Pagolle

commune française du département des Pyrénées-Atlantiques
(Redirigé depuis Pagola)

Pagolle est une commune française, située dans le département des Pyrénées-Atlantiques en région Nouvelle-Aquitaine.

Pagolle
Pagolle
Vue du village depuis la route de Juxue.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Pyrénées-Atlantiques
Arrondissement Bayonne
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Pays basque
Maire
Mandat
Pierre Etcheber
2020-2026
Code postal 64120
Code commune 64441
Démographie
Gentilé Pagolar
Population
municipale
256 hab. (2021 en évolution de −7,91 % par rapport à 2015)
Densité 16 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 13′ 31″ nord, 0° 59′ 21″ ouest
Altitude Min. 130 m
Max. 648 m
Superficie 15,90 km2
Type Commune rurale à habitat très dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton du Pays de Bidache, Amikuze et Ostibarre
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Pagolle
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Pagolle
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Pagolle

Le gentilé est Pagolar[1].

Géographie

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Localisation

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Carte
Carte de la commune avec localisation de la mairie.

La commune de Pagolle se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[2].

Elle se situe à 72 km par la route[Note 1] de Pau[3], préfecture du département, à 72 km de Bayonne[4], sous-préfecture, et à 17 km de Saint-Palais[5], bureau centralisateur du canton du Pays de Bidache, Amikuze et Ostibarre dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[2]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Mauléon-Licharre[2].

Les communes les plus proches[Note 2] sont[6] : Musculdy (3,6 km), Juxue (4,7 km), Arhansus (5,2 km), Ordiarp (5,7 km), Lohitzun-Oyhercq (5,9 km), Saint-Just-Ibarre (6,3 km), Ainharp (6,3 km), Uhart-Mixe (6,6 km).

Sur le plan historique et culturel, Pagolle fait partie de la province de la Soule, un des sept territoires composant le Pays basque[Note 3],[7]. La Basse-Navarre en est la province la plus variée en ce qui concerne son patrimoine, mais aussi la plus complexe du fait de son morcellement géographique[8]. Depuis 1999, l'Académie de la langue basque ou Euskalzaindia divise le territoire du Labourd en six zones[9],[10]. La Soule, traversée par la vallée du Saison, est restée repliée sur ses traditions (mascarades, pastorales, chasse à la palombe, etc)[11]. Elle se divise en Haute-Soule, Basse-Soule et Arbaille, dont fait partie la commune.

Communes limitrophes

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Les communes limitrophes sont Arhansus, Juxue, Lohitzun-Oyhercq, Musculdy, Ordiarp, Saint-Just-Ibarre et Uhart-Mixe.

Hydrographie

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Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier de Pagolle.

La commune est drainée par Ispatchoury erreka, Larramendiko erreka et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 21 km de longueur totale[13],[Carte 1].

Historiquement, la commune est exposée à un micro climat océanique basque[14]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne et est dans la région climatique Pyrénées atlantiques, caractérisée par une pluviométrie élevée (>1 200 mm/an) en toutes saisons, des hivers très doux (7,5 °C en plaine) et des vents faibles[15].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 432 mm, avec 11,9 jours de précipitations en janvier et 8,7 jours en juillet[16]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune d'Aïcirits-Camou-Suhast à 13 km à vol d'oiseau[17], est de 14,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 219,1 mm[18],[19]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[20].

Milieux naturels et biodiversité

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Réseau Natura 2000

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Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux », constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 4]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la « directive Habitats » : « la Bidouze (cours d'eau) »[22], d'une superficie de 2 570 ha, un vaste réseau hydrographique drainant les coteaux du Pays basque[23],[Carte 2].

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

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L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

Une ZNIEFF de type 2[Note 5] est recensée sur la commune[24],[Carte 3] : les « landes, bois et prairies du bassin de la Bidouze » (11 263,46 ha), couvrant 25 communes du département[25].

Urbanisme

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Typologie

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Au , Pagolle est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[26]. Elle est située hors unité urbaine[2] et hors attraction des villes[27],[28].

Occupation des sols

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Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (61,6 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (59,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (38,8 %), forêts (25 %), prairies (22,8 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (13,4 %)[29]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 4].

Lieux-dits et quartiers

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Voies de communication et transports

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Le centre de Pagolle est traversé par la route départementale D 302, route reliant les anciennes routes nationales RN 133 (aujourd'hui D933) et RN 618 (aujourd'hui D 918) entre Uhart-Mixe et Musculdy.On peut également accéder à Pagolle par Juxue.

