Michael Douglas
Michael Douglas (prononcé en anglais : /ˈmaɪkəl ˈdʌɡləs/[N 1]) est un acteur et producteur de cinéma américain, né le à New Brunswick (New Jersey).
Nom de naissance | Michael Kirk Douglas |
---|---|
Surnom | Mickey, Mike |
Naissance |
New Brunswick (New Jersey, États-Unis) |
Nationalité | Américaine |
Profession |
Acteur Producteur |
Films notables | voir Filmographie |
Séries notables |
Les Rues de San Francisco La Méthode Kominsky |
Aîné des quatre fils de l'acteur Kirk Douglas, il commence sa carrière dans les années 1960 et se fait connaître à la télévision grâce à la série policière Les Rues de San Francisco[1]. Il obtient ensuite deux Oscars, le premier en en tant que producteur de Vol au-dessus d'un nid de coucou, qui gagne l'Oscar du meilleur film ; puis le second en dans la catégorie du meilleur acteur pour Wall Street[2]. Parallèlement, il remporte six Golden Globes, dont le Cecil B. DeMille Award en [3].
Durant les années 1980 puis 1990, il incarne plusieurs anti-héros et enchaîne de nombreux succès au box-office tels À la poursuite du diamant vert (), Liaison fatale (), La Guerre des Rose (), Basic Instinct (), Harcèlement () ou encore The Game ()[4]. Dans les années 2000, il s'essaie à quelques reprises au cinéma indépendant[5], puis à partir des années 2010, il intègre le MCU en prêtant ses traits à ceux du scientifique Hank Pym. À cette période, il fait également son retour à la télévision, en incarnant le pianiste Liberace dans le téléfilm Ma vie avec Liberace (), pour lequel il remporte un Emmy Award[6]. Il brille par la suite dans le rôle de Sandy Kominsky, un coach pour acteurs, dans la série comique La Méthode Kominsky (-), grâce à laquelle il reçoit de nombreuses nominations.
De par sa longévité et l'ambiguïté de certains rôles qu'il a tenus, la carrière de Michael Douglas a été célébrée à plusieurs reprises, notamment par un AFI Life Achievement Award reçu en ou encore par la Palme d'honneur du festival de Cannes 2023[7],[8],[9].
Depuis , il est l'époux de l'actrice britannique Catherine Zeta-Jones avec laquelle il a deux enfants.
Biographie
modifierJeunesse et formation
modifierMichael Kirk Douglas naît le à New Brunswick dans le New Jersey. Issu d'une famille d'acteurs, il est le fils aîné du célèbre Kirk Douglas (1916-2020), figure majeure du cinéma américain, et de Diana Dill (1923-2015).
Du côté maternel, il a des origines anglaises, irlandaises, galloises, écossaises et françaises[A 1] et, du côté de son père, des origines juives russes[10]. Il a un frère prénommé Joel (né en 1947) ainsi que deux demi-frères, Peter Douglas (né en 1955) et Eric Douglas (1958-2004). Ses parents divorcent en , alors que le jeune Michael n'a que sept ans[11].
Il grandit à Westport (Connecticut) avec sa mère et son beau-père Bill Darrid (1923-1992), voyant son père lors des vacances, souvent pendant des tournages. Il se décrit comme un enfant « timide, introverti, prudent. Je n'avais pas beaucoup confiance »[12]. Il est aussi scolarisé à Los Angeles[A 2].
Il se passionne rapidement pour les arts dramatiques et va étudier dans les années 1960 à l'Université de Santa Barbara (UCSB) en Californie. Il en sort diplômé d'un Baccalauréat universitaire ès lettres en [A 3]. Durant ses études, il participe à de petites productions théâtrales comme Bedford Forrest, jouée à l'Eugene O'Neill Theater Center[13]. Lors d'une représentation, son père lui rend visite et qualifie alors son jeu d'acteur de « mauvais »[14]. Bien décidé à s'améliorer et à vaincre son trac[15], il part alors pour New York afin de suivre les cours de Wynn Handman, qui a notamment enseigné à Richard Gere et à Dustin Hoffman[16],[17].
Il fait ses débuts devant la caméra avec un rôle non crédité sur le film L'Ombre d'un géant ()[18], puis tient le rôle principal de Hail, Hero! () qui lui vaut une nomination pour le Golden Globe de la révélation masculine de l'année. C'est également à cette époque qu'il rencontre l'acteur Danny DeVito, avec qui il est en colocation dans l'Upper West Side[19],[20], et qui deviendra un collaborateur régulier dans les années 1980.
Carrière
modifierRévélation télévisuelle et producteur (années 1970)
modifierAprès quelques mauvais choix, comme lorsqu'il refuse le rôle principal du film Love Story ()[21], sa carrière commence réellement dans les années 1970. Il apparaît tout d'abord dans Adam at 6AM (), une production signée Steve McQueen, œuvre pour laquelle il reçoit en guise de salaire une Porsche 911, offerte par McQueen lui-même[22]. Le jeune acteur poursuit dans sa lancée avec les films Summertree () et Napoléon et Samantha (), ce dernier étant le premier film sorti au cinéma pour Jodie Foster[23],[24].
Sa carrière prend davantage d'ampleur grâce au feuilleton télévisé Les Rues de San Francisco, dans lequel il campe le rôle du jeune et impétueux inspecteur Steve Keller durant quatre saisons – entre et – aux côtés de l'acteur Karl Malden, qu'il considère comme son mentor[25]. Cette série s'avère être une opportunité pour lui, qu'il décrit comme une « expérience [qui] m'a donné une discipline dans le travail et m'a beaucoup appris sur l'écriture de fiction »[1]. Pour ce rôle, il est nommé durant trois années consécutives aux Emmy Awards et il reçoit une nomination pour le Golden Globe du meilleur acteur dans une série télévisée dramatique en .
Désireux de ne pas s'enfermer à la télévision, il se lance dans la production en avec le film Vol au-dessus d'un nid de coucou, qu'il co-produit à l'aide de Saul Zaentz. Adaptation cinématographique du roman éponyme de Ken Kesey, Michael Douglas en obtient les droits d'exploitation grâce à son père. Ce dernier avait d’ailleurs joué le rôle principal (celui de McMurphy) à Broadway en . Tourné avec un budget de 4 000 000 de dollars, le film engendre plus de 160 000 000 de dollars de recettes à travers le monde et devient l'un des plus grands succès cinématographiques des années [26]. Douglas est récompensé de l'Oscar du meilleur film (en tant que producteur) lors des Oscars 1976[2].
Il reviendra plus tard sur ce succès fulgurant[27] :
« Le budget et les délais n'ont pas été respectés, mais Saul a eu le courage de financer le film au-delà de l'estimation initiale de 2 millions de dollars. Cela nous a coûtés un peu plus de 4 millions de dollars. Ses partenaires m'ont accusé de le mener en bateau. Mais nous savions que nous avions un film […]. Quand nous sommes allés voir les majors pour trouver un distributeur, ils ont tous refusé ce qui allait devenir un film nommé pour neuf Oscars. »
— Michael Douglas
Le long métrage de Miloš Forman est aujourd'hui le deuxième des trois films à avoir gagné les cinq Oscars majeurs, après New York-Miami en et avant Le Silence des agneaux en [N 2].
En , Michael et son frère Peter sont nommés à la tête de la compagnie de production The Bryna Company, fondée par leur père en . L'acteur quitte ses fonctions en pour se concentrer sur sa propre société, Bigstick Productions[28],[29]. L'année marque un changement dans sa vie personnelle, l'acteur épouse alors Diandra Luker, la fille d'un diplomate autrichien[30]. Le couple célèbre la naissance de leur fils Cameron l'année d'après. Douglas enchaîne ensuite les tournages.
En , il campe un docteur enquêtant sur des cas de comas végétatifs douteux dans le thriller Morts suspectes, réalisé par Michael Crichton, où il a comme partenaire l'actrice Geneviève Bujold. En , il est choisi par le réalisateur Steven Hilliard Stern pour tenir le premier rôle du film Le Vainqueur, narrant l'histoire d'un père de famille qui se fixe comme objectif de participer à un marathon se déroulant durant les Jeux olympiques. Cette même année, il incarne pour le réalisateur James Bridges le rôle de Richard Adams dans Le Syndrome chinois, film sur les dangers du nucléaire présenté au festival de Cannes 1979. Pour ce projet, il utilise une nouvelle fois sa casquette de producteur. Sa participation sur ce film lui vaut d'être consacré « Producteur de l'année » par la National Association of Theatre Owners (Association nationale des propriétaires de salles de spectacle) lors de la ShoWest Convention[N 3]. Ses partenaires à l'écran, Jack Lemmon et Jane Fonda, sont quant à eux nommés aux Oscars[31].
Star du box-office (années 1980)
modifierEn , il est à l'affiche du film C'est ma chance, avant de subir un grave accident de ski qui interrompt sa carrière pendant trois ans[32]. Il revient en dans le polar La Nuit des juges que réalise Peter Hyams. Mais c'est en qu'il opère son véritable retour sur le devant de la scène, grâce au film d'aventure À la poursuite du diamant vert de Robert Zemeckis, qui lui offre son premier grand succès au box-office[33].
C'est à la suite d'une rencontre dans un restaurant que la scénariste Diane Thomas, alors serveuse, lui soumet le script[34] : « [Diane] n'était pas timide […] Il y avait une absence totale de peur dans l'écriture ». En plus de tenir le premier rôle, il officie également comme producteur. Son alchimie avec Kathleen Turner est appréciée par la critique, notamment du magazine Empire qui déclare : « Michael Douglas et Kathleen Turner forment un duo excellent »[35]. Le film remporte par la suite deux Golden Globes et est nommé pour un Oscar.
Il est suivi en d'une suite intitulée Le Diamant du Nil, qu'il tourne une nouvelle fois avec Turner et Danny DeVito, mais cette fois sous la direction de Lewis Teague. Il s'intéresse au même moment à un scénario écrit par Bruce A. Evans et Raynold Gideon, intitulé Starman – en développement depuis cinq ans chez Columbia – qu'il décide de produire et qu'il confie au réalisateur John Carpenter[36]. Michael Douglas souhaite interpréter le rôle principal mais le studio n'accède pas à sa requête, lui préférant Jeff Bridges, jugé davantage « bankable »[37].
C'est aussi à cette période qu'il fonde une nouvelle société de production, Stonebridge Entertainment, avec le producteur Rick Bieber[38],[39]. Entre-temps, il s'essaie à la comédie musicale avec Chorus Line (), du réalisateur Richard Attenborough. Bien que mal reçu par la critique[40], le film obtient trois citations aux Oscars 1986 ainsi que deux citations aux Golden Globes 1986.
En , il rejoint la distribution du thriller provocateur Liaison fatale que doit réaliser Brian De Palma. Ce dernier, ne voulant pas tourner avec Michael Douglas, quitte finalement le projet : « Je ne peux pas faire le film avec Michael. Il est antipathique. Donc c'est lui ou moi »[41]. Ce long métrage, qui examine les conséquences désastreuses d'une relation adultère, est finalement réalisé par Adrian Lyne. L'acteur y partage l'affiche avec Glenn Close et campe le rôle d'un avocat dont la vie va virer au cauchemar[42]. Avec ses 320 000 000 de dollars de recettes mondiales, il est un succès planétaire, se classant premier au rang annuel du box-office international[7],[43].
Sa réputation de producteur le précédant[44], il est choisi contre l'avis des studios par le réalisateur Oliver Stone pour jouer le rôle du financier Gordon Gekko dans Wall Street (), film devenu culte[45]. Cette partition pleine de cynisme permet à l'acteur de recevoir la consécration de la profession, en remportant un Oscar du meilleur acteur en [A 4]. Pour Michael Douglas, cette récompense est aussi l'occasion de pouvoir enfin sortir de l'ombre de son père et de « créer sa propre identité »[46].
Il se glisse ensuite dans la peau de Nick Conklin, un policier new-yorkais, et part à la chasse aux yakuzas aux côtés d'Andy García pour les besoins du polar Black Rain () de Ridley Scott, tourné en partie au Japon[47]. Malgré un accueil critique plutôt mitigé[48], le film engendre plus de 130 000 000 de dollars de recettes à travers le monde pour un budget de 30 000 000 de dollars.
La même année, il est dirigé par Danny DeVito, son comparse de toujours, dans la comédie La Guerre des Rose. Il est ainsi réuni pour la troisième fois de sa carrière avec Kathleen Turner. Les deux acteurs incarnent respectivement les rôles d'Oliver et Barbara Rose, un couple au bord de la rupture. Leur duo est notamment apprécié par le critique Peter Travers de Rolling Stone qui déclare que « Turner et Douglas sont formidables, délimitant la conquête de l'émotion sur la raison avec une exactitude effrayante »[49]. Pour ce film, Michael Douglas est nommé aux Golden Globes, cette fois-ci dans la catégorie du meilleur acteur dans un film comique.
Acteur de premier plan (années 1990)
modifierEn , il produit le film de science-fiction L'Expérience interdite, porté par les jeunes Julia Roberts et Kiefer Sutherland[50]. Il revient comme acteur au cinéma pour deux films, sortis tous deux en . Il est d'abord à l'affiche d'Une lueur dans la nuit, du réalisateur David Seltzer, aux côtés de Melanie Griffith et Liam Neeson. Il tient ensuite le rôle masculin principal du thriller provocateur et très controversé Basic Instinct de Paul Verhoeven, qui le confirme en tant qu'acteur de premier plan. En raison de son caractère sulfureux, le film embrase la Croisette lors de l’ouverture du festival de Cannes 1992[51].
