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Liste de fortifications en Algérie

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Liste de forts, fortifications, citadelles et places fortes en Algérie

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Wilaya d'Alger modifier

Vue sur le bordj de Tamentfoust

Wilaya d'Annaba modifier

  • La citadelle, fort des suppliciés et les vestiges du rempart de la ville Fortif. /Mod
  • Fort de la cigogne
  • Pointe de la pescarde (ex. fort Turc)
  • Sour Ethakana el Kadiùm

Wilaya de Béjaïa modifier

  • Fort de la Casbah
  • Fort Moussa-Barral
  • Fort Abdelkader
  • Fort Gouraya
  • Fort Clausel
  • Fort Lemercier
  • Tour Doriac
  • Blockaus Doriac
  • Remparts Hammadites (médiévale)
  • Fort de la Casbah (médiévale)
  • Restes de l’enceinte fortifiée de la Porte Fouka(médiévale)
  • Citadelle des Zianides dénommée Lassouar (El- Kseur)
  • Kalâa des Beni Abbès
  • fort d’Assas, Iglhi Alouanene

Wilaya de Bouira modifier

Wilaya de Tipaza modifier

  • Fort Génois
  • L’ensemble de l’enceinte Romaine

Wilaya de Guelma modifier

  • Citadelle Bouatfane (Ain El Arbi).

Wilaya de Jijel modifier

  • Fort Duquesne

Wilaya de Mostaganem modifier

  • Borj Et-tork (Fort de l’Est)

Wilaya de M'Sila modifier

  • Ksar de la Médina de Bou-Saâda, architecture vernaculaire en terre qui date du VIIIe siècle (Bou-Saâda)
  • Kalâa des Béni Hammad (commune de Maâdid, M'sila)
  • Fort Cavaignac, fortification militaire française (Bou-Saâda)

Wilaya d'Oran modifier

Oran modifier

  • Fort de Santa-Cruz (Oran). 35° 42′ 33,09″ N, 0° 39′ 54,81″ O
  • Fort Lamoune, construit par les espagnols au XVIIe siècle, siège de la Ve région maritime au temps de la présence française, il est devenu ensuite une boite de nuit. Aujourd'hui occupé par la Gendarmerie algérienne. 35° 42′ 48,89″ N, 0° 39′ 24,14″ O
  • Fort de Saint Grégoire ou batterie, construit par les Espagnols au XVIIe siècle, sous le règne du roi Philippe II, avec huit canons, il est pris par les turcs en 1708 et les français en 1830 qui l’utilisent un temps comme prison militaire. En 1940, elle est équipée de quatre canons de 95 mm Mle 1888. Aujourd'hui il est totalement abandonné. 35° 42′ 22,26″ N, 0° 39′ 01,97″ O
  • Château-Neuf, le plus ancien château-fort d'Oran. Construit au XIVe siècle, il existe donc déjà lors de la conquête de la ville par les Espagnols qui le nomment Rosalcazar, de son nom en arabe de Bordj el Ahmar (fort rouge), et l'agrandissent. À la chute de la ville en 1708, il devient résidence du bey d'Oran puis celle des autorités militaires françaises après la conquête. Il est aujourd'hui en déshérence totale. 35° 42′ 37,99″ N, 0° 39′ 36,15″ O
  • Fort Saint André ou Fort-Neuf construit par les Espagnols en 1693 sur un emplacement qui commande les accès à Oran depuis l'est, il est alors, avec trente six canons, le fort de la place d'Oran le mieux armé. Détruit par une explosion de la poudrière en 1769. Remis en état par les Français il sert de caserne, notamment aux Spahis. Occupé ensuite par l'armée algérienne, il semble aujourd'hui en mauvais état. 35° 41′ 53,63″ N, 0° 39′ 10,16″ O
  • Fort Saint Philippe, construit en 1557-1558, il est détruit en 1708 après la prise de la ville par le Bey turc Mustapha Ben Youssef. Entièrement rasé par l'armée algérienne au début des années 1970. 35° 41′ 37,45″ N, 0° 39′ 24,16″ O
  • Réduit Santa Barbara ou Sainte Barbe, était situé sur la muraille, entre Rosalcazar et le fort Saint-André.
  • Fort Sainte-Thérèse. 35° 42′ 25,65″ N, 0° 38′ 34,045″ O approximativement
  • Fort Saint Louis, était situé dans l'enceinte du fort Saint-André, vers l'est. Sa position exacte est inconnue.
  • Fortin de Santiago, était situé sur les pentes de Santa-Cruz. Sa position exacte est inconnue.
  • Fortin Saint Pedro, était situé à l'est du fort Saint-André et au sud de la vieille casbah d'Oran. Sa position exacte est inconnue.
  • Forteresse Saint Pierre
  • Vieux Fort

