Patrick Verde

acteur français

Patrick Verde est un acteur français ayant fait carrière au cinéma, à la télévision et au théâtre entre 1966 et 1975[1],[2].

Patrick Verde
Nationalité Drapeau de la France Française
Profession Acteur

Biographie

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Patrick Verde suit l'enseignement du conservatoire de Rouen avant d'intégrer la promotion 1969 du Conservatoire national supérieur d'art dramatique[3]. Il y a notamment pour condisciples Catherine Hiegel, Nicole Calfan et Jean-Luc Moreau[4]. Jean-Paul Carrère, son professeur de télévision, lui ouvre les portes du petit écran[3].

Après l'avoir vu incarner le chevalier au lion dans un téléfilm de Claude Santelli, le grand public le retrouve dans le rôle de Guillaume, un des protagonistes de la sérié à succès Adieu mes quinze ans (1971) adaptée du best-seller de Claude Campagne. Il connait un nouveau succès avec le feuilleton Le Dessous du ciel (1974) dont il partage la vedette avec Marie-Georges Pascal, Gérard Chambre et Pierre Brice. Grand, posé, ayant effectué son service militaire chez les paras[3], l'acteur y endosse tout naturellement le rôle de Franck, le moniteur de parachutisme[5].

Au cinéma, Patrick Verde tourne en 1969 dans Du côté d'Orouët avec Bernard Menez et Caroline Cartier. Le film de Jacques Rozier, aujourd'hui réévalué, doit attendre 1973 pour ne bénéficier que d'une sortie très discrète[6]. L'année suivante, il tourne aux côtés de Sandra Julien dans Je suis une nymphomane, un des grands succès de la « période érotique » de Max Pécas.

Filmographie

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Théâtre

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Notes et références

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  1. « Patrick Verde » (présentation), sur l'Internet Movie Database
  2. Patrick Verde sur Les Archives du spectacle
  3. a b et c Cf. Présentation de Patrick Verde, Télé 7 jours du 5 au 11 octobre 1974, page du vendredi 11 octobre 1974, à voir sur gerardchambre-tribute.ch
  4. Patrick Verde sur le site Rue du Conservatoire
  5. Articles de presse et photos de Le Dessous du ciel sur gerardchambre-tribute.ch site consacré au comédien.
  6. Emmanuel Didier, « Du côté d’Orouët », Critikat,‎ (lire en ligne, consulté le )

Liens externes

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