Musée Georges-Garret
Le musée Georges-Garret est un musée d'archéologie et des beaux-arts situé à Vesoul dans l'est de la France (Haute-Saône).
Type |
Musée municipal |
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Ouverture |
1882 (il y a 142 ans) |
Surface |
1200 m² |
Visiteurs par an |
4 141 () |
Collections | |
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Label |
Protection |
Inscrit MH () |
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Pays |
France |
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Division administrative | |
Commune | |
Adresse |
1, rue des Ursulines 70000 Vesoul |
Coordonnées |
Créé en 1882, le musée est initialement dédié aux beaux-arts. Installé dans une chapelle du couvent des Annonciades, le musée se développe rapidement, notamment grâce aux donations de bourgeois et de peintres vésuliens. En 1938, le musée est transféré dans les bâtiments de l'hôtel de ville. À la suite d'importantes découvertes archéologiques sur le sol du département, une section archéologie est ouverte en 1964. Au début des années 1980, le musée est transféré dans l'ancien couvent des Ursulines, rénové à cet effet.
Aujourd'hui, le musée expose plusieurs centaines d'œuvres situées dans quatorze salles (9 salles des beaux-arts et 5 salles d'archéologie), répartis sur deux niveaux. L'établissement comprend une riche collection de stèle funéraire ainsi qu'une importante collection artistique du peintre et sculpteur Jean-Léon Gérôme, natif de Vesoul, et des artistes de l'école haut-saônoise (Dagnan-Bouveret, Muenier, Courtois, Prinet). Le musée porte le label « Musée de France ».
Histoire
modifierOrigines du musée
modifierLes premières idées de création d'un musée à Vesoul émanent de Claude-Basile Cariage, artiste né à Vesoul en 1798. Professeur de dessin au collège Gérôme durant 46 années et premier professeur de Jean-Léon Gérôme, Cariage œuvra au cours du XIXe siècle pour la fondation d'un musée dans sa ville mais ne put bénéficier de subventions municipales et le projet échoue. Il décède finalement sept ans avant l'ouverture du musée[1].
Le musée de Vesoul est officiellement créé en 1882 par les artistes bisontins Victor Jeanneney (né en 1832) et Jean Gigoux (né en 1806). Jeanneney s'installa à Vesoul au cours de la deuxième partie du XIXe siècle ; il devient professeur au lycée de Vesoul et directeur de l'école municipale de dessin de Vesoul. Il réunit les premières collections du musée dans une chapelle désaffectée du couvent des Annonciades[2].
Acquisitions successives
modifierÉdité en 1885, le premier catalogue des collections mentionne déjà pas moins d'une centaine d'œuvres. À la fin du XIXe siècle, le musée de Vesoul rassemble un nombre considérable d'œuvres achetées par la municipalité dans le cadre d'expositions artistiques qu'elle organisait. De plus, un tableau et cinq sculptures ont été généreusement déposées par le peintre Jean-Léon Gérôme, originaire de la ville. Par la suite, d'autres artistes déposèrent également des œuvres, notamment les créateurs du musée Victor Jeanneney et Jean Gigoux et les peintres locaux Jules-Alexis Muenier, René-Xavier Prinet et Louis-Auguste Girardot (l'« école haut-saônoise »). Des personnalités locales, tels que le capitaine Henri Leblond (1885), Meillier (1892) et Comte (1908) lèguèrent aussi des œuvres, notamment des tableaux[3],[2].
En 1938, le musée est transféré dans une partie des batiments du nouvel hôtel de ville, situé rue Paul-Morel. En 1945, une vingtaine de tableaux et de sculptures de Gérôme sont légués au musée par les descendants du peintre (donation Morot-Dubuffe)[2]. Le musée bénéficie de l'aide de Georges Garret (1886-1954) qui œuvre pour les activités de l'établissement. Pharmacien, puis maire de Vesoul de 1946 à 1947, Georges Garret décide de déplacer les collections au sein de la chapelle de l'hôtel de ville, face à l'augmentation croissante du volume des collections[3],[4].
