Peyre en Aubrac
Peyre en Aubrac est une commune française, située dans le département de la Lozère en région Occitanie.
Peyre en Aubrac | |||||
La maison de la Terre de Peyre, située à Aumont-Aubrac. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Occitanie | ||||
Département | Lozère | ||||
Arrondissement | Mende | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes des Hautes Terres de l'Aubrac (siège) |
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Maire Mandat |
Alain Astruc 2020-2026 |
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Code postal | 48130 | ||||
Code commune | 48009 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Peyrens | ||||
Population municipale |
2 300 hab. (2021) | ||||
Densité | 15 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 44° 42′ 28″ nord, 3° 16′ 58″ est | ||||
Altitude | Min. 852 m Max. 1 258 m |
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Superficie | 153,3 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Saint-Chély-d'Apcher (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Peyre en Aubrac (bureau centralisateur) |
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Législatives | Circonscription de la Lozère | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Lozère
Géolocalisation sur la carte : Occitanie (région administrative)
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Liens | |||||
Site web | peyreenaubrac.fr | ||||
modifier |
De statut administratif commune nouvelle, elle est née le de la fusion des communes d'Aumont-Aubrac, La Chaze-de-Peyre, Fau-de-Peyre, Javols, Sainte-Colombe-de-Peyre et Saint-Sauveur-de-Peyre.
Géographie
modifierLocalisation
modifierElle est située entre l'Aubrac et la Margeride.
Hydrographie
modifierLes eaux fluviales s'écoulent vers la Truyère au nord-est, par la Rimeize et le Triboulin et, au sud, vers la Colagne par la Crueize.
Voies de communication et transports
modifierElle est traversée du sud au nord par l'autoroute A75, qui franchit le col des Issartets, plus haut col autoroutier de France[2].
Climat
modifierEn 2010, le climat de la commune est de type climat de montagne, selon une étude s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Sud-est du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 1 000 à 1 500 mm, minimale en été, maximale en automne[4].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 7,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 905 mm, avec 10,5 jours de précipitations en janvier et 6,6 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique installée sur la commune est de 8,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 954,9 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
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Température minimale moyenne (°C) | −2,6 | −2,9 | −0,4 | 1,8 | 5,4 | 9 | 10,9 | 11,1 | 7,8 | 5 | 0,8 | −1,7 | 3,7 |
Température moyenne (°C) | 0,5 | 0,8 | 3,8 | 6,2 | 10,1 | 14 | 16,5 | 16,6 | 12,6 | 8,9 | 4,1 | 1,5 | 8 |
Température maximale moyenne (°C) | 3,7 | 4,4 | 8 | 10,7 | 14,7 | 19,1 | 22 | 22,1 | 17,4 | 12,7 | 7,3 | 4,7 | 12,2 |
Record de froid (°C) date du record |
−22,5 12.01.1987 |
−17,2 04.02.12 |
−19 01.03.05 |
−9,5 07.04.08 |
−4 05.05.19 |
−0,5 08.06.19 |
2,4 10.07.04 |
1,1 29.08.1986 |
−0,7 27.09.10 |
−7 25.10.03 |
−12,5 22.11.1998 |
−16,5 04.12.10 |
−22,5 1987 |
Record de chaleur (°C) date du record |
18,2 27.01.16 |
21 26.02.19 |
20,7 29.03.1989 |
23,8 14.04.15 |
29,3 22.05.22 |
34 28.06.19 |
32,5 24.07.19 |
34,5 23.08.23 |
30,4 02.09.16 |
27,5 01.10.23 |
23,8 07.11.15 |
22,3 02.12.15 |
34,5 2023 |
Précipitations (mm) | 72,6 | 57,9 | 57,9 | 89 | 90,4 | 79,6 | 63,8 | 78 | 87,7 | 100 | 96,9 | 81,1 | 954,9 |
Urbanisme
modifierTypologie
modifierAu , Peyre en Aubrac est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[8]. Elle est située hors unité urbaine[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Chély-d'Apcher, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[I 1]. Cette aire, qui regroupe 22 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[9],[10].
Risques majeurs
modifierLe territoire de la commune de Peyre en Aubrac est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), feux de forêts et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses, et à un risque particulier : le risque de radon[11]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[12].
