Maisoncelle-Tuilerie

commune française du département de l'Oise

Maisoncelle-Tuilerie est une commune française située dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France.

Maisoncelle-Tuilerie
Maisoncelle-Tuilerie
Paysage de la rue principale
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Clermont
Intercommunalité CC de l'Oise picarde
Maire
Mandat
Gérard Levoir
2020-2026
Code postal 60480
Code commune 60377
Démographie
Gentilé Maisoncellois, Maisoncelloises
Population
municipale
282 hab. (2021 en évolution de −6,31 % par rapport à 2015)
Densité 37 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 35′ 23″ nord, 2° 13′ 15″ est
Altitude Min. 110 m
Max. 188 m
Superficie 7,72 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Beauvais
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Saint-Just-en-Chaussée
Législatives 1re circonscription de l'Oise
Localisation
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Maisoncelle-Tuilerie
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Maisoncelle-Tuilerie
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Maisoncelle-Tuilerie
Liens
Site web https://maisoncelletuilerie.fr/fr/

Géographie

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Localisation

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Maisoncelle-Tuilerie est un village-rue rural du Plateau Picard situé à 21 km au nord-est de Beauvais, 34 km au sud d'Amiens. .

La commune se trouve dans l'aire urbaine de Beauvais ainsi que dans sa zone d'emploi, et dans le bassin de vie de Breteuil (Oise)[I 1].

Communes limitrophes

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Les communes limitrophes sont Froissy, Hardivillers, Oursel-Maison, Puits-la-Vallée, Sainte-Eusoye et Troussencourt.

Communes limitrophes de Maisoncelle-Tuilerie
Oursel-Maison Hardivillers Troussencourt
Puits-la-Vallée Maisoncelle-Tuilerie
Froissy Sainte-Eusoye

Géologie et relief

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La superficie de la commune est de 7,72 km2 ; son altitude varie de 110 à 188 mètres[1].

La commune est située dans une vallée sèche orientée nord/sud et qui se dirige vers la source de la Noye

Hydrographie

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Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseau hydrographique de Maisoncelle-Tuilerie[Note 2].

La commune est située dans le bassin Artois-Picardie.

Elle n'est drainée par aucun cours d'eau[Carte 1].

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l'année et un hiver froid (°C)[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 749 mm, avec 11,8 jours de précipitations en janvier et 8,4 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Rouvroy-les-Merles à 12 km à vol d'oiseau[4], est de 10,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 647,9 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme

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Typologie

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Au , Maisoncelle-Tuilerie est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[8].

Elle est située hors unité urbaine[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Beauvais, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[I 1]. Cette aire, qui regroupe 162 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[9],[10].

Occupation des sols

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Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (89,3 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (89,4 %).

La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (86,4 %), zones urbanisées (7,8 %), zones agricoles hétérogènes (2,9 %), forêts (2,8 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,1 %)[11].

L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Lieux-dits, hameaux et écarts

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Le hameau de la Neuve-Rue, autrefois divisé entre Maisoncelle-Tuillerie, Hardivillers et Sainte-Eusoye est intégré à la seule commune de Maisoncelle-Tuilerie par la loi du [12], et est désormais en continuité du village.

Habitat et logement

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En 2021, le nombre total de logements dans la commune était de 134, alors qu'il était de 131 en 2016 et de 133 en 2011[I 2].

Parmi ces logements, 82,1 % étaient des résidences principales, 9,7 % des résidences secondaires et 8,2 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 99,3 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 0 % des appartements[I 3].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Maisoncelle-Tuilerie en 2021 en comparaison avec celle de l'Oise et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (9,7 %) supérieure à celle du département (2,4 %) et à celle de la France entière (9,7 %).

Le logement à Maisoncelle-Tuilerie en 2021.
Typologie Maisoncelle-Tuilerie[I 3] Oise[I 4] France entière[I 5]
Résidences principales (en %) 82,1 90,5 82,2
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 9,7 2,4 9,7
Logements vacants (en %) 8,2 7 8,1

Voies de communication et transports

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L'autoroute A16 limite le territoire communal à l'ouest, mais l'entrée la plus proche est celle d'Hardivillers. Le village est aisément accessible depuis l'ex-RN 30 (actuelle RD 930) et l'ex-RN 1 (actuelle RD 1001).

La commune est desservie, en 2023, par les lignes 6103, 6114 et 6140 du réseau interurbain de l'Oise[13].

Toponymie

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La localité a été dénommée Maisoncellas en 1177, Mézuncelles en 1219, Mesoncelles en 1223, Maisoncelles sous Froissy en 1575 et Maison-celle Thuileries en 1666[14].

