Lestre

commune française du département de la Manche

Lestre est une commune française, située dans le département de la Manche en région Normandie, peuplée de 246 habitants[Note 1].

Lestre
Lestre
L'église Saint-Martin.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Manche
Arrondissement Cherbourg
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Cotentin
Maire
Mandat
Sylvie Amiot
2020-2026
Code postal 50310
Code commune 50268
Démographie
Gentilé Lestrais
Population
municipale
246 hab. (2021 en évolution de −3,91 % par rapport à 2015)
Densité 32 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 31′ 34″ nord, 1° 20′ 06″ ouest
Altitude Min. 1 m
Max. 45 m
Superficie 7,57 km2
Type Commune rurale à habitat très dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Valognes
Législatives Première circonscription
Localisation
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Lestre

Géographie

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En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Normandie (Cotentin, Orne), caractérisée par une pluviométrie relativement élevée (850 mm/a) et un été frais (15,5 °C) et venté[3]. Parallèlement le GIEC normand, un groupe régional d’experts sur le climat, différencie quant à lui, dans une étude de 2020, trois grands types de climats pour la région Normandie, nuancés à une échelle plus fine par les facteurs géographiques locaux. La commune est, selon ce zonage, exposée à un « climat maritime », correspondant au Cotentin et à l'ouest du département de la Manche, frais, humide et pluvieux, où les contrastes pluviométrique et thermique sont parfois très prononcés en quelques kilomètres quand le relief est marqué[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 10,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 969 mm, avec 14,2 jours de précipitations en janvier et 6,9 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Gonneville-Le Theil à 16 km à vol d'oiseau[5], est de 11,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 940,4 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Urbanisme

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Typologie

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Au , Lestre est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[9]. Elle est située hors unité urbaine[10] et hors attraction des villes[11],[12].

La commune, bordée par la Manche, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[13]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, comme le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d'urbanisme le prévoit[14].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (98,3 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (98,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (47,4 %), zones agricoles hétérogènes (31 %), terres arables (19,9 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (0,9 %), zones urbanisées (0,8 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie

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Le nom de la localité est attesté sous les formes Laxtra en 738, de Lestra entre 1159 et 1181[16], ancien hameau d'Anglesqueville-Lestre.

L'origine du toponyme Lestre est incertaine. Peut-être s'agit-il d'un dérivé du bas latin extera (partie extérieure d'une propriété), l'ancien français l'estre désignait le jardin d'une maison ou le fossé d'un ouvrage fortifié[17], selon une proposition ancienne formulée par Albert Dauzat. Par ailleurs, on a fait l'hypothèse d'un pré-latin *Lasara altéré en Lastra par ajout d'un [t] intermédiaire comme dans nascere > naître, la racine las se retrouve par exemple dans la Laize, rivière du Calvados et dans le nom de nombreux autres cours d'eau européens[16]. En outre, la Sinope est nommée fleu de Lestre dans un texte médiéval, c'est-à-dire « rivière de Lestre ».

Avant la création de la commune en 1793, le nom de la paroisse est attesté sous les formes Anglesville et Englesqueville-Lestre. Réunie en 1812 avec celles de Hautmoitiers et de Tourville pour former la nouvelle commune de Lestre. Il est à noter que le nom du hameau de Lestre avait remplacé dans l'usage celui de la paroisse Anglesqueville dès le XVIIe siècle, il s'agit du type toponymique normand Englesqueville, la graphie An- reflète une francisation (ou une latinisation) du toponyme initial, Englesqueville signifiant littéralement « domaine (rural) anglais ».

À ne pas confondre avec la commune d'Aumeville-Lestre voisine appartenant, au Moyen Âge, au fief de Lestre.

Le gentilé est Lestrais.

Histoire

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Des traces d'habitations d'époque gallo-romaine ont été découvertes sur la commune[18].

Un Guillaume de Le(s)tre était aux côtés de Guillaume le Conquérant à Hastings en 1066, et Odon (ou Eudes), seigneur d'Englesqueville participa aux croisades en Terre-Sainte[19].

Eudes (ou Odon) Le Bouteiller (XIIe siècle), seigneur de Lestre et d'Escalleclif donna l'église ainsi que celle de Doville à l'abbaye de Blanchelande avant de partir en Terre Sainte[20].

Une mention, aux environs de 1120, fait référence aux poissons gras (cétacés fournissant du lard : baleines, marsouins, cachalots, etc.) pêchés entre la Saire et la baie des Veys par les Waumanni[Note 2] de Lestre, Saint-Vaast, Quinéville et Saint-Marcouf au profit de l'abbaye de Montebourg[21].

