Ouigo

offre de transport ferroviaire du groupe SNCF en France et en Espagne
Ouigo
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Logo de la marque.
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Rames TGV Ouigo sur la LGV Méditerranée,
près de Montboucher-sur-Jabron.
Type Marque
Date d'introduction 2013
Marché(s) Chemin de fer
Propriétaire(s) actuel(s) SNCF Voyageurs (France)
Ouigo España (Espagne)
Slogan « Let's Go »
Site officiel www.ouigo.com, www.ouigo.com/es, www.ouigo.com/es/ca et www.ouigo.com/es/enVoir et modifier les données sur Wikidata

Ouigo est le nom du service commercial ferroviaire à bas coûts (contrairement à la marque TGV inOui), lancé par la SNCF le (avec des rames TGV) puis le (pour les trains classiques assurés avec des voitures Corail), en France. Ce service est également lancé avec des TGV le en Espagne, par le biais d'une filiale créée ad hoc.

Cette offre répond à une segmentation du marché, avec une tarification se rapprochant de celles de l'autocar et du covoiturage[1], ainsi que du niveau de service de l'avion (en particulier à bas coûts), avec des délais de présence obligatoire avant le départ et des services optionnels payants (tels que le Wi-Fi dans les TGV)[2].

Histoire modifier

Lancement et fonctionnement modifier

Contrôle des billets avant l'embarquement, à la gare d'Avignon TGV.

Lancée le sur les liaisons entre Marne-la-Vallée et Marseille ou Montpellier (via Lyon-Saint-Exupéry), l'offre Ouigo, inspirée des compagnies aériennes low cost[3], est présentée dans un contexte de crise économique, qui avait conduit à une baisse de la fréquentation et de la rentabilité des TGV classiques en 2012[4]. Les titres de transport ne sont disponibles qu'en ligne, sur le site officiel Ouigo, mais aussi les sites partenaires : SNCF Connect (principal site commercial de la SNCF), Trainline ou encore Kombo ; néanmoins, les billets pourraient également être achetés en agences de voyages à partir de l'été 2023[5].

Comme dans les compagnies aériennes à bas prix, le transport d'un bagage supplémentaire est payant au-delà d'une valise et d'un sac par passager (en outre, la taille maximale d'un bagage doit être de 55 × 35 × 25 cm, afin de pouvoir être mis sous le siège[6]). De même, les titres de transports (imprimables 4 jours avant le départ) sont contrôlés avant la montée dans le train. Cela implique pour les clients de devoir se présenter trente minutes avant le départ du train. L'utilisation de l'outil de production est maximisée : les trains circulent en moyenne 13 heures par jour, soit le double des TGV classiques, et sont entretenus uniquement la nuit. Les trains offrent 20 % de places en plus en supprimant la première classe et la voiture-bar, et en utilisant un type de sièges moins larges. Ainsi, le coût de production d'une place dans un TGV Ouigo est 50 % moins élevé que celui d'une place dans un TGV classique[7]. Ce principe a parfois des conséquences sur le fonctionnement des équipements de confort ainsi que la propreté, d'autant plus qu'il n'y a pas de rame de réserve qui permettrait de prendre le temps de traiter efficacement les problèmes, cependant sans remettre en question la sécurité des circulations[8].

Selon la chercheuse en sciences sociales Dominique Memmi, Ouigo réintroduirait implicitement un service de « troisième classe qui ne dit pas son nom », en proposant une prestation qualifiée de minimale[9].

Contrairement à iDTGV (dissoute fin 2017), Ouigo n'est pas une filiale indépendante, mais constitue un service spécifique au sein de la maison-mère SNCF, plus précisément la branche Voyages SNCF[10]. Pour les cheminots travaillant pour la marque Ouigo, des conditions de travail spécifiques ont toutefois été négociées[11], sans pour autant modifier leur statut (il n'y a d'ailleurs aucune particularité concernant les conducteurs, si ce n'est qu'ils s'occupent du dégarage des rames et de les amener au nettoyage, contrairement à leurs collègues dans la majorité des cas)[12].

Extensions du réseau modifier

Rame TGV Ouigo, en gare de Lyon-Saint-Exupéry TGV.

Des liaisons supplémentaires sont créées le  : de Tourcoing (dans la métropole de Lille) à Lyon-Perrache, Nantes et Rennes, avec des arrêts dans des gares intermédiaires du parcours[13].

