Saint-André-de-la-Roche
Saint-André-de-la-Roche est une commune française située dans le département des Alpes-Maritimes, en région Provence-Alpes-Côte d'Azur. À compter du , Saint-André-de-Nice devient Saint-André-de-la-Roche.
Saint-André-de-la-Roche | |||||
Vue en hauteur du centre du village. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Provence-Alpes-Côte d’Azur | ||||
Département | Alpes-Maritimes | ||||
Arrondissement | Nice | ||||
Intercommunalité | Métropole Nice Côte d'Azur | ||||
Maire Mandat |
Jean-Jacques Carlin 2020-2026 |
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Code postal | 06730 | ||||
Code commune | 06114 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Saint-Andréens | ||||
Population municipale |
5 782 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 2 022 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 43° 44′ 28″ nord, 7° 17′ 18″ est | ||||
Altitude | Min. 43 m Max. 383 m |
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Superficie | 2,86 km2 | ||||
Type | Grand centre urbain | ||||
Unité urbaine | Nice (banlieue) |
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Aire d'attraction | Nice (commune du pôle principal) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Nice-7 | ||||
Législatives | Troisième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Alpes-Maritimes
Géolocalisation sur la carte : Provence-Alpes-Côte d'Azur
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modifier |
Ses habitants sont appelés les Saint-Andréens.
Géographie
modifierLocalisation
modifierCommune périurbaine au nord de Nice, entre le quartier de l’Ariane et la commune de Falicon.
Géologie et relief
modifierSaint-André-de-la-Roche est situé entre la colline de Cimiez et celle de l'Abadie[1].
Sismicité
modifierCommune située dans une zone de sismicité moyenne[2],[3].
Hydrographie et les eaux souterraines
modifierCours d'eau sur la commune ou à son aval[4] :
- torrent le paillon,
- Le village est traversé par ruisseau la Banquière, un affluent du Paillon.
Saint-André-de-la-Roche dispose de la station d'épuration intercommunale de Nice d'une capacité de 650 000 équivalent-habitants[5].
Climat
modifierEn 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen altéré, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[6]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat méditerranéen et est dans la région climatique Var, Alpes-Maritimes, caractérisée par une pluviométrie abondante en automne et en hiver (250 à 300 mm en automne), un très bon ensoleillement en été (fraction d’insolation > 75 %), un hiver doux (8 °C) et peu de brouillards[7].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 15,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 804 mm, avec 6 jours de précipitations en janvier et 2,2 jours en juillet[6]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Nice », sur la commune de Nice à 5 km à vol d'oiseau[8], est de 16,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 791,3 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 37,7 °C, atteinte le ; la température minimale est de −7,2 °C, atteinte le [Note 1],[9],[10].
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
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Température minimale moyenne (°C) | 5,8 | 6,1 | 8,3 | 10,8 | 14,5 | 18,1 | 20,8 | 21,1 | 17,7 | 14 | 9,7 | 6,6 | 12,8 |
Température moyenne (°C) | 9,5 | 9,8 | 11,8 | 14,1 | 17,7 | 21,4 | 24,1 | 24,5 | 21,2 | 17,5 | 13,3 | 10,3 | 16,3 |
Température maximale moyenne (°C) | 13,3 | 13,5 | 15,4 | 17,4 | 21 | 24,7 | 27,5 | 27,9 | 24,8 | 21 | 17 | 14,1 | 19,8 |
Record de froid (°C) date du record |
−7,2 09.01.1985 |
−5,8 10.02.1986 |
−5 06.03.1971 |
2,9 10.04.1970 |
3,7 02.05.1945 |
8,1 06.06.1969 |
11,7 10.07.1969 |
11,4 14.08.1948 |
7,6 27.09.1972 |
4,2 30.10.1950 |
0,1 22.11.1998 |
−2,7 03.12.1973 |
−7,2 1985 |
Record de chaleur (°C) date du record |
22,5 20.01.12 |
25,8 14.02.1990 |
26,1 02.03.07 |
26,1 08.04.22 |
31,4 27.05.22 |
36,8 29.06.1945 |
37 25.07.15 |
37,7 01.08.06 |
33,9 07.09.1962 |
29,9 11.10.1981 |
25,4 04.11.04 |
22 23.12.1954 |
37,7 2006 |
Ensoleillement (h) | 1 567 | 1 661 | 218 | 2 292 | 2 709 | 3 098 | 3 493 | 3 232 | 2 498 | 1 911 | 1 515 | 1 452 | 27 605 |
Précipitations (mm) | 73,5 | 53,6 | 51 | 68,8 | 40,3 | 35,7 | 13,6 | 17,2 | 81 | 127,9 | 138,4 | 90,3 | 791,3 |
Diagramme climatique | |||||||||||
J | F | M | A | M | J | J | A | S | O | N | D |
13,3 5,8 73,5 | 13,5 6,1 53,6 | 15,4 8,3 51 | 17,4 10,8 68,8 | 21 14,5 40,3 | 24,7 18,1 35,7 | 27,5 20,8 13,6 | 27,9 21,1 17,2 | 24,8 17,7 81 | 21 14 127,9 | 17 9,7 138,4 | 14,1 6,6 90,3 |
Moyennes : • Temp. maxi et mini °C • Précipitation mm |
Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[11]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[12].
