Musée Goya

musée d'art hispanique de Castres, France
Musée Goya
Musée Goya, situé au palais de l'évêché à Castres.
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Joëlle Arches
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Le musée Goya est un musée d'art hispanique situé à Castres dans le département français du Tarn.

Le musée est consacré aux peintres espagnols en général et à Francisco Goya en particulier[1]. Il est situé dans l'ancien palais épiscopal, construit en 1675 sur les plans de Jules Hardouin-Mansart, architecte de Versailles. Le palais est aussi réputé pour ses jardins, dessinés par André Le Nôtre.

Historique modifier

Fondation d'un musée au palais de l'évêché de Castres en 1840 modifier

Le musée a été créé en 1840 à la suite de l'acquisition par la Ville de Castres de quelques tableaux et d'une collection de minéralogie et de zoologie.

Dons du collectionneur et artiste Marcel Briguiboul à la fin du XIXe siècle modifier

Une grande part des œuvres exposées faisaient à l'origine partie de la collection privée du peintre, dessinateur et collectionneur Marcel Briguiboul (1837-1892). Par décisions successives du peintre puis de son fils unique (1893) et de sa veuve (1927), la Ville de Castres hérite de tout l'œuvre et, de tous les biens et fortune, notamment et dès 1893, de trois peintures et des gravures de Francisco Goya qui deviennent, avec nombre d'œuvres prestigieuses, le point initial de la collection d'art hispanique du musée de Castres. Ses collections deviennent alors de première importance.

Naissance du musée Goya en 1947 sous l'égide de Gaston Poulain modifier

Après la Seconde Guerre mondiale, Gaston Poulain[2], conservateur de musée Goya de 1947 à 1969, rebaptise le musée de Castres en "Musée Goya", marquant un tournant majeur dans l'orientation artistique et culturelle désormais hispanique du musée.

Développement des collections et œuvres hispaniques (1950-2020) modifier

À partir de 1950, les conservateurs successifs poursuivirent cette spécialisation. Le musée Goya et la Ville de Castres, avec l'aide financière de l'État, des Laboratoires Pierre Fabre, de l'association des amis du Musée, continuent d'acquérir des peintures, des gravures, des lithographies, des dessins et objets divers d'artistes espagnols et du monde latino-américain.

Inauguration du nouveau musée Goya en 2023 modifier

À partir de 2020, le palais est engagé dans un vaste projet de rénovation et de modernisation et est fermé au public. Le nouveau musée d'Art hispanique Goya est inauguré le avec plus de 5 000 visiteurs français et étrangers, dont beaucoup d'Espagnols[3] et plus de 20 000 visiteurs[4], un record deux mois seulement après la réouverture. Un an après la réouverture du nouveau musée Goya, entre avril 2023 et avril 2024, il y a eu plus de 65 000 visiteurs[5].

Le musée Goya possède 23 salles sur une surface de 1 500 m2, une collection totale de 5 000 œuvres dont une partie en réserve. L'ancienne abbaye-collège Les Cèdres, face au musée, est consacré en partie aux expositions temporaires. Le musée s'est doté d'écrans tactiles et de vidéo-projections afin de rendre plus interactive les visites. Deux ascenseurs permettent l'accès aux collections pour des personnes en situation de handicap. Le musée possède aussi un nouveau logo et des pages sur Facebook et Instagram, une bibliothèque sur l'art hispanique, un guichet, une boutique et un accès pour les personnes à mobilité réduite.

Collaboration avec le musée du Louvre depuis les années 1980 modifier

Le musée Goya de Castres avec le musée du Louvre de Paris rassemblent les plus grandes collections d'art hispaniques en France. Dans les années 1980, Jeannine Baticle, conservatrice au musée du Louvre, assure la direction du musée Goya. Un premier partenariat est ensemble conclu entre la Ville de Castres et le musée du Louvre en 2007 afin d'effectuer des prêts et dépôts de peintures pour des expositions temporaires, des acquisitions, des restaurations, d'échanger des recherches et publications afin d'améliorer les connaissances sur les arts hispaniques.