La SNCF lance une liaison vers Strasbourg le , ainsi qu'une autre vers Bordeaux à la même date, le tout à partir de Roissy, Marne-la-Vallée et Massy[14].

En outre, le service Ouigo est également disponible au départ ou à destination des gares principales de Paris, pour attirer une clientèle supplémentaire[15]. C'est déjà le cas de Paris-Montparnasse-Vaugirard, depuis le [16] (puis les halls 1 et 2 de Paris-Montparnasse au lieu de Vaugirard, depuis [17]). Paris-Est est à son tour desservie à partir du  ; depuis cette dernière, les trains atteignent, outre Strasbourg (initialement desservie depuis Roissy[18]), Metz, Nancy (dont la desserte est néanmoins supprimée en [19]) et Colmar[20] (desserte également arrêtée en ). Depuis le de la même année, le service utilise aussi Paris-Gare-de-Lyon (en ajoutant la destination de Nice) et, par ailleurs, Lille-Flandres (en plus de Tourcoing)[21].

Enfin, une relation Paris-Montparnasse – Toulouse est mise en place le [22].

Depuis le , Paris-Gare-de-Lyon est également le point de départ d'allers-retours vers les deux gares de Nîmes et de Nîmes-Pont-du-Gard, ainsi que les deux gares de Montpellier-Saint-Roch et de Montpellier-Sud-de-France[23] ; à cela s'ajoute Lyon-Perrache (via Lyon-Part-Dieu), depuis le [24].

À partir du , une relation hivernale entre Aéroport Charles-de-Gaulle TGV et Marne-la-Vallée-Chessy, d'une part, et Bourg-Saint-Maurice, d'autre part, est mise en place (toutefois, pour l'Île-de-France, elle est reportée à Paris-Gare-de-Lyon le  ; elle dessert les gares de Lyon-Saint-Exupéry, Grenoble, Albertville, Moutiers-Salins-Brides-les-Bains et Aime-La Plagne[25].

Le , Ouigo atteint, depuis Paris, Perpignan (via Sète, Agde, Béziers et Narbonne), dans le prolongement de la desserte de Montpellier[26].

Le , une nouvelle relation entre Aéroport Charles-de-Gaulle 2 TGV et Marne-la-Vallée-Chessy, d'une part, et Toulon, d'autre part, est créée ; elle dessert notamment les gares de Lyon-Saint-Exupéry et Aix-en-Provence TGV.

Ouigo Train Classique modifier

Rame Ouigo Train Classique, à Villabé.

Depuis le , la filiale « Oslo » (signifiant « Offre de services librement organisés ») de SNCF Voyageurs exploite une offre ferroviaire dénommée Ouigo Train Classique[27]. Cette nouvelle offre succède au service Intercités 100 % Éco, supprimé en [28]. Proposant uniquement la seconde classe, ces trains effectuent d'abord les liaisons Paris – Lyon via Dijon-Ville et Paris – Nantes via Chartres ou Blois - Chambord[27],[29]. La relation Paris – Rennes, également via Chartres, est ajoutée en . Le prix du billet, là encore vendu uniquement sur Internet, oscille entre 10 et 49 euros[30].

Des extensions du réseau Ouigo Train Classique sont envisagées (dessertes de Lille, Bruxelles, Bordeaux et Marseille), compte tenu du succès commercial rencontré par le service (mais aussi pour mieux concurrencer l'utilisation de la voiture)[31].

Lancement de la marque en Espagne modifier

Rame TGV Ouigo, en gare de Barcelone-Sants.

En , une annonce dévoile la création d'une ligne entre Madrid et Barcelone. Cette ligne assurera, dans un premier temps, cinq allers-retours quotidiens entre la gare de Madrid-Atocha et celle de Barcelone-Sants, avec des arrêts intermédiaires à Saragosse-Delicias et Tarragone[32]. Ce service n'est pas exploité directement par la SNCF, mais par sa filiale espagnole Ouigo España ; le montant des investissements s'élève à 600 millions d'euros[33].

Contrairement aux trains Ouigo en France, les rames espagnoles sont équipées d'une voiture-bar appelée « Ouibar[32] », ainsi que d'une première classe accessible avec l'option « Ouigo Plus », tout en proposant des tarifs plus bas que dans les AVE (dont le positionnement est haut de gamme) de la Renfe[34]. Cette dernière réagit en créant Avlo, pour concurrencer Ouigo[34].

Le lancement de la première ligne, initialement prévu pour , a été repoussé à puis, finalement, à à cause de la pandémie de Covid-19[32],[35]. À partir du , cinq allers-retours Ouigo sont effectivement mis en place sur la liaison Madrid – Barcelone, après la circulation d'une rame inaugurale le [36]. Le réseau s'étend ensuite à la relation entre Madrid-Chamartín et Valence (en )[37], puis atteint Alicante (en )[38] et Valladolid[39] (en ). L'Andalousie (Cordoue, Séville et Malaga) devrait être desservie[40] par la suite.

Gares desservies modifier

En France modifier

Les TGV Ouigo desservent principalement les gares de Marne-la-Vallée - Chessy, Aéroport Charles-de-Gaulle 2 TGV, Massy TGV, Paris (Montparnasse, Est et Lyon), Lyon (Perrache, Part-Dieu et Saint-Exupéry TGV), Marseille-Saint-Charles, Nice-Ville, Montpellier (Saint-Roch et Sud-de-France), Perpignan, Lille-Flandres, Tourcoing, Rennes, Brest, Quimper, Nantes, La Rochelle-Ville, Bordeaux-Saint-Jean, Toulouse-Matabiau, Metz-Ville et Strasbourg-Ville.

Le service Ouigo Train Classique dessert notamment Paris (Paris-Austerlitz et Bercy), Dijon-Ville, Lyon-Perrache, Massy - Palaiseau, Chartres, Les Aubrais, Blois - Chambord, Nantes et Rennes.

En Espagne modifier

Carte des lignes et des gares espagnoles desservies ().

Les trains Ouigo relient Barcelone-Sants à Madrid-Atocha, via Camp de Tarragone et Saragosse-Delicias.

Ils effectuent également des liaisons entre Madrid-Chamartín-Clara Campoamor et Cuenca-Fernando Zóbel (es), les trains continuant vers Valence-Joaquín Sorolla ou Alicante-Terminal (es) (via Albacete-Los Llanos (es)) ; à cela s'ajoute la relation entre Madrid-Chamartín-Clara Campoamor et Valladolid-Campo Grande (via Ségovie-Guiomar (es)).

Matériel roulant modifier

En France modifier

Intérieur d'une rame TGV Ouigo, au niveau inférieur.

Le matériel affecté à l'offre Ouigo est constitué de rames TGV à deux niveaux dédiées (dont le nombre devrait atteindre 50 vers 2025 ; il y en a 38 en 2021[40]), constituées de motrices de la génération Dasye, et de voitures de la première génération des TGV Duplex aménagées pour pouvoir transporter 20 % de passagers en plus[41] (une rame Ouigo en unité simple peut en effet contenir 634 passagers, contre 510 sur une rame standard). Ce gain en capacité est rendu possible par moins d'espace pour les bagages, l'absence de première classe et de voiture-bar, et par l'utilisation d'un autre type de sièges[41],[42]. Les rames Ouigo, circulant douze heures par jour, sont entretenues la nuit dans les technicentres SNCF de Lyon-Gerland[43], de Marseille, de Châtillon, du Landy (Saint-Denis)[44] et de Tourcoing[45], ainsi que dans le technicentre Est Européen (implanté sur les communes de Pantin et de Bobigny)[46].

Le service Ouigo Train Classique utilise quant à lui neuf locomotives BB 22200[47] et 36 voitures Corail[48],[27]. Chaque train, comportant huit de ces voitures (qui sont toutes de seconde classe), permet de transporter jusqu'à 640 voyageurs[27],[29].

En Espagne modifier

Le service est assuré par des rames Euroduplex spécifiques, dont le nombre devrait à terme atteindre 14. Ces rames ont été prélevées dans le parc de la SNCF (série 800), puis rendues aptes à rouler sur le réseau de l'ADIF ; elles sont partiellement réaménagées, tout en conservant la voiture-bar et la première classe[34]. Elles sont basées à Cerro Negro, dans la banlieue sud de Madrid, et sont entretenues par Alstom sur trois sites de la Renfe[32].

Résultats en France modifier

Entre et , deux millions et demi de personnes ont voyagé dans un train Ouigo[49] (la barre des deux millions de billets vendus a été atteinte en [50]).

Début , la direction indique que le seuil de rentabilité est atteint, et que trois millions et demi de passagers ont déjà été transportés[51].