D'abord au pluriel, de l'oïl maisoncele « petite maison , cellule d'ermite »[15].

Au XVIIe siècle existait au village une importante tuilerie, qui donna son nom à la commune et qui disparu au XVIIIe siècle[16].

Histoire

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Moyen Âge

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L'abbaye Notre-Dame de Breteuil posséde des biens étendus à Maisoncelle. Une charte de.1177 du comte Raoul Ier de Clermont, lui donna la dîme sur toutes les terres qu'il avait fait défricher autour de Maisoncelle ; ayant.cette époque le pays était entièrement boisé[16].

En 1352, Louis de Blois, comte dé Clermont cède à l'instigation de l'abbé Alvrede, homme habile à enrichir son couvent, la terre et seigneurie de Maisoncelle à l'abbaye, moyennant une redevance de soixante-dix muids de grains[16].

En 1469, le village relève de la prévôté de Montdidier[17].

Temps modernes

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Hercule de Rouveroy, vicomte de Rouy, fait bâtir en 1613 une petite chapelle dans ce village dont il est le seigneur, et la place sous la protection de saint Charles-Borromée. La chapelle est érigée en vicariat vers l'année 1642, à cause de l'éloignement de l'église de Froissy et de la difficulté des communications ; on y établit un cimetière en 1666[16]. Louis Graves indique en 1832 que « l'église de Maisoncelle, rebâtie en briques vers 1688, après avoir été incendiée, est fort étroite, mal éclairée par de petites fenêtres, voûtée en bois ; la nef a été agrandie vers 1740. Le chœur est entouré de boiseries[16] ». Cette église a été remplacée par l'actuelle, consacrée en 1864.

Au XVIIe siècle existe au village une importante tuilerie, qui donna son nom à la commune et qui disparait au XVIIIe siècle[16].

En 1786, un important incendie dégrade le village, et les habitants, soutenus par Charles de Paule de Barentin, demandent une suppression de la taille[18].

Circonscriptions d'Ancien Régime

Sur le plan religieux, le village est jusqu'au XVIIe siècle un hameau de Froissy, puis devient une paroisse dépendant du diocèse de Beauvais, archidiaconé et doyenné de Breteuil[16].

Pour les administrations civiles et militaires, Puits-la-Forêt dépend alors de l'élection de Montdidier, généralité d'Amiens[16].

Époque contemporaine

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Au milieu du XIXe siècle, la commune compte trois moulins à vent et deux pressoirs à cidre. Une partie de la population vit du tissage de draps de laine et de bas ainsi que des chaines[16].

La commune obtient de l'état en 1855 une subvention pour l'acquisition d'une école[19]. En application de la loi du , la commune, alors peuplée de 529 habitants, est censée se doter d'une école primaire pour les filles[20], mais, en 1881 le conseil général de l'Oise note que la commune dispose d'une école mixte[21].

Le village n'a jamais été desservi par le chemin de fer, mais ses habitants pouvaient le prendre à la gare de Froissy, sur la ligne Estrées-Saint-Denis - Froissy - Crèvecœur-le-Grand, une ligne de chemin de fer secondaire à voie étroite qui a fonctionné de 1891 à 1953. En 1914, avant le début de la Première Guerre mondiale, les habitants de plusieurs villages dont Maisoncelle, relayés par le conseiller général, demandaient sans succès la création d'un train régulier le samedi afin d'avoir une correspondance sur la ligne Beauvais-Amiens afin de pouvoir revenir du marché de Beauvais[22].

Politique et administration

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Rattachements administratifs et électoraux

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Rattachements administratifs

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La commune se trouve dans l'arrondissement de Clermont du département de l'Oise[I 1].

Elle faisait partie depuis 1793 du canton de Froissy[1]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux

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Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Saint-Just-en-Chaussée[I 1].

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la première circonscription de l'Oise.

Intercommunalité

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La commune faisait partie de la communauté de communes des Vallées de la Brèche et de la Noye créée fin 1992.

Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du , qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants[23], le préfet de l'Oise a publié en un projet de nouveau schéma départemental de coopération intercommunale, qui prévoit la fusion de plusieurs intercommunalités[24], et notamment celle de Crèvecœur-le-Grand (CCC) et celle des Vallées de la Brèche et de la Noye (CCVBN), soit une intercommunalité de 61 communes pour une population totale de 27 196 habitants[25].

Après avis favorable de la majorité des conseils communautaires et municipaux concernés[26], cette intercommunalité dénommée communauté de communes de l'Oise picarde et dont la commune est désormais membre, est créée au [27].

