Plumelin

commune française du département du Morbihan

Plumelin
Plumelin
La croix de Kercloarec.
Blason de Plumelin
Héraldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bretagne
Département Morbihan
Arrondissement Pontivy
Intercommunalité Communauté de communes Centre Morbihan Communauté
Maire
Mandat
Pierre Guégan
2020-2026
Code postal 56500
Code commune 56174
Démographie
Gentilé Plumelinois, Plumelinoise
Population
municipale
2 796 hab. (2021 en augmentation de 2,16 % par rapport à 2015)
Densité 89 hab./km2
Population
agglomération
11 647 hab.
Géographie
Coordonnées 47° 51′ 45″ nord, 2° 53′ 12″ ouest
Altitude Min. 42 m
Max. 153 m
Superficie 31,33 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Locminé
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Grand-Champ
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Plumelin
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Plumelin
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Plumelin
Liens
Site web http://www.mairie-plumelin.fr/

Plumelin [plymlɛ̃] (Pluverin en breton) est une commune française, située dans le département du Morbihan en région Bretagne.

Géographie modifier

Situation modifier

Communes limitrophes de Plumelin
Guénin Remungol Moréac
Plumelin Locminé
La Chapelle-Neuve Moustoir-Ac

Cette commune est située à l'ouest de Locminé, et est bordée par Moustoir-Ac, La Chapelle-Neuve, Évellys et Moréac.

Relief et hydrographie modifier

L'ancien étang du Bois d'amour, lequel était à cheval sur les communes de Locminé et Plumelin : un vaste chantier de renaturation entraînant la suppression de l'étang du Bois d'amour a été entrepris en 2023, le barrage de retenue du plan d'eau étant désormais considéré comme obsolète et étant un obstacle à la circulation des poisson et des sédiments (l'étang était très envasé et la qualité de l'eau en baisse)[1] : l'abaissement de la digue et la vidange du plan d'eau ont été décidées afin que la nature reprenne ses droits ; la disparition de l'étang va rétablir le cours naturel du Signan (affluent de rive droite du Tarun et ancien émissaire de l'étang) et, lorsque la végétation aura repoussé, de nouveaux aménagements légers seront décidés (diguettes paysagères retenant de petites retenues d'eau successives pour ralentir le cours de l'eau, chemins piétonniers, pistes cyclables, etc..[2].

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Bretagne orientale et méridionale, Pays nantais, Vendée, caractérisée par une faible pluviométrie en été et une bonne insolation[4]. Parallèlement l'observatoire de l'environnement en Bretagne publie en 2020 un zonage climatique de la région Bretagne, s'appuyant sur des données de Météo-France de 2009. La commune est, selon ce zonage, dans la zone « Intérieur », exposée à un climat médian, à dominante océanique[5].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 12 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 997 mm, avec 14,2 jours de précipitations en janvier et 7,1 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Moréac à 8 km à vol d'oiseau[6], est de 12,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 043,7 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Plumelin est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[10],[11],[12].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Locminé, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 2 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[13],[14].

Occupation des sols modifier

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Le tableau ci-dessous présente l'occupation des sols de la commune en 2018, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC).

Occupation des sols en 2018
Type d’occupation Pourcentage Superficie
(en hectares)
Tissu urbain discontinu 5,1 % 160
Zones industrielles ou commerciales et installations techniques 0,9 % 27
Extraction de matériaux 1,1 % 33
Terres arables hors périmètres d'irrigation 52,1 % 1637
Prairies et autres surfaces toujours en herbe 9,5 % 238
Systèmes culturaux et parcellaires complexes 20,4 % 640
Surfaces essentiellement agricoles interrompues par des espaces naturels importants 1,8 % 56
Forêts de feuillus 5,8 % 182
Forêts de conifères 2,0 % 64
Forêts mélangées 1,0 % 32
Forêt et végétation arbustive en mutation 0,3 % 10
Source : Corine Land Cover[15]

Toponymie modifier

Le nom de la localité est mentionné sous la forme Plemelin en 1288[16][source insuffisante].

Ce toponyme est composé de Ploe, paroisse primitive, et de l'hagionyme Melin, variante de Merin. Il signifie « paroisse de Melin »[16][source insuffisante].

Histoire modifier

Étymologie et origines modifier

Plumelin est une ancienne paroisse consacrée à saint Mélaine l'évêque de Rennes au Ve siècle.

Selon un aveu de 1471, Plumelin était, au sein de la Vicomté de Rohan, une des 46 paroisses ou trèves de la seigneurie proprement dite de Rohan[17].

Moyen Âge modifier

Sous l'Ancien régime, la paroisse se divisait en sept confréries : La Ferrière, Trescoet, Boternic et Grenil. Luminan qui faisait partie de Plumelin est venue se rattacher à Plumelin au cours du XXe siècle ainsi que Saint-Quidy.

De cette période, Plumelin a conservé deux chapelles : Saint-Jean-du-Poteau et Saint-Quidy.

