Mazeyrolles

commune française du département de la Dordogne

Mazeyrolles
Mazeyrolles
La mairie de Mazeyrolles, au lieu-dit le Got.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Dordogne
Arrondissement Sarlat-la-Canéda
Intercommunalité Communauté de communes de Domme-Villefranche du Périgord
Maire
Mandat
Régis Loez
2021-2026
Code postal 24550
Code commune 24263
Démographie
Population
municipale
304 hab. (2021 en diminution de 7,32 % par rapport à 2015)
Densité 10 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 41′ 18″ nord, 1° 01′ 11″ est
Altitude Min. 169 m
Max. 308 m
Superficie 29,65 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de la Vallée Dordogne
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Mazeyrolles
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Mazeyrolles

Mazeyrolles est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.

Géographie modifier

Communes limitrophes modifier

Mazeyrolles est limitrophe est limitrophe de neuf autres communes dont une dans le département de Lot-et-Garonne. Au nord, Sainte-Foy-de-Belvès est limitrophe sur environ 300 mètres.

Voies de communication modifier

Tunnel ferroviaire de Latrape au Got.

Routes modifier

Lignes de chemin de fer modifier

Géologie et relief modifier

Géologie modifier

Situé sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordé à son extrémité nord-est par une frange du Massif central, le département de la Dordogne présente une grande diversité géologique. Les terrains sont disposés en profondeur en strates régulières, témoins d'une sédimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le département peut ainsi être découpé sur le plan géologique en quatre gradins différenciés selon leur âge géologique. Mazeyrolles est située dans le quatrième gradin à partir du nord-est, un plateau formé de dépôts siliceux-gréseux et de calcaires lacustres de l'ère tertiaire[1].

Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de formations superficielles du Quaternaire et de roches sédimentaires datant pour certaines du Cénozoïque, et pour d'autres du Mésozoïque. La formation la plus ancienne, notée c4a(Bs), date du Santonien inférieur, composée de marnes à huîtres, calcaires crayeux en plaquettes gris à bryozoaires, puis grès carbonaté et sables jaunes (formation de Boussitran). La formation la plus récente, notée CFvp, fait partie des formations superficielles de type colluvions carbonatées de pente ou de vallon secs indifférenciés. Le descriptif de ces couches est détaillé dans les feuilles « no 831 - Belvès » et « no 855 - Fumel » de la carte géologique au 1/50 000 de la France métropolitaine[2],[3] et leurs notices associées[4],[5].

Carte géologique de Mazeyrolles.

Relief et paysages modifier

Le département de la Dordogne se présente comme un vaste plateau incliné du nord-est (491 m, à la forêt de Vieillecour dans le Nontronnais, à Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (2 m à Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant à elle entre 169 m et 308 m[6],[7].

Dans le cadre de la Convention européenne du paysage entrée en vigueur en France le , renforcée par la loi du 8 août 2016 pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a été élaboré sous maîtrise d’ouvrage de l’État et publié en [8]. Les paysages du département s'organisent en huit unités paysagères[Note 1] et 14 sous-unités[9]. La commune fait partie du Périgord noir, un paysage vallonné et forestier, qui ne s’ouvre que ponctuellement autour de vallées-couloirs et d’une multitude de clairières de toutes tailles. Il s'étend du nord de la Vézère au sud de la Dordogne (en amont de Lalinde) et est riche d’un patrimoine exceptionnel[10].

La superficie cadastrale de la commune publiée par l'Insee, qui sert de référence dans toutes les statistiques, est de 29,65 km2[6],[11],[Note 2]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 30,44 km2[3].

Hydrographie modifier

Réseau hydrographique modifier

La commune est située pour partie dans le bassin de la Dordogne et pour partie dans le bassin de la Garonne au sein du Bassin Adour-Garonne[14]. Elle est drainée par la Nauze, la Briolance et la Ménaurie, qui constituent un réseau hydrographique de 9 km de longueur totale[15],[Carte 1].

