Montignies-sur-Sambre

section de Charleroi, Wallonie (Belgique)

Montignies-sur-Sambre
Montignies-sur-Sambre
L'ancienne maison communale.
Blason de Montignies-sur-Sambre
Héraldique
Administration
Pays Drapeau de la Belgique Belgique
Région Drapeau de la Région wallonne Région wallonne
Communauté Drapeau de la Communauté française de Belgique Communauté française
Province Drapeau de la province de Hainaut Province de Hainaut
Arrondissement Charleroi
Commune Charleroi
Code postal 6061
Zone téléphonique 071
Démographie
Gentilé Montagnard(e)[1]
Population 18 641 hab. (1/1/2022[2])
Densité 3 086 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 24′ 00″ nord, 4° 28′ 51″ est
Superficie 604 ha = 6,04 km2
Localisation
Localisation de Montignies-sur-Sambre
Localisation de Montignies-sur-Sambre dans la commune de Charleroi
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Montignies-sur-Sambre

Montignies-sur-Sambre (en wallon Montgneye-so-Sambe, localement Mont'gnè-su-Sambe) est une section de la ville belge de Charleroi, située en Région wallonne, dans la province de Hainaut.

C'était une commune à part entière avant la fusion des communes de 1977.

Toponymie modifier

Montiniacus en 866, Montegni sur Sambre en 1253, Montegniet en 1253, Montegny en 1403, 1418 et 1485, Montingny en 1439, Montigny en 1620, Montignies sur Sambre en 1656 Montigny sur Sambre en 1970, Montigny en 1795, Montigny-sur-Sambre en 1820 et après 1830 et enfin Montignies-sur-Sambre[3].

Géographie modifier

Morphologie urbaine modifier

Les quartiers et lieux-dits modifier

  • Le Centre.
  • Les Cités.
  • Les Trieux (Trils Caisen (1688) - Trieux Kaisin).
  • Saint-Jean (Saint Djean (1820)).
  • Le Roctiau (Le Roction (1712)).
  • La Neuville.
  • Saint-Charles[4].
  • Le Poirier.
  • La Duchère.
  • Samaritaine.
  • Les Récollets.

Cités modifier

  • Cité Yernaux.
  • Cité Sélestat.
  • Cité de l'Europe.
  • Cité Roger Lefèvre.
  • Cité de Follonica.

Terrils modifier

  • Terril de l'Épine, terrils du Résolu n°1 et 2, terril de la Duchère, terril du stade Yernaux.

Démographie modifier

Évolution de la population[5],[6]
1801 1846 1900 1947 1977[7] 2001
719 1 925 8 046 11 063 22 948 13 020

Histoire modifier

Le lieu est déjà habité à l'époque romaine puisque les archéologues ont retrouvé des vestiges d'une villa romaine au Champ de l'Épine.

Pendant plusieurs siècles, les habitants (surtout des paysans) dépendent de la Principauté de Liège.

En 1874, une concession est accordée pour le premier tramway à traction animale.

