Marie Catier
Marie Catier est le nom donné à une figure historique de la commune belge de Biévène.
Elle est jugée pour sorcellerie en 1595 et exécutée.
La statue de la sorcière « Marieke Catier »
modifierLa statue de la sorcière est une réalisation commandée par le conseil municipal de Biévène et le groupe folklorique de Makrallen [1].
Six artistes régionaux ont participé à un concours public. La sculpture a été conçue et exécutée par Thierry Van Vreckem[2], un habitant de Biévène.
La statue en bronze se dresse sur un rocher de porphyre offert par les carrières de la commune wallonne voisine de Lessines[3]. La pierre fait référence aux nombreux castors qui étaient traditionnellement employés dans les carrières[4].
La statue a été inaugurée le 21 mai 2006[5].
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Source: Collectie Erfgoed Bever (Werner Godfroid). -
Inauguration (Photo: Werner Godfroid, collection "Erfgoed Bever")
Sorcière sans nom
modifierDans les archives, « Marie Catier » n'est connue et décrite que comme l'épouse de Sébastien Catier[6]. Le nom de Marie Catier a été inventé par l'association folklorique Makrallen[7] et donné à ce personnage historique en hommage[8].
Notes et références
modifier- ↑ (nl-BE) « Waarin de kleinste het grootst kan zijn: reuzen, tovenaars en heksen », sur www.nieuwsblad.be (consulté le )
- ↑ (en) Editiepajot, « HERNE / BEVER - Standbeelden in de kijker », sur editiepajot.com (consulté le )
- ↑ (nl-BE) « Heksen komen weer tot leven in heksendorpje (maar het is gelukkig alleen maar in verhalen) », sur www.nieuwsblad.be (consulté le )
- ↑ Verbeken, Marino, "Thierry Van Bever stelt heksenbeeld voor", Het Laatste Nieuws, 23 mei 2006, p. 14
- ↑ (nl) « Bever wandelroute - Wandelfluisteraar.com », (consulté le )
- ↑ Delvin Dominique, Histoire de la commune de Biévène. Mons, Dequesne-Masquillier et fils (1909).
- ↑ (nl) Amber Gys & Wer Godfroid, « Mythisch Pajottenland. De heksen in Bever: geschiedenis met waarheid of puur bijgeloof? », sur hln.be (consulté le )
- ↑ (nl) Judith Dewaele, « Heksen zonder naam », PenZine, zomer 2021, p. 10 (lire en ligne)