Époque moderne modifier

Carte de Cassini de Locminé, Moustoir (Moustoir-Ac) et Plumelin (1789).

En 1768, les paroisses de Plumelin, Cléden, Goulien, Esquibien et Plogoff sont victimes d'une épidémie de dysenterie[18].

Le XIXe siècle modifier

En 1841 le décès d'un réfractaire (par légitimisme et hostilité à la Monarchie de Juillet), un nommé Métayer, victime de la fièvre typhoïde, fut le prétexte à plusieurs rassemblements de paysans (à Plumelin le 11 mars, à Moréac le 17 mars et à Naizin un peu plus tard. Métayer n'ayant rien fait d'extraordinaire, « on ne peut voir dans ce déploiement de pompe funéraire que la volonté de présenter comme honorable la conduite des réfractaires, d'encourager la résistance à la loi et de pousser leurs camarades à les imiter »[19].

Une épidémie de variole fit 55 malades (dont 27 moururent) à Plumelin entre 1865 et 1870[20].

Le XXe siècle modifier

La Belle Époque modifier

Le plusieurs maires de la région, dont Le Poittevin, maire de Plumelin, réunis à Pontivy, signent un texte dans lequel ils refusent de surveiller si les prêtres de leur paroisse utilisent la langue française, et non la langue bretonne, lors des leçons de catéchisme et des instructions religieuses[21].

Le journal La Croix du annonce la fermeture de l'école congréganiste Plumelin, qui était tenue par les Filles de Jésus, sur décision du gouvernement d'Émile Combes[22].

La Première Guerre mondiale modifier

Le monument aux morts de Plumelin porte les noms de 87 soldats morts pour la France pendant la Première Guerre mondiale ; parmi eux 8 sont morts en Belgique, 1 (Julien Alain) est mort de maladie sur le navire-hôpital Bien-Hoa, la plupart des autres sont morts sur le sol français ; deux (Casimir Corfmat et Jean Manahèze) ont été décorés de la Médaille militaire et de la Croix de guerre, deux (Jean Guyot et Jean Tamhouët) de la Médaille militaire et quatre (Émile Allanic,Jean Le Bouler, Jean Morice et Pierre Pépion) de la Croix de guerre[23].

Le , Joachim Le Crom, maire de Plumelin, est condamné par le tribunal de Pontivy « pour avoir refusé d'obtempérer aux rdres de réquisition du président de la commission de ravitaillement de Vannes »[24].

L'Entre-deux-guerres modifier

La Seconde Guerre mondiale modifier

Le monument aux morts de Plumelin porte les noms de 14 personnes mortes pour la France pendant la Seconde Guerre mondiale ; parmi elles Alfred Allanic, malot canonnier à bord de l'aviso Vauquois (coulé après voir été victime d'une mine le ), décoré de la Médaille militaire et de la Croix de guerre et Joachim Manahèze, mort en captivité en Allemagne[23].

L'après Seconde Guerre mondiale modifier

Un soldat (Ange Le Gal) originaire de Plumelin est mort pour la France pendant la guerre d'Indochine et 4 (Ferdinand Bohelay, René Corfmat, L. Duclos et H. Morice) pendant la guerre d'Algérie[23].

Football modifier

Le club de Plumelin Sports à l'époque sous le nom de la « Garde Saint Melaine » naissait en 1941 sous l'impulsion d’Émile Laudrin et de Jean Corlay notamment.

C'est en 1970 que la Garde Saint Melaine prend le nom de Plumelin Sports et, dans cette même année, la première équipe de jeune voyait le jour.

En 1974, le club ayant étoffé son effectif accède pour la première fois de son histoire en 1re division.

Après deux saisons en 1re division et cinq matchs de barrages exceptionnels, le club accède en 1976 à la promotion d'honneur poursuivant sa montée en puissance en accédant à la division régionale d'honneur en 1981.

Après quelques saisons difficile, le club repart sur des bases saines en championnat de district.

En 1999, sous l'impulsion du Président Louis Le Bellego, les verts et blancs retrouvent la DRH qu'ils avaient quitté quelques années auparavant.

Les années 2005-2010 furent des années de « transition », le club en restructuration pendant ces cinq années oscille les hauts et les bas et ne parvient pas à faire son retour en Ligue. Plumelin Sport évoluant alors en 2e division de district en 2010, va entamer une montée en puissance fulgurante, pour ainsi retrouver sa place parmi les championnats de Ligue. Les arrivées successives d'un nouvel entraineur, Nicolas le Nouail et d'un nouveau président, Eric Maréchal ont effectivement permises à Plumelin Sports de monter trois fois en quatre saisons, offrant ainsi l'opportunité au club de retrouver la DRH en 2015. Cette même saison, l'équipe première accède pour la 1re fois depuis plus de dix ans au 5e tour de la Coupe de France (élimination contre l'US La Gacilly 2 buts à 1).

On trouve à présent dans le club de Plumelin Sports, des équipes de jeunes allant de U8-U9 à U15, ainsi qu'une équipe féminine.

