Mont-sur-Marchienne

section de Charleroi, Wallonie (Belgique)

Mont-sur-Marchienne
Mont-sur-Marchienne
L'ancienne maison communale de Mont-sur-Marchienne.
Blason de Mont-sur-Marchienne
Héraldique
Administration
Pays Drapeau de la Belgique Belgique
Région Drapeau de la Région wallonne Région wallonne
Communauté Drapeau de la Communauté française de Belgique Communauté française
Province Drapeau de la province de Hainaut Province de Hainaut
Arrondissement Charleroi
Commune Charleroi
Code postal 6032
Zone téléphonique 071
Démographie
Gentilé Mont-sur-Marchiennois(e)[1]
Population 12 565 hab. (1/1/2022[2])
Densité 1 355 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 23′ 24″ nord, 4° 24′ 18″ est
Superficie 927 ha = 9,27 km2
Localisation
Localisation de Mont-sur-Marchienne
Localisation de Mont-sur-Marchienne dans la commune de Charleroi
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Mont-sur-Marchienne

Mont-sur-Marchienne (en wallon Mont-dzeu-Mårciene) est une section de la ville belge de Charleroi (district-sud) située en Région wallonne dans la province de Hainaut.

Avant la fusion des communes belges de 1977, Mont-sur-Marchienne était une commune à part entière. Elle comptait environ 13 000 habitants en 2022[3].

Toponymie modifier

Mont dominant Marchienne (-au-Pont)[4]. Le mot Marchienne signifie soit domaine de Marcius (nom gallo-romain), soit terres aux limites (du latin marca, via le germain marka et l'ancien français marche).

Histoire modifier

Trou Lombot (ou Lombeau) en 1822.

Des fouilles le long de l'Eau d'Heure, non loin du Trou Lombot (maintenant disparu), attestent de l'occupation humaine de Mont-sur-Marchienne depuis la Préhistoire[5]. On y a retrouvé des grattoirs du mésolithique et une petite hache polie en grès du néolithique[5]. Dans le Trou Lombot lui-même, on a découvert des ossements d'hyènes, de renards et de rennes y indiquant une présence humaine et/ou animale.

Dans l'Antiquité, les Romains ont établi dans le quartier d'Airemont (le long de l'Eau d'Heure) un petit cimetière contenant 18 urnes funéraires. La rue de la Tombe, à cheval avec Marcinelle conduit quant à elle à un tumulus gallo-romain du IIe siècle apr. J.-C.[6] Des fouilles ont révélé qu'il y avait une villa romaine à proximité du tumulus. On y a mis au jour des vases et des monnaies des Ier siècle et IIe siècle[5].

On retrouve trace de Mont-sur-Marchienne dès le Moyen Âge où la paroisse était desservie par l'abbaye de Lobbes. Mont-sur-Marchienne passe sous le giron de la principauté de Liège en 889 même si les moines de l'abbaye de Lobbes y conservent des privilèges, tels que le paiement de la dîme.

Aux XVIe et XVIIe siècles, la seigneurie appartint aux Hamal, seigneurs de Monceau.

Château de la Torre en 1822.

Le château-ferme de la Torre, maintenant disparu, constituait le principal édifice de Mont-sur-Marchienne. La construction de ce château remonte à la seconde moitié du XVIe siècle comme l'attestent des pierres datées provenant du château. Il formait un quadrilatère fortifié entouré de quatre tours d'angle, d'un corps de logis, d'étables et des murs. Son premier châtelain s'appelait Jean Jacques, bailli de Marchienne-au-Pont. Il passe ensuite à diverses familles nobles dont celle de la Torre dont la dernière descendante vend le château en 1924. Le château est détruit dans les années 1940 pour laisser la place à la rue Cardinal Mercier et à ses maisons avoisinantes. Seules subsistent deux tours d'angle fortifiées[5].

Dès la fin du XVIe siècle, la sidérurgie fait son apparition avec les usines de Zône qui ont été la propriété des familles Polchet et de Bilquin au XVIIe siècle. Le XIXe siècle voit le développement de l'industrie charbonnière. À l'époque, la sidérurgie prenait un nouveau départ. La Société des Forges et Laminoirs de l'Heure, constituée à Zône en 1842 a fermé ses portes en 1878 ; dix ans plus tard, elle avait été remplacée par la Clouterie du Globe qui est rachetée en 1909 par les Usines Allard, créées en 1905. Ces usines étaient gérées par Joseph Allard, bourgmestre de Mont-sur-Marchienne de 1927 à 1933 qui a dû faire face à une grève en 1925.

