Il revient à Sainte-Thérèse en 1901 et continue à sculpter des anges. Son statut s'améliore après la Première Guerre mondiale et il réalise d'autres œuvres pour les églises des Laurentides et de Montréal. Ses dernières réalisations ont lieu de 1936 à 1938 et il meurt en 1941.
Treize statues d'Olindo Gratton qui dominent la façade de la cathédrale Saint-Jacques-le-Majeur à Montréal (aujourd’hui la cathédrale-basilique Marie-Reine-du-Monde)Saint Joseph et l'Enfant-Jésus (1899)
À l'église Saint-Viateur d'Outremont, on peut voir sous la table de l'autel une « dernière Cène », sculptée par Gratton, inspirée de la peinture de Léonard de Vinci.
↑Bernard Mulaire, Thèse. Étude de la carrière et de l'œuvre du sculpteur québécois Joseph-Olindo Gratton (1855-1941), Montréal, Université du Québec à Montréal, 585 p. (lire en ligne)
↑Karel, David., Dictionnaire des artistes de langue française en Amérique du Nord : peintres, sculpteurs, dessinateurs, graveurs, photographes, et orfèvres, Québec, Musée du Québec, , 962 p. (ISBN2-7637-7235-8 et 978-2-7637-7235-6, OCLC28178086, lire en ligne), p. 362-363
↑Mario Béland, « Les débuts du sculpteur Joseph-Olindo Gratton », Cap-aux-Diamants : la revue d'histoire du Québec, no 44, , p. 62–62 (ISSN0829-7983 et 1923-0923, lire en ligne, consulté le )