Place Albert-1er

place de Montpellier, France

Place Albert-1er
Image illustrative de l’article Place Albert-1er
Place Albert-1er
Situation
Coordonnées 43° 36′ 56″ nord, 3° 52′ 28″ est
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Ville Montpellier
Quartier(s) Centre-Ville - Écusson
Histoire
Anciens noms place de l'Hôpital Général (1662-1934)
Monuments Hôpital Général Saint-Charles
Chapelle Saint-Charles
Géolocalisation sur la carte : Montpellier
(Voir situation sur carte : Montpellier)
Place Albert-1er
Géolocalisation sur la carte : Hérault
(Voir situation sur carte : Hérault)
Place Albert-1er
Géolocalisation sur la carte : Occitanie (région administrative)
(Voir situation sur carte : Occitanie (région administrative))
Place Albert-1er
Géolocalisation sur la carte : France
(Voir situation sur carte : France)
Place Albert-1er

La place Albert-1er à Montpellier est une place du centre de la ville.

Situation et accès modifier

La place est desservie par la ligne 1 mais aussi par la ligne 4 dont elle a constitué le terminus jusqu'au , date de l'inauguration du dernier tronçon de la ligne 4 lui permettant de circuler intégralement autour du Centre-ville.

Depuis , la piste-cyclable derrière l'arrêt de tram « place Albert-1er - Saint-Charles », le long du quai des tanneurs, accueille le 1er totem de comptage cycliste de la métropole de Montpellier. Il s'agit d'un totem de type Eco-Compteur[1].

Origine du nom modifier

Elle rend hommage au Roi des Belges pour sa participation à la Première Guerre mondiale.

Historique modifier

À l'origine, la place est nommée place de l'Hôpital-Général en 1682 par rapport à l'hôpital général construit à proximité à la demande de Louis XIV en juin 1662. Les travaux commencèrent en 1680.

Elle prend son nom actuel le .

Le plus grave accident connu sur l'ensemble de l'ancien réseau de tramway a lieu le  : une rame de la ligne 5 ne parvient pas à ralentir dans la descente du boulevard Henri-IV. Elle quitte les rails et se fracasse sur la place. Il y a sept morts et 23 blessés. Sont mis en cause l'entretien des rails, de la voiture et de ses sablières automatiques[2].

Bâtiments remarquables et lieux de mémoire modifier

Notes et références modifier

  1. « Montpellier : les pistes cyclables incitent-elles à prendre le vélo ? », sur Actu.fr, (consulté le ).
  2. Roland Jolivet, Montpellier secrète et dévoilée, Montpellier, chez l'auteur, Imp. Fournié, Balma (Haute-Garonne), , 170 p., rel., 26 × 20,5 cm (ISBN 2-9513984-3-3, présentation en ligne), p. 104 et 105.

Voir aussi modifier

Articles connexes modifier