Risques naturels
modifierPeyre en Aubrac est exposée au risque de feu de forêt. Un plan départemental de protection des forêts contre les incendies (PDPFCI) a été approuvé en décembre 2014 pour la période 2014-2023[13]. Les mesures individuelles de prévention contre les incendies sont précisées par divers arrêtés préfectoraux et s’appliquent dans les zones exposées aux incendies de forêt et à moins de 200 mètres de celles-ci. L’arrêté du , complété par un arrêté de 2020, réglemente l'emploi du feu en interdisant notamment d’apporter du feu, de fumer et de jeter des mégots de cigarette dans les espaces sensibles et sur les voies qui les traversent sous peine de sanctions. L'arrêté du , abrogeant un arrêté de 2002, rend le débroussaillement obligatoire, incombant au propriétaire ou ayant droit[Note 2],[13],[14].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 10,1 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (15,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 1 631 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 50 sont en aléa moyen ou fort, soit 3 %, à comparer aux 14 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[15],[Carte 1].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[16].
La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1994 et 2003.
Risques technologiques
modifierLe risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[17].
Risque particulier
modifierDans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de Peyre en Aubrac est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[18].
Toponymie
modifierElle tire son nom de la Baronnie de Peyre, l'une des plus puissantes du Gévaudan au Moyen Âge et du plateau de l'Aubrac.
Histoire
modifierLa commune nouvelle est créée le par la fusion des communes d'Aumont-Aubrac, La Chaze-de-Peyre, Fau-de-Peyre, Javols, Sainte-Colombe-de-Peyre et Saint-Sauveur-de-Peyre qui deviennent des communes déléguées[19]. Son chef-lieu est situé à Aumont-Aubrac.
Politique et administration
modifierDécoupage territorial
modifierLa commune de Peyre en Aubrac est membre de la communauté de communes des Hautes Terres de l'Aubrac[I 1], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Peyre en Aubrac. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[20].
Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Mende, à la circonscription administrative de l'État de la Lozère et à la région Occitanie[I 1].
Sur le plan électoral, elle dépend du canton de Peyre en Aubrac pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[I 1], et de la circonscription de la Lozère pour les élections législatives, depuis le dernier découpage électoral de 2010[21].
Tendances politiques et résultats
modifierListe des maires
modifierCommunes déléguées
modifierNom | Code Insee |
Intercommunalité | Superficie (km2) |
Population (dernière pop. légale) |
Densité (hab./km2) |
---|---|---|---|---|---|
Aumont-Aubrac (siège) |
48009 | CC de la Terre de Peyre | 26,53 | 1 081 (2014) | 41 |
La Chaze-de-Peyre | 48047 | CC de la Terre de Peyre | 19,33 | 314 (2014) | 16 |
Fau-de-Peyre | 48060 | CC de la Terre de Peyre | 26,72 | 189 (2014) | 7,1 |
Javols | 48076 | CC de la Terre de Peyre | 31,21 | 328 (2014) | 11 |
Sainte-Colombe-de-Peyre | 48142 | CC de la Terre de Peyre | 21,9 | 190 (2014) | 8,7 |
Saint-Sauveur-de-Peyre | 48183 | CC de la Terre de Peyre | 27,61 | 284 (2014) | 10 |
Circonscriptions électorales
modifierÀ la suite du décret du , la commune est entièrement rattachée au canton de Peyre en Aubrac, dont elle est le bureau centralisateur[23].
Population et société
modifierDémographie
modifierÉvolution démographique
modifierL'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis sa création.
En 2021, la commune comptait 2 300 habitants[Note 3], en évolution de −2,04 % par rapport à 2015 (Lozère : +0,28 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Pyramide des âges
modifierLa population de la commune est un peu plus âgée que celle du département. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 28,7 %, soit un taux inférieur à la moyenne départementale (29,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (33,6 %) est supérieur au taux départemental (32,5 %).
En 2018, la commune comptait 1 177 hommes pour 1 110 femmes, soit un taux de 51,46 % d'hommes, supérieur au taux départemental (49,96 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit :
Manifestations culturelles et festivités
modifierSports et loisirs
modifierVie associative
modifierMédias
modifierÉconomie
modifierCulture locale et patrimoine
modifierLieux et monuments
modifier- Mairie d'Aumont-Aubrac.
- Maison de la Terre de Peyre à Aumont-Aubrac.
- École primaire publique d'Aumont-Aubrac.