L'acteur, alors au sommet de sa gloire, reçoit un cachet estimé à 14 000 000 de dollars[52]. Les recettes du long métrage dépassent plus de 350 000 000 de dollars au box-office et le succès est tel que Sharon Stone, sa partenaire à l'écran, devient une star internationale[53]. À l'issue de ce tournage, l'acteur subit une cure de désintoxication de trente jours au sein du Sierra Tucson Center en Arizona pour « addiction à l'alcool »[54].
Il retourne au festival de Cannes l'année suivante pour présenter Chute libre du réalisateur Joel Schumacher. Dans ce film, qui s'interroge notamment sur le mercantilisme de la société, il incarne un chômeur désabusé. Pour le critique Roger Ebert, sa performance témoigne « d'une subtilité considérable et d'un certain courage »[55]. Ce long métrage bénéficie globalement d'un bon accueil critique[56].
En , l'acteur tourne un nouveau film sulfureux avec Harcèlement de Barry Levinson, aux côtés de Demi Moore. Le succès au box-office dépasse les 200 000 000 de dollars[57]. Il fonde, cette même année, la société Douglas/Reuther Productions avec le producteur Steven Reuther[58]. En , il campe le rôle du Président des États-Unis dans la comédie dramatique Le Président et Miss Wade du réalisateur Rob Reiner[N 4]. Sa prestation est jugée convaincante par plusieurs critiques, dont Todd McCarthy du journal Variety qui salue son alchimie avec Annette Bening[59]. Le magazine Time le consacre également parmi les meilleurs Présidents de fiction du cinéma[60].
Par la suite, il seconde Val Kilmer dans L'Ombre et la Proie (), film sur lequel il s'impose et qu'il produit également. Les relations entre l'acteur et le réalisateur Stephen Hopkins sont tendues, ce dernier se refusant même à regarder le montage final[61]. On le retrouve ensuite dans un rôle plus important avec le long métrage The Game (), signé David Fincher. Il prête alors ses traits à Nicholas Van Orton, un riche homme d'affaires pris dans la tourmente d'un jeu imprévisible. Son jeu d'acteur est jugé convaincaint : « Franchement, personne ne joue mieux un mec blasé que Douglas »[62], peut-on lire dans les colonnes du Washington Post à la sortie du film. Il fait alors partie des acteurs les mieux payés à Hollywood, avec un salaire de près de 20 000 000 de dollars[63]. Il est ensuite pressenti pour être l'une des deux têtes d'affiche du film d'action Volte-face () de John Woo[64]. Il opère finalement sur ce long métrage, acclamé par la critique[65] et grand succès au box-office[66], en tant que producteur délégué.
En , Michael Douglas est à l'affiche d'un remake du film Le crime était presque parfait d'Alfred Hitchcock, dans lequel il côtoie Gwyneth Paltrow et Viggo Mortensen. Intitulé Meurtre parfait et réalisé par Andrew Davis, il bénéficie d'une présentation au festival du cinéma américain de Deauville, à l'occasion duquel il reçoit un hommage pour l'ensemble de sa carrière[67]. Ce long métrage engendre près de 130 000 000 de dollars au box-office. En , il officie comme narrateur pour la version originale du film documentaire Un jour en septembre de Kevin Macdonald, récompensé par l'Oscar du meilleur film documentaire en , qui relate le « massacre de Munich » survenu en [68].
Seconds rôles et cinéma indépendant (années 2000)
modifierMichael Douglas débute les années 2000 en jouant un auteur en manque d'inspiration dans Wonder Boys () de Curtis Hanson, aux côtés de Robert Downey Jr, Frances McDormand et Tobey Maguire. Sa prestation lui vaut une nomination au Golden Globe du meilleur acteur dans un film dramatique, ainsi qu'une nomination au BAFTA du meilleur acteur. Malgré les bonnes critiques, l'échec au box-office heurte la confiance de l'acteur : « Wonder Boys a été une énorme déception pour moi […]. J’ai adoré ce film, il avait un scénario fantastique et un casting formidable […]. Cela a ébranlé ma confiance en moi. »[69].
Parallèlement, il s'essaie au film choral avec Traffic, marquant la première de ses trois collaborations avec le réalisateur Steven Soderbergh. Ce long métrage, qui évoque le trafic de drogue entre les États-Unis et le Mexique, est un immense succès critique et commercial à sa sortie[70],[71]. L'acteur y joue le rôle de Robert Wakefield, juge à la Cour suprême, qui est chargé par le Président des États-Unis de mener une lutte anti-drogue. Douglas remporte le SAG Award de la meilleure distribution pour sa participation sur ce film, prix qu'il partage avec ses coéquipiers.
En , via la société de production indépendante Further Films, qu'il a fondée en , il produit le film Divine mais dangereuse[72], dans lequel il campe un second rôle. Il est aussi la tête d'affiche du thriller Pas un mot (), avec Sean Bean et Famke Janssen. En , on l'aperçoit dans un épisode de la saison 4 de la série Will et Grace, ce qui lui vaut d'être nommé aux Emmy Awards.
En , il s'illustre aux côtés de son père Kirk Douglas et de son fils aîné Cameron dans le film Une si belle famille. Cette même année, il tient les rênes de la comédie Espion mais pas trop ! dans laquelle il côtoie Albert Brooks et Ryan Reynolds. Remarié en avec l'actrice Catherine Zeta-Jones, il s'éloigne ensuite des plateaux de cinéma pour profiter de sa vie de famille[5].
En , la Hollywood Foreign Press Association lui remet le Cecil B. DeMille Award pour l'ensemble de sa carrière lors de la 61e cérémonie des Golden Globes. C'est finalement en qu'il retourne sur grand écran, avec le film The Sentinel de Clark Johnson, qu'il produit également. Aux côtés de Kiefer Sutherland et d'Eva Longoria, il incarne un agent des services secrets américains devant déjouer un complot visant à assassiner le Président. Ce thriller ne convainc pas vraiment la critique[73]. La même année, l'acteur prête ses traits au personnage de Bob Thompson pour la comédie Toi et moi... et Dupree des frères Russo. Malgré un accueil critique assez froid[74], le succès au box-office international est au rendez-vous[75].
Il s'essaie ensuite au cinéma indépendant avec le film King of California () de Michael A. Cahill, qu'il présente en ouverture du festival du film de Sundance, ainsi qu'à celui de Deauville, à l'occasion duquel il reçoit un hommage pour sa carrière[76]. Ce long métrage obtient globalement des critiques positives[77]. Peter Travers du magazine Rolling Stone écrit à propos de sa prestation qu'il s'agit « d'une de ses meilleures »[78].
Il poursuit avec trois films sortis en . Le premier est le thriller Présumé Coupable. Il seconde ensuite Matthew McConaughey dans la comédie Hanté par ses ex. Puis, il retourne au cinéma indépendant avec Solitary Man. Les films dans lesquels l'acteur apparaît n'ont plus les faveurs de la critique, il est même qualifié de « relique pittoresque » par le journal Austin Chronicle[79]. Cette même année, Michael Douglas est récompensé pour l'ensemble de sa carrière par l'American Film Institute qui lui attribue son prestigieux AFI Life Achievement Award[8].
Grosses productions et retour à la télévision (depuis les années 2010)
modifierEn , il accepte de reprendre son rôle de Gordon Gekko – qui lui avait valu un Oscar vingt-deux ans plus tôt – pour les besoins du film Wall Street : L'argent ne dort jamais. Cette suite est une nouvelle fois tournée sous la direction d'Oliver Stone. Présenté hors compétition durant le festival de Cannes 2010[80], le long métrage suscite une réaction polarisée de la critique lors de sa sortie mondiale en septembre[81]. Pour sa prestation, l'acteur est nommé aux Golden Globes 2011 dans la catégorie du meilleur acteur dans un second rôle. En , il annonce être atteint d'un cancer[82], duquel il indique être guéri l'année suivante[83].
À cette période, il déclare que ses « priorités ont changé. J’ai adoré ma vie, mais elle est derrière moi. Ma carrière est longtemps passée avant ma famille. Maintenant, c’est le contraire »[84]. Après cette période difficile, Michael Douglas entend pourtant retourner sur les plateaux de cinéma. Mais avant, on le retrouve en le temps d'un épisode de la série d'animation Phinéas et Ferb, qui lui permet pour la première fois de prêter sa voix à un personnage animé[85]. Les spectateurs le revoient quelques mois plus tard sur grand écran, l'acteur tourne alors sous la direction de Steven Soderbergh dans le film d'action Piégée (), qui le voit jouer le chef de la CIA[86].
L'année d'après, il s'illustre dans le rôle du pianiste de music-hall Liberace dans le téléfilm Ma vie avec Liberace, qui marque son véritable retour de manière flamboyante, et pour lequel il est de nouveau dirigé par Soderbergh[87],[88]. Ce film est présenté en compétition au festival de Cannes 2013, où Michael Douglas est un temps pressenti comme lauréat du prix d'interprétation masculine, mais le jury de Steven Spielberg en décide autrement et c’est Bruce Dern qui remporte la palme[89]. Il fait par la suite l'ouverture du festival du cinéma américain de Deauville 2013 et reçoit d’excellentes critiques[90]. L'acteur est auréolé de plusieurs prix pour son interprétation, dont un Golden Globe du meilleur acteur dans une mini-série ou un téléfilm, ainsi qu'un Emmy Award dans la même catégorie[91],[92]. Fin , il est à l’affiche de la comédie Last Vegas avec Robert De Niro, Morgan Freeman et Kevin Kline : c’est la première fois que ces quatre acteurs sont réunis pour un même projet[93]. Il tourne ensuite avec Diane Keaton dans la comédie romantique Ainsi va la vie (), qui marque sa seconde collaboration avec le réalisateur Rob Reiner, presque vingt ans après Le Président et Miss Wade[94]. En fin d'année, il est à l'affiche du thriller Hors de portée, une série B avec Jeremy Irvine[95].
Michael Douglas apparaît ensuite sous les traits du Dr Hank Pym dans le blockbuster Ant-Man (), que réalise Peyton Reed pour les studios Marvel[96]. Dans sa critique pour le journal Variety, le journaliste Justin Chang trouve l'acteur « merveilleux » dans son rôle de mentor[97]. Douglas reçoit par la suite une nomination pour le Saturn Award du meilleur acteur dans un second rôle pour ce film. En , il est de nouveau récipiendaire d'un César d'honneur pour récompenser l'ensemble de son œuvre. En effet, il avait déjà été récompensé par l'Académie des arts et techniques du cinéma en [98]. Avec Jeanne Moreau et Jean-Luc Godard, il fait partie des seules personnalités qui ont été récompensées deux fois de ce même prix[99].
En , il apparaît devant la caméra de Michael Apted qui le fait jouer dans le thriller d'action Conspiracy, porté par l'actrice suédoise Noomi Rapace et les acteurs Orlando Bloom, John Malkovich et Toni Collette[100]. On l'aperçoit ensuite dans le film chinois Animal World (), libre adaptation du manga Tobaku Mokushiroku Kaiji. Durant l'été , il prête une nouvelle fois ses traits au scientifique Hank Pym pour Ant-Man et la Guêpe[101], qui lui permet de participer à l'un des plus gros succès du box-office mondial de cette année[102].
Michael Douglas retrouve ensuite les frères Russo en , le temps d'une brève apparition dans la peau de ce même personnage, pour le film Avengers: Endgame[103]. Entre et , il tient le rôle de Sandy Kominsky, un coach pour acteurs, dans la série comique La Méthode Kominsky diffusée sur Netflix. Cette composition lui vaut de remporter un Golden Globe le [104]. Il reste affilié à la plateforme pour deux projets. Le premier est la série d'animation Les Œufs verts au jambon, adaptation de l'œuvre du Dr Seuss diffusée à partir de , dans laquelle il prête sa voix à l’un des principaux personnages, Guy Am I[105]. Le second projet est la série télévisée Ratched, diffusée en et servant de préquelle au livre Vol au-dessus d'un nid de coucou dont l'intrigue est centrée sur l'infirmière Ratched[106]. Après avoir été producteur pour l'adaptation cinématographique du roman, Michael Douglas officie ici en tant que producteur délégué[106].
En , il prête sa voix à la version animée d'Hank Pym dans la série d'animation What If...?, qui dépeint des versions divergentes des personnages du MCU[107]. En , il reprend le rôle d'Hank Pym dans Ant-Man et la Guêpe : Quantumania[108]. Il est par la suite récompensé d'une Palme d'honneur, qu'il reçoit durant la cérémonie d'ouverture du festival de Cannes 2023[109]. L'acteur retourne à Cannes l'année suivante pour Franklin (), une mini-série produite par le service de streaming Apple TV+, qu'il vient présenter en avant-première mondiale lors du festival Canneseries[110]. Dans une critique mitigée de la série, The Guardian juge l'acteur « absolument convaincant » dans le rôle de Benjamin Franklin[111]. En , il est honoré par le festival Atlántida Film Fest de Majorque, où il reçoit le prix Masters of Cinema pour l'ensemble de sa carrière, des mains de la reine d'Espagne Letizia Ortiz[112]. Il retourne en France en septembre comme invité d'honneur du festival du cinéma américain de Deauville, qui célèbre son 50e anniversaire, et lors duquel il reçoit un Prix d'honneur pour sa carrière[113].
Vie privée
modifierAprès avoir vécu pendant presque sept ans avec l'actrice Brenda Vaccaro[114], Michael Douglas épouse en premières noces Diandra Luker le [115]. Leur fils Cameron Douglas naît l'année d'après. Ils se séparent en et, à l'issue d'un des divorces de stars les plus chers (prononcé en )[30], Diandra Luker touche la somme de 45 000 000 de dollars[116].