Liste des maires

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Liste des maires successifs[28]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
         
  1900 M. Céleste Mention    
1900 avril 1925 Narcisse Levoir    
1925 novembre 1929 M. Grandcolas    
1929 mars 1935 Théophile Démazure    
1935 juillet 1967 Alfred Démazure    
1967 septembre 2005 Michel Carlier[29]   Chef d'entreprise[30]
septembre 2005 En cours
(au 23 novembre 2024)
Gérard Levoir   Agriculteur retraité
Réélu pour le mandat 2020-2026[31],[32],[33]

Équipements et services publics

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Enseignement

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La cour d'école.

Les enfants du village sont scolarisés dans le cadre du regroupement pédagogique intercommunal organisé depuis plusieurs dizaines d'années par les communes d'Hardivillers, Troussencourt et Maisoncelle-Tuilerie, et qui accueille une centaine d'élèves en 2016-2017[34] et 105 en 2017-2018. Maisoncelle-Tuilerie accueille une classe de petite et moyenne section[35].

Il est administré par le syndicat scolaire qui regroupe en 2016 les communes de Froissy, Noirémont, Sainte-Eusoye, Maisoncelle-Tuilerie et Puits-la-Vallée[36].

Population et société

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Démographie

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Les habitants sont appelés les Maisoncellois et les Maisoncelloises.

Évolution démographique

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[37]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[38].

En 2021, la commune comptait 282 habitants[Note 4], en évolution de −6,31 % par rapport à 2015 (Oise : +0,89 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
521502565481504525478460430
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
386419529543524505485462405
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
364345344250257213203242248
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
236209164183220248313314309
2015 2020 2021 - - - - - -
301284282------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[1] puis Insee à partir de 2006[39].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges

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La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 32,4 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 19,3 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 144 hommes pour 151 femmes, soit un taux de 51,19 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,11 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[40]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,0 
90 ou +
0,7 
5,8 
75-89 ans
3,4 
15,8 
60-74 ans
13,1 
25,9 
45-59 ans
23,4 
22,3 
30-44 ans
24,8 
11,5 
15-29 ans
14,5 
18,7 
0-14 ans
20,0 
Pyramide des âges du département de l'Oise en 2021 en pourcentage[41]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,4 
5,5 
75-89 ans
7,6 
15,6 
60-74 ans
16,3 
20,8 
45-59 ans
20 
19,4 
30-44 ans
19,4 
17,6 
15-29 ans
16,2 
20,6 
0-14 ans
19,1 

Économie

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Culture locale et patrimoine

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L'église Saint-Claude.
Le monument aux morts

Lieux et monuments

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  • Église Saint-Claude-et-Saint-Charles : édifice de style néo-gothique construit en brique consacré en 1864. Un petit autel du XVIIe siècle , provenant de l'ancienne église, a été remonté dans le croisillon sud[42]. Une campagne de travaux de restauration est engagée en 2020[43], comprenant l'installation d'une nouvelle statue de la Vierge au-dessus du porche, réalisée par l'artisan d'art Cédric Courtois[44].
  • Château, semblant dater du XIXe siècle
  • Anciens puits[45], dont l'un restauré avec l'aide de l'intercommunalité[46]
Le château

Personnalités liées à la commune

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Pour approfondir

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Articles connexes

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Liens externes

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  • Lucile Chamignon, « Le village de Maisoncelle-Tuilerie », Inventaire topographique, Communauté de communes Oise Picarde, Région Hauts-de-France - Inventaire général, (consulté le ).

Notes et références

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  1. Accès au lien de l'article Wikipédia de la commune limitrophe en cliquant sur celle-ci.
  2. Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. « Réseau hydrographique de Maisoncelle-Tuilerie » sur Géoportail (consulté le 22 septembre 2024).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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Site de l'Insee

