Mireval-Lauragais
Mireval-Lauragais Écouter est une commune française située dans le nord-ouest du département de l'Aude, en région Occitanie.
Mireval-Lauragais | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Occitanie | ||||
Département | Aude | ||||
Arrondissement | Carcassonne | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Castelnaudary Lauragais Audois | ||||
Maire Mandat |
Marie-Paule Cau 2020-2026 |
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Code postal | 11400 | ||||
Code commune | 11234 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Mirevalois | ||||
Population municipale |
191 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 19 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 43° 15′ 20″ nord, 1° 57′ 33″ est | ||||
Altitude | Min. 143 m Max. 346 m |
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Superficie | 10,32 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Castelnaudary (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de la Piège au Razès | ||||
Législatives | Troisième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Aude
Géolocalisation sur la carte : Occitanie (région administrative)
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Sur le plan historique et culturel, la commune fait partie du Lauragais, l'ancien « Pays de Cocagne », lié à la fois à la culture du pastel et à l’abondance des productions, et de « grenier à blé du Languedoc ». Exposée à un climat méditerranéen, elle est drainée par le ruisseau de Tréboul, le ruisseau de Mairevieille, le ruisseau de Tiradourès. La commune possède un patrimoine naturel remarquable : un site Natura 2000 (le « piège et collines du Lauragais ») et une zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Mireval-Lauragais est une commune rurale qui compte 191 habitants en 2021, après avoir connu un pic de population de 651 habitants en 1846. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Castelnaudary. Ses habitants sont appelés les Mirevaliens ou Mirevaliennes.
Le patrimoine architectural de la commune comprend deux immeubles protégés au titre des monuments historiques : l'église Saint-Jean-Baptiste, inscrite en 1994, et le moulin de Saint-Jean, inscrit en 1984.
Géographie
modifierCommune de l'aire urbaine de Castelnaudary située dans la Piège en Lauragais à 9 km de Castelnaudary, 36 km de Carcassonne et 63 km de Toulouse.
Communes limitrophes
modifierMireval-Lauragais est limitrophe de six autres communes. Les communes limitrophes sont Castelnaudary, Fendeille, Fonters-du-Razès, Laurabuc, Laurac et Saint-Martin-Lalande.
Géologie et relief
modifierLa superficie de la commune est de 1 032 hectares ; son altitude varie de 143 à 346 mètres[2].
Voies de communication et transports
modifierL'autoroute A61 passe sur son territoire qui possède une aire de repos et de service autoroutière (aire de Mireval d'un côté et aire de Castelnaudary de l'autre).
Hydrographie
modifierLa commune est dans la région hydrographique « Côtiers méditerranéens »[3], au sein du bassin hydrographique Rhône-Méditerranée-Corse[4]. Elle est drainée par le ruisseau de Tréboul, le ruisseau de Mairevieille et le ruisseau de Tiradourès, qui constituent un réseau hydrographique de 9 km de longueur totale[5],[Carte 1].
Le ruisseau de Tréboul, d'une longueur totale de 22,5 km, prend sa source dans la commune de Mas-Saintes-Puelles et s'écoule vers le sud-est. Il traverse la commune et se jette dans le Fresquel à Villepinte, après avoir traversé 7 communes[6].
Climat
modifierEn 2010, le climat de la commune est de type climat du Bassin du Sud-Ouest, selon une étude s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[7]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[8].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 739 mm, avec 9,5 jours de précipitations en janvier et 5,3 jours en juillet[7]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Castelnaudary à 7 km à vol d'oiseau[9], est de 14,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 707,4 mm[10],[11]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[12].
Milieux naturels et biodiversité
modifierRéseau Natura 2000
modifierLe réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 1]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive oiseaux : le « piège et collines du Lauragais »[14], d'une superficie de 31 216 ha, ayant une position de transition entre la Montagne Noire et les premiers contreforts pyrénéens. On y voit donc régulièrement des espèces à grand domaine vital soit en chasse, soit à la recherche soit de sites de nidification : le Vautour fauve, l'Aigle royal, le Faucon pèlerin sont ainsi plus ou moins régulièrement observés sur le territoire concerné[15].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
modifierL’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Une ZNIEFF de type 2[Note 2] est recensée sur la commune[16] : la « bordure orientale de la Piège » (11 102 ha), couvrant 22 communes du département[17].
Urbanisme
modifierTypologie
modifierAu , Mireval-Lauragais est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[18]. Elle est située hors unité urbaine[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Castelnaudary, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[I 1]. Cette aire, qui regroupe 34 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[19],[20].