La Nauze, d'une longueur totale de 17,59 km, prend sa source dans la commune de Mazeyrolles et se jette dans la Dordogne en rive gauche à Siorac-en-Périgord, face à Coux et Bigaroque-Mouzens[16],[17]. Elle prend sa source dans le nord-ouest de la commune et l'arrose sur un kilomètre et demi.

La Briolance, d'une longueur totale de 9,59 km, prend sa source en limite des communes de Blanquefort-sur-Briolance et Mazeyrolles et se jette dans la Lémance en rive droite à Saint-Front-sur-Lémance[18]. Elle sert de limite au sud-ouest sur 1,2 km face à Blanquefort-sur-Briolance.

Autre affluent de rive droite de la Lémance, le Ménaurie prend sa source sur la commune, au sud du Got, et l'arrose sur trois kilomètres, dont 1,2 km en deux tronçons, en limite de Saint-Cernin-de-l'Herm.

Gestion et qualité des eaux modifier

Le territoire communal est couvert par les schémas d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Dordogne amont » et « Dropt ». Le SAGE « Dordogne amont », dont le territoire s'étend des sources de la Dordogne jusqu'à la confluence de la Vézère à Limeuil, d'une superficie de 9 700 km2 est en cours d'élaboration. La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[19]. Le SAGE « Dropt », dont le territoire correspond au bassin versant du Dropt, d'une superficie de 1 522 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est le syndicat mixte EPIDROPT[20]. Ils définissent chacun sur leur territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [21].

En 2022, du nord-est au sud, la majeure partie du territoire communal fait partie du bassin versant de la Lémance et n'est soumise à aucun SAGE. Au nord, environ 15 % correspondent au bassin de la Nauze et dépendent du SAGE Dordogne amont. Au nord-ouest, une zone plus réduite d'environ 5 % fait partie du bassin du Dropt et est rattachée au SAGE Dropt.

La qualité des eaux de baignade et des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].

Climat modifier

Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique aquitain[22]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[23].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 946 mm, avec 11,9 jours de précipitations en janvier et 6,8 jours en juillet[24]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Pays de Belvès à 10 km à vol d'oiseau[25], est de 13,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 888,2 mm[26],[27]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[28].

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Mazeyrolles est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[29],[30],[31]. La commune est en outre hors attraction des villes[32],[33].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (76 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (75,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (76 %), zones agricoles hétérogènes (23,1 %), terres arables (0,9 %)[34]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Villages et lieux-dits modifier

  • Aigueparse
  • Cabirat
  • La Croix d'Empéoute
  • Fontenilles
  • Guillaumet
  • Le Got, lieu d'implantation de la mairie
  • Latrape
  • Mazeyrolles
  • Péchouyoux
  • Pécontal
  • Le Peyret
  • La Roque Haute
  • Soulier

Prévention des risques modifier

Le territoire de la commune de Mazeyrolles est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible)[35]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[36].

Mazeyrolles est exposée au risque de feu de forêt. L’arrêté préfectoral du fixe les conditions de pratique des incinérations et de brûlage dans un objectif de réduire le risque de départs d’incendie. À ce titre, des périodes sont déterminées : interdiction totale du 15 février au 15 mai et du 15 juin au 15 octobre, utilisation réglementée du 16 mai au 14 juin et du 16 octobre au 14 février[37]. En septembre 2020, un plan inter-départemental de protection des forêts contre les incendies (PidPFCI) a été adopté pour la période 2019-2029[38],[39].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Mazeyrolles.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[40]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[41]. 92,9 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (58,6 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national métropolitain)[Carte 4]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 5],[42].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1999 et 2008, par la sécheresse en 2011 et par des mouvements de terrain en 1999[35].

Toponymie modifier

En occitan, la commune porte le nom de Maseiròlas[43].