22 août 1914 modifier

Le , les Allemands entrent à Montignies vers midi. Mais la bataille fait rage à Loverval et les troupes sont bloquées tout le long de la chaussée de Gilly, actuellement avenue du Centenaire. Les habitants viennent voir les soldats. Le stationnement des troupes allemandes se passe bien jusque vers 17h00 lorsque les envahisseurs se mettent à tirer brusquement sur les civils, sans aucune raison apparente[8]. Un habitant parle de cette anecdote, qui a particulièrement changé et bouleversé à jamais la ville de Montignies sur Sambre: C’est ma cousine A.F, la nièce de Mathilde Piérard, qui m’a expliqué la raison de ce changement. L’homme à tout faire de Tante Mathilde était monté au grenier avec des jumelles pour regarder par la tabatière le déroulement de la bataille de Loverval. Là-bas, un officier a vu un éclair dans la tabatière et est redescendu vers Montignies pour dire au Major allemand que des francs-tireurs se trouvaient dans cette maison, il s’agissait en fait du reflet du soleil sur les jumelles ! Le Major a ordonné la fouille de la maison. Ne trouvant aucune arme, il a fait incendier la maison vers 18h00 et l’homme à tout faire a été battu à mort pour avouer. Quant à Mathilde et sa servante, elles ont été amenées devant la gare, pour assister à l’incendie de leur maison. Les otages ont été aussi regroupés depuis la place communale où ils avaient été parqués. Aucune arme trouvées par l'ennemi, les frères sont amenés devant la gare[9]. Furieux, les allemands ont continué à brûler les maisons jusque sur la place communale. Ensuite, les otages, parmi lesquels Tante Mathilde, sa servante et les frères, les hommes ont été amenés sur les ponts de la Sambre et les femmes sur le déversoir, où ils ont passé toute la nuit dans l’humidité (pluie ou brouillard, selon les témoignages). Là, ils ont vu, à l’aller et au retour, le bourgmestre de Charleroi, Émile Devreux, qui se rendait en voiture au château de Parentville pour signer les accords de Couillet[10],[11].

Le monument aux mort de la guerre.

Le , le 19e division d'Infanterie de Réserve de l'armée impériale allemande passa par les armes 35 civils et détruisit 103 maisons lors des atrocités allemandes commises au début de l'invasion[12]. Des civils furent utilisés comme boucliers humains. Des personnes furent placées sur le pont de la Sambre pour qu'on ne le fasse pas exploser; d'autres durent progresser devant les troupes allemandes en direction de Nalinnes.

L'hôpital Sainte-Thérèse échappa de peu à l'incendie. Le 10 et le 11 novembre 1918, Montignies fut soumis à des bombardements par aéroplanes. Le 18 novembre, les Anglais arrivèrent dans la ville.

Après la guerre 1914-1918, l'industrie se développe rapidement. La population s'accroît et atteint, selon les chiffres de l'état-civil 26 244 habitants en 1930.

1940-1944. modifier

En 1936, la Belgique décide de redevenir neutre. De plus, cette même année, les Allemands annulent le traité qu’ils avaient signé après la guerre 14-18, en amenant des troupes de ce côté-ci du Rhin. La Belgique se défend seule alors que la guerre menace. Il est donc décidé d’augmenter les effectifs de l’Armée. Mais les casernes sont trop petites pour accueillir tous ces soldats. On décide donc, toujours en 1936, d’agrandir la caserne Trésignies de Charleroi. Mais les soldats affluent et l’extension est seulement en travaux. Les miliciens devront donc faire leur service militaire à la caserne de Montignies-Neuville. L’ancienne verrerie Fourcault est aménagée à la hâte et dès , les premiers miliciens y sont casernés. Parmi eux, le futur Premier Ministre Edmond Leburton, qui fera son service militaire jusqu'au .

Les nouveaux bâtiments de la caserne Trésignies seront inaugurés par les Allemands. Quant à la caserne de Montignies, elle servira de dépôt à l’armée allemande. Puis, après des fortunes diverses, elle servira de dépôt à Courthéoux, puis à Delfood.

C’est là qu’ont été amenées toutes les cloches d’églises réquisitionnées pour en faire des canons. Ensuite, elles ont été chargées sur un train qui a passé la nuit à la gare de Montignies (actuel Carrefour). Là, les résistants ont creusé des tranchées de chaque côté du train et y ont caché les cloches. Après la guerre, toutes les cloches ont retrouvé leur clocher, sauf celle de Gilly-Haies qui s’est cassée dans la manœuvre[13].

En 1944, l'aviation alliée fut amenée à bombarder la gare de formation et le pont de Sambre. Il y eut malheureusement de nombreux dégâts collatéraux entre le et le . Plus de 200 personnes furent tuées, plus de 400 maisons furent détruites et l'église Saint-Remy fut gravement endommagée. Le , une bombe V1 explosa à la rue de la Pensée[14].