Collections modifier

Les collections du musée Goya sont éclectiques[6], allant de l'art religieux espagnol à l'art moderne et contemporain, en passant par les arts décoratifs ou l'art ibère. Le musée possède également une collection d'armes, une collection numismatique, ainsi qu'une collection de céramiques de la Faïencerie de Castres.

C'est cependant sa collection d'art hispanique, particulièrement exceptionnelle avec 200 peintures[7],[8], contre 166 au Louvre[9],[10], ainsi que près de 140 sculptures, des gravures, dont les quatre séries de Goya (Les Caprices, La Tauromachie, Les Désastres de la guerre et les Proverbes ou Disparates) et des dessins, qui fait du musée Goya la première institution française à pouvoir proposer au public une vision complète de l'art espagnol des grands maîtres des XIVe et XVIe siècles jusqu'à nos jours.

Les artistes représentés sont, entre autres, Juan Rexach, Diego Vélasquez, Bartolomé Esteban Murillo, José de Ribera, Juan de Valdés Leal, Alonso Cano, Léon Soulié, Francisco Pacheco, Francisco de Zurbarán, Pablo Picasso, et surtout Francisco Goya, dont le musée possède trois toiles capitales : l’Autoportrait aux lunettes (vers 1800), le Portrait de Francisco del Mazo (vers 1815-1820) et La Junte des Philippines (vers 1815).

Parcours muséographique modifier

Le musée Goya est organisé autour de 20 salles présentant de façon chronologique, du Moyen Âge à l'époque contemporaine, des œuvres d'artistes espagnols et du monde latino-américain lors du Siècle d'or.

Les expositions temporaires, situées au rez-de-chaussée après la réception dans le musée Goya en 2023, doivent être transférées dans l'ancienne abbaye-collège Les Cèdres en face de l'évêché.

Expositions temporaires modifier

Salles 21, 22 et 23, expositions temporaires au rez-de-chaussée modifier

À l'occasion de sa nouvelle inauguration, le musée Goya a exposé la série complète de 21 gravures de Joan Miró en hommage à Antoni Gaudí suivi d'une autre exposition de Francisco Goya dans l'œil de Pablo Picasso abordant la tauromachie, le combat entre l'homme et l'animal, l'arène et la mort. L'année 2023 se poursuit avec une exposition Écho (s) de trois artistes de la Casa de Velázquez, section artistique de l'ambassade de France à Madrid, Najah Albukai, Arnaud Rochard et Eve Malherbe.

En 2024, l'exposition temporaire "Visions plurielles"[11] rend hommage à Pierre Fabre (1926-2013), homme d'affaires, mécène et pharmacien castrais fondateur d'une multinationale pharmaceutique. Les salles exposent des œuvres habituellement conservées au domaine du Carla où sont invités les partenaires du groupe Pierre-Fabre. Le public peut observer en particulier des portraits et des natures mortes de peintres espagnols, hollandais, français ou anonymes, acquises au gré de ses envies. Le musée Toulouse-Lautrec d'Albi a prêté pour l'occasion des œuvres du peintre albigeois au début et à la fin de sa vie. L'exposition des collections de Pierre Fabre se poursuit avec des peintures représentant des paysages au musée du Pays de Cocagne à Lavaur et des objets de pharmacopée au musée Dom Robert à Sorèze.

Un autre salle d'exposition temporaires sera installée d'ici 2026 dans l'ancienne abbaye-collège Les Cèdres situés en face du musée Goya et du jardin de l'évêché.

Atelier pédagogique modifier

Cet atelier est situé après entre l'accueil et les salles de l'exposition temporaire. Dans cet atelier, les enfants des écoles ou de particuliers réalisent des activités ludiques comme des dessins, des peintures ou des découpages. L'atelier est aussi équipé d'une grande presse afin de réaliser des gravures.

Bibliothèque Jeannine-Baticle modifier

Entrée au 1er étage de la bibliothèque Jeannine-Baticle.

