Les Mesnuls

commune française du département des Yvelines
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Les Mesnuls [le mɛnyl] est une commune française située dans le département des Yvelines en région Île-de-France.

Les Mesnuls
Les Mesnuls
Le château des Mesnuls.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Île-de-France
Département Yvelines
Arrondissement Rambouillet
Intercommunalité Communauté de communes Cœur d'Yvelines
Maire
Mandat
Michel Roux
2020-2026
Code postal 78490
Code commune 78398
Démographie
Gentilé Mesnulois
Population
municipale
876 hab. (2021 en évolution de +1,15 % par rapport à 2015)
Densité 135 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 45′ 28″ nord, 1° 50′ 15″ est
Altitude Min. 93 m
Max. 184 m
Superficie 6,49 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Montfort-l'Amaury
(banlieue)
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Aubergenville
Législatives Dixième circonscription
Localisation
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Liens
Site web lesmesnuls.fr

Géographie

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Position des Mesnuls dans les Yvelines.

Localisation

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La commune est située à l'extrémité nord-est du massif forestier de Rambouillet à 26 kilomètres à l'ouest de Versailles et à 16 kilomètres au nord de Rambouillet.

Le centre-village proprement dit, avec ses quelques commerces et sa mairie un peu excentrée, est regroupé autour de l'église et une majestueuse allée de tilleuls pavée conduit au châtelet d'entrée du château. Une importante partie de l'habitat s'étend vers l'est sur un contrefort boisé qui jouxte la commune de Saint-Rémy-l'Honoré.


Le hameau de la Millière est un lieu-dit résidentiel, vers le sud-ouest, au cœur de la forêt de Rambouillet.

Communes limitrophes

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Géologie et relief

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Hydrographie

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Photographie du lavoir.
Le lavoir.
Vue du village.

La Guyonne traverse la commune, petite rivière affluent de la Mauldre. C'est donc un sous-affluent de la Seine.

Voies de communication et transports

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Réseau routier

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La commune est traversée selon un axe nord-sud par la route départementale 191, qui mène à Mareil-le-Guyon et la vallée de la Mauldre vers le nord et au Perray-en-Yvelines vers le sud. Le trajet fut modifié au sud (conseil municipal du ), par un redressement du trajet aboutissant à une démolition partielle du hameau de la Foucharderie. À un carrefour avec cette RD 191, au nord du village, commence la route départementale 155 qui mène à Montfort-l'Amaury vers l'est.

Desserte ferroviaire

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Les gares ferroviaires les plus proches de la commune sont celles de Montfort-l'Amaury - Méré à 7 km et Villiers - Neauphle - Pontchartrain à 8 km.

Autobus

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La commune est desservie par la ligne 5 du réseau de bus Centre et Sud Yvelines qui permet une liaison jusqu'à la gare de Saint-Quentin-en-Yvelines via les communes de Montfort-l'Amaury et Jouars-Pontchartrain. En période scolaire, les lignes V, 39 et 79 du même réseau permettent la desserte des établissements situés à Villiers-Saint-Frédéric, La Queue-les-Yvelines et Rambouillet.

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat océanique et le climat océanique altéré et est dans la région climatique Sud-ouest du bassin Parisien, caractérisée par une faible pluviométrie, notamment au printemps (120 à 150 mm) et un hiver froid (3,5 °C)[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 676 mm, avec 11,1 jours de précipitations en janvier et 7,9 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Saint-Léger-en-Yvelines à 7 km à vol d'oiseau[3], est de 11,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 706,3 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].

Urbanisme

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Typologie

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Au , Les Mesnuls est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[7]. Elle appartient à l'unité urbaine de Montfort-l'Amaury[Note 1], une agglomération intra-départementale regroupant trois communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 2],[8],[9]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[9]. Cette aire regroupe 1 929 communes[10],[11].

Le territoire de la commune se compose en 2017 de 79,73 % d'espaces agricoles, forestiers et naturels, 11,42 % d'espaces ouverts artificialisés et 8.86 % d'espaces construits artificialisés[12].

Toponymie

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Le nom de la localité est attesté sous les formes Mesnil, Les Mesnils puis Les Menuls en 1801[13].

« Mesnil », toponyme très répandu en France, à partir de Mansionem, le bas-latin a créé un nouveau terme dérivé du mot latin mansionile[14], diminutif de mansio, demeure, habitation, maison. Devenu en français médiéval maisnil, mesnil, « maison avec terrain »[15].

Histoire

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Le monument aux morts.
Le monument aux morts.

À l'époque romaine une voie romaine orientée nord-sud et reliant Chartres à Beauvais traversait l'actuel territoire communal, une borne en a été retrouvée au hameau de la Millière. En 1964, après leur découverte par l'archéologue François Zuber en 1963, ce sont les ruines d'une villa gallo-romaine qui sont mises au jour sur un versant de la vallée de la Guyonne, au lieu-dit « le Bois de Mareil ». On y a retrouvé notamment une fresque dite « des quatre saisons », datant des Ier et IIe siècles apr. J.-C.[16].

L'histoire ultérieure du village est liée à celle du château, construit à l'origine, vers 1530, par Christophe de Refuge, gentilhomme de François 1er. Plusieurs propriétaires s'y sont ensuite succédé, dont le comte de Maupeau au XVIIIe siècle.