Le , il épouse en secondes noces l'actrice galloise Catherine Zeta-Jones, qu'il a rencontrée au festival de Deauville en , lors d'une cérémonie organisée au Plaza Hotel de New York[117]. Le coût de leur mariage s'est élevé à 1 500 000 dollars[118]. Le couple se fiance au préalable à Aspen au Colorado lors du Nouvel an en [119]. Ils ont deux enfants : Dylan Michael Douglas (né le )[120] et Carys Zeta Douglas (née le )[121].
En , le couple assigne en justice Dawnette Knight, après que cette dernière les a harcelés pendant des mois via des lettres et coups de fil anonymes. La prévenue souhaitait notamment « découper en morceaux Catherine Zeta-Jones pour la donner à manger à ses chiens »[122]. À la suite d'un procès médiatisé, Dawnette Knight est condamnée à une peine de trois ans de prison[123].
En , l'acteur révèle en direct à la télévision, lors de l'émission Late Show with David Letterman, qu’il est atteint d’un cancer de la gorge de stade 4, stade le plus avancé de la maladie[82]. Alors qu’il a perdu seize kilos, il annonce officiellement sa guérison le lors de la 68e cérémonie des Golden Globes[83]. En clôture de cet événement, il reçoit une ovation de la part du public, notamment de la part de Robert Downey Jr et Johnny Depp qui se lèvent pour l'applaudir[124]. Avant d'annoncer le film récompensé (The Social Network), l'acteur revient de manière ironique sur son état de santé : « Il doit y avoir un moyen plus facile d'obtenir une ovation »[125].
Il se confie en sur la véritable nature de son cancer lors d'un entretien avec l'acteur Samuel L. Jackson et révèle qu'il ne souffrait en réalité pas d'un cancer de la gorge, mais d'un cancer de la langue. Il admet avoir menti sur les conseils de ses docteurs, à des fins professionnelles[126]. Au mois d'août de la même année, Michael Douglas et Catherine Zeta-Jones se séparent et souhaitent faire une pause afin de « travailler sur leur mariage »[127]. Ils se réconcilient finalement en février de l'année suivante[128].
Le couple réside en famille à Warwick dans les Bermudes durant les années 2000 avant de déménager dans la région de New York en [129]. Depuis , ils vivent dans un manoir au sein du comté de Westchester, qu'ils ont acquis pour 4 500 000 dollars[130], après avoir vécu pendant plusieurs années à Bedford[131]. Michael Douglas possède aussi une propriété à S'Estaca, près de Valldemossa, sur les terres historiques de l'archiduc Louis-Salvador, étant attaché à Majorque depuis [132].
Selon la société Wealth-X, d'après une étude effectuée en , il fait partie des dix acteurs oscarisés les plus riches de Hollywood, juste derrière George Clooney[133]. Par ailleurs, Michael Douglas est connu pour parler la langue française, tout comme son père Kirk[134].
Image publique
modifierJeu d'acteur
modifierAu début de sa carrière, il est souvent comparé de manière défavorable à son père, l'acteur Kirk Douglas[135]. Ce n'est qu'à partir des années 1980 qu'il parvient à s'émanciper de la figure parternelle[136]. Selon le critique de films David Thomson, l'acteur a su incarner des personnages « faibles, coupables, moralement indolents, compromis et avides de sensations illicites sans perdre cette probité fondamentale ou ce potentiel de caractère éthique que nous exigeons d'un héros »[A 5].
Plusieurs de ses prestations sont passées à la postérité, comme Gordon Gekko dans Wall Street ou William Foster dans Chute libre[137]. Le critique Roger Ebert apprécie son charme mutin, comme dans Wonder Boys, qu'il décrit comme « sa meilleure performance depuis des années, en sourdine, douce et émerveillée »[138]. En , le journal The Guardian publie une tribune sur la carrière de l'acteur et regrette certains de ses choix, mais précise que quand « Michael Douglas est génial, il est vraiment génial »[137].
L'acteur est connu pour jouer des rôles ambigus[7]. Aux yeux du public, il est souvent associé à ses participations dans les thrillers qu'il a tournés tout au long de sa carrière, bien qu'il ait joué à de nombreuses reprises dans des films d'aventure et des comédies romantiques[139].
Il considère que « jouer la comédie est bien plus difficile que de tenir un rôle dramatique »[140], mais il avoue tout de même préférer incarner les méchants : « J'adore ce genre de rôles. Les bons méchants de cinéma fascinent tout le monde, parce qu'ils peuvent franchir toutes les barrières morales et éthiques »[141]. Pour lui, le métier d'acteur est aussi l'occasion de parler une langue commune, « celle du cinéma »[142].
Interrogé en lors de l'IFFI sur son parcours d'acteur, il déclare « J'ai voulu être dans de bons films. Cela ne m'a jamais importé d'avoir un petit rôle, j'ai toujours préféré avoir un petit rôle dans un bon film plutôt qu’un rôle important dans un mauvais film »[143].
Dans la culture populaire
modifierDe par sa notoriété, il a vu son nom être utilisé au cinéma et à la télévision dans plusieurs œuvres de fiction. À cet effet, l'épisode 14 de la saison 6 de NCIS : Enquêtes spéciales fait référence à l'acteur[144]. Il est aussi cité dans un épisode de la série Scream Queens[145]. Son rôle dans Chute Libre a aussi servi de modèle au personnage Frank Grimes Sr. qui apparaît dans l'épisode 23 de la saison 8 de la série Les Simpson[146].
Douglas n'hésite pas non plus à se parodier, comme il l'a fait dans la série Will et Grace en [147]. Dans le domaine musical, il apparaît dans le clip de la chanson When the Going Gets Tough du chanteur Billy Ocean[148]. Il est aussi connu aux États-Unis par les téléspectateurs de la chaîne NBC pour avoir prêté sa voix au générique du journal télévisé NBC Nightly News présenté par Brian Williams entre et [149],[150].
En outre, il est souvent présent lors d'événements sportifs. Lors du Super Bowl XLV, il est le narrateur d'une vidéo diffusée juste avant cet événement et relatant l'histoire de cette finale[151]. Il est également passionné de Formule 1 et c'est à ce titre qu'il officie comme narrateur de la série Amazon Grand Prix Driver, mise en ligne en [152]. L'acteur apparaît aussi lors de Grand Prix automobiles, comme en auprès de Lewis Hamilton[22] ou en auprès de Charles Leclerc[153].
Engagements et autres activités
modifierMichael Douglas est connu pour son engagement auprès du Parti démocrate américain et a soutenu les campagnes de Barack Obama, Christopher Dodd et Al Franken[154]. Depuis l'assassinat de John Lennon en , il est en faveur d'un contrôle des armes à feu aux États-Unis[155].
En , les Nations unies le nomment « Messager de la paix » chargé du désarmement nucléaire[156]. Une cause qu'il décrit comme une « religion » et pour laquelle il est engagé depuis [157]. Il est pendant longtemps contre le recours à l'énergie nucléaire, mais explique avoir changé d'avis à la faveur du changement climatique[158]. En , il est l'hôte de la cérémonie du concert du prix Nobel de la paix à Oslo[159], aux côtés de son épouse.
En , à la suite du retour sur grand écran de Gordon Gekko, qu'il a incarné de nouveau dans le film Wall Street : L'argent ne dort jamais deux ans auparavant, il est engagé par le FBI le temps d'une campagne de promotion contre les délits d'initié[160]. En , il fait partie des 200 signataires d'une tribune adressée au journal The Guardian s'opposant à l'indépendantisme écossais dans la perspective du référendum de 2014 sur la question[161].
Lors de la campagne présidentielle de 2016 aux États-Unis, il apporte son soutien à Hillary Clinton et critique le mode de scrutin américain[162] : « Je voudrais que l'Amérique ait le même système électoral qu'en France. Chez nous, le processus prend trop de temps, ça en devient ridicule ». Il précise connaître Donald Trump avec qui il a joué plusieurs fois au golf[163]. En , il annonce soutenir le candidat démocrate Michael Bloomberg pour l'élection présidentielle américaine de 2020[164]. Pour l'élection présidentielle américaine de 2024, l'acteur soutient Joe Biden et lui organise une levée de fonds au sein de sa résidence du comté de Westchester, événement pour lequel Joe Biden fait personnellement le déplacement[165]. Cependant, en juillet 2024, Michael Douglas émet finalement des doutes sur les capacités du Président à pouvoir effectuer un second mandat[166]. À l'issue de l'élection, qui voit Donald Trump l'emporter, le comédien déclare que « le fait même que nous puissions maintenant parler des Républicains comme étant le parti du peuple, et que nous sommes ce parti élitiste de gauche, les Démocrates, est fou »[167].
Dans le domaine du cinéma, il est engagé auprès de l'organisation caritative MPTF (en)[168], qui vient en aide aux acteurs aux ressources limitées. C'est à ce titre qu'il a créé en un tournoi de golf, le Michael Douglas & Friends Celebrity Golf Tournament, auquel ont participé de nombreuses célébrités comme Kevin Costner ou encore Clint Eastwood, et qui a permis de récolter plus de 10 000 000 dollars au profit de cette organisation[169].
Théâtre
modifierFilmographie
modifierSauf indication contraire ou complémentaire, les informations mentionnées dans cette section peuvent être confirmées par le site IMDb.
Acteur
modifierCinéma
modifierAnnées 1960
modifier- 1966 : L'Ombre d'un géant (Cast a Giant Shadow) de Melville Shavelson : un conducteur de Jeep (non crédité)
- 1969 : Hail, Hero! de David Miller : Carl Dixon
Années 1970
modifier- 1970 : Adam at 6AM de Robert Scheerer : Adam Gaines
- 1971 : Summertree d'Anthony Newley : Jerry
- 1972 : Napoléon et Samantha de Bernard McEveety : Danny
- 1978 : Morts suspectes (Coma) de Michael Crichton : Dr Mark Bellows
- 1979 : Le Syndrome chinois (The China Syndrome) de James Bridges : Richard Adams
- 1979 : Le Vainqueur (Running) de Steven Hilliard Stern : Michael Andropolis
Années 1980
modifier- 1980 : C'est ma chance (It's My Turn) de Claudia Weill : Ben Lewin
- 1983 : La Nuit des juges (The Star Chamber) de Peter Hyams : le juge Steven R. Hardin
- 1984 : À la poursuite du diamant vert (Romancing the Stone) de Robert Zemeckis : Jack T. Colton
- 1985 : Chorus Line de Richard Attenborough : Zach
- 1985 : Le Diamant du Nil (The Jewel of the Nile) de Lewis Teague : Jack T. Colton
- 1987 : Liaison fatale (Fatal Attraction) d'Adrian Lyne : Dan Gallagher
- 1987 : Wall Street d'Oliver Stone : Gordon Gekko
- 1989 : Black Rain de Ridley Scott : Nick Conklin
- 1989 : La Guerre des Rose (The War of the Roses) de Danny DeVito : Oliver Rose
Années 1990
modifier- 1992 : Une lueur dans la nuit (Shining Through) de David Seltzer : Ed Leland
- 1992 : Basic Instinct de Paul Verhoeven : le détective Nick Curran
- 1993 : Chute libre (Falling Down) de Joel Schumacher : William Foster
- 1994 : Harcèlement (Disclosure) de Barry Levinson : Tom Sanders
- 1995 : Le Président et Miss Wade (The American President) de Rob Reiner : Andrew Shepherd
- 1996 : L'Ombre et la Proie (The Ghost and the Darkness) de Stephen Hopkins : Charles Remington
- 1997 : The Game de David Fincher : Nicholas Van Orton
- 1998 : Meurtre parfait (A Perfect Murder) d'Andrew Davis : Steven Taylor
Années 2000
modifier- 2000 : Wonder Boys de Curtis Hanson : Grady Tripp
- 2000 : Traffic de Steven Soderbergh : le juge Robert Wakefield
- 2001 : Divine mais dangereuse (One Night at McCool's) de Harald Zwart : M. Burmeister
- 2001 : Pas un mot (Don't Say a Word) de Gary Fleder : Dr Nathan R. Conrad
- 2003 : Espion mais pas trop ! (The In-Laws) de Andrew Fleming : Steve Tobias
- 2003 : Une si belle famille (It Runs in the Family) de Fred Schepisi : Alex Gromberg
- 2006 : The Sentinel de Clark Johnson : Pete Garrison
- 2006 : Toi et moi... et Dupree (You, Me and Dupree) d'Anthony et Joe Russo : M. Thompson
- 2007 : King of California de Michael A. Cahill : Charlie
- 2009 : Hanté par ses ex (Ghosts of Girlfriends Past) de Mark Waters : l'oncle Wayne
- 2009 : Solitary Man de Brian Koppelman et David Levien : Ben Kalmen
- 2009 : Présumé Coupable (Beyond a Reasonable Doubt) de Peter Hyams : Mark Hunter
Années 2010
modifier- 2010 : Wall Street : L'argent ne dort jamais (Wall Street: Money Never Sleeps) d'Oliver Stone : Gordon Gekko