Blasonnement modifier

Les armoiries de Plumelin se blasonnent ainsi :
D’azur au sautoir d’or chargé en cœur d’une moucheture d’hermine de sable, cantonné en chef et aux flancs de trois gerbes de blé et en pointe d’une macle, le tout aussi d’or.

Depuis le , la commune de Plumelin a adopté les armoiries ci-dessus. La symbolique rappelle deux familles importantes de la commune : la famille de Langle possesseur de plusieurs seigneuries sur le territoire de Plumelin et la famille Gibon de Plumelin.

Politique et administration modifier

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
? ? Pierre Le Pallec    
1835 1848 Antoine Le Sergent    
Les données manquantes sont à compléter.
1947 1949 Vincent Dérian    
1949 1959 Joseph Le Brazidec    
mars 1959 mars 1989 Léon Le Tutour   Agriculteur
mars 1989 juin 1995 René Picaut DVD  
juin 1995 mars 2014 Agnès Le Gougaud DVD puis UMP Cadre infirmier
mars 2014
Réélu en 2020[25]
En cours Pierre Guégan DVD Conducteur de travaux
Conseiller départemental de Grand-Champ (2021 → )
Les données manquantes sont à compléter.

Démographie modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[27].

En 2021, la commune comptait 2 796 habitants[Note 3], en augmentation de 2,16 % par rapport à 2015 (Morbihan : +3,21 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
2 2862 0382 3202 3362 4802 3322 4742 5902 533
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
2 4982 5032 5231 6591 7661 8592 0072 0782 201
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
2 2432 0852 1602 2212 3492 4562 4902 4452 236
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
2 0501 8641 7151 8091 7481 7852 2322 2952 641
2017 2021 - - - - - - -
2 7232 796-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[28] puis Insee à partir de 2006[29].)
Histogramme de l'évolution démographique

Langue bretonne modifier

À la rentrée 2016, 40 élèves étaient scolarisés dans la filière bilingue catholique (soit 16,1 % des enfants de la commune inscrits dans le primaire) [30].

Lieux et monuments modifier

Personnalités liées à la commune modifier

Notes et références modifier

Notes modifier

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Références modifier

  1. « Locminé. Au Bois d’Amour, la restauration hydraulique du Signan va commencer », Journal Ouest-France,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  2. « Locminé. L’étang à moitié vidé pour la renaturation du bois d’Amour », Journal Ouest-France,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  5. « Les zones climatiques en Bretagne. », sur bretagne-environnement.fr, (consulté le )
  6. « Orthodromie entre Plumelin et Moréac », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Moreac » (commune de Moréac) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Station Météo-France « Moreac » (commune de Moréac) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  10. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  12. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Locminé », sur insee.fr (consulté le ).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. « Données statistiques sur les communes de Métropole ; Répartition des superficies en 44 postes d'occupation des sols (métropole) », sur CORINE Land Cover, (consulté le ).
  16. a et b Michel Priziac, Michel Mohrt - 2002 - Bretagne des saints et des croyances - Page 155.
  17. Théodore Derome, « De l'usement de Rohan ou du domaine congéable », Revue critique de législation et de jurisprudence,‎ , p. 257-258 (lire en ligne, consulté le ).
  18. A. Dupuy, Les épidémies en Bretagne au XVIIIème siècle", revue "Annales de Bretagne", 1886, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k214900h/f43.image.r=Plogoff.langFR
  19. « On écrit de Ploërmel à l'Auxiliaire breton », Niederrheinischer Kurier,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  20. Dr Alfred Fouquet, Compte-rendu des épidémies, des épizooties et des travaux des conseils d'hygiène du Morbihan, Vannes, Impr. de J.-M. Galles, (lire en ligne), page 6.
  21. « La langue bretonne dans le Morbihan », Journal La Dépêche de Brest et de l'Ouest,‎ , page 2 (lire en ligne, consulté le ).
  22. Journal La Croix n° 6360 du 3 janvier 1904, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k220217g/f3.image.r=Clohars%20Fouesnant.langFR
  23. a b et c « Plumelin », sur MémorialGenWeb, (consulté le ).
  24. « Le ravitaillement civil. Trois maires condamnés », Journal La Dépêche de Brest et de l'Ouest,‎ , page 3 (lire en ligne, consulté le ).
  25. « Pierre Guégan retrouve son siège de maire pour un second mandat », sur Le Télégramme, (consulté le ).
  26. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  27. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  28. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  29. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  30. (en) « Opab Oplb : le blog de la formation et du développement personnel », sur opab-oplb (consulté le ).
  31. Joseph-Marie Le Mené, Histoire archéologique, féodale et religieuse des Paroisses du Diocèse de Vannes, Éditions Gallès, Vannes, 1891-1894, deux volumes, Reprint Slatkine/Coop Breizh, 1994
  32. L'inventaire du patrimoine culturel en Bretagne, « Château de Guénanec (Plumelin) », sur Bretania, (consulté le ).

Voir aussi modifier

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Articles connexes modifier

Liens externes modifier