Voies de communications et transports
modifierVoies routières
modifierL'autoroute A8 est proche de l'entrée de la commune et permet notamment d'aller vers Monaco, Menton et l'Italie.
Située à 15 minutes du cœur de la ville niçoise, elle est donc également à proximité de la mer et de la promenade des Anglais.
Transports en commun
modifierTransport en Provence-Alpes-Côte d'Azur
- Commune desservie par le réseau Lignes d'Azur.
- Créabus : le transport à la demande[13].
Intercommunalité
modifierCommune membre de la Métropole Nice Côte d'Azur.
Urbanisme
modifierTypologie
modifierAu , Saint-André-de-la-Roche est catégorisée grand centre urbain, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[14]. Elle appartient à l'unité urbaine de Nice, une agglomération intra-départementale dont elle est une commune de la banlieue[15],[16]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nice, dont elle est une commune du pôle principal[Note 2],[16]. Cette aire, qui regroupe 100 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[17],[18].
Occupation des sols
modifierL'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (76,6 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (26 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (61,6 %), forêts (23,2 %), mines, décharges et chantiers (12,6 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (2,2 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,3 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,2 %)[19].
L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Communes limitrophes
modifierClimat
modifierIl est de type méditerranéen, avec des températures minimales annuelles de −2 °C. Il peut parfois geler l'hiver mais ses hivers restent doux et secs. Les maximales l'été peuvent atteindre 35 °C. Somme toute, son climat est semblable à celui de Nice, avec malgré tout 1 ou 2 degrés de moins.
Toponymie
modifierHistoire
modifierSaint-André est mentionné une première fois dans un testament d'Odile en 999[20].
Saint-André appartient pour un quart à l'abbaye de Saint-Pons. Les trois autres quarts sont liés au fief de Revel qui se trouve au quartier de Tourrette (Tourrette-Levens).
Par mariage, le fief de Revel avec une partie de Saint-André est revenu aux Thaon, seigneurs de Lantosque, en 1628. Après rachat d'autres terres, le fief est devenu le comté de Revel et Saint-André au profit des Thaon qui prennent le nom de Thaon de Revel.
Héraldique
modifierBlason | D’azur au bouc d’or issant d'une mer d’argent ondée de sinople mouvant de la pointe, tenant dans sa gueule un serpent de sable, écaillé d’argent et tortillé en pal, accompagné en canton dextre du chef d’une étoile d’or[21]. |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Politique et administration
modifierTendances politiques et résultats
modifierListe des maires
modifierBudget et fiscalité 2019
modifierEn 2019, le budget de la commune était constitué ainsi[22] :
- total des produits de fonctionnement : 5 055 000 €, soit 940 € par habitant ;
- total des charges de fonctionnement : 4 547 000 €, soit 845 € par habitant ;
- total des ressources d'investissement : 3 138 000 €, soit 583 € par habitant ;
- total des emplois d'investissement : 2 577 000 €, soit 479 € par habitant ;
- endettement : 5 328 000 €, soit 993 € par habitant.