L'église possède des reliques de sainte Véronique transférées de Lyon en 1856.

Pendant la Révolution, la chapelle Notre-Dame-du-Chêne, construite à l'origine par Amaury de Montfort est détruite. Elle fut reconstruite en 1825 sur souscription.

Politique et administration

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La mairie.
La mairie.

Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
2001 2014 Marc Lautour[17]    
2014 En cours Michel Roux    

Politique environnementale

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Population et société

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Démographie

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Évolution démographique

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[18]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[19].

En 2021, la commune comptait 876 habitants[Note 4], en évolution de +1,15 % par rapport à 2015 (Yvelines : +2,04 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
304688709686680700665660611
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
605594620617584556570555544
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
539509425419455463376425578
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
545565675770793883879878841
2018 2021 - - - - - - -
853876-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[20] puis Insee à partir de 2006[21].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges

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En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 31,6 %, soit en dessous de la moyenne départementale (38 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 31,2 % la même année, alors qu'il est de 21,7 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 411 hommes pour 442 femmes, soit un taux de 51,82 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,32 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[22]
HommesClasse d’âgeFemmes
1,0 
90 ou +
0,2 
5,6 
75-89 ans
7,2 
24,1 
60-74 ans
24,2 
21,4 
45-59 ans
19,5 
17,0 
30-44 ans
16,5 
17,8 
15-29 ans
15,2 
13,1 
0-14 ans
17,2 
Pyramide des âges du département des Yvelines en 2021 en pourcentage[23]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,6 
90 ou +
1,4 
75-89 ans
7,8 
13,5 
60-74 ans
14,8 
20,7 
45-59 ans
20,1 
19,6 
30-44 ans
19,9 
18,5 
15-29 ans
16,8 
21,2 
0-14 ans
19,2 

Enseignement

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La commune administre une école élémentaire publique[24].

Économie

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En 1925, le premier camp de vacances de France pour amateurs de camping ouvre aux Mesnuls, sous les auspices du Touring club de France. Les prix y sont de 8 à 12 francs le jour[25].

Culture locale et patrimoine

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L'église Saint-Éloi.
L'église Saint-Éloi.

Lieux et monuments

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  • Église Saint-Éloi, XVe siècle.
  • Le château des Mesnuls : la construction des premiers éléments (châtelet d'entrée, douves) remonte au XVIe siècle, et le corps principal du château date de 1731. Protégé depuis 1945, il est classé monument historique depuis 1975.
La compagnie Thomson-CSF, (aujourd'hui Thales) a longtemps possédé ce château, actuellement propriété de la société Chateauform.
  • Chapelle Notre-Dame-du-Chêne sur la route de Montfort-l'Amaury, construite en 1825.
  • Lavoir de la rue du Moulin, XIXe siècle.

Personnalités liées à la commune

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Voir aussi

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Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie

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  • Le patrimoine des communes des Yvelines - tome 2, Paris, Editions Flohic, , 1155 p. (ISBN 2-84234-070-1), « Les Mesnuls », p. 592–594

Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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  1. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  2. Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Montfort-l'Amaury comprend une ville-centre et deux communes de banlieue.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Références

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  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  3. « Orthodromie entre Les Mesnuls et Saint-Léger-en-Yvelines », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Saint-Leger_sapc » (commune de Saint-Léger-en-Yvelines) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  5. « Station Météo-France « Saint-Leger_sapc » (commune de Saint-Léger-en-Yvelines) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  7. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  8. « Unité urbaine 2020 de Montfort-l'Amaury », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  9. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Les Mesnuls ».
  10. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  12. [PDF]« Occupation des sols en 2017 (comparaison avec 2012) », sur cartoviz.iau-idf.fr (consulté en ).
  13. Carte de Cassini.
  14. Albert Dauzat, Les noms de lieux, origine et évolution, Libraire Delagrave, Paris, 1926, p. 153.
  15. – Marianne Mulon –Noms de lieux d’Île-de-France, Bonneton, Paris, 1997 (ISBN 2862532207).
  16. Voir la page concernée du site de l'ADRACHME et le document de présentation sur le site de la ville
  17. Résultats des élections municipales de mars 2008 sur le site officiel de la préfecture des Yvelines.
  18. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  19. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  20. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  21. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  22. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune des Mesnuls (78398) », (consulté le ).
  23. Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département des Yvelines (78) », (consulté le ).
  24. « Site officiel de l'inspection académique des Yvelines »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?).
  25. Dominique Missika, Thérèse, le grand amour caché de Léon Blum, Alma Éditeur, , 262 p. (ISBN 978-2-36279-181-9), p. 240.Voir et modifier les données sur Wikidata
  26. Hélène Jourdan-Morhange, « Ravel à Montfort-l'Amaury », Maurice Ravel par quelques-uns de ses familiers, Paris, Éditions du Tambourinaire,‎ , p. 163-169 (166).
  27. Astrid Faguer et Maud Gabrielson, « En 1998, hold-up et coups de feu chez Jean-Paul Guerlain », sur lemonde.fr, (consulté le ).
  28. (en) Sonya Faure, Hideaways: Cabins, Huts, and Tree House Escapes, Random House Incorporated, , 144 p. (lire en ligne).
  29. Sophie des Déserts, « Les deux visages de Matthieu Pigasse, Dr Money & Mr Cool », Vanity Fair no 50, septembre 2017, p. 94-103.