Martial Joseph Ahipeaud

homme politique ivoirien

Martial Joseph Ahipeaud est un homme politique ivoirien né le à Lakota.

Martial Ahipeaud
Illustration.
Fonctions
Président de l'Union pour le développement et les libertés
En fonction depuis le
(17 ans, 4 mois et 23 jours)
Secrétaire général de la Fédération estudiantine et scolaire de Côte d'Ivoire

(3 ans et 5 mois)
Successeur Eugène Djué
Biographie
Nom de naissance Martial Joseph Ahipeaud
Date de naissance (58 ans)
Lieu de naissance Lakota, Côte d'Ivoire
Nationalité ivoirienne
Parti politique PDCI
Diplômé de École des études orientales et africaines
Université nationale de Côte d'Ivoire
Profession enseignant

Biographie

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Membre fondateur de la Fédération estudiantine et scolaire de Côte d'Ivoire en 1990 (FESCI) - dont il est le 1er secrétaire général[1],[2], il est le président de l'Union pour le développement et les libertés (UDL) depuis 2007. Consultant en relations et intermédiations internationales, Martial Ahipeaud est enseignant à l'université[1]. Il est conseiller de Robert Guéï de mars à novembre 2000[3],[4].

Marié et père de 4 enfants, il est titulaire d'un doctorat de l'École des études orientales et africaines de l'université de Londres[4]. Sa thèse a porté sur L'idéologie des élites ivoiriennes : presse et politique de 1944 à 1999.

En 2007, Martial Ahipeaud fonde un parti politique, l'Union pour le développement et les libertés (UDL)[5]. Le parti a inauguré son siège à Cocody le dans l'immeuble Sogefiha.

Martial Ahipeaud prône une « troisième voie »[réf. nécessaire][6] et décrit son parti comme « centriste de gauche »[5].

En , Martial Ahipeaud annonce sa candidature à la prochaine élection présidentielle (dont la date n'est alors pas fixée)[5].

En , Martial Ahipeau se déclare candidat à l'élection présidentielle de 2015[7]. Sa candidature est refusée par le Conseil constitutionnel[8].

En , Martial Ahipeaud annonce rejoindre le PDCI[9]. Le PDCI souhaitait que Martial Ahipeaud soit candidat à l'élection législative dans la circonscription de Goudouko et Niambezaria, dans le département de Lakota, région de Lôh-Djiboua[2].

Notes et références

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  1. a et b « AHIPEAUD Martial Joseph », sur cerap-inades.org (consulté le )
  2. a et b Benjamin Roger, « Côte d’Ivoire : Martial Ahipeaud, l’ancien patron de la Fesci, passe au PDCI », Jeune Afrique,
  3. Elieth P. Eyebiyi, « Ahipeaud, Martial Joseph. – Côte d’Ivoire : entre barbarie et démocratie », Cahiers d’études africaines, vol. 52, no 208,‎ , p. 999–1001 (ISSN 0008-0055, DOI 10.4000/etudesafricaines.14410, lire en ligne, consulté le )
  4. a et b « Ahipeaud Martial, SG de la FESCI à l’époque: “Le 18 février 92 fut un témoignage dans la lutte pour deux raisons” », sur L'intelligent d'Abidjan, (consulté le )
  5. a b et c « Un ancien leader étudiant brigue la présidence ivoirienne », Apanews et Jeune Afrique,
  6. Elieth P. Eyebiyi, « Ahipeaud, Martial Joseph. – Côte d’Ivoire : entre barbarie et démocratie », Cahiers d’études africaines, vol. 52, no 208,‎ , p. 999–1001 (ISSN 0008-0055, DOI 10.4000/etudesafricaines.14410, lire en ligne, consulté le )
  7. « Un candidat de plus à la présidence de la Côte d’Ivoire », Jeune Afrique,
  8. Vincent Duhem, « Présidentielle en Côte d’Ivoire : 10 candidatures validées par la Cour constitutionnelle », sur Jeune Afrique, .
  9. KOACI, « Côte d'Ivoire : Après Gnamien Konan, Ahipeaud Martial annonce son adhésion au PDCI à Bédié », sur KOACI (consulté le )

Liens externes

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