Histoire modifier

Plaque commémorative
posée à la mairie

Les premiers hommes apparaissent en Europe il y 1,2 million d'années. Leur occupation permanente de l'Europe ne commence qu'il y a environ 500 000 ans. On trouve les traces de ces premières implantations correspondant à l'Acheuléen sur le site de « La Plane » situé sur le territoire de la commune de Mazeyrolles, situé sur la ligne d'interfluve entre les bassins de la Dordogne et du Lot. Ce site a été fouillé dès 1976 et a permis de donner une stratigraphie. Il a aussi donné un outillage moustérien attribué à l'homme de Néandertal. Les fouilles ont aussi donné un outillage aurignacien datant de 36 000 ans à 28 000 ans et du gravettien. Il a été pubié par Alain Turq, en 1988[44].

Pendant la Seconde Guerre mondiale, le village a accueilli des réfugiés juifs.

En 1960, l'ancienne commune de La Trappe fusionne avec Mazeyrolles.

En 1961, l'ancienne commune de Fontenilles-d'Aigueparse, créée en 1827 par la fusion des communes d'Aigueparse et de Fontenilles, fusionne avec Mazeyrolles.

Politique et administration modifier

Administration municipale modifier

La population de la commune étant comprise entre 100 et 499 habitants au recensement de 2017, onze conseillers municipaux ont été élus en 2020[45],[46].

Liste des maires modifier

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
         
mars 1995 juillet 2020 José Maury SE[47] Exploitant agricole
juillet 2020 avril 2021 Patrick Maury[Note 6]    
avril 2021 En cours Régis Loez    

Équipements et services publics modifier

Justice modifier

Dans le domaine judiciaire, Mazeyrolles relève[48] :

Population et société modifier

Démographie modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[49]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[50].

En 2021, la commune comptait 304 habitants[Note 7], en diminution de 7,32 % par rapport à 2015 (Dordogne : −0,41 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
428300443487505525560548587
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
578591572533536545511512508
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
504507417350362339310351330
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
443442389378380343357359342
2017 2021 - - - - - - -
305304-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[6] puis Insee à partir de 2006[51].)
Histogramme de l'évolution démographique

Remarque modifier

Malgré la fusion en 1960 et 1961 des communes de La Trappe et de Fontenilles-d'Aigueparse avec Mazeyrolles, la commune ne compte que 113 habitants de plus au recensement de 1962 par rapport à celui de 1954.

Économie modifier

Emploi modifier

En 2015[52], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 124 personnes, soit 37,8 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (dix-sept) est resté stable par rapport à 2010 et le taux de chômage de cette population active s'établit à 13,9 %.

Établissements modifier

Au , la commune compte quarante-trois établissements[53], dont dix-sept dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, quinze au niveau des commerces, transports ou services, six dans l'industrie, trois relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale, et deux dans la construction[54].

Culture locale et patrimoine modifier

Lieux et monuments modifier

Les églises de Mazeyrolles font partie de la paroisse Notre-Dame de Capelou qui doit son nom au pèlerinage de Capelou, le plus ancien du Périgord.
  • Église Saint-Clair de Fontenilles[57]
L'église romane a été endommagée au cours de la guerre de Cent Ans. Elle a été partiellement détruite en 1593 pour fortifier le petit manoir situé en face et qui était une commanderie des Hospitaliers de Saint-Jean. Elle est restaurée en 1671, puis de nouveau aux XIXe et XXe siècles.
  • Église Saint-Jean-Baptiste de Mazeyrolles[58].
  • Église Saint-Jacques de La Trappe[59] : l'église est citée dès 1153. Elle dépend alors de l'abbaye de Sarlat. Elle est attaquée pendant les guerres de Religion par le capitaine protestant Geoffroy de Vivans.
  • Ancienne commanderie des Hospitaliers à Fontenilles, à côté de l'église. Il en subsiste une tour construite pendant les guerres de religion[60].
  • Manoir d'Aigueparse[61].
  • Moulin du Greffier[62].

