Pernant
Pernant est une commune française située dans le département de l'Aisne, en région Hauts-de-France.
Pernant | |||||
La mairie. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Aisne | ||||
Arrondissement | Soissons | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Retz-en-Valois | ||||
Maire Mandat |
Christophe Padieu 2020-2026 |
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Code postal | 02200 | ||||
Code commune | 02598 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Pernantais(es) | ||||
Population municipale |
681 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 69 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 49° 22′ 43″ nord, 3° 14′ 13″ est | ||||
Altitude | Min. 37 m Max. 151 m |
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Superficie | 9,83 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Soissons (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Vic-sur-Aisne | ||||
Législatives | Quatrième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
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Géolocalisation sur la carte : Aisne
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Liens | |||||
Site web | pernant.fr | ||||
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Géographie
modifierPernant est située sur la rive gauche de l'Aisne à 7 km de Soissons, à 10 km de Vic-sur-Aisne et à 50 km de Laon, La commune occupe une cuvette en longueur formée par le ruisseau de Pernant, et se rétrécit au fur et à mesure. Si l'on avance dans le fond du village, en empruntant la route principale, on dépasse l'église, qui est alors masquée par une courbe, et l'on arrive ensuite à une rue permettant de monter au petit quartier de Poussemy et, niché sur sa colline, au donjon[1]. Contournant le château, le chemin passe devant le château d'eau, vaste réservoir, point culminant de la commune.
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Carte de la commune.
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Entrée de Pernant.
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Le château-d'eau de Pernant.
Hydrographie
modifierLa commune est située dans le bassin Seine-Normandie. Elle est drainée par l'Aisne, le cours d'eau 01 aux Vieux Prés[2] et le ruisseau de Pernant[3],[4],[Carte 1].
L'Aisne est un cours d'eau naturel navigable de 256 km de longueur, traversant les cinq départements Meuse, Marne, Ardennes, Aisne, Oise. Elle est un affluent de rive gauche de l'Oise, ce qui fait d'elle un sous-affluent de la Seine[5]. Les caractéristiques hydrologiques de l'Aisne sont données par la station hydrologique située sur la commune de Soissons. Le débit moyen mensuel est de 59,8 m3/s[Note 1]. Le débit moyen journalier maximum est de 375 m3/s, atteint lors de la crue du . Le débit instantané maximal est quant à lui de 379 m3/s, atteint le même jour[6].
Divers plans d'eau complètent le réseau hydrographique : la gravière de la Couture (4,5 ha), le bassin de décantation 1 du Canivet (4,1 ha), le bassin de décantation 2 des Grevettes (0,8 ha), le bassin de décantation 2 du Canivet (0,9 ha), le bassin de décantation 3 de la fontaine Bouillante (1,7 ha), le bassin de décantation 4 de la fontaine Bouillante (1,4 ha), le bassin de décantation 4 des Prés de Notre-Dame, d'une superficie totale de 2,4 ha (1,5 ha sur la commune), le bassin de décantation 5 des Prés de Notre-Dame (0,6 ha), le bassin de décantation 6 de la fontaine Bouillante (1,3 ha), le bassin de décantation 7 de la fontaine Bouillante (1 ha), le bassin de décantation 7 des Prés de Notre-Dame, d'une superficie totale de 1,7 ha (1,2 ha sur la commune), le bassin de décantation 8 de la fontaine Bouillante, d'une superficie totale de 1 ha (0,6 ha sur la commune), le bassin de décantation 8 des Prés de Notre-Dame (2,2 ha), le bassin de décantation 9 des Prés de Notre-Dame (0,8 ha), les bassins de décantation 1 de la la fontaine Bouillante (15,9 ha), les bassins de décantation 1 des Grevettes (2,5 ha), les bassins de décantation 2 de la la fontaine Bouillante (1,8 ha), les bassins de décantation 5 de la la fontaine Bouillante (19,7 ha) et les bassins de décantation 9 de la la fontaine Bouillante (2,4 ha)[Carte 1],[7].
Climat
modifierEn 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[8]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l'année et un hiver froid (3 °C)[9].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 729 mm, avec 11,8 jours de précipitations en janvier et 8,6 jours en juillet[8]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Braine à 22 km à vol d'oiseau[10], est de 11,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 662,7 mm[11],[12]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[13].