En 1952 et en 1969, des tableaux de Pascal Dagnan-Bouveret ainsi que d'autres artistes viennent complèter le fonds (donation Hubert-Legrand). Au cours des années 1960, la société d'agriculture, lettres, sciences et arts de la Haute-Saône, principal société savante historique du département, dépose ses collections d'objets historiques au musée ; c'est alors qu'une section « Archéologie » voit le jour en 1964.
Transfert dans un nouveau lieu d'exposition
modifierDans les années 1970, la municipalité décide de choisir un nouveau lieu pour héberger les œuvres du musée municipal, dans le but d'offrir au musée un espace plus adéquat pour y exposer les nouvelles collections et mieux accueillir le public. C'est alors que la ville jete son dévolu sur l'ancien couvent des Ursulines, un bâtiment construit dès 1680 situé au cœur du Vieux-Vesoul[5]. D'importantes rénovations sont alors entreprises et c'est en 1981 que le musée s'installe dans le couvent des Ursulines[5],[3]. L'ancien couvent est alors équipé de salles spacieuses permettant d'exposer des collections permanentes mais également des expositions temporaires. De plus, le bâtiment dispose d'une vaste cour intérieure centrale. Il se verra par ailleurs être au titre des monuments historiques le 21 décembre 1992[6].
Au XXIe siècle, le musée Georges-Garret est labellisé « Musée de France », distinction délivrée par le ministère de la Culture, qui témoigne de l'importance du musée dans la vie culturelle régionale[7].
Organisation des salles
modifierLe musée se structure en deux niveaux. Le premier niveau, consacré à l'archéologie, se compose de cinq salles. Ces salles ont pris les noms des géologues et historiens du département. Le deuxième niveau, qui est entièrement consacré aux beaux-arts, avec principalement des œuvres du XVIIe siècle et du XVIIIe siècle, est constitué de neuf salles qui portent le nom d'artistes locaux célèbres[8].
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Salles du niveau 1. -
Salles du niveau 2.
Collections
modifierLa collection permanente du musée inclut deux types de collections : la collection « archéologique » et la collection « beaux-arts » Les objets de la collection archéologique sont présentés par ordre chronologique, de la Préhistoire au Moyen Âge. Ces vestiges d'objets historiques ont été trouvé sur tout le territoire du département de la Haute-Saône et constituent ainsi une importante trace du passé du département. La section Beaux-Arts est consacrée à l'art de la seconde moitié du XIXe siècle autour du peintre et sculpteur Jean-Léon Gérôme.
Le musée propose également des expositions temporaires.
Archéologie
modifierPréhistoire
modifierPour la période préhistorique, on retrouve principalement des outillages et des objets divers, y compris sous forme de fragments tels que des armes (haches, perçoirs, pointes de flèches) ou d'autres objets variés (perles, pendeloques, fusaïoles, poteries). Les matériaux employés sont alors divers (pierre, fer, bronze). Un nombre important de ces vestiges ont été retrouvés sur des sites anciens de l'agglomération vésulienne : à la font de Champdamoy (Quincey), à la grotte de la Baume et au plateau de Cita (Échenoz-la-Méline), au camp de César (Chariez). Des objets de sites historiques plus éloignés sont également présents dont le site préhistorique de la Baume-Noire à Frétigney ou encore les sites d'extraction d'Etrelles[9],[2].
Antiquité
modifierConcernant la période antique, les vestiges d'objets archéologiques sont également abondants. Les stèles et sculptures funéraires constituent le principal type d'objet au sein de la collection archéologique. En effet, environ une quarantaine de stèles funéraires en pierre (en entier ou en fragments) sont exposées, dont une trentaine provenant de Corre, village situé au nord de la Haute-Saône. Le reste des sculptures funéraires provient de communes de secteurs divers (Francalmont, Luxeuil-les-Bains, Jonvelle, Pontcey). Ces stèles représentent la plupart du temps des personnages, parfois ornées d'inscriptions ou de motifs. Une grande majorité des stèles funéraires du musée ont été données par la société d'agriculture, lettres, sciences et arts de la Haute-Saône lors d'un dépôt en 1963[9],[2],[10].
