nicolas. Selon les usages de l’époque, elle est entourée d’un cimetière.

La plus ancienne mention connue du nom du Plessis-Bouchard remonte donc à la fin du XIIe siècle[15].

Époque moderne

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Le Plessis-Bouchard sur la carte de Cassini, vers 1780.

Peu peuplé[16], le village du Plessis ne constitue pas une seigneurie ou un fief en soi, d’où l’absence de seigneur résident et de château. On ne trouve pas non plus trace de moulin, ce qui oblige les habitants à utiliser celui du seigneur de Saint-Leu-la-Forêt pour moudre leurs grains. Celui-ci exerce d’ailleurs la haute, moyenne et basse justice. Il partage les terres du Plessis avec la commanderie des Templiers de la commanderie de Cernay.

Au XIVe siècle, Nicolas Louviers, prévôt des marchands de Paris, constitue grâce à des acquisitions successives un vaste domaine au cœur du village.

Au début de la Révolution française, le cahier de doléances des habitants indique : Nous sommes dans une misère extrême et hors d’état de satisfaire à nos impositions, vu la cherté du blé (art. 9). Les doléances des habitants sont multiples : chemins impraticables, intrusions de la faune forestière, absence d’accès à l’eau potable...

Le premier maire du Plessis-Bouchard, un certain Roch Alline, est vite destitué (1794). L’église, fermée en 1793, ne rouvrira qu’en 1804[15].

Époque contemporaine

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Au XIXe siècle, le Plessis-Bouchard connaît des transformations importantes : création de la première mairie-école (1840), translation du cimetière (1851), érection d’une fontaine (1862)[15]... En 1874, la nouvelle mairie-école accueille une cinquantaine d’élèves, garçons et filles mélangés, rassemblés dans une classe unique. À la fin du siècle, la population est estimée à près de 400 habitants.

L'essor de la commune est assez récent, début du XXe siècle, dû essentiellement à l'arrivée du chemin de fer à proximité (Franconville).

Politique et administration

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Rattachements administratifs et électoraux

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Antérieurement à la loi du [17], la commune faisait partie du département de Seine-et-Oise. La réorganisation de la région parisienne en 1964 fit que la commune appartient désormais au département du Val-d'Oise et à son arrondissement de Pontoise, après un transfert administratif effectif au . Pour l'élection des députés, elle fait partie de la troisième circonscription du Val-d'Oise.

La commune faisait partie de 1801 à 1931 du canton de Montmorency, année où elle intègre le canton de Taverny, puis en 1976,le canton de Beauchamp[18]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, elle est désormais rattachée au canton de Domont.

Le Plessis-Bouchard fait partie de la juridiction d’instance de Montmorency, et de grande instance ainsi que de commerce de Pontoise[19],[20].

Intercommunalité

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La commune était membre fondateur de la communauté de communes Val-et-Forêt , créée en 2000, qui se transforme en communauté d'agglomération Val-et-Forêt.

Dans le cadre de la mise en œuvre de la loi MAPAM du , qui prévoit la généralisation de l'intercommunalité à l'ensemble des communes et la création d'intercommunalités de taille importante, le préfet de la région d'Île-de-France approuve le un schéma régional de coopération intercommunale qui prévoit notamment « l'extension du périmètre de la communauté d'agglomération Le Parisis aux communes de Frépillon, Saint-Leu-la-Forêt, Le Plessis-Bouchard, Ermont et Eaubonne[21] ».

Dans ce cadre est créé le la communauté d'agglomération Val Parisis (CAVP), dont la commune est désormais membre.

Tendances politiques et résultats

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Malgré la réélection du maire centriste Gérard Lambert-Motte au premier tour de l'élection municipale de 2014[22], le Plessis-Bouchard compte désormais un conseiller municipal Front National Bleu Marine, élu avec 11,7 % des voix. L'arrivée du frontiste Richard Passard a modifié la composition "droite-gauche" des conseils municipaux précédents, et cette tendance s'est confirmée lors des élections départementales de 2015, lors desquelles Richard Passard a obtenu 31 % des voix au second tour dans le canton de Pontoise[23].

Politique locale

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La commune, dont la population est aisée[Note 4] ne dispose en 2015 que de 6,97 % de logements sociaux par rapport à son parc de résidences principales (dont aucun construit entre 2014-2016), bien loin des 25 % prévus par l'article 55 de la loi relative à la solidarité et au renouvellement urbains (loi SRU).

En conséquence, le préfet a constaté l'état de carence de la commune, entraînant le quadruplement de la contribution financière payée par la commune à l'État, qui payait déjà 120 000  en 2016, malgré les protestations du maire, qui rappelle qu'en 1990, la ville ne comptait aucun logement social et que la construction de plusieurs centaines de logements est programmée[24].

Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1789 1791 Alexis Alline    
1791 1792 Etienne Voisin    
1792 1799 Alexis Alline    
1799 1808 Louis Delot    
1808 1838 Etienne Voisin    
1838 1846 Jean Alline    
1846 1852 Antoine Petroz    
1852 1860 Pierre Voisin    
1860 1870 Frédéric Gaillardet[25]   Homme de lettres et avocat
1870 1871 Pierre Voyer    
1871 1875 Zoroastre Alexandre,
dit Alexis Michal[25]
  Ingénieur de la Ville de Paris
1875 1876 Henri Alline    
1876 1881 Frédéric Gaillardet[25]   Homme de lettres, avocat et homme politique français
1881 avril 1883 Henri Alline   décès en cours de mandat
avril 1883 janvier 1884 Léon Alline   Adjoint faisant fonction de Maire
février 1884 mai 1884 Joseph Jubert    
juillet 1884 novembre 1885 Raoul Frary[25]   Journaliste
décembre 1885 avril 1888 Joseph Jubert    
mai 1888 avril 1892 Alphonse Finot    
mai 1892 février 1897 Evariste Eymond   Officier d'Académie, Officier de l'Instruction Publique
mars 1897 décembre 1898 Jules Voisin   Démissionnaire en décembre 1898
février 1899 1900 Evariste Eymond   Officier d'académie, officier de l'Instruction publique
1900 1903 Jean-Baptiste Eymond    
1903 1904 Noël Dubray    
1904 1908 Jules Voisin    
1908 1909 Amédée Poncet    
1909 1919 Jules Voisin    
1919 1925 Maurice Bernard    
1925 1929 Jules Voisin    
1929 1947 André Guillaumie    
1947 1959 Théodule Villeret    
mars 1959 mars 1989 Yves Carric DVD Cadre supérieur
Conseiller général de Beauchamp (1976 → 1992)
mars 1989 1997 Jacques Templier   Décès en cours de mandat
décembre 1997[26] En cours Gérard Lambert-Motte DVD puis
UMP-LR
Fonctionnaire du ministère de l'Equipement retraité
Conseiller général de Beauchamp (2011 → 2015)
Conseiller départemental de Taverny (2015 → )
Vice-président de la CA Communauté d'agglomération Val-et-Forêt ( ? → 2015)
Vice-président de la CA Val Parisis (2016 → )

Réélu pour le mandat 2014-2020[27],[22]

Jumelages

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Population et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[29].

En 2021, la commune comptait 8 393 habitants[Note 5], en évolution de +2,77 % par rapport à 2015 (Val-d'Oise : +3,39 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
222214221211202205188204204
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
208218243244265307340353395
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
3893804846711 3071 5961 6621 6692 103
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
2 9533 8205 6005 4006 1387 0067 6667 7638 230
2021 - - - - - - - -
8 393--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[18] puis Insee à partir de 2006[30].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement

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On trouve[Quand ?] sur le territoire communal un collège, deux écoles primaires et deux écoles maternelles[réf. nécessaire].

Manifestations culturelles et festivités

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Le centre culturel Jacques-Templier abrite[Quand ?] une bibliothèque et l'école municipale des Arts et de la Musique (E.M.A.M.)[réf. nécessaire].

Au Plessis-Bouchard, on trouvait la clinique St-Nicolas rue Pasteur. Une maison de retraite y est installée[Quand ?], rue Gabriel-Péri : Le Grand Clos[réf. nécessaire].

Le Centre Magic Sports existe actuellement et sert d'installation sportive. On y pratique le fitness, l'haltérophilie, etc. Il se situe devant le Grand Clos derrière les Hauts-de-Saint-Nicolas.

Il existe deux églises au Plessis-Bouchard : Saint-Nicolas (historique) et Saint-François (moderne)[réf. nécessaire].

Sur la place pavée de l'église Saint-Nicolas, se trouvent deux calvaires de pierre disposés sur leur piédestal de chaque côté de l'édifice.

L'église Saint-Francois-de-Sales, elle, est plus moderne ; son toit n'est pas piqué mais plat, où la Croix réside. Une mosaïque est installée sur le devant de l'autel. Elle représente les quatre évangélistes. Le Père Guillaume est le curé de la paroisse et gère les deux églises.

Économie

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Culture locale et patrimoine

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L'église Saint-Nicolas.

Lieux et monuments

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On peut signaler :

  • Église Saint-Nicolas, du XVIIe et XIXe siècle[31]
  • Ferme, 14 rue Charles-de-Gaulle[31]
  • Maison bourgeoise du XVIIIe siècle[31]
  • Croix de 1893, rue Charles-de-Gaulle / rue Pierre-Brossolette[31]
  • Mairie-école de 1874[31]
  • Tombe franco-allemande de la guerre de 1870, au cimetière
Cette tombe réunit vingt-cinq soldats, tant français qu'allemands, tombés pendant la guerre de 1870. À l'exception d'un certain William Meinecke (1844-1871), leur identité n'est pas indiquée.

Personnalités liées à la commune

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  • Frédéric Gaillardet (1808-1882), homme de lettres, avocat, homme politique et maire du Plessis-Bouchard où il est mort.
  • Richard Pottier (1906-1994), réalisateur français d'origine autrichienne (né Ernst Deutsch), mort au Plessis-Bouchard.
  • Sébastien Tellier (1975-), chanteur, né au Plessis-Bouchard.
  • Romain Mesnil (1977-), athlète, né au Plessis-Bouchard.
  • Lorie Pester (1982-), chanteuse, née au Plessis-Bouchard.
  • Stéphanie Frappart (1983-), arbitre internationale de football, née au Plessis-Bouchard.
  • DJ Snake (1986-), disc jockey, a grandi au Plessis-Bouchard.