Urbanisme
modifierTypologie
modifierAu , Pernant est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[14]. Elle est située hors unité urbaine[15]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Soissons, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[15]. Cette aire, qui regroupe 92 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[16],[17].
Occupation des sols
modifierL'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (67,6 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (68,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (67,4 %), forêts (13,7 %), eaux continentales[Note 4] (10,5 %), zones urbanisées (4,7 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (3,6 %), prairies (0,2 %)[18].
L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Toponymie
modifierSelon Auguste Matton, Pernant serait mentionné en 898 sous la forme latine Parnacus, puis on trouve la graphie Parnant dès 1063[Note 5] ; des variantes seraient Sparnant (1143) et Pernan (1589)[19].
Le premier élément est à rapprocher, vraisemblablement, d'un thème oronymique pré-celtique *pa-ar désignant une prairie.
Histoire
modifierL'occupation du site est très ancienne et est attestée par la découverte de plusieurs sites préhistoriques, notamment au lieu-dit les Grevettes en 1961 d'une nécropole datant de la «Tène Ia» (Second âge du fer). Une tombe à char y a été étudiée[20],[21].
Dès le IXe siècle, Pernant appartenait à l'abbaye Saint-Crépin-le-Grand de Soissons et lui fut confirmé en 893 par Charles le Simple avec l'autel et le moulin[22].
En 1176 une charte traite d'un accord entre Guy, vicomte de Pernant, et l'abbaye Saint-Crépin-le-Grand. Ce chevalier Guy de Parnant est le premier seigneur connu du village. Il est le frère d'Ebalus (Ebale), seigneur de Berzy[23]. En 1182, une charte de Nivelon, évêque de Soissons, fait mention de Giletus de Pernant[24].
En 1255, le roi Saint Louis affranchit tous ses « hommes de corps » habitant Pernant, à la condition qu'ils ne pourraient se mettre, par mariage ou autrement, sous la domination d'un autre seigneur que lui sans retomber aussitôt en servitude, et de lui payer chacun la somme annuelle de 12 deniers parisis[25].
Politique et administration
modifierDécoupage territorial
modifierLa commune de Pernant est membre de la communauté de communes Retz-en-Valois, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Villers-Cotterêts. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[26].
Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Soissons, au département de l'Aisne et à la région Hauts-de-France[15]. Sur le plan électoral, elle dépend du canton de Vic-sur-Aisne pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[15], et de la quatrième circonscription de l'Aisne pour les élections législatives, depuis le dernier découpage électoral de 2010[27].
Administration municipale
modifierDémographie
modifierL'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[30].
En 2021, la commune comptait 681 habitants[Note 6], en évolution de +2,25 % par rapport à 2015 (Aisne : −2,08 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Vie associative culturelle et sportive
modifierLa commune compte plusieurs associations culturelles et sportives : le comité des fêtes, le club des anciens, l'association pour la sauvegarde du château de Pernant et du patrimoine local, l'association de promotion des chemins verts, l'association de pêche du plan d'eau de Pernant, l'association des chasseurs, l'association gym et loisirs et le club de foot A.S. Pernant. les habitants participent également à des associations culturelles et sportives intercommunales.
Lieux et monuments
modifierÉglise Saint-Léger
modifierDu XIIe siècle[33], l'église de Pernant est un édifice d'aspect extérieur assez sobre (aucune statuaire) bâti sur une colline dominant le village, et est accessible par une rampe de pierre[34]. Le bâtiment en croix latine est composé d'une nef avec deux bas-côtés, et d'un transept dont la partie sud est prolongée par une petite salle réservée à l'abbé. La croisée du transept est surmontée par une basse mais imposante tour-clocher[35]. À l'est, au-delà du transept, le chœur peut faire penser, de par ses petites dimensions relatives, à un cul-de-four[36]. La façade orientée vers l'ouest est percée d'une lourde porte en bois[37] ne servant qu'aux grandes cérémonies. L'entrée se fait par une petite porte sur le côté sud[38],[39].
La municipalité de la commune a, par arrêté du maire, décrété la mise en place d'un sonneur de cloches communal dans le but de la préservation de la sonnerie manuelle et des éléments du clocher. Ainsi, Thomas Martin, villageois, s'est fait pourvoir à cette fonction[Quand ?].