- 2012 : Piégée (Haywire) de Steven Soderbergh : Alex Coblenz
- 2013 : Last Vegas de Jon Turteltaub : Billy
- 2014 : Ainsi va la vie (And So It Goes) de Rob Reiner : Oren Little
- 2015 : Hors de portée (Beyond The Reach) de Jean-Baptiste Léonetti : John Madec
- 2015 : Ant-Man de Peyton Reed : Dr Hank Pym
- 2017 : Conspiracy (Unlocked) de Michael Apted : Eric Lasch
- 2018 : Animal World de Han Yan : Anderson
- 2018 : Ant-Man et la Guêpe (Ant-Man and the Wasp) de Peyton Reed : Dr Hank Pym
- 2019 : Avengers: Endgame d'Anthony et Joe Russo : Dr Hank Pym
Années 2020
modifierTélévision
modifier- 1969 : CBS Playhouse (en) de Robert Butler : un jeune scientifique (saison 2, épisode 3)
- 1971 : Sur la piste du crime (The F.B.I.) de Virgil W. Vogel : Jerry Williams (saison 6, épisode 23)
- 1971 : Médecins d'aujourd'hui (Medical Center) d'Al C. Ward et Frank Glicksman : Jonathan Crowley (saison 3, épisode 8)
- 1972 - 1976 : Les Rues de San Francisco (The Streets of San Francisco) d'Edward Hume : l'inspecteur Steve Keller (série télévisée, 98 épisodes)
- 1972 : American Revolution : The Impossible War de William Francisco : John Laurens (documentaire)
- 1972 : American Heritage : The Cause of Liberty de William Francisco : John Laurens (documentaire)
- 1972 : When Michael Calls (en) de Philip Leacock : Craig (téléfilm)
- 1984 : Saturday Night Live de Lorne Michaels : lui-même (saison 9, épisode 16)
- 1999 : Un jour en septembre de Kevin Macdonald[N 5] : lui-même - narrateur (documentaire)
- 2002 : Will et Grace (Will & Grace) de David Kohan et Max Mutchnick : le détective Gavin Hatch (saison 4, épisode 22)
- 2002 : Liberty's Kids: Est. 1776 de Michael Maliani, Kevin O'Donnell et Andy Heyward : Patrick Henry (saison 1, épisodes 3 et 4)
- 2003 : Freedom: A History of Us : Benjamin Franklin (saison 1, épisodes 2 et 6)
- 2011 : Phinéas et Ferb de Dan Povenmire et Jeff « Swampy » Marsh : Waylon (série d'animation, 1 épisode)
- 2013 : Ma vie avec Liberace (Behind the Candelabra) de Steven Soderbergh : Wladziu Valentino Liberace dit « Lee » (téléfilm)
- 2018 - 2021 : La Méthode Kominsky (The Kominsky Method) de Chuck Lorre : Sandy Kominsky (série télévisée, 22 épisodes)
- 2019 - 2022 : Les Œufs Verts au Jambon (Green Eggs and Ham) de Jared Stern : Guy Am I (Tom Est-ce-Moi en V.F.) (série d'animation, 23 épisodes)
- depuis 2021 : What If...? d'A.C. Bradley : Dr Hank Pym (série d'animation, 2 épisodes)
- 2024 : Franklin de Kirk Ellis : Benjamin Franklin (mini-série, 10 épisodes)
Producteur
modifier- 1975 : Vol au-dessus d'un nid de coucou (One Flew Over the Cuckoo's Nest) de Miloš Forman
- 1979 : Le Syndrome chinois (The China Syndrome) de James Bridges
- 1984 : À la poursuite du diamant vert (Romancing the Stone) de Robert Zemeckis
- 1985 : Le Diamant du Nil (The Jewel of the Nile) de Lewis Teague
- 1990 : L'Expérience interdite (Flatliner) de Joel Schumacher
- 1993 : Made in America de Richard Benjamin
- 1997 : L'Idéaliste (The Rainmaker) de Francis Ford Coppola
- 2001 : Divine mais dangereuse (One Night at McCool's) de Harald Zwart
- 2002 : Une si belle famille (It Runs in the Family) de Fred Schepisi
- 2006 : The Sentinel de Clark Johnson
- 2015 : Hors de portée (Beyond The Reach) de Jean-Baptiste Léonetti
- 2017 : L'Expérience interdite : Flatliners (Flatliners) de Niels Arden Oplev (remake-suite du film de Joel Schumacher)
Producteur délégué
modifier- 1985 : Starman de John Carpenter
- 1986 - 1987 : Starman de Bruce A. Evans et Raynold Gideon (série télévisée, 22 épisodes)
- 1991 : Eyes of an Angel de Robert Harmon
- 1991 : Double Impact de Sheldon Lettich
- 1992 : Le Rêve de Bobby (Radio Flyer) de Richard Donner
- 1996 : L'Ombre et la Proie (The Ghost and the Darkness) de Stephen Hopkins
- 1997 : Volte/face (Face/Off) de John Woo
- 2018 : Nous avons toujours vécu au château (We Have Always Lived in the Castle) de Stacie Passon
- 2018 - 2021 : La Méthode Kominsky (The Kominsky Method) de Chuck Lorre (série télévisée, 22 épisodes)
- 2020 : Ratched[173] de Ryan Murphy et Evan Romansky (série télévisée, 8 épisodes)
- 2024 : Franklin de Kirk Ellis : Benjamin Franklin (mini-série, 10 épisodes)
Distinctions
modifierSauf indication contraire ou complémentaire, les informations mentionnées dans cette section peuvent être confirmées par le site IMDb.
-
Avec Charlton Heston lors des Producers Guild Awards en .
-
Michael Douglas au festival de Cannes en .
Michael Douglas obtient la reconnaissance de ses pairs dans un premier temps comme producteur, avec un Oscar gagné en 1976. Ce n'est que douze ans plus tard que son travail en tant qu'acteur est reconnu, grâce à un Oscar du meilleur acteur remporté en 1988[2].
Au cours de sa carrière, il a en outre été nommé treize fois aux Golden Globes et en a remporté six, dont le Cecil B. DeMille Award en 2004[3],[174]. Ses participations télévisuelles lui ont également valu de recevoir dix nominations aux Emmy Awards, avec un prix remporté en 2013 comme meilleur acteur dans une mini-série ou un téléfilm.
L'acteur comptabilise de plus huit nominations aux SAG Awards, pour deux prix remportés ; ainsi que deux nominations aux Critics Choice Awards, pour un prix remporté. Par ailleurs, son personnage de Gordon Gekko figure dans la liste des « 50 plus grands méchants du cinéma » établie par l'American Film Institute[175].
Sa carrière a aussi été célébrée dans de nombreux festivals à travers le monde, comme en France où il a reçu la Palme d'honneur durant la cérémonie d'ouverture du festival de Cannes 2023[109]. À Deauville, le festival du cinéma américain lui rend hommage à deux reprises, respectivement en 1998 et en 2007[67],[76]; puis en 2024, il en est l'invité spécial et reçoit un Prix d'honneur couronnant l'ensemble de sa carrière[113].
- Récompenses
- 1976 : meilleur film pour Vol au-dessus d'un nid de coucou (en tant que producteur)
- 1988 : meilleur acteur pour Wall Street
- 1976 : meilleur film dramatique pour Vol au-dessus d'un nid de coucou (en tant que producteur)
- 1985 : meilleur film musical ou de comédie pour À la poursuite du diamant vert (en tant que producteur)
- 1988 : meilleur acteur dans un film dramatique pour Wall Street
- 2004 : Cecil B. DeMille Award pour l'ensemble de sa carrière
- 2014 : meilleur acteur dans une mini-série ou un téléfilm pour Ma vie avec Liberace
- 2019 : meilleur acteur dans une série comique pour La Méthode Kominsky
Autres prix :
- Bravo Otto 1975 : vedette masculine de télévision de l'année
- Bravo Otto 1976 : vedette masculine de télévision de l'année
- Prix Bambi 1976 : personnalité télévisuelle de l'année pour Les Rues de San Francisco
- BAFTA Awards 1977 : meilleur film pour Vol au-dessus d'un nid de coucou (en tant que producteur)
- ShoWest Convention 1979 : producteur de l'année
- National Board of Review Awards 1987 : meilleur acteur pour Wall Street
- Kansas City Film Critics Circle Awards 1988 : meilleur acteur pour Wall Street
- David di Donatello 1988 : meilleur acteur étranger pour Wall Street
- People's Choice Awards 1988 : star masculine de cinéma de l'année
- Rubans d'argent 1988 : meilleur acteur étranger pour Wall Street
- Jupiter Awards 1989 : meilleur acteur international pour Liaison fatale
- Goldene Kamera 1990 : meilleur acteur international pour Wall Street et Liaison Fatale
- Festival international du film de Saint-Sébastien 1997 : Prix Donostia pour l'ensemble de sa carrière
- César du cinéma 1998 : César d'honneur pour l'ensemble de sa carrière
- Festival international du film de Karlovy Vary 1998 : Prix spécial pour une contribution exceptionnelle au cinéma mondial
- Festival du cinéma américain de Deauville 1998 : Hommage pour l'ensemble de sa carrière[67]
- LAFCA Awards 2000 : meilleur acteur pour Wonder Boys
- SAG Awards 2001 : meilleure distribution pour Traffic[N 6]
- SEFCA Awards 2001 : meilleur acteur pour Wonder Boys
- Satellite Awards 2001 : meilleur acteur dans un film musical ou une comédie pour Wonder Boys
- Festival du film de Taormine 2004 : Taormina Arte Award pour l'ensemble de sa carrière
- National Board of Review Awards 2007 : Career Achievement Award pour l'ensemble de sa carrière
- Festival du cinéma américain de Deauville 2007 : Hommage pour l'ensemble de sa carrière[76]
- CDG Awards 2009 : Prix du Président pour l'ensemble de sa carrière
- Producers Guild of America Awards 2009 : Lifetime Achievement Award in Motion Pictures pour l'ensemble de sa carrière
- AFI Awards 2009 : AFI Life Achievement Award pour l'ensemble de sa carrière
- Festival du film de Zurich 2010 : Golden Icon Award pour l'ensemble de sa carrière
- Film at Lincoln Center 2010 : Gala Tribute pour l'ensemble de sa carrière
- Festival du film de Palm Springs 2011 : Icon Award pour l'ensemble de sa carrière
- Festival international du film de Santa Barbara 2012 : Kirk Douglas Award pour l'ensemble de sa carrière[176]
- Critics' Choice Awards 2013 : meilleur acteur dans une mini-série ou un téléfilm pour Ma vie avec Liberace
- Emmy Awards 2013 : meilleur acteur dans une mini-série ou un téléfilm pour Ma Vie avec Liberace
- Gold Derby Awards 2013 : meilleur acteur dans une mini-série ou un téléfilm pour Ma Vie avec Liberace
- OFTA Television Awards 2013 : meilleur acteur dans une mini-série ou un téléfilm pour Ma Vie avec Liberace
- SAG Awards 2014 : meilleur acteur dans une mini-série ou un téléfilm pour Ma vie avec Liberace
- Dorian Awards 2014 : performance télévisée de l'année pour Ma Vie avec Liberace
- Satellite Awards 2014 : meilleur acteur dans une mini-série ou un téléfilm pour Ma vie avec Liberace
- AARP Movies for Grownups Awards 2016 : Career Achievement Award pour l'ensemble de sa carrière
- César du cinéma 2016 : César d'honneur pour l'ensemble de sa carrière
- Festival de télévision de Monte-Carlo 2019 : Nymphe de cristal pour l'ensemble de sa carrière
- Webby Awards 2019 : Prix spécial du succès
- Festival international du film de Carthagène 2020 : Prix India Catalina pour l'ensemble de sa carrière[177]
- OFTA Film Awards 2021 : Hall of Fame pour l'ensemble de sa carrière
- Festival de Cannes 2023 : Palme d'honneur pour l'ensemble de sa carrière[109]
- Festival international du film d'Inde 2023 : Satyajit Ray Life Achievement Award pour l'ensemble de sa carrière[178]
- Atlántida Film Fest 2024 : Masters of Cinema pour l'ensemble de sa carrière[112]
- Festival du cinéma américain de Deauville 2024 : Prix d'honneur pour l'ensemble de sa carrière[113]
- Nominations
- Golden Globes 1970 : révélation masculine de l'année pour Hail, hero
- Emmy Awards 1974 : meilleur acteur dans un second rôle dans une série télévisée dramatique pour Les Rues de San Francisco
- Emmy Awards 1975 : meilleur acteur dans un second rôle dans une série télévisée dramatique pour Les Rues de San Francisco
- Golden Globes 1975 : meilleur acteur dans une série télévisée dramatique pour Les Rues de San Francisco
- Emmy Awards 1976 : meilleur acteur dans un second rôle dans une série télévisée dramatique pour Les Rues de San Francisco
- Golden Globes 1980 : meilleur film dramatique pour Le Syndrome chinois (en tant que producteur)
- Prix Génie 1980 : meilleur acteur étranger pour Le Vainqueur
- BAFTA Awards 1980 : meilleur film pour Le Syndrome Chinois (en tant que producteur)
- Jupiter Awards 1985 : meilleur acteur international pour À la poursuite du diamant vert
- Jupiter Awards 1987 : meilleur acteur international pour Le Diamant du Nil
- NYFCC Awards 1987 : meilleur acteur pour Wall Street
- David di Donatello 1988 : meilleur acteur étranger pour Liaison fatale
- BAFTA Awards 1989 : meilleur acteur pour Liaison fatale
- Prix Sant Jordi du cinéma 1989 : meilleur acteur étranger pour Wall Street
- Jupiter Awards 1990 : meilleur acteur international pour Black Rain
- Golden Globes 1990 : meilleur acteur dans un film musical ou une comédie pour La Guerre des Rose
- David di Donatello 1990 : meilleur acteur étranger pour La Guerre des Rose
- People's Choice Awards 1990 : star masculine de cinéma de l'année
- MTV Movie & TV Awards 1993 :
- meilleure performance dans un film pour Basic Instinct
- meilleur duo pour Basic Instinct[N 7]