Personnalités liées à la commune modifier

Pour approfondir modifier

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie modifier

Articles connexes modifier

Liens externes modifier

Notes et références modifier

Notes et cartes modifier

  • Notes
  1. Une unité paysagère est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagères propres.
  2. La superficie publiée par l’Insee est la superficie évaluée en 1975 par le service du cadastre de la Direction Générale des Impôts, corrigée des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privé, cadastrées ou non cadastrées, à l'exception des lacs, étangs et glaciers de plus d'un kilomètre carré ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement à la surface géographique[12],[13]
  3. La ligne de partage des eaux entre le bassin de la Dordogne et le bassin de la Garonne est représentée par une ligne verte en tirets-points.
  4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  5. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  6. Démissionnaire mais reste conseiller municipal.
  7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Réseau hydrographique de Mazeyrolles » sur Géoportail (consulté le 17 juillet 2022).
  2. « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le ).
  3. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  4. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références modifier

  1. « Géologie de la Dordogne - Périgord », sur espritdepays.com (consulté le ).
  2. « Carte géologique de Mazeyrolles » sur Géoportail (consulté le 14 juin 2022).
  3. a et b « Caractéristiques géologiques et hydrogéologiques de la commune de Mazeyrolles », sur le Système d’information pour la gestion des eaux souterraines (SIGES) en Occitanie (consulté le ).
  4. « Notice associée à la feuille no 831 - Belvès de la carte géologique harmonisée au 1/50 000 de la France métropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consulté le ).
  5. « Notice associée à la feuille no 855 - Fumel de la carte géologique harmonisée au 1/50 000 de la France métropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consulté le ).
  6. a b et c Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  7. IGN, « Répertoire géographique des communes (RGC) 2014 », sur drive.google.com.
  8. « Pourquoi un Atlas des paysages du Dordogne ? », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
  9. « Unités paysagères de la Dordogne », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
  10. « Portrait du Périgord noir », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
  11. Insee, « Comparateur de territoire - Commune de Mazeyrolles », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  12. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Indicateurs en données ouvertes (superficie) », sur l'Observatoire des territoires (consulté le ).
  13. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Répertoire géographique des communes d'Île-de-France - définition de certains champs (dont la superficie) », sur data.iledefrance.fr (consulté le ).
  14. « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le ).
  15. « Fiche communale de Mazeyrolles », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en région Aquitaine (consulté le ).
  16. « Confluence Nauze-Dordogne au nord-ouest de la Gravielle » sur Géoportail (consulté le 17 août 2022)..
  17. Sandre, « la Nauze »
  18. Sandre, « La Briolance »
  19. « SAGE Dordogne amont », sur gesteau.fr (consulté le ).
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  21. « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
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  40. « Dossier départemental des risques majeurs de la Dordogne », sur dordogne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
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  52. Dossier complet - Commune de Mazeyrolles (24263) - Activités, emploi et chômage - tableaux EMP T2 et EMP T4 sur le site de l'Insee, consulté le 1er décembre 2018.
  53. « Établissement - Définition », sur Insee (consulté le ).
  54. Dossier complet - Commune de Mazeyrolles (24263) - Établissements actifs par secteur d'activité - tableau CEN T1 sur le site de l'Insee, consulté le 1er décembre 2018.
  55. « Église d'Aigueparse », notice no PA00082642, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture. Consultée le 8 juillet 2010.
  56. Françoise Auricoste, La bastide de Villefranche du Périgord capitale de la Chataigneraie (1261-1800), Éditions du Roc de Bourzac, Bayac, 1992, tome 2, p. 56-57 (ISBN 2-87624-058-0).
  57. Visites en Aquitaine : Église de Fontenilles
  58. Visites en Aquitaine : Église de Mazeyrolles
  59. Visites en Aquitaine : Église de La Trape
  60. Françoise Auricoste, La bastide de Villefranche du Périgord capitale de la Chataigneraie (1261-1800), Éditions du Roc de Bourzac, Bayac, 1992, tome 1, p. 52 (ISBN 2-87624-048-3).
  61. Visites en Aquitaine : Manoir d’Aigueparse
  62. Visites en Aquitaine : Moulin du Greffier
  63. À dimanche prochain. A Memoir of Survival in World War II France est le récit d'une famille juive qui a quitté Paris au début de la Seconde Guerre mondiale pour se réfugier au Got où elle a pu passer les années de guerre.