Outre les stèles funéraires, la collection archéologique de vestiges antiques inclut un nombre important d'objets archéologiques provenant de la villa gallo-romaine de Chassey-lès-Montbozon, située à 17 kilomètres au sud-est de Vesoul. Ces vestiges de villa romaine du Ier siècle incluent des restitutions de l'hypocauste, la partie centrale de l'atrium et de la toiture réalisées à partir des vestiges de la villa, qui a été représentée au musée à travers une maquette de reconstitution. Y figurent également des objets du quotidien et décoratifs. De même, le fanum de Montjustin, situé à 16 kilomètres à l'est de Vesoul, a livré plusieurs témoignages de cette époque[9],[2].
Moyen Âge
modifierLe musée abrite également des vestiges médiévaux, néanmoins en minorité par rapport aux vestiges préhistoriques et antiques. On compte notamment plusieurs pierres tombales attribuées à différents personnages historiques locaux (François de Plaisant, Eloïse de Joinville, Philibert de Montrost). Quelques objets ont été retrouvés à l'emplacement du château de Colombier ainsi que du château de Vesoul, notamment des restants d'armes d'artillerie, mais également des poteries et des fragments d'objets divers. Enfin, le musée regroupe quelques traces de l'abbaye Notre-Dame de Bellevaux, notamment des carreaux de pavement[9],[10].
Beaux-arts
modifierPeintures
modifierTableaux de Jean-Léon Gérôme
modifierLe musée consacre une importante partie de sa collection de tableaux à Jean-Léon Gérôme (1824-1904), peintre académique du XIXe siècle né à Vesoul. Considéré comme l'un des principaux représentants de la peinture académique du Second Empire, il s'inspire de scènes orientalistes, mythologiques, historiques et religieuses. Il est réputé pour sa précision et son souci du détail[11].
Environ une quarantaine de tableaux de Gérôme sont exposés au musée Georges-Garret, ce qui constitue l'une des plus importantes concentrations de tableaux du peintre vésulien. Au sein du musée, on retrouve de Gérôme un nombre important de toiles abordant des styles différents. Les compositions orientalistes sont nombreuses (Femmes au bain, Minarets du Caire, Paysage d'Orient, Intérieur de mosquée) et les compositions historiques sont souvent inspirées de l'Antiquité (Cave canem, prisonnier de guerre à Rome, Les Colosses de Thèbes, Memnon et Sésostris, Dante et Virgile aux enfers) ou de textes sacrés (L'Entrée du Christ à Jérusalem, La Fuite en Égypte, Le Prophète désobéissant)[12]. De même, des toiles mythologiques y sont également exposées (L'Odyssée)[13],[10]. L'utilisation des animaux dans les toiles de Gérôme est également régulière (Nominor Leo, La Fin de la corrida, La Chasse au lion).
Gérôme offrit de son vivant plusieurs de ses toiles au musée, de même que ses amis. Après la mort du peintre, sa famille fit également don d'œuvres de l'artiste au musée[14],[13].
Tableaux des artistes de l'« école haut-saônoise »
modifierLe musée Georges-Garret concentre également des œuvres dites de l'« école haut-saônoise », nom donné au groupe d'artistes ayant un lien avec la Haute-Saône et qui ont été élèves de Gérôme à l'école des Beaux-Arts de Paris. Connus pour leurs tableaux naturalistes, les principaux représentants de cette école sont Gustave Courtois, Pascal Dagnan-Bouveret, Jules-Alexis Muenier et René Prinet). Cette école se distingue par la prédominance de deux genres : le naturalisme et la peinture de portrait[10].