Après guerre modifier

À la fin des années 1950, la concurrence des charbons étrangers et des autres formes d'énergie (pétrole, gaz naturel) amène la fermeture des charbonnages: St André en 1957, St Charles en 1958, la Duchère en 1965. Dix ans plus tard, c'est l'industrie sidérurgique qui est frappée.

Le , en raison de la loi sur la fusion des communes, Montignies-sur-Sambre est intégrée dans la Ville de Charleroi.

Bourgmestres modifier

Liste des bourgmestres de Montignies-sur-Sambre de 1866 jusqu’à la fusion de la commune à Charleroi en 1976[15] :

  • Jacques Piérard (1866-1889)
  • Dr Lambert Piret (1890-1891)
  • Alfred Magonette (1892-1895)
  • Joseph Marlier (1896)
  • Dr Émile Dutrieux (1896-1912)
  • Dr Camille Hilson (1913-1920)
  • Romain Henry (1921-1925)
  • Edmond Yernaux (1926-1970)
  • André Poffé (nl) (1970-1976).

Armoiries modifier

Blason de Montignies-sur-Sambre. Ce sont les armes de la famille t'Serclaes de Tilly[16].
Blasonnement : De gueules au lion d'argent armé, lampassé et couronné d'or, à la queue fourchue, chargé sur l'épaule gauche d'un écusson d'or au chef échiqueté d'argent et de sable de deux tires qui est Bygaerden[17].



Bâtiments et patrimoines modifier

  • Chapelle du Calvaire, place Albert Ier. Construite vers 1640, classée en 1952[18].
  • L'église Saint-Remy. Construite en 1789 sur l'emplacement de l'ancienne église[19]. À côté se trouvent encore des tombes du premier cimetière qui servit jusqu'en 1845. Elle conserve quelques ossements de saint Valentin. Ceux-ci furent offerts par le pape Pie IX en 1874 en remerciement du soutien des habitants lorsqu'il se trouva confiné au Vatican en 1870[20].
  • Porte de Waterloo ou de la Belle Alliance, rue Petite Aise no 33. Éléments d'une ancienne porte des fortifications de Charleroi construites par les Hollandais en 1816. Pièces déplacées lors du démantèlement de la forteresse (1869-1872). Monument classé depuis 1985[21],[22].
  • Hôtel de Ville. Réalisé par l'architecte François Giuannotte, place Albert Ier. Construit en 1910[23].

Autres bâtiments modifier

  • L'église Saint-Pierre, construite par Auguste Quinet en 1880 en style néo-roman. Elle se situe place de la Neuville.
  • L'église Notre-Dame de Lourdes, édifiée en 1914 en style néo-gothique par l'architecte Hector Leborgne[24]. Elle se situe à la rue Brigade Piron.
  • Couvent des Pères franciscains, installé dans l'ancien château de Bonne Espérance, c'étais le siège du premier charbonnage de Montignies ouvert à la fin du XVIIIe siècle par Adrien Drion et converti en couvent depuis 1857[25].
  • L'église Saint-François, édifiée en style néo-gothique par l'architecte Stevens de 1855 à 1857[25]. L'église ne possède pas de clocher comme les autres, il y a un clocheton avec une flèche sur le toit.
  • Anciens bureaux de Sambre et Moselle, édifié au 1er quart du XXe siècle[26].
  • Châteaux d'eau de Montignies-sur-Sambre. Construits en 1946 et l'ancien en 1904[25].

Culture modifier

Le folklore modifier

  • Les processions : quatre processions se déroulaient chaque année. Il y avait : la procession de la Fête-Dieu (passait par la chapelle des Trieux), la procession Champeaux (date de 1836, faisait une halte au Calvaire et subsista jusqu'en 1967), la procession du (disparue en 1951), la procession du Roctiau (passait par la ducasse du quartier).
  • La Saint-Éloy : fête des métallurgistes. Fêté le 1er décembre.
  • La Sainte-Barbe : fête des mineurs. Fêtée le avec grandes libations.