Pagolle est située à 16 km de Saint-Palais et à 14 km de Mauléon.

Risques majeurs

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Le territoire de la commune de Pagolle est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), feux de forêts et séisme (sismicité moyenne)[30]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[31].

Pagolle est exposée au risque de feu de forêt. En 2020, le premier plan de protection des forêts contre les incendies (PDPFCI) a été adopté pour la période 2020-2030[32]. La réglementation des usages du feu à l’air libre et les obligations légales de débroussaillement dans le département des Pyrénées-Atlantiques font l'objet d'une consultation de public ouverte du 16 septembre au 7 octobre 2022[33],[34].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Pagolle.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[35]. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (59 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 5]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 6],[36].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1990, 2009 et 2014[30].

Toponymie

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Attestations anciennes

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Le toponyme Pagolle apparaît[37] sous les formes Grangia de Paguola et Pagaule (respectivement 1178 et XIIIe siècle, collection Duchesne volume CXIV[38]), Nostre-Done de Paguole et Pagola (respectivement vers 1460 et vers 1470, contrats d'Ohix[39]) et Pagole (1479[40]).

Étymologie

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Jean-Baptiste Orpustan[40] indique que Pagolle provient de phag(a)-ola, « cabane des hêtres ».

Autres toponymes

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Le toponyme Mehaltzu apparaît[37] sous la forme Méhalçu (1863, dictionnaire topographique Béarn-Pays basque[37]) et désigne un mont entre les communes de Juxue et de Pagolle.

L'Euskaltzaindia recommande la forme Mehaltzu et il est typographié Mehalçu sur les cartes IGN. On peut trouver également la forme Mehalzu.

Graphie basque

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Son nom basque actuel est Pagola[1].

Histoire

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Autrefois, Pagolle possédait un prieuré-hôpital dépendant du diocèse d'Oloron. Ce prieuré était desservi par les Prémontrés installé à l'abbaye d'Arthous. Le prieuré de Pagolle avait été offert en 1178 (Grangia de Paguola) par le vicomte de Soule à l'abbaye d'Arthous.

La paroisse de Pagolle dépendait de la déguerie (ou vic) de Peyriède[41] (incluant également Aussurucq, Ordiarp, Musculdy, Garindein et Suhare) dans la messagerie[42] des Arbailles.

À la fin de l'ancien régime en 1790, Pagolle dépendait du canton de Domezain. Le canton, composé de communes souletines, fut ensuite englobé au canton de Saint-Palais en Basse-Navarre

Le , le quartier « Pagolle-Oyhana » est détaché de la commune de Juxue pour être rattaché à Pagolle[43]. La commune, historiquement souletine, se retrouva alors traversée par la frontière historique entre la Basse-Navarre et la Soule. Linguistiquement, le quartier « Pagolle-Oyhana » parlait le bas-navarrais oriental et la commune de Pagolle le souletin[44].

Rattachée à la Basse-Navarre dans les « listes de communes » des provinces basques en circulation au début du XXIe siècle, Pagolle est en réalité une commune traversée par la frontière entre la Soule et la Navarre. La partie occidentale du territoire communal se trouve en effet en Basse-Navarre, mais la partie orientale est souletine, la frontière ayant été précisée définitivement en ce secteur en 1475[45].

Politique et administration

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1792 1796 Jean Recart    
1795 1796 Jean Astaillon    
1796 1798 Arnaud Etchegoyhen    
1798 1799 Bertrand Aguer    
1799 1801 Dominique Etcheberry    
1801 1820 Jean Recart    
1820 1832 Jean Sallaberry    
1832 1835 Joseph Etcheberry    
1835 1847 Jacques Elischondo    
1847 1874 Pierre Laco    
1874 1881 Pierre Eraçarret   Laboureur
1881 1884 Pierre Barreix    
1891 1908 Jean Casenave    
1908 1935 Arnaud Çaldumbide    
1935 1959 Pierre Urrutiaguer    
1959 1971 Jean-Pierre Çaldumbide    
1971 1977 Raymond Urrutiaguer    
1977 1989 Michel Etcheber   Agriculteur
1989 2020 Gabriel Lopépé   Agriculteur
2020 En cours Pierre Etcheber    

Intercommunalité

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Pagolle appartient à cinq structures intercommunales[46] :

  • la communauté d'agglomération du Pays Basque ;
  • le syndicat AEP du pays de Soule ;
  • le syndicat d'énergie des Pyrénées-Atlantiques ;
  • le syndicat intercommunal pour le fonctionnement des écoles d'Amikuze ;
  • le syndicat intercommunal pour le soutien à la culture basque.

Pastoralisme

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De par son histoire, Pagolle a la particularité d'appartenir à deux commissions syndicales[47] :

  • la commission syndicale de l'Oztibarre ;
  • la commission syndicale du pays de Soule.

Population et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[48]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[49].

En 2021, la commune comptait 256 habitants[Note 7], en évolution de −7,91 % par rapport à 2015 (Pyrénées-Atlantiques : +3,43 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
210195255226598565600501542
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
454443443461471436431405409
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
440401404402436449394378371
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
360317316289267254262263279
2017 2021 - - - - - - -
261256-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[50] puis Insee à partir de 2006[51].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie

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Pagolle est un village essentiellement agricole.
L'activité principale est l'élevage extensif de brebis laitières (races locales manex et basco-béarnaises) dont le lait est destiné à la confection de l'Ossau-iraty, Pagolle étant située dans la zone de l'AOC.
Outre la production laitière, la vente d'agneaux (viandes) est également un débouché. On trouve également quelques élevages bovins (viandes). Les élevages bovins laitiers et les élevages de moutons destinés à la boucherie ont quasiment disparu.

Culture locale et patrimoine

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Le Mehalzu (648 mètres).

Pagolle a organisé la pastorale souletine en 1982 (titre : Pette Basabürü écrit par le père Junes Casenave) et en 2019 (titre : Domingo Garat sur la vie du député du tiers-état Dominique Garat écrit par François Caset).

Festivités

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  • Fêtes le dernier week-end de septembre ou le premier week-end d'octobre.
  • Historiquement, les fêtes se déroulaient le dimanche suivant l'Assomption.

Patrimoine civil

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Un gaztelu zahar est situé, au lieu-dit Mehaltzu, à 648 mètres d'altitude.

Patrimoine religieux

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L'église de l'Assomption-de-la-Bienheureuse-Vierge-Marie[52] date de la fin du Moyen Âge et a été rebâtie en 1893.

Personnalités liées à la commune

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  • Juan María Bordaberry, né à Montevideo le , et décédé dans cette même ville le , homme d'état Uruguayen. Il fut président de l'Uruguay entre le et le , puis demeura chef de l'État à la suite du coup d'État, et devint ainsi le premier dictateur du pays, jusqu'en 1976. Son grand-père Jacques dit Santiago Bordaberry (1844-1926) était natif de Pagolle, de la maison Ekilarrondoa.

Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
  2. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
  3. Le Pays basque comprend sept provinces dont trois au nord qui forment le pays basque français : le Labourd, la Soule et la Basse-Navarre.
  4. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[21].
  5. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  6. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Carte hydrographique de Pagolle » sur Géoportail (consulté le 11 août 2021)..
  2. « Sites Natura 2000 de types sites d'intérêt communautaire (SIC) (Directive Habitats) de la commune de Pagolle », sur geoportail.gouv.fr.
  3. « ZNIEFF de type II sur la commune de Pagolle », sur geoportail.gouv.fr (consulté le ).
  4. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  5. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références

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  3. Stephan Georg, « Distance entre Pagolle et Pau », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. Stephan Georg, « Distance entre Pagolle et Bayonne », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. Stephan Georg, « Distance entre Pagolle et Saint-Palais », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Communes les plus proches de Pagolle », sur villorama.com (consulté le ).
  7. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 23.
  8. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 25.
  9. « Toponymes », sur le site de l'Académie de la langue basque (consulté le ).
  10. (eu) Euskal Herriko udalerrien zerrenda alfabetikoa (Liste alphabétique des communes du Pays basque).
  11. Frédéric Zégierman 1999, p. 23.
  12. Carte IGN sous Géoportail
  13. « Fiche communale de Pagolle », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Aquitaine (consulté le ).
  14. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  15. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
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  44. Arturo Campion, l'un des pères du nationalisme basque et linguiste, dresse une liste des villages en fonction des formes dialectales parlées se basant notamment sur les travaux de Louis-Lucien Bonaparte dans l'article Geografía linguística del euskara dans la "Revista Euskara" entre 1878 et 1883
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Voir aussi

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Articles connexes

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Liens externes

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