Mars-la-Tour

commune française du département de Meurthe-et-Moselle

Mars-la-Tour [maʁs la tuʁ] est une commune française située dans le département de Meurthe-et-Moselle, en région Grand Est.

Mars-la-Tour
Mars-la-Tour
Église paroissiale Saint-Martin.
Blason de Mars-la-Tour
Héraldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Grand Est
Département Meurthe-et-Moselle
Arrondissement Toul
Intercommunalité Communauté de communes Mad et Moselle
Maire
Mandat
Roger Dalla Costa
2020-2026
Code postal 54800
Code commune 54353
Démographie
Gentilé Malatouriens, Malatouriennes[1]
Population
municipale
895 hab. (2021 en évolution de −7,16 % par rapport à 2015)
Densité 71 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 05′ 59″ nord, 5° 53′ 12″ est
Altitude Min. 197 m
Max. 263 m
Superficie 12,64 km2
Type Bourg rural
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Metz
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Jarny
Législatives Sixième circonscription
Localisation
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Mars-la-Tour
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Mars-la-Tour
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Mars-la-Tour
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Mars-la-Tour
Liens
Site web http://mars-la-tour.mairie54.fr/

Géographie

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Cette commune fut un village-frontière avec l'Allemagne de 1871 à 1918 et de 1940 à 1944.

Carte de la commune.

Hydrographie

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Réseau hydrographique

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La commune est dans le bassin versant du Rhin au sein du bassin Rhin-Meuse. Elle est drainée par le ruisseau de la Passee, le ruisseau du Fond de Chaumont et le ruisseau du Fond de la Cuve[2],[Carte 1].

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseau hydrographique de Mars-la-Tour[Note 1].

Gestion et qualité des eaux

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Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Bassin ferrifère ». Ce document de planification concerne le périmètre des anciennes galeries des mines de fer, des aquifères et des bassins versants hydrographiques associés qui s’étend sur 2 418 km2. Les bassins versants concernés sont celui de la Chiers en amont de la confluence avec l'Othain, et ses affluents (la Crusnes, la Pienne, l'Othain), celui de l'Orne et ses affluents et celui de la Fensch, le Veymerange, la Kiesel et les parties françaises du bassin versant de l'Alzette et de ses affluents (Kaylbach, ruisseau de Volmerange). Il a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est la région Grand Est[3].

La qualité des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].

En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat semi-continental et est dans la région climatique Lorraine, plateau de Langres, Morvan, caractérisée par un hiver rude (1,5 °C), des vents modérés et des brouillards fréquents en automne et hiver[5].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 812 mm, avec 12,4 jours de précipitations en janvier et 9,2 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Doncourt-lès-Conflans », sur la commune de Doncourt-lès-Conflans à 6 km à vol d'oiseau[6], est de 10,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 710,3 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 40,9 °C, atteinte le  ; la température minimale est de −16,5 °C, atteinte le [Note 2],[7],[8].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[9]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[10].

Urbanisme

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Typologie

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Au , Mars-la-Tour est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[11]. Elle est située hors unité urbaine[12]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Metz, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[12]. Cette aire, qui regroupe 245 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[13],[14].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (87,3 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (89,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (73,7 %), prairies (11,5 %), zones urbanisées (4,8 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (4 %), forêts (3,9 %), zones agricoles hétérogènes (2 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie

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Il y avait dans ce village, appelé aussi Malatour, un château fort protégé par une tour, qui commandait la chaussée allant de Metz à Verdun, d'où son nom. Le gouverneur de ce château faisait de fréquentes incursions dans le val de Metz et y apporta la désolation. On ajouta dès lors le surnom de ma ou mal au nom de tour, pour désigner la maudite tour.

Le nom primitif de ce village était May-la-Tour. May signifiant, en langage austrasien, une métairie[16].

En lorrain : Ma-lai-tô.

Histoire

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Monument aux morts.

Au XVIe siècle, la seigneurie appartient à la famille de Ficquelmont[17].

En 1632, les troupes du duc Charles IV de Lorraine et de ses alliés espagnols y sont battus par les maréchaux de La Force et d'Effiat, grand maître de l'artillerie.

En 1817, Mars-la-Tour, village de l'ancienne province des Trois-Évêchés a pour annexe la ferme de Saulcy ; à cette époque, il y a 1 050 habitants répartis dans 104 maisons[18].