Occupation des sols
modifierL'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (80,3 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (80,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (50 %), zones agricoles hétérogènes (30,2 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (19,7 %)[21]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Morphologie urbaine
modifierMireval-Lauragais est un ancien village fortifié qui a conservé ses deux portes du XIVe siècle. À l'abri des murailles, les maisons se sont groupées autour de l'église dont la silhouette massive domine le paysage. La disposition d'ensemble du village a été assez peu modifiée depuis l'époque médiévale, ce qui donne à Mireval-Lauragais ce cachet pittoresque qui lui est propre.
Risques majeurs
modifierLe territoire de la commune de Mireval-Lauragais est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[22]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[23].
Risques naturels
modifierLe retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (75,2 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 107 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 107 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 94 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[24],[Carte 3].
Risques technologiques
modifierLe risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par une route à fort trafic. Un accident se produisant sur une telle infrastructure est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[25].
Toponymie
modifierMireval qui signifie "regarder la vallée".
Histoire
modifierPolitique et administration
modifierAdministration municipale
modifierLe nombre d'habitants au recensement de 2011 étant compris entre 100 et 499, le nombre de membres du conseil municipal pour l'élection de 2014 est de onze[26],[27].
Rattachements administratifs et électoraux
modifierCommune faisant partie de l'arrondissement de Carcassonne de la communauté de communes Castelnaudary Lauragais Audois et du canton de la Piège au Razès (avant le redécoupage départemental de 2014, Mireval-Lauragais faisait partie de l'ex-canton de Castelnaudary-Sud).
Tendances politiques et résultats
modifierListe des maires
modifierPopulation et société
modifierDémographie
modifierL'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[29].
En 2021, la commune comptait 191 habitants[Note 4], en évolution de +24,03 % par rapport à 2015 (Aude : +2,47 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
selon la population municipale des années : | 1968[32] | 1975[32] | 1982[32] | 1990[32] | 1999[32] | 2006[33] | 2009[34] | 2013[35] |
Rang de la commune dans le département | 279 | 243 | 253 | 254 | 256 | 264 | ||
Nombre de communes du département | 439 | 436 | 435 | 437 | 438 | 438 | 438 | 438 |
Économie
modifierRevenus
modifierEn 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 73 ménages fiscaux[Note 5], regroupant 159 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 21 320 €[I 2] (19 240 € dans le département[I 3]).
Emploi
modifierDivision | 2008 | 2013 | 2018 |
---|---|---|---|
Commune[I 4] | 1,8 % | 9,2 % | 10,6 % |
Département[I 5] | 10,2 % | 12,8 % | 12,6 % |
France entière[I 6] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 123 personnes, parmi lesquelles on compte 82,9 % d'actifs (72,4 % ayant un emploi et 10,6 % de chômeurs) et 17,1 % d'inactifs[Note 6],[I 4]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui du département, mais supérieur à celui de la France, alors qu'en 2008 il était inférieur à celui de la France.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Castelnaudary, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 4],[I 7]. Elle compte 25 emplois en 2018, contre 29 en 2013 et 32 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 90, soit un indicateur de concentration d'emploi de 27,9 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 69,1 %[I 8].
Sur ces 90 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 12 travaillent dans la commune, soit 13 % des habitants[I 9]. Pour se rendre au travail, 95,6 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 1,1 % les transports en commun et 3,3 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 10].
Activités hors agriculture
modifierSecteurs d'activités
modifier12 établissements[Note 7] sont implantés à Mireval-Lauragais au [I 11]. Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 25 % du nombre total d'établissements de la commune (3 sur les 12 entreprises implantées à Mireval-Lauragais), contre 32,3 % au niveau départemental[I 12].
Entreprises
modifierL'économie de la commune est essentiellement basée sur l'agriculture (céréales : maïs, blé, tournesol…).
Agriculture
modifier1988 | 2000 | 2010 | 2020 | |
---|---|---|---|---|
Exploitations | 0 | 9 | 5 | 5 |
SAU[Note 8] (ha) | 0 | 567 | nd[Note 9] | 593 |
La commune est dans le Lauragais, une petite région agricole occupant le nord-ouest du département de l'Aude[36],[Carte 5]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 10] sur la commune est la culture de céréales et/ou d'oléoprotéagineuses[Carte 6]. Cinq exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricole de 2020[Note 11] (aucune en 1988). La superficie agricole utilisée est de 593 ha[38],[Carte 7],[Carte 8].
Enseignement
modifierMireval-Lauragais fait partie de l'académie de Montpellier.
Culture et festivités
modifierActivités sportives
modifierChasse, pétanque, randonnée pédestre,
Écologie et recyclage
modifierCulture locale et patrimoine
modifierLieux et monuments
modifier- Église Saint-Jean-Baptiste datant du XIIIe siècle, remaniée au XIXe siècle avec un remarquable portail gothique. L'édifice a été inscrit au titre des monuments historiques en 1994[39].
