Michèle Ngoumou

journaliste camerounaise

Michèle Ngoumou est une journaliste camerounaise né 1956 en France[1] où elle fait ses études.

Michèle Ngoumou
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Biographie
Activité

Biographie

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Employé comme documentaliste en France, Michèle Ngoumou qui apprend qu'une chaine de télévision ouvre au Cameroun décide de rentrer servir dans son pays en 1985. Le 21 mars 1985 elle prend fonction aux cotés Dieudonné Tiné Pigui de à Bamenda qui présente le tout premier journal télévisé à la CTV[2] qui devient CRTV en décembre 1985.

Dans les années 90, Michèle Ngoumou se tourne vers l'animation des émissions, après la suppression du poste de speakerine. Elle se spécialise pour les émissions de jeunes à la radio et à la télévision[3], dans lesquelles, elles les sensibilise sur la pandémie du sida, les grossesses juvéniles[4] , d'où son surnom de tata Michèle[5].

En 2023, Michèle Ngoumou revient à la télévision dans le cadre des célébrations de la journée internationale des droits des femmes en compagnie d'autres femmes du milieu journalistique camerounais à l'instar de Patience Essoka, Barbara Etoa sur Canal 2 international[6].

Sous la direction du professeur Gervais Mendo Ze, le courant ne passe pas entre Michèle Ngoumou et lui. Elle est même mise au placard par ce dernier[7]

Articles connexes

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Notes et références

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  1. La rédaction, « Portrait de Michèle Ngoumou (Tata Michèle) », (consulté le )
  2. Stephanie, « Michèle Ngoumou », (consulté le )
  3. « Cameroun: Une "tata" sur la Fm 94 : Michèle Ngoumou prête ses oreilles et son coeur aux auditeurs en détresse »
  4. Stephanie, « Tata Michèle », (consulté le )
  5. « Tata Michèle : La Maman de tous les enfants de télévision et de la radio camerounaise »
  6. « Anne Marthe Mvoto, Michèle Ngoumou, Barbara Etoa... reviennent à la télévision sur Canal 2 international », (consulté le )
  7. Rose-Danielle Ngoumou, Louis Marie Gael Bidzogo Ekobono et Titus Yannick Ngoumou, « Exploring Healthcare Practitioners’ Knowledge of Rare Diseases in Cameroon », International Journal of Innovative Research in Medical Science, vol. 8, no 11,‎ , p. 479–485 (ISSN 2455-8737, DOI 10.23958/ijirms/vol08-i11/1767, lire en ligne, consulté le )