Martial Joseph Ahipeaud
Martial Joseph Ahipeaud est un homme politique ivoirien né le à Lakota.
Martial Ahipeaud | |
Fonctions | |
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Président de l'Union pour le développement et les libertés | |
En fonction depuis le (17 ans, 3 mois et 1 jour) |
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Secrétaire général de la Fédération estudiantine et scolaire de Côte d'Ivoire | |
– (3 ans et 5 mois) |
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Successeur | Eugène Djué |
Biographie | |
Nom de naissance | Martial Joseph Ahipeaud |
Date de naissance | |
Lieu de naissance | Lakota, Côte d'Ivoire |
Nationalité | ivoirienne |
Parti politique | PDCI |
Diplômé de | École des études orientales et africaines Université nationale de Côte d'Ivoire |
Profession | enseignant |
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Biographie
modifierMembre fondateur de la Fédération estudiantine et scolaire de Côte d'Ivoire en 1990 (FESCI) - dont il est le 1er secrétaire général[1],[2], il est le président de l'Union pour le développement et les libertés (UDL) depuis 2007. Consultant en relations et intermédiations internationales, Martial Ahipeaud est enseignant à l'université[1]. Il est conseiller de Robert Guéï de mars à novembre 2000[3],[4].
Marié et père de 4 enfants, il est titulaire d'un doctorat de l'École des études orientales et africaines de l'université de Londres[4]. Sa thèse a porté sur L'idéologie des élites ivoiriennes : presse et politique de 1944 à 1999.
En 2007, Martial Ahipeaud fonde un parti politique, l'Union pour le développement et les libertés (UDL)[5]. Le parti a inauguré son siège à Cocody le dans l'immeuble Sogefiha.
Martial Ahipeaud prône une « troisième voie »[réf. nécessaire][6] et décrit son parti comme « centriste de gauche »[5].
En , Martial Ahipeaud annonce sa candidature à la prochaine élection présidentielle (dont la date n'est alors pas fixée)[5].
En , Martial Ahipeau se déclare candidat à l'élection présidentielle de 2015[7]. Sa candidature est refusée par le Conseil constitutionnel[8].
En , Martial Ahipeaud annonce rejoindre le PDCI[9]. Le PDCI souhaitait que Martial Ahipeaud soit candidat à l'élection législative dans la circonscription de Goudouko et Niambezaria, dans le département de Lakota, région de Lôh-Djiboua[2].
Notes et références
modifier- « AHIPEAUD Martial Joseph », sur cerap-inades.org (consulté le )
- Benjamin Roger, « Côte d’Ivoire : Martial Ahipeaud, l’ancien patron de la Fesci, passe au PDCI », Jeune Afrique,
- Elieth P. Eyebiyi, « Ahipeaud, Martial Joseph. – Côte d’Ivoire : entre barbarie et démocratie », Cahiers d’études africaines, vol. 52, no 208, , p. 999–1001 (ISSN 0008-0055, DOI 10.4000/etudesafricaines.14410, lire en ligne, consulté le )
- « Ahipeaud Martial, SG de la FESCI à l’époque: “Le 18 février 92 fut un témoignage dans la lutte pour deux raisons” », sur L'intelligent d'Abidjan, (consulté le )
- « Un ancien leader étudiant brigue la présidence ivoirienne », Apanews et Jeune Afrique,
- Elieth P. Eyebiyi, « Ahipeaud, Martial Joseph. – Côte d’Ivoire : entre barbarie et démocratie », Cahiers d’études africaines, vol. 52, no 208, , p. 999–1001 (ISSN 0008-0055, DOI 10.4000/etudesafricaines.14410, lire en ligne, consulté le )
- « Un candidat de plus à la présidence de la Côte d’Ivoire », Jeune Afrique,
- Vincent Duhem, « Présidentielle en Côte d’Ivoire : 10 candidatures validées par la Cour constitutionnelle », sur Jeune Afrique, .
- KOACI, « Côte d'Ivoire : Après Gnamien Konan, Ahipeaud Martial annonce son adhésion au PDCI à Bédié », sur KOACI (consulté le )