En 1987, le Musée de la photographie, Centre d’art contemporain de la Fédération Wallonie-Bruxelles, est inauguré dans l'ancien Carmel.

Géographie modifier

Géographie physique modifier

Le paysage de Mont-sur-Marchienne est assez vallonné, son altitude se situant entre 100 m et 178 m. L'ouest de la commune est bordé par l'Eau d'Heure qui marque la limite avec Montigny-le-Tilleul et Marchienne-au-Pont. L'on trouve le long de l'Eau d'Heure d'anciennes carrières de calcaire clair ou gris foncé avec des falaises de plus de trente mètres de hauteur ainsi qu'un lac d'une grande superficie au bord du ring R3.

Mont-sur-Marchienne se situe à la limite au nord-ouest de la « Faille du midi » qui court du nord de la France à Liège presque à l'horizontale. Le sous-sol de de Mont-sur-Marchienne est donc constitué d'un massif charrié composé d'une variété de composants géologiques tels des gisements de fer et de houille grasse, du grès, du schiste et des calcaires de la deuxième moitié de l’ère primaire (il y a +/- 350 millions d’années). En bord d'Eau d'Heure, le plissement hercynien a dressé les couches de roches calcaires, déposées au fond de la mer tropicale du Carbonifère qui occupait le territoire à cette époque[7].

Quartiers et lieux-dits modifier

Parmi les lieux-dits, l'on retrouve :

  • Les Haies, hameau méridional au nord de Bomerée (Montigny-le-Tilleul) et à l'ouest de Jamioulx. Ce hameau semi-rural possède quelques fermes ;
  • Les Marlières (le Gadin et les carrières le long de l'Eau-d'Heure) : du latin margilaria marne. Elles constituaient une vaste étendue boisée ;
  • Airemont ;
  • Larbisart (à côté de Bomerée) ;
  • Lûtia ;
  • La Tombe, doit son nom à un tumulus gallo-romain qui se trouve sur Marcinelle ;
  • Les Gonceries, il se situe à l'est du centre de Mont-sur-Marchienne et du quartier du XII à Marcinelle ;
  • Le Beau Site ;
  • Try du Scouf
  • Plaine du Pige ;
  • Jehansart (limite avec Jamioulx) ;
  • Pont à Zône (ou zône), à cheval de Marchienne-au-Pont du latin alnus aulne ;
  • Le Moria ;
  • Pont-à-Nôle-Les Ruons ;
  • Cité Renchon ;
  • Les Hayettes.

Armoiries officieuses modifier

Blason de Mont-sur-Marchienne (?)
Blasonnement : D'argent au lion de sable, armé et lampassé de gueules, tenant de la patte dextre une épée d'or, au chef d'azur chargé d'un château d'or crénelé, maçonné de sable.
Source du blasonnement : Le dessin du blason est repris de la couverture de la plaquette «André Sevrin, Mont-sur-Marchienne : Ses Bourgmestres, Charleroi, »[a].



Démographie modifier

Évolution de la population[8],[9]
1801 1846 1900 1947 1977[10] 2001
1 666 5 126 18 440 23 064 14 558 18 404

Économie modifier

  • Au nord de Mont-sur-Marchienne (quartier Zône à la limite de Marchienne-au-Pont), est implantée l'entreprise Thales Alenia Space. Il s’agit d’un fabricant de satellites, implanté dans dix pays, principalement en Europe, fournissant des solutions spatiales destinées aux domaines des télécommunications, de la navigation par satellite, de l’observation de la Terre, de l’exploration spatiale, de la science ainsi que des infrastructures orbitales ;
  • L’ASBL « Pôle Pastur » : association qui regroupe neuf commerçants de Mont-sur-Marchienne, ainsi que le musée de la photographie de Charleroi et organise des événements dans le centre de Mont-sur-Marchienne.
Château d'eau moderniste.
Monument aux héros de la Grande Guerre.