Cette bibliothèque est située à l'étage avant d'entrer dans les salles sur la période de l'art espagnol au Moyen Âge. Elle porte le nom de l'historienne française de l'art Jeannine Baticle (1935-2015), spécialiste de l'art espagnol, directrice du musée Goya de 1980 à 1986. Cette bibliothèque et centre de documentation regroupent plus de 6 000 ouvrages, périodiques, dossiers et archives en rapport avec l'histoire de l'art espagnol et français ou les peintres du Siècle d'or espagnol. En 2005, Jeannine Baticle a fait don de milliers d'ouvrages au musée Goya. Ce centre de ressources est accessible sur rendez-vous et aussi un lieu de recherche pour les étudiants et les chercheurs.

Salles médiévales et du XIVe au XVIe siècles modifier

Salle 1, l'art espagnol au Moyen Âge modifier

En 711, la péninsule ibérique est occupée par les Maures. En 722 démarre la Reconquista par l'Église catholique qui commande de nombreuses œuvres en bois peints ou des retables.

Par ailleurs, la collection conserve aussi des peintures de Lluís Borrassà, Alejo Fernández, Francisco de Osona et Vicente Macip.

Salle 2, l'art espagnol à la Renaissance modifier

La découverte de l'Amérique par Christophe Colomb en 1492 marque la fin du Moyen Âge. L'empire espagnol de Charles Quint domine le monde en 1516 et prospère sur le plan économique. La Renaissance italienne et son goût pour l'art gréco-romain influence les artistes espagnols.

Salles du Siècle d'or espagnol (XVIIe siècle) modifier

Salle 3, le Siècle d'or ou " el Siglo de oro " modifier

Sous le règne de Philippe II, Philippe IV et Charles II l'Espagne connaît une fort développement artistique, culturel et musical. Au XVIIe siècle, Séville est l'une des plus grandes villes européennes avec un port ouvert sur les Amériques. La cité sévillane attire de nombreux artistes dont le peintre Pacheco qui formera le jeune Vélazquez.

Par ailleurs, la collection conserve aussi des peintures de Pedro Orrente, Francisco Ribalta, Sebastián Muñoz, Pedro Núñez de Villavicencio et Gregori Bausà.

Salle 4, une nouvelle iconographie modifier

L'Église catholique met en place la Contre-Réforme face à l'essor du protestantisme depuis Luther en 1517. Afin d'affermir et instruire les croyants catholiques, l'Église commande des œuvres illustrant le Christ relatant les différents événements de sa vie.

Salle des États diocésains modifier

Salle 5, lieu historique et prestigieux aux différentes fonctions modifier

Cette vaste salle, jouxtant le grand escalier d'honneur, sert pour organiser notamment des conférences, des séminaires ou encore des événements particuliers. Une frise des armoiries des 35 évêques de Castres, du Moyen-Âge à l'époque contemporaine, de 1317 à 1801, se trouve sur la partie supérieure murale avec aussi une évocation du passage du roi de France Henri IV à Castres en 1585 au XVIe siècle.

Le mobilier (table, miroir, horloge et lustre) et la cheminée ont été installé ultérieurement au XIXe siècle. Les murs en trompé l'œil évoquent le marbre et les colonnades comme au château de Versailles.

Le buste du maréchal de l'armée anglaise John Ligonier, protestant natif de Castres, est exposé sur une table de marbre du Minervois.

Il y a aussi le casque d'apparat en ivoire de George II d'Angleterre (1683-1760), pièce léguée par Pierre Briguiboul. Ce casque royal fut offert au maréchal castrais John Ligonier. On observe sur la plaque frontale la couronne britannique avec inscrit en Français : "Honi soit qui mal y pense".

Salles du XVIIe et XVIIIe siècles modifier

Salle 6, la figure féminine au Siècle d'or modifier

Les peintres espagnols au XVIIe siècle représentent des femmes telles des figures allégoriques, des déesses, des saintes ou encore des héroïnes.

Salle 7, objets religieux et quotidiens modifier

Aux XVIIe et XVIIIe siècles, l'Espagne se caractérise par un fort dynamisme dans la production artisanale raffinée et maîtrisée, longtemps influencée par la présence musulmane. Ces objets du quotidien et de la religiosité de composent de faïencerie, objets de culte, de cuirs de Cordoue exportés dans l'Europe entière.

Des collections de monnaies anciennes ibériques sont exposés dans des vitrines (reales, escudos, dinars) et aussi des céramiques lustrées hispaniques.

Le cabinet possède un plafond évoquant des personnages locaux qui se distinguèrent dans l'agriculture.

Salle 8, l'influence de l'Italie modifier

De nombreux artistes italiens travaillent pour la cour, les grands chantiers et les constructions royales, pour le monastère de l'Escurial et le palais du Buen Retiro à Madrid. Ces artistes transalpins encouragent les échanges culturels.

Salle 9, les saints martyrs du XVIIe siècle modifier

Dans l'Espagne du Siècle d'or, les artistes espagnols exécutent des représentations de la foi empreintes de violence et de mysticisme notamment dans la peinture et la sculpture.

Salle 10, l'art de la nature morte modifier

Dès les premières décennies du XVIIe siècle, l'art espagnol élabore un genre de nature morte appelé le bodegón, emblématique de l'école espagnole.

Salon Goya modifier

Salle 11, Francisco de Goya y Lucientes (1746-1828), un artiste de génie modifier

Tout d'abord, une frise chronologique récapitule la vie de Goya, les principaux événements de son existence, les réalisations de ses œuvres majeures, ses différentes fonctions et voyages en Italie ou en France.

Salle 12, les œuvres de Goya à Castres modifier

Des peintures et gravures de l'artiste Francisco Goya sont exposées.

Une salle regroupe les trois œuvres majeures du peintre offert par Marcel Briguiboul à la fin du XIXe siècle. Un écran tactile décrit ces œuvres, retrace la biographie de l'auteur, les collections de Goya dans les différents musées de France, l'héritage de la famille Briguiboul.

Le cabinet d'arts graphiques est constitué des fonds du musée présentés au public par roulement tous les 3 ou 4 mois. Un écran diffuse un film pédagogique sur la réalisation d'une gravure et un autre écran tactile permet de consulter les autres collections de gravures et lithographies du musée Goya non exposées aux publics. On y trouve les quatre séries de gravures de Goya :

À l'époque de Goya modifier

Salle 13, au temps de Goya modifier

De nombreux artistes espagnols se forment à Paris auprès de David, maître du néoclassicisme. De retour en Espagne, ils imposent la grandeur morale, la mesure et la sérénité dans leur art. La famille Madrazo règne sur la société de son temps. Au début du XIXe siècle, la période romantique commence où l'on voit apparaitre en Espagne un nouveau courant artistique inspiré des coutumes locales appelé le costumbrisme. Lucas y Velázquez en est l'un de ses plus illustre représentant.

Les donateurs du musée Goya modifier

Salle 14, salon des donateurs modifier

Cette salle rend hommage aux différents donateurs du musée Goya. En 1998, un ancien résistant René Gayral du Corps-franc de la Montagne Noire et collectionneur d'armes fait don au musée de 400 pièces d'armement : épées, sabres de cavalerie, casques, tromblons, revolvers (américain, britannique, français) et dagues. Une partie de la vitrine est consacrée aux armes allemandes saisies aux Nazis lors de la Seconde Guerre mondiale. Un écran tactile permet d'observer les autres collections dans les réserves et l'histoire des donateurs.

On y voit aussi des tableaux et une sculpture du peintre, collectionneur et donateur Marcel Briguiboul.

  • Marcel Briguiboul : Autoportrait au haut de forme et à la pipe, Narcisse, Portrait de Valentine Briguiboul et de nombreux autres dessins, esquisses, etc.

Époque moderne modifier

Salle 15, redécouverte de l'Espagne par les artistes français aux XVIIIe et XIXe siècles modifier

Au XIXe siècle, l'Europe connaît la révolution industrielle. L'Espagne attire les artistes français pour son aspect pittoresque. Ils voyagent pour découvrir un monde folklorique, chevaleresque et religieux. Ces artistes français ont été inspirés par l'art hispanique du Siècle d'or. On y trouve des œuvres d'Eugène Giraud, Léon Bonnat et Henri Fantin-Latour.

Salle 16 du XIXe siècle modifier

Salle 17 du XXe siècle modifier

Par ailleurs, la collection conserve aussi des peintures de Valentín Zubiaurre, Antonio Muñoz Degrain, Antonio de La Gandara, Mariano Fortuny y Madrazo, Manuel Ortiz de Zárate, Ismael González de la Serna, Celso Lagar, Maruja Mallo, Oscar Dominguez, Rafael Durancamps, Manolo Millares et Mentor Blasco.

Salle 18, les grands maîtres du XXe siècle modifier

Au XXe siècle, les artistes espagnols s'imposent sur la scène artistique grâce aux grands maîtres avant-gardistes Dalí, Picasso, Miró. Ils s'installent à Paris.

Art contemporain modifier

Salles 19 et 20 du XXe au début du XXIe siècle modifier

Les deux dernières salles du parcours muséographique sont consacrées aux œuvres du musée des Abattoirs de Toulouse et du Centre national des arts plastiques exposés avec également un écran diffusant un film sur l'art contemporain sur Guernica. Depuis la fin du franquisme en Espagne en 1975, la démocratie et la liberté stimule énormément les artistes pour s'exprimer.

Autres activités culturelles modifier

Le musée Goya propose également des activités diverses telles que des conférences, des séances de yoga, de sophrologie, des concerts de musique, ou des spectacles de danse.

Ateliers et réserves modifier

Les cadres des tableaux du musée Goya sont restaurés dans des ateliers situés au parc des expositions de Castres.

Fréquentation modifier

Historique des conservateurs des musées de Castres modifier

  • M. Gaston Poulain (1947-1969)
  • Mme Jeannine Baticle (1980-1986)
  • Dr Jean-Louis Augé (1986-2021)[17]
  • Mme Joëlle Arches (depuis 2021)

Notes et références modifier

  1. « Musée Goya-Présentation » Accès libre, sur www.ville-castres.fr, inconnue (consulté le ).
  2. « Hommage à Gaston Poulain au Musée Goya. », sur la dépêche.fr (consulté le ).
  3. ladepeche.fr.
  4. ladepeche.fr.
  5. ladepeche.fr.
  6. Collections du musée Goya, site museegoya.fr.
  7. Peintures espagnoles du musée Goya, site museegoya.fr.
  8. Peintures espagnoles du musée Goya sur la base POP, site pop.culture.gouv.fr.
  9. Peintures espagnoles du musée du Louvre, site louvre.fr.
  10. Peintures espagnoles du musée du Louvre sur la base Joconde, site culture.gouv.fr.
  11. « Une exposition qui permet de mieux faire connaître Pierre Fabre au musée Goya. », sur la dépêche.fr (consulté le )
  12. Notice no 05940000001, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Joconde, ministère français de la Culture
  13. « museegoya.fr/en/notice/2001-4-… »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?).
  14. Notice no 05940000052, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Joconde, ministère français de la Culture
  15. « Fréquentation des Musées de France », sur data.culture.gouv.fr (consulté le )
  16. Année d'ouverture partielle, fermeture pour travaux en juillet 2020
  17. « Le conservateur Jean-Louis Augé quitte le Musée mais pas Goya. », sur la dépêche.fr (consulté le ).

Annexes modifier

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Bibliographie modifier

  • L. Charles-Bellet, « À propos des Musées d'Albi et de Castres », Revue du Tarn, , p. 40-42 (lire en ligne).
  • René Huyghe, « Les Goyas de Castres », Revue du Tarn, , p. 45-47 (lire en ligne).

Articles connexes modifier

Liens externes modifier