Marc Hecker

chercheur français en relations internationales

Marc Hecker, né le à Strasbourg, est un chercheur français intervenant sur les questions de terrorisme et de radicalisation.

Marc Hecker
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Fonctions
Directeur de recherche
Institut français des relations internationales
-
Directeur de la publication
Institut français des relations internationales
-
Rédacteur en chef
Politique étrangère
avec Dominique David
depuis
Deputy editor-in-chief (d)
Politique étrangère
-
Biographie
Naissance
Nom de naissance
Marc Paul HeckerVoir et modifier les données sur Wikidata
Nationalité
Formation
Activité
Autres informations
A travaillé pour
Institut d'études politiques de Paris ( - )Voir et modifier les données sur Wikidata
Directeur de thèse

Biographie

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Originaire d'Alsace, Marc Hecker suit des études à Sciences Po Strasbourg avant de partir à Paris dans le but d'y obtenir un diplôme d'études approfondies (DEA) en relations internationales de l'université Panthéon-Sorbonne. Une fois ce dernier en poche, il effectue un stage à l'Institut français des relations internationales (Ifri) à l'issue duquel il s'inscrit en doctorat. Il bénéficie alors d'une convention industrielle de formation par la recherche (CIFRE) entre lui-même, l'université Panthéon-Sorbonne et l'Ifri pour lequel il continue à travailler, notamment sur les questions de communication pendant les conflits dans le cadre de contrats avec le ministère de la Défense.

Le , il soutient sa thèse intitulée « Les acteurs transnationaux face à l'État : l'exemple du militantisme en France lié au conflit israélo-palestinien. ». Il reçoit les félicitations du jury composé de son directeur de thèse Yves Déloye des rapporteurs Frédéric Charillon et Samy Cohen et des examinateurs Dominique David et Jean Klein[1].

Le , il reçoit le Prix du Livre de Géopolitique des mains du ministre des Affaires étrangères, Jean-Yves Le Drian, pour son ouvrage La guerre de vingt ans, co-écrit avec Elie Tenenbaum[2],[3]. L'année suivante, le livre est réédité pour tenir compte de nouveaux développements géostratégiques comme la prise de Kaboul par les taliban et la restauration de l'émirat islamique d'Afghanistan[4].

Le , il est nommé au Conseil scientifique sur les processus de radicalisation (COSPRAD), en même temps que Julien Longhi, Hugo Micheron et Bernard Rougier, qui est reconduit à son poste au sein de cette instance[5].

Publications

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Références

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