Héraldique

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Blason de Le Plessis-Bouchard Blason
Coupé : au premier d'or à la croix de gueules cantonnée de seize alérions d'azur ordonnés 2 et 2, au second aussi d'azur à l'enclos d'argent entouré d'une haie circulaire d'or.
Détails
Au 1er figurent les armes de la famille de Montmorency afin de marquer le souvenir de Bouchard le Barbu, seigneur du lieu ; au 2d, l’enclos entouré d’une haie circulaire stylisée concrétise l’étymologie de Plessis, qui désigne un enclos entouré de pieux et de branches entrelacés.

Voir aussi

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Bibliographie

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  • M. et Mme Boulard et Valérie Jacquemin, Le Patrimoine des Communes du Val-d'Oise - tome 1, Paris, Éditions Flohic, , 1054 p. (ISBN 2-84234-056-6), « Le Plessis-Bouchard », p. 75-76
  • Histoire du Plessis-Bouchard, par Christine Poupon et Dominique Renaux, Paris, Agence régionale d’édition pour les municipalités, 1982

Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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  1. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  2. Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Paris comprend une ville-centre et 406 communes de banlieue.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Selon les données du recensement de 2014, seuls 6,0 % des foyers de la commune ont un revenu inférieur au taux de pauvreté (tableau REV G1), et les 10 % les plus aisés de la commune ont un revenu moyen de 43 032  par unité de consommation, pour un revenu médian de 26 884  (Tableau REV T3).
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Références

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  1. « Communes limitrophes du Plessis-Bouchard » sur Géoportail..
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  4. « Orthodromie entre Le Plessis-Bouchard et Pontoise », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Pontoise -Ville » (commune de Pontoise) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « Pontoise -Ville » (commune de Pontoise) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  8. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  9. « Unité urbaine 2020 de Paris », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  10. a et b Insee, « Métadonnées de la commune ».
  11. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  13. Le prénom Bouchard, fréquent dans la famille de Montmorency, y a été accolé au XVIe siècle – « Plecis Bouchart ».
  14. Histoire du Plessis-Bouchard, par Christine Poupon et Dominique Renaux, Paris, Agence régionale d’édition pour les municipalités, 1982
  15. a b et c Histoire générale du Plessis-Bouchard, Hervé Collet et Gérard Ducoeur, 2009.
  16. Le Plessis-Bouchard ne compte qu’une centaine d’habitants en 1709.
  17. Loi no 64-707 du 10 juillet 1964 portant réorganisation de la région parisienne, JORF no 162 du 12 juillet 1964, p. 6204–6209, fac-similé sur Légifrance.
  18. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  19. Site du Conseil général - Administration du Val-d'Oise
  20. Ministère de la justice - Conseil Départemental de l'Accès au Droit du Val-d'Oise
  21. « Arrêté du Préfet de la région Île-de-France du 4 mars 2015 portant adoption du schéma régional de coopération intercommunale » [PDF], sur www.marneetgondoire.fr (consulté le ).
  22. a et b Jérôme Cavaretta, « Gérard Lambert-Motte réélu : Gérard Lambert-Motte, le maire Ump sortant, est réélu dès le premier tour avec 62,69% des voix. Fanny Boyer, la candidate Ps, obtient 16,13% des suffrages », La Gazette du Val-d'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  23. « Résultats des élections : Canton Pontoise », Résultats 2ème tour du canton Pontoise, sur francetvinfo.fr, (consulté le ).
  24. Alexandre Boucher, « La Frette et le Plessis-Bouchard bien remontés contre la loi SRU : Furieux des fortes amendes attribuées à leur ville pour non-respect de la loi SRU, les maires des deux communes ont déposé des recours gracieux », Le Parisien, édition du Val-d'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  25. a b c et d Hervé Collet, Gérard Ducoeur, « Le Plessis-Bouchard (suite) », Valmorency - association pour la promotion de l'histoire et du patrimoine de la Vallée de Montmorency, (consulté le ).
  26. « Gérard Lambert-Motte, le successeur », Le Parisien, édition du Val-d'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Élu au conseil municipal en 1983, il devient 1er adjoint au maire en 1995 et maire en 1997. Il a été réélu à plus de 70% lors des deux derniers scrutins municipaux ».
  27. Marie Persidat, « Municipales au Plessis-Bouchard : déjà trois listes prêtes à s’affronter », Le Parisien, édition du Val-d'Oise,‎ (lire en ligne).
  28. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  29. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  30. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  31. a b c d et e M. et Mme Boulard et Valérie Jacquemin, « Le patrimoine des communes du Val-d’Oise : Le Plessis-Bouchard », Collection Le Patrimoine des Communes de France, Paris, Flohic Éditions, vol. I,‎ , p. 75-76 (ISBN 2-84234-056-6).