Dans un texte de la fin du XIVe siècle il est mentionné que la paroisse, dans le cadre de la guerre de Cent Ans, avait été totalement détruite[22].

En 1812, Lestre (568 habitants en 1806) absorbe Hautmoitiers (85 habitants, au nord-ouest du territoire) et Tourville (65 habitants, au sud)[23],[24],[25]. Lestre avait réuni les paroisses d'Anglesqueville et de Lestre avant la création des communes sous la Révolution.

Politique et administration

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La mairie.
Liste des maires
Période Identité Étiquette Qualité
1971 1995 Jacques de Bonneau de Beaufort DVD  
1995[26] mars 2008 René Lefauconnier SE  
mars 2008 3 octobre 2016[27] Alain Michel[28] SE Retraité de la fonction publique
octobre 2016 En cours Sylvie Amiot SE Retraitée de la fonction publique
Les données manquantes sont à compléter.

Le conseil municipal est composé de onze membres dont le maire et trois adjoints[28].

Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[30].

En 2021, la commune comptait 246 habitants[Note 3], en évolution de −3,91 % par rapport à 2015 (Manche : −0,76 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
490486568748730750718694640
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
628656670590557604536543558
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
539504452417413398422380394
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
397366277230256224248265247
2021 - - - - - - - -
246--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[23] puis Insee à partir de 2006[31].)
Histogramme de l'évolution démographique
Évolution démographique de Hautmoitiers
1793 1800 1806
767185
(Sources : EHESS[24])
Évolution démographique de Tourville
1793 1800 1806
475465
(Sources : EHESS[25])

Économie

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Lieux et monuments

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La chapelle Saint-Michel.
Le château de Tourville.
Clocher de l'église Saint-Jean-Baptiste.
  • Église Saint-Martin des XIIe – XVIIe siècles avec clocher en bâtière et portail du XIIIe. Elle abrite un tableau l'Adoration des Mages XVIIIe).
  • Ruines de la chapelle Saint-Michel des Xe – XIIe siècles située dans le bourg de Lestre, sur le chemin des pèlerins de Saint-Jacques. Elle est classée par liste de 1862[32].
  • Prieuré.
  • Manoir de la Cour de Lestre, manoir-ferme des XIe, XVe – XVIIIe siècles[33], qui fut la demeure des seigneurs de Lestre. On accède à son rez-de-chaussée surélevé par un escalier à double révolution. Des douves cernent les bâtiments en équerre que l'on franchit par un pont. La façade s'éclaire par des fenêtres à linteau droit, et les combles, par des lucarnes à œil-de-bœuf. Les communs possèdent une charretterie avec des arcades en plein cintre et le pigeonnier a été conservé. À la fin du XVe siècle la seigneurie de Lestre passe entre les mains d'Olivier de Chapedelaine qui la vend à Guillaume d'Ursus[34]. En 1523, elle est la possession du sire Guillaume Dursus (d'Ursus)[35], seigneur de Lestre et d'Anneville[Note 4]. Après lui sont reconnus seigneurs de Lestre, Louis Dursus (1562), François Dursus (1576)[36].
  • Château de Tourville, du XVIIIe siècle, inscrit au titre des monuments historiques depuis le [37]. Bâti par la famille de Tourville en 1750 il est acquis par Louis de La Couldre de La Bretonnière, constructeur du port de Cherbourg[19].
  • Motte castrale de Tourville.
  • Fermes de la Motte et de la Rozelle des XVIIe – XVIIIe siècles.
  • Manoir de la Hougue du XVIe siècle. L'ancien fiefferme de la Hougue fut notamment la possession de Richard Lucas de Néhou[19].
  • Clocher de l'église Saint-Jean-Baptiste, seul vestige de l'église de Tourville, à proximité du château éponyme.
  • Ancien presbytère médiéval reconverti en mairie.
  • Ancien fort (redoute du XVIIe siècle).
  • Monument mégalithique dit le Champ de pierres, découvert par Frédéric Scuvée en 1971[19].
  • Ponts romains.
  • Anciens moulins, et anciens four à chaux.
  • Croix du XVIIIe siècle en granit.

Activité et manifestations

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Personnalités liées à la commune

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  • Guillaume Dursus, fait seigneur de Lestre au XVIe siècle et compagnon d'armes de François Ier.
  • Albert Voisin (Lestre, 1905 - 1994) peintre et sculpteur.
  • Pierre Godefroy (1915 - Lestre, 1992), homme politique.
  • Allain Leprest (Lestre, 1954 - Antraigues-sur-Volane, 2011), poète-parolier et chanteur.
  • Gabriel Bacquier (1924 - Lestre, 2020), artiste lyrique baryton-basse.

Notes et références

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  1. Population municipale 2021.
  2. Terme norrois que l'on peut traduire par baleiniers.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  4. C'est Guillaume d'Ursus, originaire de Navarre, qui introduisit des variétés de pommes d'Espagne, notamment au domaine de la Cour[19].
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée ».
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. GIEC normand, Le climat en Normandie : présentation et évolution, , 18 p. (lire en ligne), p. 2.
  5. « Orthodromie entre Lestre et Gonneville-Le Theil », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Gonneville » (commune de Gonneville-Le Theil) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Gonneville » (commune de Gonneville-Le Theil) - fiche de métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  9. « La grille communale de densité », sur Insee, (consulté le ).
  10. Insee, « Métadonnées de la commune de Lestre ».
  11. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur Insee, (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur Insee, (consulté le ).
  13. « Les communes soumises à la loi littoral », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr, (consulté le ).
  14. « Loi relative à l’aménagement, la protection et la mise en valeur du littoral », sur cohesion-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  16. a et b François de Beaurepaire (préf. Yves Nédélec), Les Noms des communes et anciennes paroisses de la Manche, Paris, A. et J. Picard, , 253 p. (ISBN 2-7084-0299-4, OCLC 15314425), p. 146.
  17. René Lepelley, Dictionnaire étymologique des noms de communes de Normandie, Condé-sur-Noireau, Éditions Charles Corlet, (ISBN 2-95480-455-4 (édité erroné), BNF 36174448), p. 158.
  18. Delattre, 2002, p. 122.
  19. a b c d et e Gautier 2014, p. 366.
  20. Gautier 2014, p. 186.
  21. Julien Deshayes, « Les Waumanni de la baie des Veys », dans Laurence Jeanne, Laurent Paez-Rezende, Julien Deshayes, Bénédicte Guillot, et la collaboration de Gaël Léon, ArchéoCotentin, t. 2 : Les origines antiques et médiévales du Cotentin à 1500, Bayeux, Éditions OREP, , 127 p. (ISBN 978-2-8151-0790-7), p. 67.
  22. Michel Hébert et André Gervaise, Châteaux et manoirs de la Manche, Condé-sur-Noireau, Éditions Charles Corlet, , 176 p. (ISBN 978-2-84706-143-7), p. 35.
  23. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  24. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Hautmoitiers », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le )..
  25. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Tourville », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le )..
  26. « La liste « D'intérêt communal » d'Alain Michel », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
  27. Pour des raisons personnelles, le maire a présenté auprès de la préfecture le sa demande de démission : celui-ci reste toujours conseiller municipal - OF du 12 octobre 2016.
  28. a et b Réélection 2014 : « Lestre (50310) - Municipales 2014 », sur elections.ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
  29. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  30. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  31. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  32. « Ruines de la chapelle Saint-Michel », notice no PA00110439, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  33. Norbert Girard et Maurice Lecœur, Trésors du Cotentin : Architecture civile & art religieux, Mayenne, Éditions Isoète, , 296 p. (ISBN 978-2-913920-38-5), p. 199.
  34. Blasons du Clos du Cotentin, 1996, p. 115.
  35. Girard et Lecœur 2005, p. 15.
  36. Université Inter-Âges de Basse-Normandie - Antenne de Cherbourg (préf. Rodolphe de Mons), Blasons armoriés du Clos du Cotentin, Condé-sur-Noireau, Éditions Charles Corlet, , 214 p. (ISBN 2-85480-543-7), p. 114.
  37. « Château de Tourville », notice no PA50000053, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.

Voir aussi

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Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie

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  • Daniel Delattre et Emmanuel Delattre, La Manche les 602 communes, Grandvilliers, Éditions Delattre, , 280 p. (ISBN 978-2-9159-0709-4), p. 122.
  • René Gautier et al. (préf. Jean-François Le Grand, postface Danièle Polvé-Montmasson), 601 communes et lieux de vie de la Manche : Le dictionnaire incontournable de notre patrimoine, Bayeux, Éditions Eurocibles, coll. « Inédits & Introuvables », , 704 p. (ISBN 978-2-35458-036-0), p. 366.

Articles connexes

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Liens externes

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