- Deux anciennes portes fortifiées du XIVe siècle.
- Lavoir et abreuvoir.
- Réservoir à eau.
- Travail à ferrer du XIXe siècle.
- Il faut signaler également le point de vue sur toute la plaine du Lauragais et la Montagne Noire…
- L'agglomération est inscrite au titre des sites naturels depuis 1973[40].
Personnalités liées à la commune
modifierLa ville est connue pour être la ville d'origine de Mathieu Yus, qui a pour nom de scène "L'invité de trop" (chanson Française)[41],[42].
Héraldique
modifierPour approfondir
modifierBibliographie
modifier- [Sherwood-1 1941] Merriam Sherwood, « Un registre de la cour criminelle de Mireval-Lauragais au quatorzième siècle », Annales du Midi, t. 53, no 209, , p. 78-86 (lire en ligne)
- [Sherwood-2 1941] Merriam Sherwood, « Un registre de la cour criminelle de Mireval-Lauragais au quatorzième siècle (suite) », Annales du Midi, t. 53, no 210, , p. 169-182 (lire en ligne)
- [Sherwood-3 1941] Merriam Sherwood, « Un registre de la cour criminelle de Mireval-Lauragais au quatorzième siècle (suite) », Annales du Midi, t. 53, no 211, , p. 271-287 (lire en ligne)
- [Sherwood-4 1941] Merriam Sherwood, « Un registre de la cour criminelle de Mireval-Lauragais au quatorzième siècle (suite et fin) », Annales du Midi, t. 53, no 212, , p. 408-427 (lire en ligne)
- [Passelac 1983] Michel Passelac, « L'habitat du Bronze final IIIb de l'Estrade à Mireval-Lauragais (Aude) », Documents d'Archéologie Méridionale, vol. 6, , p. 7-12 (lire en ligne)
- [Cazes 2014] Jean-Paul Cazes et Michel Passelac, « Mireval-Lauragais (Aude) : Un peigne wisigothique de la culture de Tcherjnahov, 1ère moitié du Ve siècle », Archéologie du Midi Médiéval, no 32, , p. 211-215 (lire en ligne)
Articles connexes
modifierLiens externes
modifier- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
Notes et références
modifierNotes et cartes
modifier- Notes
- Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[13].
- Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
- Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
- L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
- Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
- nd : donnée non disponible.
- L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
- Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[37].
- Cartes
- « Réseau hydrographique de Mireval-Lauragais » sur Géoportail (consulté le 8 décembre 2021).
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
- [PDF]« Carte des petites régions agricoles(PRA) dans l’Aude »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur aude.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
Références
modifierSite de l'Insee
modifier- Insee, « Métadonnées de la commune ».
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Mireval-Lauragais » (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans l'Aude » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Mireval-Lauragais » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans l'Aude » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
- « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Mireval-Lauragais » (consulté le ).
- « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
- « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
- « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Mireval-Lauragais » (consulté le ).
- « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans l'Aude » (consulté le ).
Autres sources
modifier- Carte IGN sous Géoportail
- Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestière, [lire en ligne].
- « Découpage en régions hydrographiques », sur sandre.eaufrance.fr (consulté le ).
- « Désoupage en territoires SDAGE/DCE du bassin Rhône-Méditerranée-Corse », sur rhone-mediterranee.eaufrance.fr, (consulté le ).
- « Fiche communale de Mireval-Lauragais », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le ).
- Sandre, « le ruisseau de Tréboul »
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Mireval-Lauragais et Castelnaudary », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Castelnaudary » (commune de Castelnaudary) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Castelnaudary » (commune de Castelnaudary) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
- « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Mireval-Lauragais », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « site Natura 2000 FR9112010 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Liste des ZNIEFF de la commune de Mireval-Lauragais », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF la « bordure orientale de la Piège » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Castelnaudary », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- « Les risques près de chez moi - commune de Mireval-Lauragais », sur Géorisques (consulté le ).
- BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
- « Dossier départemental des risques majeurs dans l'Aude »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur aude.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
- art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
- « Résultats des élections municipales et communautaires 2014 », sur interieur.gouv.fr (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- INSEE, « Population selon le sexe et l'âge quinquennal de 1968 à 2012 (1990 à 2012 pour les DOM) », sur insee.fr, (consulté le ).
- INSEE, « Populations légales 2006 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
- INSEE, « Populations légales 2009 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
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- « Les régions agricoles (RA), petites régions agricoles(PRA) - Année de référence : 2017 », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
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- « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Missègre - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
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- La Dépêche du Midi, « Castelnaudary. «L'invité de trop» au festival de la Cité », La Dépêche, (lire en ligne, consulté le ).
- « RNR Spéciale - L'invité de Trop » [vidéo], sur YouTube (consulté le ).