Le , près de la ferme des Grizières[19], se déroule la bataille dite de Rezonville, ou de Vionville, ou de Mars-la-Tour. Français et Allemands y laissent chacun environ 15 000 hommes. De 1871 à 1919, Mars-la-Tour est le village français[20] le plus proche de ce champ de bataille et du champ de bataille de Saint-Privat. C'est la raison pour laquelle la médaille associative destinée aux vétérans des combats portait le nom de "Œuvre de Mars-la-Tour".

La ligne ferroviaire de Longuyon à Pagny arrive à Mars-la-Tour en 1876[21]. Une petite gare de voyageurs est érigée. Le , une collision entre un train de houille et un train de marchandises tue un chef de train[22]. La gare n'existe plus.

Le , les premiers combats de la Grande Guerre opposent des troupes allemandes à la 83e brigade d'infanterie française, qui a pour mission d'ouvrir la route de Metz.

Mars-la-Tour est de nouveau le théâtre de durs combats au cours de la bataille de Metz en , opposant la 5e division de la IIIe armée américaine à la 462e division allemande du général Krause[23].

Politique et administration

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1859 1864 Joseph Prosper André[24]   Médecin cantonal. Deviendra préfet à la chute du Second Empire
Les données manquantes sont à compléter.
mars 2001 mai 2020 Françoise Jacques[25]   Sans profession déclarée
mai 2020 En cours Roger Dalla Costa[25],[26]   Ancien cadre

Par arrêté préfectoral de la préfecture de la région Grand-Est en date du 9 décembre 2022, la commune de Mars-la-Tour a intégré l'arrondissement de Toul au 1er janvier 2023[27]

Population et société

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Démographie

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Ancienne gare de Mars-la-Tour, vers 1900.

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[29].

En 2021, la commune comptait 895 habitants[Note 4], en évolution de −7,16 % par rapport à 2015 (Meurthe-et-Moselle : −0,26 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1836 1841 1861 1866 1872
5183865811 068629614652605673
1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906 1911 1921
758707701681657624630740662
1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975 1982
730740763762798790841787765
1990 1999 2005 2006 2010 2015 2020 2021 -
823854923937968964901895-
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[30] puis Insee à partir de 2006[31].)
Histogramme de l'évolution démographique
  • L'équipe de football de Mars la Tour, l'ASMLT, joue dans le district de football du Pays Haut.

Économie

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Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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Édifices civils

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Le château.
  • Les vestiges de thermes et le fort gallo-romains.
  • Château de Mars-la-Tour : le château est mentionné en 1192 ; destinations successives : ferme, parties constituantes : fossé, 2 tours rondes ; reconstruit pour Gérard d'Avillers à la fin du XVe siècle à l'emplacement d'un château plus ancien ; passe par la suite à la Maison de Ficquelmont, puis, au début du XVIIIe siècle, à la Maison des Salles, par mariage ; vendu en l'an VI et en partie démoli, fossés comblés. Subsistent au nord, à l'est et au sud des éléments de la courtine ; nombreuses marques de tâcherons sur la façade ouest du bâtiment et des dépendances.
  • Monument national commémoratif de la guerre de 1870 : crypte contenant 1 500 corps, inauguré le , bronze par Frédéric Louis Désiré Bogino ; les plaques de bronze furent ajoutées le .
  • Statue de Jeanne d'Arc, 1906.

Édifices religieux

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Chapelle Saint-Dominique.
  • Église paroissiale Saint-Martin, reconstruite vers 1840 ; sans doute agrandie et revoûtée au dernier quart du XIXe siècle ; sert de chapelle commémorative des combats de 1870 ; orgue 1912 de Mutin-Cavaillé-Coll.
  • Collégiale de Chanoines de L'Annonciation, située au 53-55 rue de Verdun, destinations successives : grange ; collégiale fondée par Gérard d'Avillers, seigneur de Mars-la-Tour, elle fut construite de 1500 à 1502 ; vendue comme bien national à la Révolution ; englobée dans les dépendances d'une maison, il n'en subsiste plus, actuellement, que la façade nord, l'arc de l'ancien portail occidental et des vestiges encore importants de l'ancien bas-côté sud.
  • Chapelle Saint-Dominique, dans l'hospice du même nom, actuellement maison de retraite.