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Autres sources

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  1. a b et c Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. « Orthodromie entre Maisoncelle-Tuilerie et Rouvroy-les-Merles », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Rouvroy-les-Merles » (commune de Rouvroy-les-Merles) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Rouvroy-les-Merles » (commune de Rouvroy-les-Merles) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  8. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  9. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Beauvais », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  10. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  11. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  12. Napoléon Bacqua de la Barthe et Paul Dupont, Bulletin annoté des lois, décrets, arrêtés, avis du Conseil d'État, etc : Recueil complet de législation française, t. XV, Paris, Imprimerie et librairie administrative Paul Dupont, , 351 p. (lire en ligne), p. 166.
  13. « Transports en commun à Maisoncelle-Tuilerie », sur oise-mobilite.fr, (consulté le ).
  14. « Maisoncelle-Tuilerie », Les communes de notre territoire, sur cc-oisepicarde.fr (consulté le ).
  15. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, Genève, Droz, , p. 1414.
  16. a b c d e f g h et i Louis Graves, Précis statistique sur le canton de Froissy, arrondissement de Clermont (Oise) : Extrait de l'Annuaire de 1832, 82 p. (lire en ligne), p. 24, 35, 76, 78; sur Google Livres.
  17. Gaëtan de Witasse, Géographie historique du département de la Somme : état religieux, administratif et féodal des communes et de leurs dépendances, t. II, Abbeville, impr. de Lafosse, coll. « Mémoires de la Société d'émulation d'Abbeville », , 717 p. (lire en ligne), p. 328-332.
  18. « Enquête aux archives départementales de l'Oise pour servir à l(histoire du département de l'Oise : Les syndics de 1787 et l'administration communale », Bulletin de la société d'études historiques & scientifique de l'Oise, t. I, no 1,‎ , p. 94 (lire en ligne, consulté le ).
  19. Théodore-Henri Barrau, Petit manuel de l'instruction primaire : Journal mensuel des instituteurs, Paris, Librairie Hachette, , 332 p. (lire en ligne), p. 2, sur Gallica.
  20. Procès-verbal de la séance du conseil général de 1867, Beauvais, Imprimerie de D. Père, , 411 p. (lire en ligne), p. 364.
  21. « Rapport au conseil général sur la situation de l'enseignement primaire en 1881 », dans Rapport du Préfet de l'Oise pour la session d'août 1882, Beauvais, Imprimerie administrative Eugène Laffineur, (lire en ligne), p. 322-351, et notamment page 323, sur Gallica.
  22. Procès-verbal des délibérations du conseil général : Première session de 1914, Beauvais, Imprimerie centrale administrative, , 197 p. (lire en ligne), p. 137-140, 151.
  23. Section III de l'article L. 5210-1-1 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance
  24. « Projet de schéma départemental de coopération intercommunale de l'Oise » [PDF], Préfecture de l'Oise, (consulté le ), p. 13-25.
  25. « La nouvelle carte intercommunale de l'oise : intercommunalité à fiscalité propre au  », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers,‎ , p. 15.
  26. R. Th., « La fusion des communautés de communes est définitive », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3417,‎ , p. 6 « Les 6 projets de fusion de communautés de communes ou d'agglomération ont tous recueilli une majorité favorable ; ils pourront ainsi tous être conduits à leur terme ».
  27. Sylvie Godin, « Naissance de l'Oise picarde : Jacques Cotel dirige un territoire de 26 500 habitants », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3430,‎ , p. 17.
  28. « Les Maires à travers l'histoire », Maisoncelle Tuilerie, sur https://maisoncelletuilerie.fr (consulté le ).
  29. « Monsieur Michel Carlier », Avis de décès, sur https://www.libramemoria.com/, (consulté le ).
  30. Patrick Caffin, « L’entreprise Carlier-Baudoin sur les toits de l’Oise depuis un siècle », Le Parisien, édition de l'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ) « En 1958, au décès de son père, Michel Carlier reprend les rênes de la société. Avec lui, l’entreprise se développe et passe de huit à vingt salariés. Il sera aussi le maire de Maisoncelle-Tuilerie pendant trente-huit ans ».
  31. Réélu pour le mandat 2008-2014 : Le bonhomme picard du 26 mars 2008
  32. Réélu pour le mandat 2014-2020 : « Maisoncelle-Tuilerie », Cartes de France (consulté le ).
  33. « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur https://www.data.gouv.fr, (consulté le ).
  34. « Bonne retraite, Joëlle ! » : Après huit ans de service, la secrétaire du regroupement scolaire a mis fin à sa carrière d'agent de la fonction territoriale. Sa remplaçante est déjà en poste », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3423,‎ , p. 17 « Les maires et enseignants du regroupement scolaire d'Hardivillers, Troussencourt et MaisoncelleTuilerie étaient rassemblés le jeudi 1er décembre à l'occasion du départ à la retraite de Joëlle Opéron, secrétaire du dit regroupement. « Cela faisait huit ans qu'elle exerçait dans cette fonction », a souligné Jean-Pierre Randolet, maire-adjoint d'Hardivillers, président du Syndicat à vocation scolaire ».
  35. « Rentrée: du renouveau en milieu rural : Une nouvelle classe et une nouvelle professeure des écoles. Cette école rurale a reçu hier la visite du préfet », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  36. « Sainte-Eusoye Une nouvelle mairie pour 2016 », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  37. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  38. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
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