Croix du cimetière
modifierLa croix du cimetière date du XIVe siècle[40]. Elle se trouve sur l'ancien cimetière, dans l'enceinte de l'église.
Château fort, avec son fossé et ses carrières souterraines
modifierDonjon et reste d'un château royal des XIIIe et XVIe siècles[41]. Souvent appelé à tort « le Donjon de Pernant » dans le pays, le château fut construit au XIVe siècle, surélevé au XVe, profondément modifié au XVIe avec notamment la construction d'une aile attenante à l'ouest et de sa terrasse à l'est, pour devenir un château d'agrément dépossédé de ses attributs militaires initiaux : des murs d'enceinte et des nombreuses tours, il ne reste que le rempart entre la cour d'honneur et la terrasse.
L'essor de l'importante exploitation agricole qui l'entoure lui fait perdre insensiblement son statut de résidence nobiliaire à partir du XVIIIe siècle et au XIXe, il est le centre d'une intense vie agricole, pour laquelle de nombreuses constructions plus ou moins heureuses se sont accolées à la bâtisse initiale. Mais le château est demeuré intact jusqu'au XXe siècle, peu touché par les premiers épisodes de la Grande guerre : en 1914, il est encore intact et habité.
Le , il est bombardé cinq heures durant comme le reste de la vallée[42],[43] et largement ruiné. Si les vestiges de la forteresse médiévale sont encore bien visibles[44],[45],[46] et paradoxalement en assez bon état général (seule la façade est, les toitures et les planchers ont été soufflés par l'explosion des obus ayant percé la construction) le logis Renaissance, très endommagé, fut finalement rasé dans les années 1930.
Les propriétaires ont en effet délaissé cette construction unique, utilisant notamment les dommages de guerre pour construire en 1920 un manoir en pierre de taille. Le Patrimoine a donc inscrit le monument à l'ISMH en 1927 pour éviter sa destruction[33] mais celui-ci est resté à l'abandon pendant près d'un siècle, les intempéries faisant leur œuvre au point que le château commença à menacer de s'effondrer à la fin des années 1980.
Peu porté sur l'histoire et de toute façon incapable de mobiliser les fonds nécessaires pour le restaurer malgré la pression de la commune et des riverains, le propriétaire dépose au début des années 1990 un permis de démolir qui fit grand bruit dans le Soissonnais, suscitant la naissance d'une association villageoise de sauvegarde, qui grâce à la Société archéologique historique et scientifique de Soissons obtint le classement d'office du monument en 2007[47].
La mésaventure se termina fin 2011[48] par la vente du château à un avocat vénézuélien, aventurier talentueux, francophile et amateur d'histoire, qui entreprit la première campagne de consolidation du bâtiment avec le concours de la DRAC Picardie. C'est lui qui ouvrit le château à la visite pour la première fois en 2012, et qui célébra le septième centenaire de sa construction en 2013, avant de le mettre en vente à son tour en 2014.
Un nouveau propriétaire arrivé fin 2015, tentera de mener de front le triple projet de restaurer le château à partir de et d'y ouvrir des chambres d'hôtes, d'aménager les granges pour y ouvrir des gîtes ruraux, enfin d'organiser sur ce site exceptionnel des animations musicales et culturelles.
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Le château sur son éperon vu de la route des Monts de Pernant.
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Entrée des carrières sous le château.
Autres monuments
modifier- Monument aux morts, en forme de parallélépipède de pierre surmonté de la statue d'un soldat semi-allongé et agonisant[49].
- La borne d'arrêt de l'ennemi.
- Depuis le milieu du mois de , une borne a pris place dans l'enclos du monument aux morts, près de l'église. Celle-ci fut placée par le Touring Club de France au lieu même où, pendant la Première Guerre mondiale, l'armée et les Pernantais ont arrêté l'armée allemande. Lors de l'Occupation, la borne ayant déplu aux nazis fut dynamitée. Ses restes ont été retrouvés et assemblés, puis placés auprès du monument aux morts sous la garde de la Fondation patrimoine.
- Une tombe de guerre et un mémorial de guerre dans l'ancien cimetière (enceinte de l'église).
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Monument aux morts.
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La borne TCF de la ligne de front.
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Tombe et mémorial de guerre dans l'ancien cimetière.