Après être entré dans l'atelier de Gérôme en 1881, Jules-Alexis Muenier (1863-1942) s'installe dans la région de Vesoul en 1885. Il y peint de nombreuses œuvres, dont une vingtaine est exposée à Vesoul sur des thématiques diverses, mais principalement relatifs au naturalisme. Parmi ces tableaux, la flore est régulièrement mise en évidence (Roses trémières, Les Éteules, La Conversation, Paysage de bord de Saône), de même que le monde de la paysannerie (Lavandière, Paysan, Faucheur, L'Abreuvoir). Muenier deviendra par ailleurs conservateur du musée de Vesoul.
Les peintures de Pascal Dagnan-Bouveret (1852-1929) sont également en nombre. Il suit les cours de Gérôme à Paris dès 1870 et s'installe plus tard en Franche-Comté. Le musée Georges-Garret regroupe principalement de Dagnan-Bouveret des portraits représentant des artistes peintres (Gérôme, von Stetten) mais également des membres de son entourage et de sa famille. On y trouve de même quelques tableaux académiques (Le moulin de Corre, Vue de Venise).
Au sein du musée, on dénombre quelques tableaux de Gustave Courtois (1852-1923), également rattaché à l'école haut-saônoise. Ce peintre haut-saônois débute dans l'atelier de Gérôme en 1869. À Vesoul, le musée expose de lui plusieurs tableaux dont le plus célèbre est César au tombeau d'Alexandre le Grand ainsi que des portraits, représentant notamment des membres de la famille de Dagnan-Bouveret, son ami et conscrit.
Enfin, le dernier représentant communément rattaché à l'école haut-saônoise est René Prinet (1861-1946), qui entra pour sa part dans l'atelier de Gérôme au cours des années 1880. Quelques toiles de Prinet sont exposées au musée Georges-Garret (La Bibliothèque, Le réfectoire de l’orphelinat de Morey).
Au total, une cinquantaine de tableaux de l'école haut-saônoise sont exposés au musée Georges-Garret. Les représentants de l'école haut-saônoise et leurs descendants donnèrent de leur vivant un nombre important de leurs œuvres au musée.
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Paysage de bord de Saône (Muenier).
Autres tableaux
modifierLe musée abrite par ailleurs d'autres tableaux d'artistes français, notamment francs-comtois : Les falaises de l’Essart-Cendrin (Gustave Courbet), Les Nomades (Louis-Auguste Girardot), La chute du Todeur (Victor Jeanneney), Le mariage de Ruth et Booz (Auguste Leloir), Le sculpteur au travail (Fernand Cormon), Les Flanqueurs (Pierre Georges Jeanniot).
Le capitaine Henri Blandin (1830-1890), peintre vésulien amateur, laissa en 1887 deux tableaux, qui mettent en image des lieux de la ville : Place du Palais de Justice à Vesoul et Défilé de la Compagnie des sapeurs-pompiers, place Neuve à Vesoul[15].
Il est à noter que certains tableaux du musée sont de peintres non identifiés, soit parce qu'ils n'ont pas signé leurs œuvres, soit parce que leur signature n'a pas permis de les identifier.
Sculptures
modifierLa section Beaux-Arts du musée inclut également environ une quarantaine de sculptures. La majorité de ces sculptures, environ une vingtaine, a été conçue par Jean-Léon Gérôme, qui se consacra à cet art à partir des années 1870. À l'instar de ses tableaux, Gérôme s'inspire pour ses sculptures des thèmes de l'art académique. Le thème de la mythologie est représenté (Omphale, Tanagra) tout comme l'Antiquité (Gladiateur jouant du cor, Mirmillon). Le musée Georges-Garret concentre également des sculptures équestres de Gérôme (Le Duc d’Aumale, Frédéric le Grand). On trouve également de Gérôme quelques bas-reliefs en plâtre tels que Le Duc d'Aumale recevant la soumission d'Abd-el-Kader et La Prise de la Smalah[13],[9].
Le sculpteur vésulien Jules Aimé Grosjean réalisa quelques œuvres (Les enfants Galzot, Maquette pour un monument Gérôme à Vesoul) exposées au musée. Par ailleurs, le musée abrite aussi plusieurs sculptures représentant Gérôme, émanant des artistes Jean-Baptiste Carpeaux, Léopold Bernstamm et Élias Robert. D'autres œuvres proviennent d'artistes divers (Henri-Frédéric Iselin, Alexandre Falguière, François-Raoul Larche)[13],[10].
