Portail:Historiographie/Lumière sur
IntroductionLa section Lumière sur du portail permet de mettre en avant aléatoirement une biographie parmi les différentes sélections proposées ci-dessous. Pour ajouter un article au tirage aléatoire, veuillez suivre les étapes ci-dessous :
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Sélection 1Si le contenu du DHS couvre l'ensemble des périodes historiques sur le territoire actuel suisse, une importance plus grande est donnée en fonction du matériel historique disponible : ainsi, 10 % des articles couvriront la période allant du Paléolithique jusqu'au début du Moyen Âge, alors que 20 % de ceux-ci traiteront de la période entre la Première Guerre mondiale et la fin du XXe siècle Avant d'écrire le premier article, la liste complète des entrées a été définie en s'appuyant sur des critères définis à l'avance, permettant ainsi, au bout de trois ans de travail, de limiter cette liste à 36 000 articles qui se répartissent en quatre catégories : les biographies qui représentent 35 % du nombre total d'articles, les familles et la généalogie qui forment environ 10 %, la géographie (comprenant entre autres les communes, cantons, les bailliages ou sites archéologiques) pour près d'un tiers du total ; les quelque 25 % restants sont répartis dans différents thèmes, tels que les phénomènes et concepts historiques ou les institutions. La taille des articles n'est pas fixée et varie, selon le sujet, de quelques lignes à plusieurs pages. Aussi bien la rédaction des articles que la saisie de la liste des entrées ou la gestion du projet lui-même utilisent largement le support informatique. Ainsi, depuis 1992, les textes sont saisis dans un format conforme à la norme ISO-SGML. Cela permet notamment d'automatiser la conversion dans le format HTML, utilisé dans les pages Web. |
Sélection 2Le débat autour de la Kriegsschuldfrage n'a pas seulement mobilisé les historiens, comme Hans Delbrück, Wolfgang J. Mommsen, Gerhard Hirschfeld ou Fritz Fischer, mais un cercle bien plus large comprenant de nombreux intellectuels, comme Kurt Tucholsky ou Siegfried Jacobsohn, ainsi que l'opinion publique. L'histoire de la République de Weimar a été imprégnée de part en part par la Kriegsschuldfrage : fondée peu de temps avant la signature du Traité de Versailles, elle incarnera jusqu'à sa disparition ce débat qui sera repris comme argument de campagne par les nationaux-socialistes. Si la Kriegsschuldfrage a permis de rechercher les origines profondes de la Première Guerre mondiale — non sans provoquer de nombreuses polémiques —, elle a également permis de dégager d'autres aspects du conflit comme le rôle des masses ou la question du Sonderweg. Ce débat qui a bloqué de nombreuses années la progression politique allemande a également montré que des hommes politiques comme Gustav Stresemann ont pu se confronter au problème de la responsabilité en faisant avancer la réflexion générale sans transiger sur les intérêts allemands. Bien que depuis 1945 de nombreux débats semblables aient eu lieu, le concept concerne plus particulièrement le premier conflit mondial. |
Sélection 3Il subsiste neuf manuscrits de la Chronique, d'importance historique variable. Tous ne sont pas conservés dans leur intégralité, et aucun d'entre eux n'est le manuscrit original. La rédaction de la plus ancienne copie subsistante semble avoir débuté vers la fin du règne d'Alfred, tandis que la plus récente a été composée à l'abbaye de Peterborough après un incendie ayant frappé le monastère en 1116. La quasi-totalité du contenu des chroniques se présente sous forme d'annales. Elles commencent toutes avec l'année 60 av. J.-C., et décrivent l'histoire des Anglo-Saxons jusqu'à l'année de leur rédaction. Des ajouts successifs leur ont été ensuite apportés au fil du temps. C'est l'ensemble de ces manuscrits qui est désigné sous le nom de « Chronique anglo-saxonne ». La Chronique n'est pas une source neutre : parfois, la comparaison avec d'autres sources médiévales montre que ses compilateurs ont omis des faits, ou les ont relatés de façon partiale. En outre, il arrive que les différentes versions de la Chronique se contredisent par endroits. Toutefois, prise dans son ensemble, elle constitue la principale source historique pour la période s'étendant entre l'abandon de la Bretagne par les Romains en 410 et la conquête normande de l'Angleterre en 1066 : une grande partie des informations présentes dans la Chronique n'apparaît nulle part ailleurs. Ses manuscrits sont également des sources importantes pour l'histoire de la langue anglaise : la fin du texte de la Chronique de Peterborough est notamment l'un des plus anciens exemples connus de moyen anglais. Sept des neuf manuscrits subsistants de la Chronique anglo-saxonne sont conservés à la British Library. Les deux autres se trouvent à la bibliothèque bodléienne d'Oxford et à la bibliothèque du Corpus Christi College de Cambridge. |
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