Macchi M.7
Le Macchi M.7 est un hydravion de chasse italien monoplace conçu par Alesandro Tonini et construit par Macchi. Une version modifiée, le M.7bis, remporta le Coupe Schneider de 1921.
Macchi M.7 immatriculé 20781 | |
Constructeur | Nieuport-Macchi (devenu Aeronautica Macchi en ) Caproni |
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Rôle | Hydravion de chasse |
Statut | Retiré du service |
Premier vol | |
Mise en service | |
Date de retrait | ( Regia Aeronautica) |
Équipage | |
1 pilote | |
Motorisation | |
Moteur | V6 Isotta Fraschini |
Nombre | 1 |
Type | Moteur V6 |
Puissance unitaire | 260 ch |
Dimensions | |
Envergure | 9,95 m |
Longueur | 8,09 m |
Hauteur | 2,97 m |
Surface alaire | 23,50 m2 |
Masses | |
À vide | 805 kg |
Maximale | 1 098 kg |
Performances | |
Vitesse maximale | 200 km/h |
Plafond | 7 000 m |
Autonomie | 3 h |
Armement | |
Interne | 2 Mitrailleuse Vickers de 7,7 mm |
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Conception et développement
modifierLa M.7 était similaire au précédent M.5 avec une coque modifiée et motorisé par un moteur V6 Isotta Fraschini. En raison de la fin de la première Guerre Mondiale, seulement 17 avions furent livrés à la Marine italienne. En 1919, deux exemplaires furent vendus à l'Argentine et à la Suède, et en 1921, le Brésil en acheta trois.
En 1920 Tonini conçu le M.7bis, une version de course du M.7 pour la Coupe Schneider. Le M.7bis avait une structure plus légère et des ailes réduites. Cinq M.7 participèrent à la compétition de 1921 à Venise. Celle-ci fut remportée par Giovanni di Briganti sur M.7bis. En 1922 à Naples, le M.7bis arriva en quatrième position lors de la même course.
En 1923, une nouvelle variante du M.7 apparu, le M.7ter. Il avait reçu une coque redessinée, une nouvelle configuration des ailes et une nouvelle queue. Trois versions différentes de la M.7ter furent construits, dont le M.7ter AR, qui avait des ailes pliantes pour lui permettre d'opérer à partir du porte-hydravion Giuseppe Miraglia. En 1924, six escadrons de la marine italienne furent équipés avec le M.7ter et plus de 100 exemplaires de cet avion furent construits. Le M.7 a également été utilisé à la fin 1940 par des écoles de pilotage civiles.
Opérateurs
modifierVoir aussi
modifierListes connexes
Références
modifier- Michael J. H. Taylor, Jane's Encyclopedia of Aviation, Londres, Studio Editions,
- The Illustrated Encyclopedia of Aircraft (Part Work 1982-1985), Orbis Publishing