Un certain nombre de sculptures du musée sont par ailleurs d'auteurs anonymes ou inconnus (probablement des artistes locaux).
Gestion et politique culturelle
modifierConservateurs
modifier- 1882 à 1885 : Victor Jeanneney
- 1885 à 1895 : Tortey
- 1896 à ??? : Jules-Alexis Muenier[16].
Fréquentation
modifierLe musée est totalement gratuit et n'a pas enregistré d'entrée payante depuis 2001[17].
Année | Entrées gratuites |
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2001 | 6 429 |
2002 | 8 475 |
2003 | 5 356 |
2004 | 5 747 |
2005 | 3 647 |
2006 | 4 265 |
2007 | 3 531 |
2008 | 4 689 |
2009 | 5 653 |
2010 | 5 357 |
Année | Entrées gratuites |
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2011 | 4 269 |
2012 | 3 724 |
2013 | 5 566 |
2014 | 4 875 |
2015 | 2 970 |
2016 | 4 094 |
2017 | 4 878 |
2018 | 4 345 |
2019 | 4 141 |
2020 | 1 725 |
Année | Entrées gratuites |
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2021 | 2 140 |
Expositions temporaires
modifier- Bernard Gantner - Rétrospective Bernard Gantner, 1987
- David Lan-Bar - Rétrospective au musée de Vesoul, 1988
- Michel Aubert, Bagdad-sur-Glane, œuvres récentes, [18].
Voir aussi
modifierArticles connexes
modifier- Collections du musée Georges-Garret
- Musée de France
- Liste des musées de la Haute-Saône
- Patrimoine de Vesoul
- Histoire de Vesoul
- Tourisme dans la Haute-Saône
Liens externes
modifier- Ressource relative au tourisme :
- Pour l'ensemble des points mentionnés sur cette page : voir sur OpenStreetMap (aide), Bing Cartes (aide) ou télécharger au format KML (aide).
Notes et références
modifier- Louis Monnier, Histoire de la ville de Vesoul : avec de nombreuses reproductions de monuments et de portraits, t. 1 et 2, Vesoul, Louis Bon, , 402 p. (lire en ligne), p. 176
- « Musée municipal Georges-Garret », sur pop.culture.gouv.fr.
- « Historique du musée », sur musees-franchecomte.com (consulté le ).
- « Château de Rupt-sur-Saône », sur patrimoine.bourgognefranchecomte.fr (consulté le ).
- « Couvent des Ursulines », notice no PA00102335, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Couvent des Ursulines », sur Base Mérimée (consulté le ).
- « Qu'est-ce qu'un musée de France ? », sur Ministère de la Culture (consulté le ).
- « Plan du musée »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur musees-franchecomte.com (consulté le ).
- « Le musée Garret, à découvrir entre archéologie et Beaux-Arts », sur c.estrepublicain.fr (consulté le ).
- « Le musée Garret, à découvrir entre archéologie et Beaux-Arts », sur estrepublicain.fr, (consulté le ).
- « Jean-Léon Gérôme », sur universalis.fr (consulté le ).
- Marianne Delafond, De Le Brun à Vuillard Catalogue d’exposition, Institut de France, , 205 p., p. 121;125
- Images et cartels des collections exposées, Musée Georges-Garret, 73 p.
- Georges Blondeau, Victor Jeanneney : Artiste peintre et professeur de dessin, 1832-1885, Imprimerie de Dodivers, 1912, p 104
- « Le tableau d'Henri Blandin exposé au musée Garret », sur estrepublicain.fr (consulté le ).
- [Bulletin n°122 de la Salsa, numéro spécial Jean-Leon Gerome, janvier-avril 2024]
- « Fréquentation des Musées de France », sur data.culture.gouv.fr (consulté le ).
- Gérald Schurr, Le guidargus de la peinture, Les Éditions de l'Amateur, 1996, page 39.