Équipements culturels

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Le musée.
  • L'ancien musée militaire Faller, désormais fermé, sur le thème de la guerre de 1870. Ce musée fut fondé par le chanoine Joseph Faller, curé de Mars-la-Tour, à l'aide de souscriptions et de souvenirs donnés par les parents et amis des combattants de 1870. Construit d'après les plans de Louis Lanternier, architecte nancéien à qui l'on doit notamment Nancy-Thermal, le musée fut inauguré et béni le par Charles-François Turinaz, évêque de Nancy et de Toul. Après la guerre de 1914-1918, la récupération des Provinces Perdues et l'inauguration de l'ossuaire de Douaumont, Mars-la-Tour perdit son statut de cité-pèlerinage de la guerre. En outre, les combats de 1870 commençaient à dater. Les familles pleuraient plus leurs morts récents que ceux de 1870. La fréquentation du musée chuta. Une lente agonie commença et se termina par la fermeture du musée. Les collections ont aujourd'hui été déposées à Gravelotte au Musée de la Guerre de 1870 et de l'Annexion. Le bâtiment est actuellement devenu un accueil périscolaire.

Personnalités liées à la commune

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  • La Famille de Ficquelmont.
  • Le chanoine Joseph Faller, curé de la commune et fondateur du musée militaire qui porte son nom.
  • Le , Hanno Hahn, jeune historien d'art et éminent chercheur spécialisé dans l'architecture cistercienne, membre de l'Institut de la Bibliotheca Hertziana à Rome, fils du chimiste nucléaire Otto Hahn (Prix Nobel 1944), et sa femme Ilse Hahn, moururent à Mars-la-Tour dans un accident d'automobile.

Héraldique

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Blason de Mars-la-Tour Blason
D'argent à la tour de sable, ouverte et ajourée du champ, donjonnée de trois tourelles aussi de sable[32].
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer (voir explications).

Voir aussi

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Bibliographie

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Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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  1. Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
  2. Les records sont établis sur la période du au .
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. « Réseau hydrographique de Mars-la-Tour » sur Géoportail (consulté le 4 juin 2024).
  2. « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le ).
  3. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. « Le nom des habitants du 54 - Meurthe-et-Moselle - Habitants », sur habitants.fr (consulté le ).
  2. « Fiche communale de Mars-la-Tour », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines Rhin-Meuse (consulté le ).
  3. « SAGE Bassin ferrifère », sur gesteau.fr (consulté le ).
  4. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  6. « Orthodromie entre Mars-la-Tour et Doncourt-lès-Conflans », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Doncourt-lès-Conflans », sur la commune de Doncourt-lès-Conflans - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Doncourt-lès-Conflans », sur la commune de Doncourt-lès-Conflans - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
  10. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
  11. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  12. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Mars-la-Tour ».
  13. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Metz », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  16. Auguste Terquem, Étymologies du nom des villes et des villages du département de la Moselle, Lorette, (lire en ligne)
  17. Louis Moréri, Le grand dictionnaire historique, ou le mêlange curieux de l'histoire sacrée et profane, chez les libraires associés, (lire en ligne)
  18. Viville, Dictionnaire du département de la Moselle, 1817
  19. la ferme de Grizières est située sur la commune de Ville-sur-Yron
  20. Compte tenu de l'annexion alors du territoire de l'Alsace-Lorraine par l'Allemagne.
  21. Jacquin, Mars-la-Tour (série: Monographies communales de Meurthe-et-Moselle, no. 349), 1888, collection Bibliothèque Municipale de Nancy, pp. 230, 232. [1]
  22. Le Figaro du 31 août 1919, p. 2.
  23. René Caboz, La Bataille de Metz. 25 août - 15 septembre 1944, Sarreguemines, 1984. (pp 153-176)
  24. « ANDRE, Joseph Prosper », sur Archives nationales (consulté le ).
  25. a et b « Résultats des élections municipales 2020 », sur le site du Télégramme de Brest (consulté le ).
  26. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
  27. Arrêté préfectoral n° 2022/810 du 9 décembre 2022 portant modification des limites territoriales des arrondissements de la Meurthe-et-Moselle, p. 178.
  28. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  29. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  30. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  31. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  32. « L'Armorial », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).