Patrimoine modifier

Architecture modifier

  • Église de la Conversion de Saint-Paul, construite au XVe siècle, transformée au XVIIIe siècle : construction de deux nefs latérales suivie en 1772 par le percement du portail de la tour et la construction du nouveau chœur. En 1897, la tour fut exhaussée ;
  • Église du Sacré-Cœur (Haies), édifice de style néo-roman construit par l'architecte Hosdain en 1939-1940 ;
  • Château Halloint, avenue Paul Pastur, édifice en moellons portant une pierre millésimée de 1721 ;
  • Maison blanche, à l'avenue Paul Pastur, construite en 1792 selon un cartouche de la façade triangulaire ;
  • Tours de l'ancien château de la Torre ;
  • Ancien couvent du Carmel. En 1887, les religieuses du Carmel achetèrent une vaste propriété et édifièrent une chapelle. Aujourd'hui, c'est le musée de la photographie ;
  • Maison communale, de style néo-flamand, construite par l'architecte François Houyoux.
  • Propriété Allard, avenue Paul Pastur, édifiée en 1883 et aujourd'hui bibliothèque communale ;
  • Le casino près des tours de l'ancien château construit par le bourgmestre Allard qui héberge aujourd'hui le Centre culturel de Mont-sur-Marchienne ;
  • Les villas et châteaux urbains sur l'avenue Paul Pastur ;
  • Villa Darville (quartier du Gadin, route de Bomerée) : exemple de l'architecture moderniste de Marcel Leborgne[6];
  • Château d'eau, vigie moderniste construite sur le point le plus élevé de la commune en 1973, visible à grande distance.

Monuments modifier

  • Monument franco-belge « À nos morts » inauguré en octobre 1929 sur le mur de la maison communale. Ce monument qui se trouvait dans le mur du château est une première fois transféré place des Essarts puis déplacé près de l'église Saint-Paul.
  • Monument en pierre, œuvre de l'architecte J. Lejeune et du sculpteur J. Roger, « Aux héros de la Grande guerre », dans le cimetière communal.
  • Colonne aux victimes civiles, résistants, prisonniers, déportés de 40-45.

Promenades et tourisme vert modifier

Le parc du Château Soupart modifier

Le château Soupart, maintenant disparu, ainsi que d'anciens terrils s'élevaient dans cette zone verte au nord de Mont-sur-Marchienne dominant la vallée de la Sambre et les industries de Marchienne-au-pont.

Le parc est constitué d'un petit bois, de prairies et de sentiers où l'on peut encore voir une grande haie de charmes centenaires et l'ancienne entrée carrossable du château qui mène à la rue du Mayeur.

L'on note parmi les arbres remarquables un marronnier d’Inde. La faune et la flore y sont riches. Le contraste est, en particulier, frappant entre cette zone verte à proximité immédiate de la zone industrielle installée à ses pieds et du centre ville de Charleroi.

Les carrières modifier

Trois anciennes carrières se situent le long de l'Eau d'Heure à l'ouest de l'entité de Mont-sur-Marchienne dont une dotée d'un grand lac à proximité du pont du viaduc de Montigny-le-Tilleul sur le Ring R3. Des itinéraires de promenade longent les carrières et le bord de l'Eau d'Heure.

La carrière du Brun-Chêne.

L'ancienne carrière du Brun-Chêne, seule carrière dont l'accès est autorisé, abrite une réserve naturelle de 16 hectares. Elle a été créée en 2014 à l'initiative de l'ASBL Val d'Heure et cataloguée « Site de Grand Intérêt Biologique » par la Région Wallonne. La réserve est gérée par Natagora avec la contribution de Sagrex et le partenariat de la Ville de Charleroi. Les parois rocheuses et la roselière abritent des oiseaux remarquables et des espèces de batraciens menacées et d'anciens fours à chaux hébergent des rapaces[11],[12].

Culture modifier

Le Musée de la photographie, Centre d’art contemporain de la Fédération Wallonie-Bruxelles, est installé depuis 1987 au 11 de l'avenue Paul Pastur (place des Essarts) dans l'ancien carmel de Mont-sur-Marchienne. Il est le plus vaste et un des plus importants musées de la photographie en Europe, avec une collection de 100 000 photographies dont plus de 800 en exposition permanente.

Musée de la photographie de Mont-sur-Marchienne.

Le Centre Culturel de Mont-sur-Marchienne, à la rue du Château, organise des concerts, spectacles, pièces de théâtre et accueille le Cercle de théâtre wallon de Mont-sur-Marchienne. Le bâtiment qui héberge ce centre culturel est actuellement en rénovation.

L'Académie de Mont-sur-Marchienne, à la rue Adolphe Max, est un établissement d’enseignement secondaire artistique à horaire réduit, subventionné par la Fédération Wallonie-Bruxelles. Les deux domaines d'enseignement sont la musique (piano, chant, clarinette, guitare…) et les arts de la parole (théâtre, déclamation, éloquence…). L'ASBL Les Amis de l'Académie de Mont-sur-Marchienne organise les Soirées musicales de Mont-sur-Marchienne consacrées à la musique classique avec des artistes de niveau international. Sylvia Huang, lauréate du Concours musical international Reine Élisabeth de Belgique 2019 et prix du public, a appris le solfège à l’Académie de Mont-sur-Marchienne[13].

La bibliothèque du Château - Mont-sur-Marchienne est située à côté du Centre Culturel de Mont-sur-Marchienne. Elle possède une réserve de livres à caractère général avec une priorité pour les tout-petits qui sont accueillis au sein d’un espace qui leur est réservé. Dans le cadre de ses missions culturelles, elle organise une fois par mois un atelier musical pour les 5 à 8 ans et consacre l’été aux animations jeux de société pour les petits de 3 à 6 ans.

Le Centre de l'histoire de la famille FamilySearch de Charleroi est situé rue de la Tombe. Il dessert la province de Hainaut et permet la recherche gratuite d'information en matière de généalogie familiale.

Enseignement modifier

  • École communale des Haies (enseignement maternel et primaire) ;
  • École fondamentale libre des Sœurs de la Providence (enseignement maternel et primaire) ;
  • École fondamentale libre Saint-Paul (enseignement maternel et primaire) ;
  • École fondamentale Roger Desaise Gonceries (enseignement maternel et primaire) ;
  • ECEPS de Mont-sur-Marchienne (Établissement Communal d'Enseignement de Promotion sociale).

Mouvements de jeunesse modifier

  • 16e Unité Terrils-Ouest Mont-sur-Marchienne (Scouts et Guides de Mont-sur-Marchienne centre) ;
  • Patro Sacré-Cœur des Haies de Mont-sur-Marchienne.

Sports modifier

Terrain du FC Mont-sur-Marchienne-Collège.

Mont-sur-Marchienne dispose d'un centre sportif (avenue Paul Pastur) et d'un hall polyvalent (rue Napoléon Lejong) qui proposent différents sports et disciplines en indoor.

Il existe un certain nombre de clubs sportifs à Mont-sur-Marchienne actifs dans différents championnats :

  • football : FC Mont-sur-Marchienne-Collège ;
  • basket : Olympic Mont-sur-Marchienne ;
  • handball: Sporting Handball Club Mont-sur-Marchienne ;
  • tennis : Tennis Club de Mont-sur-Marchienne ;
  • tennis de table : Bosquet CTT NC, TC Mont-sur-Marchienne et La Docherie PPC ;
  • judo : Royal J.C. Mont-sur-Marchienne ;
  • équitation : Écurie Bois Planté ;
  • plongée : Nausicaa.

Liste des bourgmestres (avant la fusion des communes en 1977) modifier

  • Charles François Thomas : maire (1800-1810) ;
  • François Clément Jennar : maire/bourgmestre, agronome et administrateur-gérant de société (1810-1843) ;
  • Désiré Joseph Nicaise : bourgmestre (1844-1847) ;
  • Alexandre Piret : bourgmestre (1848-1856) et directeur du pensionnat de Mont-sur-Marchienne ;
  • Adolphe Dulait (libéral) : bourgmestre (1856-1874), président de l'Association Charbonnière du bassin de Charleroi (1871-1874), directeur du Charbonnage de la Réunion et conseiller provincial ;
  • Vincent Bruyr : bourgmestre (1874-1879 et 1885-1890) ;
  • Henri Darras : bourgmestre (1879-1884) ;
  • Sylvain Caisse (libéral) : bourgmestre (1891-1911) et docteur en médecine ;
  • Jules Bufquin des Essarts (socialiste) : bourgmestre (1912-1914) et directeur du Journal de Charleroi ;
  • Camille Desy (libéral) : bourgmestre faisant fonction (1914-1919) ;
  • Napoléon Lejong (libéral) : bourgmestre faisant fonction (1919-1921) et président de la Société des maisons à bon marché ;
  • Edmond Ramboux (socialiste) : bourgmestre (1921-1922) et chef-comptable ;
  • Arthur Gailly (socialiste) : bourgmestre faisant fonction (1921), bourgmestre (1923-1926 et 1933-1934) et député de Charleroi ;
  • Joseph Allard (catholique) : bourgmestre (1927-1933), ingénieur et administrateur-gérant des Usines et Aciéries Allard ;
  • Émile Dutilleul (socialiste) : bourgmestre (1934-1973), directeur du service social de la Société générale coopérative et professeur à l'École ouvrière supérieure ;
  • Jean-Pol Demacq (socialiste) : bourgmestre (1973-1977) et assistant social.

Liste de personnalités modifier

Images modifier

Notes et références modifier

Notes modifier

  1. L'ouvrage indique en page 19 que le blason fut trouvé sur un carnet de mariage datant de 1969. Dans le même ouvrage, à la même page, l'auteur dit que le lion brandit un sabre d'or, tout en précisant en note qu'un sabre est recourbé, ce qui n'est pas le cas sur l'illustration de la couverture.

Références modifier

  1. Jean Germain, Guide des gentilés : les noms des habitants en Communauté française de Belgique, Bruxelles, Ministère de la Communauté française, (lire en ligne), p. 31
  2. https://statbel.fgov.be/fr/open-data/population-par-secteur-statistique-10
  3. Zhujiworld.com, « Mont-sur-Marchienne Belgique statistics », sur Zhujiworld.com (consulté le )
  4. Jean-Jacques Jespers, Dictionnaire des noms de lieux en Wallonie et à Bruxelles, Bruxelles, Belgique, Éditions Racine, , 649 p. (ISBN 978-2-87386-409-5, lire en ligne), p. 426
  5. a b c et d Weyn 1983.
  6. a et b Sevrin et al. (2002).
  7. Charleroi tourisme, « Petite boucle entre rocher et heure et réserve naturelle du Brun Chêne », sur Commissariat général au tourisme (consulté le )
  8. Sauf 1977 - Michel Poulain (dir.), Ville de Charleroi : Atlas géostatistique des quartiers, Charleroi, , p. 55
  9. 1977 - Pierre-Jean Schaeffer, Charleroi 1830-1994, Histoire d'une Métropole, Ottignies-Louvain-la-Neuve, Quorum, , 466 p. (ISBN 2-930014-42-3), p. 337
  10. Fusion de communes en Belgique
  11. « Carrière Le Brun Chêne », sur Wallonie.be (consulté le )
  12. Valdheure, « Objectifs de l'ASBL Le Val d'Heure », sur Valdheure.be (consulté le )
  13. Jean Lacroix, « Portrait de la violoniste Sylvia Huang, la candidate belge du concours reine Elisabeth 2019 », sur LIVRaisons, (consulté le )
  14. « Jean Delire par André Goeffers - Cinergie.be », sur Cinergie.be (consulté le ).
  15. Décès de S.G. Sender
  16. PMDB, p. 161.
  17. PMDB, p. 162-163.
  18. Anne-Catherine Bioul, Vivre aujourd'hui dans un intérieur d'autrefois, à Charleroi, Namur, Ministère de la Région wallonne, coll. « Études et documents / Monuments et sites », , 245 p. (ISBN 2-87401-171-1), p. 208-213

Voir aussi modifier

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie modifier

  • Le patrimoine monumental de la Belgique, vol. 20 : Wallonie, Hainaut, Arrondissement de Charleroi, Liège, Pierre Mardaga, éditeur, , 602 p. (ISBN 2-87009-588-0, lire en ligne)
  • L'histoire de Mont-sur-Marchienne à travers ses façades, Charleroi, Office du Tourisme de Charleroi, , 16 p., 283 x 595 mm (lire en ligne)
  • Redécouvrir son quartier sous un autre regard... Charleroi : Section de Mont-sur-Marchienne, Charleroi, Espace Environnement, , 15 p. (lire en ligne)
  • Emmanuel Brutsaert (Rédacteur en chef), Gilbert Menne (Secrétaire d'édition) et Johan De Meester (Mission photographique), Histoire et patrimoine des communes de Belgique : Province du Hainaut, Bruxelles, Éditions Racine, , 608 p. (ISBN 978-2-87386-599-3), p. 161-162
  • André Sevrin et Frans Bondroit, Mont-sur-Marchienne, Tempus, coll. « Mémoire en images », , 128 p. (ISBN 2-84253-371-2).
  • André Sevrin et Frans Bondroit, Mont-sur-Marchienne, t. II, Tempus, coll. « Mémoire en images », , 128 p. (ISBN 90-76684-58-8).
  • André Sevrin, Mont-sur-Marchienne : Ses Bourgmestres, Charleroi, , 73 p.
  • Guy Weyn, « Les avoués de Thuin : Contribution à l'histoire de l'abbaye de Lobbes et des seigneurs de Marchienne, Mont-sur-Marchienne et Montigny-le-Tilleul », Documents et rapports de la Société royale d'archéologie et de paléontologie de Charleroi, t. LVIII,‎ 1979-1981, p. 73-168
  • Guy Weyn, Mont-sur-Marchienne : Son histoire, sa paroisse, son château et son aspect d'antan, , 222 p.

Articles connexes modifier

Liens externes modifier