- Golden Globes 1996 : meilleur acteur dans un film musical ou une comédie pour Le Président et Miss Wade
- Blockbuster Entertainment Awards 1999 : acteur préféré dans un film de suspense pour Meurtre parfait
- Sierra Awards 2000 :
- meilleur acteur pour Wonder Boys
- meilleur acteur pour Traffic
- ALFS Awards 2000 : acteur de l'année pour Wonder Boys
- Golden Globes 2001 : meilleur acteur dans un film dramatique pour Wonder Boys
- DFWFCA Awards 2001 : meilleur acteur pour Wonder Boys
- CFCA Awards 2001 : meilleur acteur pour Wonder Boys
- OFCS Awards 2001 : meilleur acteur pour Wonder Boys
- PFCS Awards 2001 : meilleur acteur pour Wonder Boys
- OFTA Film Awards 2001 : meilleur acteur pour Wonder Boys
- BAFTA Awards 2001 : meilleur acteur pour Wonder Boys
- Blockbuster Entertainment Awards 2001 : acteur préféré dans un film dramatique pour Traffic
- Emmy Awards 2002 : meilleur acteur invité dans une série télévisée comique pour Will et Grace
- OFTA Television Awards 2002 : meilleur acteur invité dans une série télévisée comique pour Will et Grace
- Satellite Awards 2010 : meilleur acteur pour Solitary Man
- DFWFCA Awards 2010 : meilleur acteur pour Solitary Man
- Golden Globes 2011 : meilleur acteur dans un second rôle pour Wall Street : L'argent ne dort jamais
- AARP Movies for Grownups Awards 2011 : meilleur acteur pour Solitary Man
- DFCC Awards 2013 : meilleur acteur pour Ma vie avec Liberace
- LFCC Awards 2014 : meilleur acteur pour Ma Vie avec Liberace
- Jupiter Awards 2014 : meilleur acteur international pour Ma Vie avec Liberace
- IFTA Awards 2014 : meilleur acteur international pour Ma Vie avec Liberace
- ALFS Awards 2014 : acteur de l'année pour Ma Vie avec Liberace
- Saturn Awards 2016 : meilleur acteur dans un second rôle pour Ant-Man
- Critics' Choice Awards 2019 : meilleur acteur dans une série télévisée comique pour La Méthode Kominsky
- SAG Awards 2019 :
- meilleur acteur dans une série télévisée comique pour La Méthode Kominsky
- meilleure distribution pour une série télévisée comique pour La Méthode Kominsky[N 8]
- Emmy Awards 2019 : meilleur acteur dans une série télévisée comique pour La Méthode Kominsky
- Gold Derby Awards 2019 :
- meilleur acteur dans une série comique pour La Méthode Kominsky
- meilleur acteur dans un téléfilm de la décennie pour Ma Vie avec Liberace
- OFTA Television Awards 2019 : meilleur acteur dans une série télévisée comique pour La Méthode Kominsky
- Satellite Awards 2020 : meilleur acteur dans une série comique pour La Méthode Kominsky
- Golden Globes 2020 : meilleur acteur dans une série comique pour La Méthode Kominsky[179]
- SAG Awards 2020 :
- meilleur acteur dans une série télévisée comique pour La Méthode Kominsky
- meilleure distribution pour une série télévisée comique pour La Méthode Kominsky[N 9]
- Emmy Awards 2020 :
- meilleur acteur dans une série télévisée comique pour La Méthode Kominsky
- meilleure série comique pour La Méthode Kominsky (en tant que producteur)
- OFTA Television Awards 2020 : meilleur acteur dans une série télévisée comique pour La Méthode Kominsky
- HCA TV Awards 2021 : meilleur acteur dans une série comique de streaming pour La Méthode Kominsky[180]
- Gold Derby Awards 2021 : meilleur acteur dans une série comique pour La Méthode Kominsky
- Emmy Awards 2021 :
- meilleur acteur dans une série télévisée comique pour La Méthode Kominsky
- meilleure série comique pour La Méthode Kominsky (en tant que producteur)
- OFTA Television Awards 2021 : meilleur acteur dans une série télévisée comique pour La Méthode Kominsky
- Satellite Awards 2022 : meilleur acteur dans une série comique pour La Méthode Kominsky
- SAG Awards 2022 :
- meilleur acteur dans une série télévisée comique pour La Méthode Kominsky
- meilleure distribution pour une série télévisée comique pour La Méthode Kominsky[N 10]
- Autres
- En , il est récompensé du prix de l'« Homme de l'Année » par l'Hasty Pudding Theatricals[181].
- En , il est nommé « Messager de la paix » des Nations unies.
- En , il est nommé « Officier des Arts et des Lettres » (décoration honorifique française)[182].
- En , il est nommé « Commandeur des Arts et des Lettres » (décoration honorifique française)[183].
- En , il reçoit les Clés de la ville de Las Vegas (distinction honorifique municipale)[184].
- En , il reçoit le Prix Genesis qui récompense les « êtres humains exceptionnels qui représentent les valeurs juives dans leurs contributions au bien de l'humanité »[185],[186].
- En , il reçoit une étoile à son nom sur le Walk of Fame de Hollywood Boulevard[187].
- En , il reçoit le Prince Rainier III Award remis par la Fondation Princesse-Grace-de-Monaco[188].
Voix francophones
modifierEn version française, Michael Douglas est d'abord doublé par plusieurs comédiens jusqu'à la fin des années . Ainsi, il est doublé à deux reprises chacun par Georges Poujouly dans Les Rues de San Francisco et La Nuit des juges, par Bernard Murat dans Morts suspectes et Le Vainqueur ainsi que par Érik Colin[189] dans À la poursuite du diamant vert et sa suite Le Diamant du Nil. À titre exceptionnel, il est doublé par Marc Porel dans Le Syndrome chinois, Hervé Bellon dans Chorus Line et Jean Barney dans Wall Street[189].
À partir du film Liaison fatale en , Patrick Floersheim devient sa voix régulière jusqu'à son décès en [189],[190]. En vingt-neuf ans, il a été remplacé uniquement à deux reprises : par Sylvain Lemarié dans Harcèlement[189] et par Bernard Alane dans Ma vie avec Liberace. À noter que dans Wall Street : L'argent ne dort jamais en 2010, il remplace Jean Barney[189]. À la suite de son décès, Hervé Jolly lui succède dans les films du MCU[191], Michel Papineschi double Michael Douglas dans Conspiracy[189] et François Dunoyer dans la série La Méthode Kominsky[189].
En version québécoise, Marc Bellier[192] est la voix québécoise régulière de l'acteur. Luis de Cespedes[192] l'a doublé dans Des Garçons épatants et Toi, moi et Dupree, Jacques Lavallée[192] dans Ant-Man et sa suite (Ant-Man et la Guêpe) alors qu'Hubert Gagnon l'a doublé dans L'Enragé[192].
- Versions françaises
- Patrick Floersheim dans Liaison fatale, Black Rain, Basic Instinct, Chute libre, The Game, Traffic, Solitary Man, Ant-Man[189], etc.
- Versions québécoises
- Note : La liste indique les titres québécois.
- Marc Bellier dans Harcèlement, Un Président américain, Traffic, Un homme sans exception, Wall Street : L'argent ne dort jamais, Virée à Vegas[192], etc.
Notes et références
modifierNotes
modifier- Prononciation en anglais britannique retranscrite selon la norme API.
- Par ailleurs, l'American Film Institute a classé ce film à la 33e place de son classement AFI's 100 Years...100 Movies, qui regroupe les plus grands films du cinéma américain.
(en) « One Flew Over the Cuckoo's Nest », sur American Film Institute, (consulté le ). - Voir la section Distinctions.
- L'American Film Institute a classé ce film à la 75e place de son classement AFI's 100 Years... 100 Passions, qui regroupe les plus grandes histoires d'amour cinéma américain.
(en) « AFI's 100 YEARS...100 PASSIONS », sur American Film Institute, (consulté le ). - Ce long métrage documentaire a bénéficié d'une sortie au cinéma aux États-Unis en 1999, avant une diffusion télévisuelle en 2006 en France.
- Prix partagé avec Steven Bauer, Benjamin Bratt, James Brolin, Don Cheadle, Erika Christensen, Clifton Collins Jr., Benicio del Toro, Catherine Zeta-Jones, Miguel Ferrer, Albert Finney, Topher Grace, Luis Guzmán, Amy Irving, Tomás Milián, D. W. Moffett, Dennis Quaid, Peter Riegert et Jacob Vargas.
- Nomination partagée avec Sharon Stone.
- Nomination partagée avec Jenna Lyng Adams, Alan Arkin, Sarah Baker, Casey Thomas Brown, Ashleigh LaThrop, Emily Osment, Graham Rogers, Susan Sullivan, Melissa Tang et Nancy Travis.
- Nomination partagée avec Jenna Lyng Adams, Alan Arkin, Sarah Baker, Casey Thomas Brown, Lisa Edelstein, Paul Reiser, Graham Rogers, Jane Seymour, Melissa Tang et Nancy Travis.
- Nomination partagée avec Jenna Lyng Adams, Sarah Baker, Casey Thomas Brown, Lisa Edelstein, Ashleigh LaThrop, Emily Osment, Haley Joel Osment, Paul Reiser, Graham Rogers, Melissa Tang et Kathleen Turner.
Références bibliographiques
modifier- Diana Douglas Darrid, In the Wings: A Memoir, Fort Lee, Barricade Books Inc (ed.), , 380 p. (ISBN 978-1-5698-0151-2).
- Lynn Hirschberg, Michael Douglas, le magnifique, Paris, Vanity Fair, (ISSN 0733-8899), p. 110-119
- Rob Edelman, International Dictionary of Films and Filmmakers-3: Actors and Actresses (3rd Ed.), St James, St James Press (ed.), , 1632 p. (ISBN 978-1-5586-2039-1).
- James Riordan, Stone: A Biography of Oliver Stone, Londres, Aurum Press Ltd (ed.), , 592 p. (ISBN 978-1-8541-0444-1).
- David Thomson, The New Biographical Dictionary of Film, New York, Alfred A. Knopf (ed.), , 1168 p. (ISBN 978-0-3757-1184-8).
Autres références
modifier- Stéphanie Guerrin, « Michael Douglas : « La télé est la colonne vertébrale de ma carrière » », sur Le Parisien.fr, (consulté le ) « De 1972 à 1976, il a tenu un des deux rôles principaux de la série policière « Les Rues de San Francisco », diffusée en France sur la deuxième chaîne de l'ORTF, puis sur Antenne 2. ».
- AFP, « Michael Douglas inaugure son étoile à Hollywood au côté de son père Kirk », sur Le Parisien.fr, (consulté le ) « Michael Douglas n'a que 29 ans quand il remporte son premier Oscar, en 1976, en tant que producteur de « Vol au-dessus d'un nid de coucou » [...] C'est en 1988 que ses talents d'acteur sont récompensés par un autre Oscar, cette fois pour son rôle de financier dans « Wall Street » (1987) ».
- (en) Michele Manelis, « 2014 : Celebrating the LGBTQ+ Community », sur Golden Globes.com, (consulté le ) « Douglas has six Golden Globes in total (three as an actor, two as the producer of Golden Globe Best Film winners, and the 2004 Cecil B. deMille Award) [...]. ».
- Philippe Guedj, « Michael Douglas : « Les rôles que j'aimais incarner ont disparu » », sur Le Point, (consulté le ).
- AFP, « Michael Douglas critique la distribution des films indépendants », sur La Presse.ca, (consulté le ).
- La Rédaction, « Que retenir des Emmy Awards 2013 ? », sur Allociné.fr, (consulté le ) « Le réalisateur qui n'aura d'ailleurs pas loupé sa sortie avec une sélection en compétition à Cannes en mai, et 3 Emmys ce dimanche 22 : Meilleure Mini-Série ou Téléfilm, Meilleur Acteur pour Michael Douglas et Meilleur Réalisateur pour Soderbergh lui-même. ».
- Michael Atlan, « Liberace, un rôle au-dessus d'une vie tordue pour Michael Douglas », sur Slate, (consulté le ) « Lui qui avait jusque là capitalisé sur son charme mutin et débonnaire se révèle finalement dans un registre bien plus complexe: l’ambiguité. Une marque de fabrique qui fera sa légende. ».
- (en) Gregg Kilday, « Michael Douglas receives AFI award », sur The Hollywood Reporter, (consulté le ) « For the first time in the history of the AFI's Life Achievement Awards, a previous recipient -- Kirk Douglas -- saw the honor passed on to his son, Michael Douglas, the 37th recipient. ».
- AFP, « Michael Douglas recevra la Palme d’or d’honneur au prochain Festival de Cannes », sur Le Monde, (consulté le ) « Acteur dans Basic Instinct, The Game ou Wall Street, Michael Douglas recevra la Palme d’or d’honneur du Festival de Cannes, « qui saluera sa brillante carrière et son engagement pour le cinéma » ».
- (en) Hadley Freeman, « Kirk Douglas: ‘I never thought I’d live to 100. That’s shocked me’ », sur The Guardian, (consulté le ) « Douglas, born when Woodrow Wilson was president, was one of seven children and the only son of illiterate Russian Jewish immigrants. ».
- (en) « Diana Douglas Given Final Divorce Decree », sur The Blade, (consulté le ).
- (en) Allison Glock, « Michael Douglas Will Never Stop Working », sur AARP, (consulté le ) « Shy, introverted, cautious. I didn't have a lot of confidence. ».
- (en) CBS News, « Michael Douglas goes back to where he began », sur CBS News.com, (consulté le ) « And in return, he got a small part in the 1966 production of "Bedford Forrest." ».
- (en) Day Night, « My dad Kirk told me I was a terrible actor says Michael Douglas », sur Daily Express, (consulté le ) « Afterwards he said, ‘Son you were terrible!’ ».
- (en) Kyle Buchanan, « Michael Douglas on Bad Guys, Stage Fright, and Ant-Man », sur Vuture.com, (consulté le ) « For a long time I had a lot of stage fright, and I was very intimidated by the camera. ».
- (en) CBS Local, « Exclusive: Wynn Handman On Teaching Michael Douglas, Dustin Hoffman & ‘It Takes A Lunatic’ Documentary », sur CBS News.com, (consulté le ) « The legendary theater director taught some of the greats like Michael Douglas, Dustin Hoffman and Richard Gere. ».
- Victoria Ahearn, « Michael Douglas raconte ses douloureux débuts », sur Lapresse.ca, (consulté le ) « En créant son personnage, Michael Douglas a pensé à son propre professeur de jeu au début de sa carrière, Wynn Handman. ».
- (en) Naomi Gordon, « Michael Douglas turns 70: We celebrate with 18 classic pictures », sur Digital Spy (consulté le ) « Michael joins Kirk on the set of Melville Shavelson's Cast a Giant Shadow - in which Michael is uncredited for his role as a Jeep driver - in Rome, 1965. ».
- François Léger, « Le Pingouin, Pulp Fiction et Michael Douglas : l’interview carrière de Danny DeVito », sur Première.fr, (consulté le ) « On était en colocation dans un appartement au croisement de la 89e et de Riverside Drive, dans l’Upper West Side. ».
- Clément Cuyer, « Ces stars de cinéma ont été colocataires : Ryan Gosling et Justin Timberlake, Matt Damon et Ben Affleck... », sur Allociné.fr, (consulté le ) « Michael Douglas et Danny DeVito ont été colocataires à New York, à l'époque où ils débutaient dans le cinéma. Le premier, avec le sourire, raconte que le second était "un peu sale, un peu désordonné, mais ça allait !" ».
- (en) Brian Davids, « Hollywood Flashback: ‘Love Story’ Stars Ali MacGraw and Ryan O’Neal Look Back on Film Amid 50th Anniversary », sur The Hollywood Reporter, (consulté le ) « Evans offered the role of well-off Harvard Law student Oliver to Peter Fonda, Michael Douglas and Jeff Bridges, who all turned it down. ».
- (en) Christian Sylt, « Formula One's Star Attraction: Michael Douglas On A Lifetime As A Racing Fan », sur Forbes, (consulté le ).
- (en) Dave Smith, Disney A to Z: The Updated Official Encyclopedia, p. 395-396.
- Olivier Rajchman, « Taxi Driver : comment les scènes explicites où apparaît Jodie Foster, âgée de 12 ans sur le tournage, ont été filmées ? », sur Télé-Loisirs, (consulté le ) « Jodie Foster débute peu après dans la publicité et tourne pour son premier film, Napoléon et Samantha, avec Michael Douglas, lorsqu'elle a 10 ans. ».
- (en) Murray Wardrop, « Oscar-winning actor Karl Malden dies aged 97 », sur The Daily Telegraph, (consulté le ) « In the 1970s, Malden made the transition to television, starring in the popular series The Streets of San Francisco alongside Michael Douglas, who has credited Malden as his mentor ever since. ».
- (en) « Top 1975 Movies at the Worldwide Box Office », sur The-Numbers.com (consulté le ).
- (en) Phil Hoad, « Michael Douglas: how we made One Flew Over the Cuckoo’s Nest », sur The Guardian, (consulté le ) « We went over-budget and over-schedule, but Saul had the courage to finance it beyond the initial estimate of $2m. It ended up at just over $4m. His partners accused me of taking him for a ride. But we knew we had a film […]. When we went to the major studios to get a distributor, they all turned down what became a nine-time Oscar-nominated film […]. ».
- (en) « The Raleigh Register from Beckley, West Virginia · Page 8 », sur Newspapers.com, (consulté le ).
- (en) « Republican and Herald from Pottsville, Pennsylvania · 12 », sur Newspapers.com, (consulté le ).
- (en) Melissa Thompson, « Michael Douglas on his biggest regret: "I wish I'd divorced my first wife sooner" », sur The Daily Mirror, (consulté le ) « The couple married in March 1977, separated in 1995 and finally divorced in 2000. ».
- Virgile Dumez, « Le syndrome chinois - la critique du film », sur Avoir-Alire.com, (consulté le ).
- Christophe Carrière, « Michael Douglas, l'instinct de survie », sur L'Express, (consulté le ) « Douglas se voit déjà en haut d'autres affiches, mais se retrouve cloué au lit après un stupide accident de ski. Le genou est en compote. Trois ans plus tard, tout est à refaire. ».
- Laurent Pécha, « À la poursuite du diamant vert : Critique », sur Écran Large, (consulté le ).
- (en) Leonard Greenwood, « Writer of ‘Romancing the Stone’ Killed : Diane Renee Thomas, 39, Dies in 80-M.P.H. Sports Car Crash », sur Los Angeles Times, (consulté le ).
- (en) William Thomas, « Romancing The Stone Review », sur Empire, (consulté le ) « Douglas and Turner make a great double act in this exuberantly directed adventure movie with a great start turn from the always enjoyable De Vito. Good stuff. ».
- (en) Mark Harrison, « John Carpenter’s Starman Is a Classic Sci-Fi Date Movie », sur Den of Geek, (consulté le ) « Then Michael Douglas became attached to Starman as a producer and the studio’s mind was made up. ».
- (en) Mark Harrison, « The early producing credits of Michael Douglas: from Cuckoo’s Nest to Starman », sur Film Stories, (consulté le ) « To add insult to injury, Douglas was denied the lead role. “I wasn’t approved by the studio, but I wanted the Jeff Bridges part”, Douglas later recalled on WTF. ».
- (en) L.A. Times Archives, « Fox Broadcasting, the Fox studio’s television network,... », sur Los Angeles Times, (consulté le ) « Bieber previously was a president and partner with Michael Douglas in Stonebridge Entertainment. ».
- (en) « The York Dispatch from York, Pennsylvania · Page 35 », sur Newspapers.com, (consulté le ).
- (en) Vincent Canby, « Film: Attenborough's 'Chorus Line' », sur The New York Times, (consulté le ) « Then they said that A Chorus Line couldn't be done - and this time they were right. ».
- (en) Bruce Fretts, « ‘Fatal Attraction’ Oral History: Rejected Stars and a Foul Rabbit », sur The New York Times, (consulté le ) « Brian said: “I can’t do the movie with Michael. He’s unsympathetic. So it’s either him or me.” ».
- (en) Keith Staskiewicz, « 'Fatal Attraction' stars Glenn Close and Michael Douglas talk bunny », sur Entertainment Weekly, (consulté le ).
- (en) « Top 1987 Movies at the Worldwide Box Office », sur The-Numbers.com (consulté le ).
- Michèle Halberstadt et Jean-Paul Chaillet, « Comment Michael Douglas a créé Gekko, le "méchant particulièrement fascinant" de Wall Street », sur Première.fr, (consulté le ) « Tout le monde à Hollywood lui avait dit que j’allais passer mon temps dans ma caravane, à lire d’autres scénarios, à m’occuper de divers projets. ».
- Clémence Tanguy, « 17 films sur la finance que vous devez avoir vus », sur Café de la bourse.com, (consulté le ) « Oliver Stone sort en 1987 un film culte. […] Michael Douglas recevra d’ailleurs en 1988 un Oscar pour son interprétation d’un personnage devenu culte ».
- (en) FP Staff, « Kirk Douglas passes away: Recalling when son Michael opened up to Anil Kapoor on living in his father's shadow », sur First Post.com, (consulté le ) « Winning the Academy Award for his performance in director Oliver Stone’s drama about the '80s excess, Douglas said, was especially important for him, ‘because I felt like I‘d stepped out of the shadow of my father, and created my own identity.’ ».
- (en) « Black Rain filming locations », sur IMDb.com (consulté le ).
- (en) « Black Rain », sur Rotten Tomatoes.com (consulté le ).
- (en) Peter Travers, « The War of the Roses », sur Rolling Stone, (consulté le ) « Turner and Douglas are terrific, delineating the conquest of emotion over reason with chilling exactitude. ».
- (en) Bryan Alexander, « 'Flatliners' Michael Douglas heard angels singing when he nearly died drowning », sur USA Today, (consulté le ) « Julia Roberts and Kiefer Sutherland sought the same answers as medical students in the original film, which Douglas also produced. ».
- Figaro Archives, « Souvenir cannois du Figaro : en 1992, Sharon Stone embrase la Croisette avec Basic instinct », sur Le Figaro.fr, (consulté le ).
- Inès Cussac, « Sharon Stone révèle son salaire pour Basic Instinct et l'énorme écart avec celui de Michael Douglas », sur Capital.fr, (consulté le ) « Michael Douglas a gagné 14 millions de dollars ».
- (en) Mishkaat Khan, « “I carried that humiliation quietly”: Sharon Stone Was Embarrassed in Her First Audition For $352 Million Movie », sur Fandomwire.com, (consulté le ).
- (en) La Rédaction, « 'Michael Douglas' Biography Reveals Actor's Hidden Demons (EXCERPT) », sur HuffPost, (consulté le ) « […], a grim-looking Michael, using the alias Mike Morrel, wearing a blue shirt, jeans, and sandals, checked into the Sierra Tucson Clinic, located in the foothills of the Catalina Mountains of Arizona for a 30-day program to treat alcohol abuse. ».
- (en) Roger Ebert, « Falling Down », sur Roger Ebert.com, (consulté le ) « The movie stars Michael Douglas, in a performance of considerable subtlety and some courage, as a Los Angeles man who a few years ago thought he had it all figured out. ».
- (en) « Falling Down (1993) », sur Rotten Tomatoes.com (consulté le ).
- (en) « Disclosure (1994) », sur The-Numbers.com (consulté le ).
- (en) « The Los Angeles Times from Los Angeles, California · Page 52 », sur Newspapers.com, (consulté le ).
- (en) Todd McCarthy, « The American President », sur Variety, (consulté le ) « Douglas and Bening are more than up to the challenge, delivering winning turns as A-plus personality types always intent on showing their good sides and not so comfortable letting their guard down. ».
- (en) Kenneth Bachor, « Independence Day: Here Are 17 of the Best Fictional Presidents », sur Time, (consulté le ).
- Brian Logan, « Arts: Some of Stephen Hopkins's films are so bad he can't bear to watch them... But Lost In Space is different. Brian Logan meets the man who won the hearts of Heather Graham and Hollywood », The Guardian, London, UK, , p. 14.
- (en) Desson Howe, « 'The Game': Absurdly Inspired », sur The Washington Post, (consulté le ) « And frankly, no one plays a jaded Master of the Universe better than Douglas. ».
- (en) Allie Nelson, « Michael Douglas' Net Worth In 2023 Shows It Pays to Be an OG Nepo Baby », sur Parade Magazine, « Some of his highest reported paydays include $15 million for leading blockbusters like The American President and Basic Instinct, $20 million for A Perfect Murder and The Game. ».
- Laëtitia Forhan, « Volte/Face sur 13e rue : la drôle de raison pour laquelle Johnny Depp ne joue pas dans le film... », sur Allociné.fr, (consulté le ) « Côté casting plusieurs duos furent envisagés : Arnold Schwarzenegger et Sylvester Stallone, Michael Douglas et Bruce Willis. ».
- (en) « Face/Off (1997) », sur Rotten Tomatoes.com (consulté le ).
- (en) « Face/Off (1997) », sur Boxofficemojo.com (consulté le ).
- Marc Aubault, « Comment le Festival du cinéma américain de Deauville a changé la vie de Michael Douglas », sur Ouest-France, (consulté le ) « En 1998, le Festival de Deauville rendait hommage à Michael Douglas, qui présentait le film Meurtre Parfait. ».
- (en) Cliff Vaughn, « ‘One Day in September’ », sur Ethicsdaily.com, (consulté le ) « Narrated by Michael Douglas, the feature-length documentary “One Day in September” covers many aspects of the terrorist attack on Israeli athletes at the 1972 Munich Olympics. ».
- (en-GB) Scott Campbell, « Michael Douglas names the biggest disappointment of his career: “That was a punch in the gut” », sur Far Out Magazine, (consulté le ) « “Wonder Boys was a huge disappointment, personally,” Douglas told Film Scouts. “I loved the movie; it had a fantastic screenplay and a great cast. It was a movie that was a punch in the gut. It hurt my confidence in terms of understanding what was going on. We didn’t even get critically acknowledged, as far as awards go.” ».
- (en) « Traffic », sur Metacritic.com (consulté le ).
- « Anecdotes, potins, actus, voire secrets inavouables autour de "Traffic" et de son tournage ! », sur Allociné.fr, (consulté le ).
- (en) « Further Films », sur Listings.findthecompany.com (consulté le ).
- La Rédaction, « The Sentinel », sur Télérama.fr, (consulté le ).
- (en) « You, Me and Dupree (2006) », sur Rotten Tomatoes.com (consulté le ).
- (en) « You, Me and Dupree (2006) », sur The-Numbers.com (consulté le ).
- Pascale Mollard-Cheneboit, « Deauville rendra hommage à Michael Douglas », sur La Presse.ca, (consulté le ).
- (en) « King of California », sur Metacritic.com (consulté le ).
- (en) Peter Travers, « King of California », sur Rolling Stone, (consulté le ) « Michael Douglas gives one of his best performances ever as Charlie ».
- (en) Kimberley Jones, « Ghosts of Girlfriends Past », sur Austin Chronicle, (consulté le ) « As he's aged, Douglas has had some fun with go-big roles such as Wayne, […]. He's a quaint relic. ».
- AFP, « Festival de Cannes : La Palme d’or d’honneur décernée à Michael Douglas », sur 20 minutes, (consulté le ) « La suite, Wall Street : L’argent ne dort jamais, a été projetée hors compétition à Cannes en 2010. ».
- (en) « Wall Street : Money Never Sleeps », sur Metacritic.com (consulté le ).
- La Rédaction, « Le combat de Michael Douglas contre la cancer », sur La Dépêche, (consulté le ) « Michael Douglas vient de dévoiler à la télévision son récent combat contre un cancer de la gorge, à un stade avancé. ».
- (en) Jocelyn Vena, « Golden Globes Presenter Michael Douglas Gets Standing Ovation », sur MTV.com, (consulté le ) « Best Actor nominee and cancer survivor jokes of warm reception at Sunday's show. ».
- Dany Jucaud, « Michael Douglas : “Le rôle de Gekko est extraordinaire” », sur Paris Match, (consulté le ).
- (en) Matt Blum, « Tonight: Michael J. Fox and Michael Douglas Join Phineas and Ferb's Halloween Episode! », sur Wired.com, (consulté le ).
- La Rédaction, « « Piégée » : Michael Douglas redevient le Boss », sur Le Parisien.fr, (consulté le ) « Guéri d'un cancer, la star joue le patron de la CIA dans « Piégée », thriller de Steven Soderbergh avec Michael Fassbender et Ewan McGregor. ».
- Neïla Beyler, « "Ma vie avec Liberace", une performance exceptionnelle de … », sur Les Échos, (consulté le ).
- Alexis Ferenczi, « VIDÉO. Bande-annonce du biopic sur Liberace avec Matt Damon et Michael Douglas », sur HuffPost, (consulté le ).
- (en) Elizabeth Wagmeister, « Michael Douglas Says Steven Spielberg Stopped Him From Receiving a Cannes Award for 'Behind the Candelabra' », sur Variety, (consulté le ) « Steven Spielberg was president of the Cannes Film Festival the year that I was there at Cannes. The rumor was that I was sort of favored for the best actor award and that he put the kibosh on that because it was an HBO film. ».
- (en) « Behind the Candelabra », sur Metacritic.com (consulté le ).
- Yannick Vély, « Liberace récompensé - Michael Douglas, notre meilleur Emmy », sur Paris Match, (consulté le ).
- La Rédaction, « Golden Globes 2014 : les séries "Breaking Bad" et "Brooklyn Nine-Nine" récompensées », sur Allociné.fr, (consulté le ).
- La Rédaction, « PHOTOS - Michael Douglas et Robert de Niro retrouvent leur jeunesse à Las Vegas », sur Première.fr, (consulté le ).
- « Dans la lignée de la "Guerre des Rose", Diane Keaton reine des pleurs sur commande, Rob Reiner acteur improvisé... 5 choses à savoir sur "Ainsi va la vie" », sur Allociné.fr, (consulté le ).
- (en) Kevin Jagernauth, « Review: Desert Survival Thriller ‘Beyond The Reach’ Starring Michael Douglas And Jeremy Irvine », sur IndieWire, (consulté le ) « But alas, Léonetti is no Hitchcock, and for a movie that rides on a well-executed, modest and at times playful B-movie engine, the film stumbles in its final third, with goofy plotting […] ».
- La Rédaction, « "Ant-Man" : Michael Douglas rejoint Paul Rudd dans le nouveau Marvel », sur Allociné.fr, (consulté le ).
- (en) Justin Chang, « Film Review: ‘Ant-Man’ », sur Variety, (consulté le ) « Douglas supplies a wonderfully wry presence as a stubborn old father/mentor figure […]. ».
- Capucine Trollion, « VIDÉO - César 2016 : Michael Douglas rend hommage à la France », sur RTL, (consulté le ) « Lors de la 41e cérémonie des César, Michael Douglas a reçu un César d'Honneur. C'est le deuxième de sa carrière après son prix en 1998. ».
- Dany Jucaud, « Michael Douglas : "La maladie m’a rendu libre" - Rencontre », sur Paris Match, (consulté le ) « Comme à Jean-Luc Godard et Jeanne Moreau, les César vous rendent hommage pour la deuxième fois. C’est rare… ».
- Vincent Formica, « Bande-annonce Conspiracy : Noomi Rapace et Orlando Bloom déjouent une attaque terroriste à Londres », sur Allociné.fr, (consulté le ).
- (en) Gary Collinson, « Michael Douglas confirms Hank Pym return for Marvel’s Ant-Man and the Wasp », sur Flickeringmyth.com, (consulté le ).
- (en) Cameron Bonomolo, « Marvel Cinematic Universe Movies Pass $4 Billion at Box Office in 2018 », sur Comic Book.com, (consulté le ).
- (en) Matt Joseph, « Sebastian Stan Confirms Michael Douglas And Michelle Pfeiffer For Avengers 4 », sur We Got This Covered.com, (consulté le ).
- Zahia Yalioua, « Golden Globes 2019 : Bodyguard, Ryan Murphy, Michael Douglas... le palmarès complet des séries », sur Programme-tv.net, (consulté le ).
- La Rédaction, « Adam DeVine et Michael Douglas dans l'adaptation des "Oeufs verts au jambon" du Dr. Seuss », sur La Dépêche, (consulté le ).
- Maximilien Pierrette, « Ratched sur Netflix : pourquoi Michael Douglas est-il crédité au générique ? », sur Allociné.fr, (consulté le )
- Maximilien Pierrette, « What If... ? de Marvel : 25 acteurs du MCU participeront à la série animée », sur Allociné.fr, (consulté le ).
- Lucie Chiquer, « Ant-man 3 : Michael Douglas veut une belle mort pour Hank Pym », sur Première.fr, (consulté le ).
- Marthe Mabille, « Michael Douglas sera récompensé de la Palme d’honneur au Festival de Cannes 2023 », sur Vogue, (consulté le ).
- Adrien Mangano, « Clap de fin pour Canneséries avec Michael Douglas », sur France Bleu, (consulté le ) « En guise de feu d'artifice, c'est la star américaine Michael Douglas qui a foulé le Tapis Rose pour présenter en avant-première mondiale la série "Franklin" aux côtés de Ludivine Sagnier, Thibault de Montalembert et Assaad Bouab. ».
- (en-GB) Lucy Mangan, « Franklin review – Michael Douglas is absolutely compelling in this period drama », sur The Guardian, (consulté le ) « The star is utterly convincing – if slightly creepy – as Benjamin Franklin in this Apple TV+ miniseries about the polymath. Shame they’ve chosen to base it on such a boring period of the statesman’s life … ».
- (en-GB) Trelawney Bresic, « Michael Douglas has fallen in love with the Spanish lifestyle », sur EuroWeekly News, (consulté le ) « Hollywood actor Michael Douglas accepted the honorary Masters of Cinema award at the Atlantida Mallorca Film Fest on July 28. Presented by Queen Letizia, the accolade marked a highlight in a career filled with iconic roles. »
- Stéphanie Belpêche, « Festival de Deauville : Michael Douglas, une ovation pour une vie de cinéma », sur Le Journal du dimanche, (consulté le ) « Michael Douglas, 79 ans, a été honoré lors de la cérémonie d’ouverture du Festival de Deauville avec un Life Achievement Award. ».
- (en) Jay Kernis, « Brenda Vaccaro is having a good time », sur CBS News.com, (consulté le ) « She and Douglas lived together for almost seven years. ».
- La Rédaction, « Michael Douglas : son ex-femme n’aura pas sa fortune », sur Elle, (consulté le ) « Michael Douglas et Diandra Luker s’étaient mariés en 1977. ».
- (en) « By The Numbers: The 10 Most Expensive Celebrity Divorces », sur Forbes, (consulté le ) « Diandra was awarded an estimated $45 million, plus homes in Beverly Hills and Majorca. ».
- (en) Amy Mackelden, « Catherine Zeta-Jones Reportedly Waited 20 Years to See Her Wedding Photos », sur Harper's Bazaar, (consulté le ) « The couple wed at the Plaza Hotel in New York, and the star-studded guest list included Sharon Stone, Jack Nicholson, and Brad Pitt. ».
- Inès Ben Azouz, « Michael Douglas et Catherine Zeta-Jones : divorce en vue ? », sur Elle, (consulté le ) « Petite piqûre de rappel : leur mariage qui a eu lieu le 18 novembre 2000 avait déjà coûté la coquette somme de 1,5 million de dollars. ».
- (en) Suzie Bakos, « Catherine Zeta-Jones and Michael Douglas return to spot where he proposed 16 years ago », sur Hello!, (consulté le ).
- (en) « Baby boy for Zeta Jones and Douglas », sur BBC.co.uk, (consulté le ) « Dylan Michael Douglas was born at the Cedars-Sinai Medical Centre in Beverly Hills, weighing 7lb 7oz at 0100 GMT on Wednesday. ».
- (en) « Carys - a name rooted in love », sur BBC.co.uk, (consulté le ) « The couple's second child, Carys Zeta Douglas, was born weighing 6lbs 12oz (three kilograms) on Sunday morning in New Jersey, United States. ».
- Emilie Chan, « Quand l’admiration tourne à l’obsession : les stalkers de stars les plus fous », sur Marie France.fr, (consulté le ).
- (en) « Three-year term for Zeta stalker », sur BBC.co.uk, (consulté le ) « A woman who threatened to cut actress Catherine Zeta Jones into pieces has been jailed for three years. ».
- (en) JJ Duncan, « Michael Douglas Receives Standing Ovation at Golden Globe Awards », sur Zimbio.com, (consulté le ).
- (en) Hello Magazine, « Michael Douglas gets standing ovation at Golden Globes after recovering from cancer », sur Hello!, (consulté le ) « After huge cheers and applause from the audience for the 66-year-old, he joked: "There's gotta be an easier way to get a standing ovation." ».
- La Rédaction, « Michael Douglas admet la vérité sur son cancer », sur Première.fr, (consulté le ).« Cependant, ses docteurs lui ont conseillé de parler de cancer de la gorge et non de la langue, à cause des dégâts qu’une éventuelle opération aurait pu causer sur le visage de la star […] ».
- Laetitia Reboulleau, « Michael Douglas et Catherine Zeta-Jones se séparent ! », sur Marie France.fr, (consulté le ).
- (en) Today, « Michael Douglas shares how he met wife Catherine Zeta-Jones in 20th anniversary post », sur Today.com, (consulté le ) « Catherine Zeta-Jones and Michael Douglas just marked their 20th wedding anniversary, and they each celebrated the milestone with sweet messages on social media. ».
- (en) Sarah Lagan, « Hollywood star Catherine Zeta-Jones says she felt at home in Bermuda », sur The Royal Gazette, (consulté le ) « The couple lived in a luxury home in Warwick between 2001 and 2009. ».
- (en) Chloe Best, « Catherine Zeta-Jones and Michael Douglas' $4.7m home is a total paradise », sur Hello!, (consulté le ) « Architectural Digest reported that the actress bought it for £3.6million ($4.5million) in 2019, while the average New York house price is $652,012, meaning Catherine's abode is almost seven times more expensive! ».
- (en) Robin Turner, « Catherine Zeta Jones and Michael Douglas put their New York mansion on the market for $8.1m », sur Wales Online, (consulté le ).
- La Rédaction, « La villa méditerranéenne de Michael Douglas à Majorque », sur Vanity Fair, (consulté le ) « Ah, Majorque : […], et Michael Douglas s’y est offert il y a 30 ans une demeure de style méditerranéen. ».
- Charles Decant, « Oscars : qui sont les gagnants les plus riches d'Hollywood ? », sur Ozap.com, (consulté le ).
- AFP, « Michael Douglas reçoit son deuxième César d'honneur », sur La Presse.ca, (consulté le ) « L'acteur américain Michael Douglas, qui a reçu vendredi soir à Paris son deuxième César d'honneur à 71 ans, a évoqué avec humour sa carrière et remercié d'un sonore « Vive la France », dans un discours entièrement en français. ».
- Stéphanie Belpeche, « EXCLUSIF. Michael Douglas sur son père Kirk : "Mon père me manque terriblement" », sur Le Journal du dimanche, (consulté le ).
- (en) PTI, « I was a late bloomer: Michael Douglas on his Hollywood career », sur The Indian Express, (consulté le ) « The actor said he worked his way up in the shadow of elder Douglas. Wall Street, for which he won an Oscar for Best Actor in 1988, was the first film that made him realise that he had finally overcome his father’s shadow. ».
- (en) Ascanio Branca, « Michael Douglas: five best moments », sur The Guardian, (consulté le ).
- (en) Roger Ebert, « Wonder Boys », sur Roger Ebert.com, (consulté le ) « It is his best performance in years, muted, gentle and wondering. ».
- (en) Adem Cohen, « Why Was Michael Douglas Such a Perfect Fit for Erotic Thrillers? », sur Collider, (consulté le ).
- (en) David Canfield, « Michael Douglas Wants to Be Braver », sur Vanity Fair, (consulté le ) « One of the reasons I wanted to do it was for comedy, just because I had never done a lot of comedy. It never gets the proper respect it’s due. It’s much more difficult to do than drama. ».
- Olivier Delcroix, « Michael Douglas : « Jouer les méchants, c'est bien » », sur Le Figaro.fr, (consulté le ).
- Violaine Ill, « Festival du Film de Cannes : Michael Douglas recevra la Palme d'or d'honneur », sur France Bleu, (consulté le ).
- (en-US) Naman Ramachandran, « Michael Douglas Teases India Project, Recalls Son’s Drug Addiction, Producing Journey and Battle With Cancer at Goa Masterclass », sur Variety, (consulté le ) « I wanted to be in good movies. I didn’t care if I had a smaller part, I’d rather have a small part in a good movie than a big part in a bad movie. ».
- (en) Robert Balkovich, « The Michael Douglas Thriller Reference You Might Have Missed On NCIS », sur Looper.com, (consulté le ).
- (en) Mike's Film Talk, « Scream Queens: Chainsaw OTT Fun Continues (Review) », sur Mikesfilmtalk, (consulté le ).
- (en-US) Brandon Zachary, « Three Hollywood Legends Almost Played the Simpsons' Most Depressing Character », sur Comic Book Resources, (consulté le ) « Grimes was designed after Michael Douglas' character William Foster from the 1993 film Falling Down ».
- (en) Austin Smith, « …Make it Michael Douglas as a Gay Cop (He's Stunning) », sur New York Post, (consulté le ) « Douglas steals every scene in “Will & Grace” in which he appears in the role of a closeted gay police detective who has the hots for Will (Eric McCormack) but doesn’t have the nerve to tell him. ».
- (en) Tom Eames, « The Story of... 'When the Going Gets Tough', as told by Billy Ocean », sur Smooth Radio.com, (consulté le ) « Billy said it was his all-time "favourite" video in his career to shoot, as it featured the film's main stars: Michael Douglas, Danny DeVito and Kathleen Turner. ».
- (en) Reuters Staff, « Oscar winner Michael Douglas introduces newscast », sur Reuters, (consulté le ) « The 63-year-old Hollywood star debuted on Monday night as the new announcer for the network newscast -- “This is the NBC Nightly News with Brian Williams” -- succeeding Howard Reig, who opened the program live for 25 years and retired in 2005. ».
- (en) Lisa de Moraes, « Brian Williams’ Suspension Blankets NBC News Today », sur Yahoo!, (consulté le ) « Tonight, NBC News unveiled its new Nightly News title, which was pointedly missing the “with Brian Williams” bit, as well as that Michael Douglas narrated opening, replaced with Voiceover Guy guy identifying Lester Holt as the anchor. ».
- (en) La Rédaction, « Cancer survivor Michael Douglas celebrates comeback by narrating Super Bowl video », sur Hello!, (consulté le ) « Michael Douglas celebrated his triumphant return to the public sphere by narrating a special video segment about the history of the American football final, which took place on Sunday. ».
- (en) Greg Evans, « ‘Grand Prix Driver’: Michael Douglas-Narrated Amazon Documentary Series Gets Premiere Date, Trailer », sur Deadline.com, (consulté le ) « Amazon’s Grand Prix Driver, narrated by Michael Douglas, will premiere Friday, February 9, exclusive on Prime Video, Amazon announced today, also releasing a new trailer. ».
- La Rédaction, « Pluie de stars dans le paddock de Miami », sur L'Équipe, (consulté le ).
- (en) « Donor search—Michael Douglas », sur Newsmeat.com, (consulté le ).
- (en) Wenn, « Douglas Pushes For Tighter Gun Control », sur Contact Music.com, (consulté le ) « I was there the night John Lennon was shot, three blocks away. It left a lasting impression on me. ».
- (en) « Messengers of Peace », sur Un.org (consulté le ) « Academy Award-winning actor and producer Michael Douglas is fiercely committed to disarmament issues, including nuclear non-proliferation. ».
- (en) Tom Miles, « Michael Douglas urges Obama to think of his legacy at Hiroshima », sur Reuters, (consulté le ) « Douglas said he “found religion” in the anti-nuclear cause after the Three Mile Island nuclear accident in 1979, within days of the opening of his film The China Syndrome, which dealt with an emergency at a nuclear plant. ».
- Aureliano Tonet, « Cannes 2023 : Michael Douglas, le conciliateur », sur Le Monde, (consulté le ).
- (en) « Michael Douglas », sur The Community.com (consulté le ) « In 2003 he and Catherine Zeta Jones hosted the annual Nobel Peace Prize concert in Oslo, Norway, when Iranian human rights attorney Shirin Ebadi received the Nobel Peace Prize. ».
- La Rédaction, « Le FBI et Michael Douglas en campagne contre les délits d'initiés », sur Capital.fr, (consulté le ).
- (en) « Celebrities' open letter to Scotland – full text and list of signatories », sur The Guardian, (consulté le ).
- Stéphane Boudsocq, « Michael Douglas se félicite du retour de Sarkozy dans la course à l'Élysée », sur RTL, (consulté le ).
- (en) George Back, « Michael Douglas Takes A Swing At Donald Trump’s Golf Game », sur HuffPost, (consulté le ) « It’s been a while since I golfed with the Donald, said Douglas. ».
- Florian Guénet, « Présidentielle aux USA : Bloomberg reçoit le soutien inattendu d'un célèbre acteur », sur La Nouvelle Tribune.info, (consulté le ) « D'ailleurs, l'acteur Michael Douglas a décidé de lui apporter son soutien, un geste qu'il n'a pas manqué d'expliquer. ».
- (en-US) Emily Crane, « President Biden forgets date of Jan. 6 Capitol riots at glitzy fundraiser hosted by Michael Douglas », sur The Washington Post, (consulté le ) « The fundraiser was held in the backyard of Douglas and Zeta-Jones’ riverfront home, where about 100 people sat under a tent to listen to both Douglas and Biden speak. ».
- La Rédaction, « Présidentielle américaine 2024 : George Clooney, Stephen King, Michael Douglas... Ces stars qui avaient appelé Joe Biden à se retirer de la course », sur CNews, (consulté le ) « C'est le cas de l'acteur Michael Douglas qui avait réagi en déclarant au micro de la BBC qu'il serait «difficile d'imaginer» que le président Biden puisse terminer son mandat présidentiel s'il était réélu. ».
- Kévin Tanguy, « Victoire de Trump : pour Michael Douglas, les républicains constituent désormais «le parti du peuple» contre les élites », sur Le Journal du dimanche, (consulté le ).
- (en) Maria Cavassuto, « Reel Stories, Real Lives MPTF Benefit to Include Michael Douglas, Kirsten Dunst, Cuba Gooding Jr. », sur Variety, (consulté le ).
- (en) Kerzner International, « Atlantis, Paradise Island to host Michael Douglas and Friends Celebrity Golf Tournament », sur The Bahamas Weekly, (consulté le ) « Since it's inception in 1999, the Michael Douglas & Friends celebrity golf tournament has attracted some the entertainment industry's biggest stars. The tournament has raised over $10 million, and benefits the Motion Picture & Television Fund. ».
- (en) David Morgan, « Michael Douglas », sur CBS News.com, (consulté le ).
- (en) « The Whistling Wizard and the Sultan of Tuffet Off-Broadway Original Cast », sur Broadway World (consulté le ).
- (en) « Theatre World Award Recipients », sur Theatre World Awards (consulté le ).
- (en) Nellie Andreeva, « Ryan Murphy’s Nurse Ratched ‘Cuckoo’s Nest’ Origin Series Starring Sarah Paulson Scores Netflix Order; Michael Douglas EPs », sur Deadline.com, (consulté le ) « Executive producing Ratched are Murphy, Douglas, as well as Aleen Keshishian, Margaret Riley and Jacob Epstein of Lighthouse Management & Media, which manages Romansky. ».
- (en) Lisa McLoughlin, « Michael Douglas plans to ‘license name and likeness’ as he shares AI future fears », sur Evening Standard, (consulté le ) « During his career spanning almost six decades, the Hollywood star has notably won two Oscars, five Golden Globes, and the prestigious Cecil B. DeMille Award among others. ».
- (en) « AFI's 100 YEARS...100 HEROES & VILLAINS », sur American Film Institute, (consulté le ).
- (en) Scott Feinberg, « Michael Douglas, Warren Beatty, Meryl Streep to Receive Lifetime Achievement Awards », sur The Hollywood Reporter, (consulté le ) « Additionally, the Santa Barbara International Film Festival announced that it will present its annual Kirk Douglas Award for Excellence to none other than his own son Michael Douglas. ».
- (es) John Montaño, « Michael Douglas recibió la India Catalina en Cartagena », sur El tiempo.com, (consulté le ) « El actor estadounidense Michael Douglas recibió este mediodía en La Ciudad Heroica la estatuilla de la India Catalina, el máximo galardón que entrega el Festival Internacional de Cine de Cartagena, Ficci, el más antiguo de Latinoamérica. ».
- (en-US) Naman Ramachandran, « Michael Douglas Accepts Satyajit Ray Life Achievement Award, ‘Endless Borders’ Wins Best Film at Goa Festival », sur Variety, (consulté le ) « The 54th International Film Festival of India (IFFI), Goa, concluded on Tuesday with Hollywood veteran Michael Douglas accepting the Satyajit Ray lifetime achievement award for excellence in cinema. ».
- Aymeric Parthonnaud, « Golden Globes 2020 : la liste complète des nominations, catégorie par catégorie », sur RTL, (consulté le ).
- (en) Erik Pedersen, « HCA TV Awards Nominations: ‘Ted Lasso’ Leads Programs For Inaugural Honors; NBC, HBO & Netflix Lead Nets », sur Deadline.com, (consulté le ).
- (en) UPI Archives, « Cruise, Ryan named 1994 Hasty Pudding pot winners », sur Upi.com, (consulté le ) « Previous men of the year award winners include Michael Douglas. ».
- « Off et sonore Douglas », sur INA.fr, (consulté le ) « Michael Douglas, acteur américain de premier plan, reçoit aujourd'hui des mains de Catherine Trautmann, ministre de la culture et de la communication, les insignes d'officier des arts et des lettres. ».
- « Frédéric Mitterrand annonce la nomination de 265 personnalités étrangères au titre de la promotion Arts et Lettres du printemps 2011, soit 22 commandeurs, 48 officiers et 195 chevaliers », sur Ministère de la Culture, (consulté le ).
- Wenn, « Douglas, De Niro et Freeman reçoivent les clés de Vegas », sur Journal de Montréal.com, (consulté le ) « Michael Douglas, Robert De Niro et Morgan Freeman ont reçu les clés de la ville de Las Vegas, le vendredi 18 octobre. ».
- (en) Jeffrey Fleishman, « Michael Douglas to be honred by the Genesis Prize Foundation », sur Los Angeles Times, (consulté le ) « The Genesis Prize Foundation was set to announce Wednesday night in New York City that Douglas was the recipient of its second annual award to celebrate “the richness and diversity of Jewish culture.” ».
- (en) Gary Rosenblatt, « Genesis Prize Taps Michael Douglas », sur NY Jewish News, (consulté le ) « He was named this week as the recipient of the second annual Genesis Prize, often referred to as the Jewish Nobel Prize. »
- AFP, « Michael Douglas immortalisé sur le Walk of Fame à Los Angeles », sur Le Figaro.fr, (consulté le ) « L'acteur américain a inauguré son étoile sur Hollywood Boulevard mardi en compagnie de ses proches. Une récompense qui salue les 50 années de carrière du fils de Kirk Douglas. ».
- Cédric Verany, « Pour les 40 ans de la Princess Grace Foundation à New York, le prince Albert II de Monaco a remis une récompense à l'acteur américain Michael Douglas », sur Monaco-Matin, (consulté le ) « Une occasion particulière qui a permis au prince Albert II de décerner à Michael Douglas, le Prince Rainier III Award, saluant la carrière d’un artiste ainsi que son investissement philanthropique ».
- « Comédiens ayant doublé Michael Douglas en France » sur RS Doublage, consulté le 04 mai 2023.
- Julien Jouanneau, « Mort de Patrick Floersheim, célèbre voix de Michael Douglas, "visage avant tout" », sur L'Express, (consulté le ).
- Carton du doublage français cinématographique.
- « Comédiens ayant doublé Michael Douglas au Québec » sur Doublage.qc.ca, consulté le 22 octobre 2014.
Annexes
modifierBibliographie
modifierPublications sur Michael Douglas
modifier- (en) Alan Lawson, Michael Douglas: A Biography, New York, Warner Books (ed.), , 280 p. (ISBN 978-0-7515-0851-2),
- (en-GB) Andy Dougan, Michael Douglas: Out of the Shadows. the Unauthorised Biography, Londres, Robson Books (ed.), , 306 p. (ISBN 978-1-8610-5694-8),
- (en-GB) John Parker, Michael Douglas: Acting on Instinct, Londres, Headline (ed.), , 432 p. (ISBN 978-0-7553-6286-8),
- (en) Marc Eliot, Michael Douglas: A Biography, New York, Crown Publishing Group (ed.), , 368 p. (ISBN 978-0-3079-5237-0),
- Dominique Legrand, Michael Douglas - un acteur au travail, Entremises éditions (ed.), coll. « Carte Blanche », , 150 p. (ISBN 978-2-3825-5089-2).
Autres ouvrages sur le sujet
modifier- (en-GB) Skip Press, Michael and Kirk Douglas, Londres, Silver Burdett Press (ed.), , 48 p. (ISBN 978-0-3822-4941-9),
- (en) Diana Douglas Darrid, In the Wings: A Memoir, Fort Lee, Barricade Books Inc (ed.), , 380 p. (ISBN 978-1-5698-0151-2).
Documentaire
modifier- Amine Mestari, « Michael Douglas, le fils prodige », sur Arte, .
Liens externes
modifier
- Ressources relatives à l'audiovisuel :
- Ressources relatives au spectacle :
- Ressources relatives à la musique :
- Ressource relative aux beaux-arts :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Ressource relative à la bande dessinée :
- Notices dans des dictionnaires ou encyclopédies généralistes :