Philippe Danilo

personnalité politique française

Philippe Danilo, né le aux Fougerêts (Morbihan) et mort le à Vannes (Morbihan)[1], est un homme politique français.

Philippe Danilo
Fonctions
Député français

(14 ans, 3 mois et 23 jours)
Élection 30 novembre 1958
Réélection 25 novembre 1962
12 mars 1967
30 juin 1968
Circonscription 7e du Rhône
Législature Ire, IIe, IIIe et IVe (Cinquième République)
Groupe politique UNR (1958-1962)
UNR-UDT (1962-1967)
UD-Ve (1967-1968)
UDR (1968-1973)
Prédécesseur Circonscription créée
Successeur Frédéric Dugoujon
Maire de La Mulatière

(29 ans)
Conseiller général du Rhône

(17 ans)
Circonscription Canton de Saint-Genis-Laval
Biographie
Nom de naissance Joseph Marie Philippe Danilo
Date de naissance
Lieu de naissance Les Fougerêts (Morbihan)
Date de décès (à 85 ans)
Lieu de décès Vannes (Morbihan)
Nationalité Française
Parti politique Rassemblement du peuple français
Profession représentant

Biographie

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Né dans le Morbihan, aux Fougerêts, Philippe Danilo y passa son enfance et son adolescence, dans une famille de cultivateur. Il a poursuivi ses études jusqu'au baccalauréat, puis devient représentant. Il se marie à Nantes, en 1922. Ce n'est qu'après la Seconde Guerre mondiale qu'il s'installe dans la banlieue lyonnaise. Il rejoint Rassemblement du peuple français (RPF) dès sa création par le Général de Gaulle au début de 1947. En 1953, le RPF étant de moins en moins actif, Philippe Danilo rejoint alors le Centre national des républicains sociaux[2].

Détail des fonctions et des mandats

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Mandats locaux

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Du 1947 au 1976, Philippe Danilo est élu maire de La Mulatière.

Du Octobre 1947 à 1964, il est élu conseiller général du canton de Saint-Genis-Laval.

Mandats parlementaires

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Du au , il est élu député de la 7e circonscription du Rhône : Il s’inscrit au groupe de l'Union pour la nouvelle République. Il siège à la Commission de la production et des échanges. Il fait quelques interventions dans l'hémicycle, notamment le , où il interroge le secrétaire d’État aux finances, Valéry Giscard d’Estaing, sur l’opportunité du maintien des zones de salaires. Le , il est élu secrétaire de l’Assemblée nationale, poste qu'il occupera quelques mois[2].

Du au , il est élu, pour son second mandat, député de la 7e circonscription du Rhône : il sera membre de la Commission de la Production et des échanges. À partir d'avril 1966, il rejoint la Commission des lois constitutionnelles, de la législation et de l’administration générale de la République. La même année, il est de nouveau élu secrétaire de l’Assemblée nationale[2].

À partir du au , il est élu, pour son troisième mandat, en tant que député de la 7e circonscription du Rhône[2]

Du au , il est élu, pour son dernier mandat de député de la 7e circonscription du Rhône : Comme lors de son premier mandat, il ’inscrit au groupe de l'Union pour la nouvelle République et siège à la Commission de la production et des échanges[2].

Notes et références

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Voir aussi

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Articles connexes

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Lien externe

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