- École primaire privée La Présentation d'Aumont-Aubrac.
c'est un ancien prieuré bénédictin, remontant à 1061, attesté en 1123, au cœur de la baronnie de Peyre. Très remaniée, des XIIe et XIIIe siècles, elle a conservé son chœur roman et plusieurs chapelles latérales gothiques. Le chevet est en cul-de-four avec des nervures en arc brisé et, à l'intérieur, les chapiteaux sculptés des troncs de colonnes reposant sur des culs-de-lampe. Autres culs-de-lampe à figures humaines au bas des ogives des chapelles et des nervures de la nef. Le clocher, achevé au XIXe siècle, est excentré, au sud-est du chœur. Mobilier et vitraux modernes.
Le pèlerinage de Compostelle
modifierSituée sur la via Podiensis, des chemins de Compostelle, Aumont-Aubrac est une incontournable étape de la traversée des monts d’Aubrac. On y vient de Saint-Alban-sur-Limagnole, la prochaine commune étant Malbouzon. La commune est également le point de départ du chemin pèlerin de Saint-Guilhem-le-Désert.
- Église de la Purification de La Chaze-de-Peyre. Église en granit datant du XIIe siècle.
- Chapelle de Bastide (ou de La Pignède) située sur le chemin de Saint-Jacques-de-Compostelle.
- Église Saint-Gervais-et-Saint-Protais de Javols, dédiée aux saints Gervais et Protais.
- château du Bois du Mont
- Église Sainte-Colombe de Sainte-Colombe-de-Peyre.
- École primaire publique de Sainte-Colombe-de-Peyre.
- Le Roc de Peyre, à Saint-Sauveur-de-Peyre.
- Église Saint-Joseph de Saint-Sauveur-de-Peyre.
- Gare de Saint-Sauveur-de-Peyre.
- École primaire publique de Saint-Sauveur-de-Peyre.
-
Chapelle la Bastide sur la via Podiensis près de Lasbros, Condom-d'Aubrac.
-
Église de la Purification de La Chaze-de-Peyre.
-
Église Saint-Étienne d'Aumont-Aubrac.
-
Église Saint-Gervais-et-Saint-Protais de Javols.
-
Église Saint-Joseph de Saint-Sauveur-de-Peyre.
-
Église Saint-Martin de Fau-de-Peyre.
Personnalités liées à la commune
modifierVoir aussi
modifierBibliographie
modifierArticles connexes
modifierLiens externes
modifier
- Site officiel
- Ressource relative à la géographie :
Notes et références
modifierNotes et cartes
modifierNotes
modifier- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Le débroussaillement s'applique notamment aux abords de constructions, chantiers, travaux ou installations sur une largeur de 50 mètres (selon un principe du droit des assurances, tout propriétaire est tenu d’assurer la protection de ses biens), et de 5 mètres de part et d’autre des voies privées y donnant accès.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
modifier- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
Références
modifierSite de l'Insee
modifierAutres sites
modifier- Carte IGN sous Géoportail
- Structurae
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Fau de Peyre » (commune de Châteauneuf-de-Randon) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Fau de Peyre » (commune de Peyre en Aubrac) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Saint-Chély-d'Apcher », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Les risques près de chez moi - commune de Peyre en Aubrac », sur Géorisques (consulté le ).
- BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
- « Défense des forêts contre l'incendie (DFCI) », sur lozere.gouv.fr (consulté le ).
- « Les risques majeurs dans la Lozère », sur lozere.gouv.fr (consulté le ), chapitre Feux de forêts.
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
- « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Peyre en Aubrac », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
- « Les risques majeurs dans la Lozère », sur lozere.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
- « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le ).
- « Recueil des actes administratifs des services de l'État en Lozère », sur lozere.gouv.fr, 15 septembre 2016, p 144-148 (consulté le ).
- « communauté de communes des Hautes Terres de l'Aubrac - fiche descriptive au », sur la Base nationale sur l'intercommunalité (consulté le ).
- « Découpage électoral de la Lozère (avant et après la réforme de 2010) », sur politiquemania.com (consulté le ).
- « L’élection du nouveau conseil municipal avec un public restreint », sur Midi Libre, (consulté le ).
- Décret n° 2020-206 du 5 mars 2020, modifiant le décret n° 2014-245 du 25 février 2014 portant délimitation des cantons dans le département de la Lozère.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département de la Lozère (48) », (consulté le ).