Enseignement modifier

Montignies-sur-Sambre abrite l'une des deux implantations de l'UCLouvain Charleroi, un des sites de l'Université catholique de Louvain. Y sont donnés des formations de la Louvain School of Management[27]. Situé rue Trieu Kaisin[28], le campus est partagé avec le site Sainte-Thérèse de l'Institut d'Enseignement secondaire complémentaire catholique (Haute école Louvain en Hainaut). L'école secondaire "Le Soleil Levant", rue Grimard. Institut Saint-Valentin, rue Saint-Valentin.

Lieux publics modifier

Parc modifier

Cimetières modifier

Cimetière du centre, créé en 1850, rue du Cimetière à proximité de l'église Saint-Rémy. Cimetière de la Neuville, créé en 1879, rue du Wé.

Économie modifier

Au XIIIe siècle, apparaissent des cloutiers, et certains habitants exploitent des petites veines de houille.

Au XVIIIe siècle, les charbonnages se multiplient et perdureront en se nommant : Trieu-Kaisin, Bonne-Espérance, Mambourg, Poirier. À la fin du siècle, on compte presque deux mille habitants.

Au XIXe siècle, les charbonnages se développent jusqu'à 19 puits en activité. Les premières fabriques de charbon en briquettes établies en Belgique sont exploitées à partir de 1851 par les Dehaynin père et fils à Montignies-sur-Sambre, sous la direction d’un Français, Jean-Baptiste Bouriez.

Une première verrerie voit le jour vers 1830 et une seconde vers 1870. Une première usine métallurgique apparaît vers 1835. Elle est dirigée par l'ingénieur Champeaux - en 1980, certains ouvriers disaient encore - « on travaille à Champeaux ». Il y a aussi la Société du Marais et les aciéries Brachot. C'est à cette époque que débuta le pavage des rues principales. Le financement en fut assuré par des droits de péage.

En 1868, se déroule le drame de l'Épine. À la suite d'un mouvement de grève, des débordements ont lieu à l'fosse di l'Ispéne, charbonnage de l'Épine situé à l'avenue du Centenaire à la limite de Gilly. Les gendarmes sont débordés et il est fait appel à l'armée. Un détachement du 11e de Ligne est envoyé sur place. À la suite des jets de pierres de la foule, le major Quenne ordonne l'ouverture du feu. Il y aura six morts et de nombreux blessés. Depuis de nombreuses générations, les commerçants Piérard faisaient commerce de tissus. Ils se plaçaient sur les marchés et avaient un magasin à la chaussée de Charleroi, actuellement ING. Vers 1870, deux des fils ont fondé les Usines du Marais, un laminoir racheté après 1918 par Sambre-et-Moselle qui allait devenir Hainaut-Sambre. L’un d’eux était Jacques Piérard, joueur de balle pelote réputé et futur bourgmestre de Montignies. L’autre était Sébastien Piérard qui fit construire un « château », ce genre de grande maison de capitaine d’industrie. À sa mort en 1900, c’est sa fille Mathilde qui en hérita et continua à y vivre en compagnie de ses domestiques.

Santé modifier

Hôpitaux modifier

  • Hôpital Reine Fabiola, faisant partie du Grand Hôpital de Charleroi (GHdC), avenue du Centenaire.
  • Hôpital Sainte-Thérèse, faisant partie du Grand Hôpital de Charleroi (GHdC), rue Saint-Valentin.

Maisons de repos modifier

  • Home Saint-Joseph, chaussée de Namur.
  • Résidence Aurore, maison de repos et de soins, rue des Comparçonniers.
  • Résidence et centre de séjour Raoul Hicguet, faisant partie du CPAS de Charleroi, rue du Poirier.

Sports modifier

Clubs modifier

  • Royal Olympic Club de Charleroi.
  • Olympic Gymnastique Montignies.
  • Gallins Montagnards[réf. nécessaire].

Infrastructures modifier

  • Stade et complexe sportif Edmond Yernaux, construit en 1939 en l'honneur du sénateur-bourgmestre de Montignies-sur-Sambre[29].
  • Stade de l'Olympique de Charleroi, rue Paul Janson.
  • Patinoire de Charleroi, rue Neuve.

Jumelages modifier

Carte
Jumelages et partenariats de Montignies-sur-Sambre.Voir et modifier les données sur Wikidata
Jumelages et partenariats de Montignies-sur-Sambre.Voir et modifier les données sur Wikidata
VillePaysPériode
FollonicaItaliedepuis
SélestatFrancedepuis
WaldkirchAllemagne

Personnalités liées à Montignies-sur-Sambre modifier

  • Dominique Wilms, née à Montignies en 1930, comédienne et peintre.
  • Dupa, né à Montignies en 1945, dessinateur de bandes dessinées.
  • Johan Muyle, né à Montignies en 1956, sculpteur.
  • Joëlle Milquet, née à Montignies en 1961, femme politique.
  • Gilberte Dumont (1910-1989), née à Montignies, artiste peintre.
  • David Jadoul né en 1977, conseiller communal (2012-2018) et conseiller provincial (depuis 2018).

Notes et références modifier

  1. Jean Germain, Guide des gentilés : les noms des habitants en Communauté française de Belgique, Bruxelles, Ministère de la Communauté française, (lire en ligne), p. 31
  2. « Population par secteur statistique », sur fgov.be via Internet Archive (consulté le ).
  3. Yernaux 1963, p. 109.
  4. Yernaux 1966, p. 209-211.
  5. Sauf 1977 - Michel Poulain (dir.), Ville de Charleroi : Atlas géostatistique des quartiers, Charleroi, , p. 55
  6. 1977 - Pierre-Jean Schaeffer, Charleroi 1830-1994, Histoire d'une Métropole, Ottignies-Louvain-la-Neuve, Quorum, , 466 p. (ISBN 978-2-930014-42-5), p. 337
  7. Fusion de communes en Belgique
  8. Un habitant, auteur de l'article, « anecdote dramatique de la guerre », 1914-1918,‎ 1914-1918
  9. La Fraternité Montagnarde 2014, p. 20.
  10. A Lemaire, Charleroi – Août 1914, Noir Dessin Production, réédition de 1929, 284 p. (ISBN 978-2-87351-283-5)
  11. Luc Leroy, « 22 août 1914 à Montignies-sur-Sambre », Le Son du C.O.R.C.,‎ , p. 10 à 16
  12. John Horne et Alan Kramer, 1914 Les atrocités allemandes, Tallandier, , 640 p. (ISBN 2-84734-235-4), p. 480
  13. Recherches de Luc Leroy, petit-fils du Lt-Gén Joseph Leroy, commandant de la caserne Trésignies de 1928 à 1938.
  14. Yernaux 1966, p. 87 et 288.
  15. D'après un cadre situé à l’Hôtel de Ville de Montignies-sur-Sambre
  16. Yernaux 1966, p. 209.
  17. Lieve Viaene-Awouters et Ernest Warlop, Armoiries communales en Belgique, Communes wallonnes, bruxelloises et germanophones, t. 1 : Communes wallonnes A-L, Bruxelles, Dexia, , p. 218
  18. Patrimoine monumental de Belgique, tome 20, p. 167
  19. Patrimoine monumental de Belgique, tome 20, p. 166-167
  20. Laurent Hoebrechts, « Saint Valentin, prophète en son Pays noir ? », La Libre Belgique,‎ (lire en ligne, consulté le )
  21. Patrimoine monumental de Belgique, tome 20, p. 171-172
  22. Alexandra Vanden Eynde, Anne-Catherine Bioul, Micheline Franc, Marie-Luisa Pazzaglia, Anne-Cécile Ghigny, Martine Soumoy et Marie-Jeanne Ghenne, Balade dans les souvenirs des forteresses, Charleroi, Espace Environnement ASBL, , 2e éd. (1re éd. 1986), 20 p., A4 (lire en ligne), p. 14.
  23. Jean-Louis Delaet, Rina Margos et Chantal Lemal-Mengeot, Hôtels de Ville et Maisons communales de Charleroi, Ministère de la Région wallonne et Ville de Charleroi, coll. « Carnets du patrimoine » (no 11), , 64 p., p. 35-38
  24. Le patrimoine monumental de la Belgique, vol. 20, p. 168.
  25. a b et c Le patrimoine monumental de la Belgique, vol. 20, p. 169.
  26. Le patrimoine monumental de la Belgique, vol. 20, p. 171.
  27. « La Louvain School of Management, première école de gestion belge dans le ranking du Financial Times ! », sur uclouvain.be,
  28. « Accès et plans », sur uclouvain.be
  29. Yernaux 1966, p. 95 et 107.

Annexes modifier

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Bibliographie modifier

  • Le patrimoine monumental de la Belgique, vol. 20 : Wallonie, Hainaut, Arrondissement de Charleroi, Liège, Pierre Mardaga, éditeur, , 602 p. (ISBN 2-87009-588-0, lire en ligne)
  • Redécouvrir son quartier sous un autre regard... Charleroi : Section de Montignies-sur-Sambre, Charleroi, Espace Environnement, , 15 p. (lire en ligne)
  • Henk Byls, « L’Œuvre des Flamands à Montignies-sur-Sambre : 1850-2000 », dans Idesbald Godderis et Roeland Hermans (éds.), Migrants flamands en Wallonie, Bruxelles, Racine, (ISBN 978-94-014-0146-3), p. 142-167
  • André Lépine, « Les charbonnages du Pays noir en cartes postales anciennes », Cercle d'Histoire de Cerfontaine, no 503,‎
  • Claude Yernaux, La vie quotidienne à Montigny sous le régime français - 1794 - 1815 : Histoire de Montigny-sur-Sambre - Le régime français, Montigny-sur-Sambre, Édition de l'Administration communale, , 242 p.
  • Claude Yernaux, Histoire de Montignies-sur-Sambre : Le XXe Siècle, Montignies-sur-Sambre, Édition de l'Administration communale, , 328 p.
  • Edmond Yernaux et Fernand Fievet, L'Histoire de Montigny-sur-Sambre, Marcinelle, La Concorde, , 287 p.
  • Edmond Yernaux et Fernand Fievet, Folklore montagnard, Edition de l'Administration communale, , 449 p.
  • Edmond Yernaux, Histoire de Montigny : De la période romaine à la révolution française, t. 1, Éditions Labor, , 240 p.
  • Edmond Yernaux, Histoire de Montigny : De la période française à la première guerre mondiale, t. 2, Éditions Labor, , 272 p.
  • Cyrille De Becker, Histoire du culte de St-Valentin à Montigny-sur-Sambre, Octave Roisin-Knibeller imprimeur-libraire, , 32 p.
  • Cyrille De Becker, Notice sur les saints et les reliques en vénération à Montigny-sur-Sambre, Charleroi, F. Reytter, , 89 p.
  • Fernand Fievet, La chronique montagnarde, Héraly Charleroi, , 125 p.
  • Oscar Balériaux, La petite histoire de Montignies-sur-Sambre, , 102 p.
  • La Fraternité Montagnarde, Les Allemands sont à Montignies..., Imprimerie Vermeulen, , 20 p.
  • Luc Leroy, Lieutenant-Général Joseph Leroy, Memogrames, , 275 p.

Liens externes modifier