Notes et références
modifierNotes
modifier- Les moyennes interannuelles (écoulements mensuels) ont été calculées le 28/07/2024 à 02:06 TU à partir des 285 QmM (débits moyens mensuels) les plus valides du 01/11/1999 au 01/06/2024.
- Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- villa Parnant vulgo nominata dans un acte de 1063 de Philippe I, « Charte Artem/CMJS n°2407»[lire en ligne].
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
modifier- « Réseau hydrographique de Pernant » sur Géoportail (consulté le 17 septembre 2024).
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
modifier- Panorama hivernal sur le village
- Sandre, « le cours d'eau 01 aux Vieux Prés »
- Sandre, « le ruisseau de Pernant »
- « Fiche communale de Pernant », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines dans le bassin Seine-Normandie (consulté le )
- Sandre, « l'Aisne »
- « Station hydrométrique « L'Aisne à Soissons - Le mail [station US]» », sur l'Hydroportail, Ministère de la transition écologique et de la cohésion des territoires, (consulté le )
- « Le millésime 2022 de la BD TOPAGE® métropole est disponible », sur eaufrance.fr (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Pernant et Braine », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Braine » (commune de Braine) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Station Météo-France « Braine » (commune de Braine) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Soissons », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Auguste Matton, Dictionnaire topographique de la France, vol. 2, p. 212 [lire en ligne].
- Blaise Pichon, Carte archéologique de la Gaule: 02. Aisne, Les Editions de la MSH, 2002p. 347-349 [lire en ligne]
- Denise Bretz-Mahler, La civilisation de la Tène I en Champagne: le faciès Marnien, éd. Centre national de la recherche scientifique, 1971 - 295 pages
- Archives de l'Aisne, Pernant Monographie manuscrite de 1884 [lire en ligne].
- Acte n°212856 dans Chartae Galliae. Edition électronique: Institut de Recherche et d'Histoire des Textes, 2014. (Telma). Date de mise à jour : 31/05/12. Première version : 10 juin 2010[lire en ligne]
- Acte n°205549 dans Chartae Galliae. Edition électronique: Institut de Recherche et d'Histoire des Textes, 2014. (Telma). Date de mise à jour : 16/09/11. Première version : 10 juin 2010. [lire en ligne]
- (page 107) Maximilien Melleville, Dictionnaire historique, généalogique et géographique du département de l'Aisne, 1857
- « communauté de communes Retz-en-Valois - fiche descriptive au 1er avril 2020 », sur banatic.interieur.gouv.fr (consulté le ).
- « Découpage électoral de l'Aisne (avant et après la réforme de 2010) », sur politiquemania.com (consulté le ).
- « Liste des maires de l'Aisne » [xls], Préfecture de l'Aisne, (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Notice no PA00115867, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- Photo de l'église surplombant la rue.
- Photo du clocher très massif
- Photo du chevet en "cul-de-four"
- Photo du portail ouest
- Photo de la façade sud de l'église
- Vue du Sud (transept, partie de la façade avec petite porte, et clocher).
- Notice no PA00115866, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- Charles-Laurent Salch et Joseph-Frédéric Finó (photogr. Dominique Martinez), Atlas des châteaux forts en France, Strasbourg, Éditions Publitotal, , 19e éd. (1re éd. 1977), 834 p., p. 38 (cf. Pernant).
- anonyme, Journal de marche et d'opérations du 26e Régiment d'infanterie, 26N 600/11, page 31, ministère de la défense, , 68 p. (page 31)
- « Visionneuse - Mémoire des Hommes », sur memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr (consulté le ).
- Photo de la forteresse de Pernant.
- Vue sur les vestiges du château.
- Photo montrant l'importance des vestiges du château fort.
- L'Union, article du mercredi 7 octobre 2009.
- L'Union, article du vendredi 30 septembre 2011.
- 2 photos du monument aux morts et liste des 20 soldats tués en 1914-1918
Voir aussi
modifierArticle connexe
modifierBibliographie
modifier- G. Lobjois, La nécropole gauloise de Pernant, dans Celticum XVIII, vol. I, 1969, 1-284.
Liens externes
modifier- Site officiel de Pernant
- Pernant sur le site de l'Institut géographique national
- Page spécifique de la communauté de communes, lien indirect (cliquer sur le mot "Pernant" apparaissant sur la carte).
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :