Musée de la vie bourguignonne Perrin de Puycousin

musée français

Le musée de la vie bourguignonne Perrin de Puycousin est un « musée ethnologique bourguignon » hébergé dans le monastère des Bernardines de Dijon en Côte-d'Or et associé au musée d'art sacré de Dijon de l'église Sainte-Anne de Dijon.

Musée de la vie bourguignonne Perrin de Puycousin
Cloître du monastère des Bernardines
Informations générales
Ouverture
Dirigeant
Frédérique Goerig-Hergott
Visiteurs par an
34 045 (2015)
40 741 (2016)
36 637 (2017)
36 137 (2018)
37 131 (2019)
16 400 (2020)
17 741 (2021)
31 546 (2022)
36 364 (2023)
Site web
Collections
Collections
Ethnographie rurale et urbaine de la Bourgogne
Bâtiment
Protection
Localisation
Pays
France
Commune
Adresse
17 rue Sainte-Anne
Coordonnées
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Historique

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En 1938 un premier musée est fondé par le collectionneur Maurice Bonnefond Perrin de Puycousin dans l'Hôtel Aubriot du 40 rue des Forges. En 1949 le musée est rattaché au musée des beaux-arts de Dijon puis fermé en 1970 à cause de son importante détérioration.

En 1984, le musée est transféré dans l'ancien monastère des Bernardines de Dijon (XVIIe siècle), 17 rue Sainte-Anne à Dijon.

En 1993, le musée d'art sacré de Dijon de l'église Sainte-Anne de Dijon est rattaché au musée.

Collections

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  • Patrimoine ethnographique rural traditionnel bourguignon de la fin du XIXe siècle : habitat, mobilier, équipements domestiques, costumes régionaux ...
  • Métiers, outils, industrie, agroalimentaire : onze commerces dijonnais reconstitués dont chapellerie, pharmacie, salon de coiffure, épicerie, boucherie ...
  • Patrimoine historique de la moutarde en évoquant ses origines, sa fabrication, le rôle déterminant de Dijon.
  • Fonds documentaire de plus de 4500 ouvrages, 110 titres de périodiques, photographiques ...

Quelques œuvres

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Peintures

[Tableau préparatoire pour la grande toile ornant la salle des Etats au sein du Palais des ducs de Bourgogne de Dijon.]

  • Paul Lippe :
    • La tour de Bar, fin du XIXe siècle, aquarelle sur papier
    • Une ferme à Mirande, 1918, aquarelle sur papier
  • Raoul de Meixmoron, Bombardement des tranchées, v. 1920, huile sur carton, 73.3 x 88.2 cm
  • Charles Monginot, Singe nourrissant un oisillon avec de la moutarde de Dijon, huile sur toile, 58.2 x 50.5 cm[6]
  • Édouard Paupion, La barricade de la rue Jeannin à Dijon, huile sur toile
  • Aimé Perret, Le Saint Viatique en Bourgogne, 1879, huile sur toile
  • Henri Regnault, Garibaldi sous les murs de Dijon, 1871, gouache sur papier, 27.8 x 21.8 cm
  • Charles Ronot:
    • Alexandrine la petite vachère, 1879
    • Les porteuses de fagots, 1879
  • Jules Talmot, La rue Claude-Ramey, 1885, huile sur toile, 83 x 55 cm
  • Henri Vincenot, Vendanges en Bourgogne, huile sur bois, v. 1945
Sculptures

Références

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  1. « Musées en Liberté | Musée et Patrimoine Dijon », sur musees.dijon.fr (consulté le )
  2. « Joconde - catalogue - dictionnaires », sur www.culture.gouv.fr (consulté le )
  3. « Joconde - catalogue - dictionnaires », sur www.culture.gouv.fr (consulté le )
  4. « Joconde - catalogue - dictionnaires », sur www.culture.gouv.fr (consulté le )
  5. « Dijon : une statuette et un tableau », Le Bien public,‎ (lire en ligne, consulté le )
  6. « Joconde - catalogue - dictionnaires », sur www.culture.gouv.fr (consulté le )

Voir aussi

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Articles connexes

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Liens externes

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