Mers el-Kébir modifier

Wilaya de Skikda modifier

  • Fort de France (puis Philippeville, puis Skikda)
  • Fort d'El Kantara

Wilaya de Tizi Ouzou modifier

  • Larbaâ Nath Irathen, Fort Napoléon, puis Fort national
  • Le fort de Sabaou ou Bordj de Tizi-ouzou Fortification (Tizi-ouzou)

Wilaya de Tlemcen modifier

  • El Mechouar
  • Rempart de la Casbah (Nedroma)
  • Reste de fortification Bordjs et autres ouvrages dépendant des fronts Sud et Ouest
  • Fortifications/Med (Mansourah) remparts Mérinides, l’enceinte se développe sur 4000m.
  • Enceinte en pise de Mansourah et ruines de la Macalla (Mansourah)
  • Casbah Oued Koriche

Les forts du Sahara modifier

Les premiers forts modifier

Les grands forts d'arrêt modifier

Les bordjs relais de la piste entre Ghardaïa et El-Goléa modifier

Les six fortins ont été construits entre 1892 et 1896, après la prise d'El-Goléa, pour sécuriser les liaisons entre les deux villes:

Bordjs des oasis du Gourara, du Touat et du Tidikelt modifier

Bordjs construits après la prise d'In-Salah () pour contrôler les oasis, jusqu'alors sous la suzeraineté de l'empire Chérifien[1] :

Bordjs du Sud Oranais modifier

  • Tindouf [2]:
    • Bordj Laridon, sur les bords de la cuvette entourant Tindouf.
    • Bordj Ressot (1935), au centre de Tindouf.
    • Bordj du BILA (1955), du nom du 3e bataillon d'infanterie légère d'Afrique qui l'occupe à sa création. Construit aussi sur les bords de la cuvette entourant Tindouf.

Sahara des Touaregs modifier

Les derniers forts modifier

Fort Serouanout dans le sable de Dider, Algérie, 1992.
Fort Serouanout, Dider, Algérie, 1992.

Autres forts d'Algérie modifier

  • Mur d’Époque Byzantine (Tébessa)
  • Citadelle de Sétif (Sétif).
  • Remparts en terre avec ses créneaux ruines concernant l’émir Abdelkader (Sidi-Kada).
  • Remparts Romains et Cimetière Punique (Hadjout).
  • Remparts de Beni Isguen (Ghardaïa).

Références modifier

  1. ↑ Roger Delerive, Forts sahariens des territoires du Sud, Geuthner, 1991, p. 99.
  2. ↑ Serge Douceret, Les morsures de l'Ouarkziz - Souvenirs d'un séjour dans les Bat d'Af, 2008, p. 17.

Voir aussi modifier

Articles connexes modifier

Liens externes modifier

  • « Forts au Sahara Algérien. Emplacement des Forts du Sahara Central », sur saharayro.free.fr (consulté le ) : « Les Forts du Sahara Central sont essentiellement des forts du Sahara Touareg. », avec plan de situation des forts :
    Bordj Abalessa, Bordj Admer, Bordjs d'Adrar, Bordj Ain El Hadjadj, Bordj Ain Guettara, Bordj Amguid Neuf, Bordj Amguid Vieux, Bordj Arak, Bordj Arrikine, Bordj Estienne, Bordj Hassi Issendjel, Bordj Hirhafok, Bordj Ideles, Bordj Iherir, Bordj In Ecker, Bordj In Ezzane, Bordj In Guezzam, Bordj Laouine, Bordj Le Prieur, Bordj Lieutenant Gelas, Bordj Mereksen, Bordj Peres, Bordj Pierre Bordes, Bordj Père de Foucauld, Bordjs de Reggan, Bordj Serouenout, Bordj Silet, Bordj Tadjemout, Bordj Takoumbaret, Bordj Tan Kena, Bordj Timellouine, Bordj Tin Alkoum, Camp Bugeaud, Fort Charlet, Fort Flatters, Fort Gardel, Fort Hassi Bel Guebbour, Fort Laperrine, Fort Motylinsky, Fort Ouallene, Fort Polignac, Fort Tarat, Kasbah Bebkha in Rahr, Kasbah De Tit, Kasbah Jacques (à Adrar), Kasbah Ravillon Aoulef, Kasbah Servière (à Adrar), Poste Cortier-Bidon V, Poste Weygand. (Redoute Flatters se trouve à In Azaoua en Niger à la frontière algérienne.)
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