Pour 2016, la SNCF annonce avoir transporté 5,1 millions de passagers[52]. L'offre représente désormais 5 % du trafic des TGV, dont 15 % sur la ligne Marseille – Paris[53]. De plus, sa direction indique que 40 % des passagers n'auraient pas voyagé si Ouigo n'avait pas existé[54]. Selon les prévisions de la SNCF, la barre des 7 millions devait être franchie en 2017 grâce aux nouvelles dessertes de Bordeaux et Strasbourg[7]. Ce chiffre a effectivement été dépassé en 2017 avec 7,5 millions de passagers transportés. En 2018, la croissance du trafic s'est poursuivie pour atteindre 11,6 millions de voyageurs[55].

Au début de 2017, les trains Ouigo sont remplis en moyenne à 88 %, soit vingt points de plus que les TGV classiques[7].

L'objectif de la SNCF est que la part de Ouigo dans le trafic des TGV atteigne 25 %, représentant 25 millions de passagers, à l'horizon 2020[15].

En , Ouigo a transporté plus de 110 millions de voyageurs depuis son inauguration effectuée dix ans auparavant. Bien que ce service ait fait perdre des passagers aux TGV « premium » (désormais exploités sous la marque TGV inOui), il permet à la SNCF de mieux occuper le terrain face à la concurrence intermodale (avion, covoiturage, autocars) mais aussi intramodale ; il sert même d'outil à la compagnie pour s'implanter en Espagne[3] (en rivalisant ainsi avec la Renfe).

Ouigo Train Classique modifier

En 2022 (année du lancement), 1 300 000 voyageurs auraient emprunté les trains de ce réseau[56].

Notes et références modifier

  1. Camille Kaelblen, « Ouigo, Ouibus, Blablacar : comment voyager à moindre frais ? », sur rtl.fr, (consulté le ).
  2. Pierre Fougères, « Le Wi-Fi va faire son apparition dans les TGV Ouigo », sur capital.fr, (consulté le ).
  3. a et b David Barroux, « La SNCF fête les 10 ans de l’incroyable succès du TGV Ouigo », sur radioclassique.fr, (consulté le ).
  4. Aubin Busalb et Nathalie Arensonas, « La SNCF lance son TGV anti-crise », sur mobilicites.com, (version du sur Internet Archive).
  5. « SNCF : feu vert pour la distribution de Ouigo en agences », sur tourmag.com, (consulté le ).
  6. Even Vallerie, « SNCF. Comment les TGV Ouigo réussissent à casser les prix », sur ouest-france.fr, (consulté le ).
  7. a b et c Lionel Steinmann, « La SNCF va quintupler son offre de TGV low cost », lesechos.fr, (consulté le ).
  8. Oriane Mollaret, « Des cafards dans le train Ouigo qui fait Paris – Lyon », sur rue89lyon.fr, (consulté le ).
  9. Dominique Memmi, « Le retour de la 3e classe ? », sur laviedesidees.fr, (consulté le ).
  10. Lionel Steinmann, « Avec Ouigo, comment la SNCF a fait du low cost sans susciter de mouvements des cheminots. », lesechos.fr, (consulté le ).
  11. Stéphane Lauer, « Avec Ouigo, la SNCF arrête de mener grand train », sur lemonde.fr, (consulté le ).
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  14. « Ouigo ouvre ses ventes été et lance Bordeaux et Strasbourg », sur tourmag.com, (consulté le ).
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  19. Mickaël Demeaux, « Fin du TGV Ouigo à Nancy : colère au Département », sur estrepublicain.fr, (consulté le ).
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  23. « Le TGV Ouigo desservira Nîmes et Montpellier depuis la gare de Lyon », sur midilibre.fr, (consulté le ).
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  34. a b et c François Delétraz, « En Espagne, la SNCF propose un Ouigo avec première classe et bar », sur lefigaro.fr, (consulté le ).
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  45. Rail Passion no 237 () : « Ouigo tisse sa toile », p. 36.
  46. « Le technicentre SNCF de Bobigny/Pantin recrute des opérateurs de maintenance en CDI et CDD », sur est-ensemble.fr, (consulté le ) : « Il est en charge de la maintenance de 49 rames TGV (26 rames roulant sur le territoire français, 23 rames Euroduplex, 2 rames Ouigo et 20 Régiolis) ».
  47. P. L., « Premier aperçu du Ouigo Train classique », sur lettreducheminot.fr, (consulté le ).
  48. Pauline Damour, « Premier aperçu du Ouigo Train classique, la nouvelle offre de la SNCF à petits prix et à petite vitesse », sur challenges.fr, (consulté le ).
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