Avec les taux de fiscalité suivants :
- taxe d'habitation : 12,25 % ;
- taxe foncière sur les propriétés bâties : 11,96 % ;
- taxe foncière sur les propriétés non bâties : 18,08 % ;
- taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0,00 % ;
- cotisation foncière des entreprises : 0,00 %.
Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2017 : médiane en 2017 du revenu disponible, par unité de consommation : 20 630 €[23].
Population et société
modifierDémographie
modifierÉvolution démographique
modifierL'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[24]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[25].
En 2021, la commune comptait 5 782 habitants[Note 3], en évolution de +6,68 % par rapport à 2015 (Alpes-Maritimes : +1,99 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Enseignement
modifierÉtablissements d'enseignements[28] :
- Écoles maternelles[29] et primaires,
- Collèges à Nice, La Trinité,
- Lycées à Nice, Gassin.
Santé
modifierProfessionnels et établissements de santé[30] :
- Médecins à Saint André de la Roche, Falicon, La Trinité, Drap,
- Pharmacies à Saint André de la Roche, La Trinité, Drap,
- Hôpitaux à Nice.
Cultes
modifier- Culte catholique, Paroisse Saint-Pons[31], Diocèse de Nice.
Sécurité
modifierLa commune est classée dans son ensemble depuis 2012 en zone de sécurité prioritaire, avec renforcement des effectifs de la police nationale. En effet, la commune « souffre plus que d’autres d’une insécurité quotidienne et d’une délinquance enracinée »[32] et « connaît depuis quelques années une dégradation importante de ses conditions de sécurité »[32], ce qui a été identifié comme tel par le Ministère de l'Intérieur du Gouvernement Jean-Marc Ayrault, permettant ainsi à ce territoire de bénéficier de policiers supplémentaires.
Économie
modifierEntreprises et commerces
modifierAgriculture
modifierTourisme
modifier- Gites et chambres d'hôtes à Falicon, Tourette-Levens, La Trinité, Drap[35].
Commerces et services
modifier- Commerces de proximité.
- Maison des solidarités départementales (MSD) et Protection Maternelle Infantile (PMI).
Jumelages
modifierLieux et monuments
modifier- L'église Saint-André[36].
- Le château de Saint-André[37], construit par la famille Thaon de Revel au XVIIIe siècle[38]. La chapelle du château[39] renferme des fresques qui ont été attribuées sans preuve aux Van Loo. Après le rattachement du comté de Nice à la France, en 1860, les propriétaires le vendent à l'hospice Saint-Paul.
- Les façades et toitures du château et la chapelle du château[40] ont été inscrites sur l'inventaire supplémentaire des monuments historiques. Mais le grand salon central et ses galeries latérales, le vestibule du logis d'habitation Est, le petit salon à coupole d'arabesques, le salon à sujet mythologique (le temps et la mort), le salon à décor d'architecture baroque en trompe-l’œil avec leur décor ont eux été classés au titre des monuments historiques, par arrêtés du [41].
- La chapelle Sainte-Claire-La-Gleia de l'Abadie[42].
- La grotte de Saint-André[43] est une arche naturelle de 50 mètres constituée par une perte du torrent de la Banquière, similaire à la perte de l'Argens dans le Var. Le pont naturel ainsi formé permet l'accès sud à la carrière de Saint-André. Près de l'entrée amont de la galerie, en rive gauche, sourd, en fonction de ses réserves, une source dont l'eau est à température constante (17-18 °C). La source est connue depuis le XIXe siècle pour la tiédeur de ses eaux.
- L'ancienne structure pyramidale était jadis située au confluent du Paillon et de la Banquière, à la sortie nord-est de Nice. D’après les anciennes photos, l’ensemble, formé de degrés pouvait mesurer entre 50 et 60 mètres de haut et environ 200 mètres de long. Transformée en carrière de pierres à partir des années 50, elle a depuis disparu et un échangeur de l’autoroute A8 a été construit à sa place[44].
- 3 moulins à farine et 2 moulins à huile[45].
- Monument aux morts[46],[47].
Personnalités liées à la commune
modifier- Famille Thaon de Revel.
- Ange-Marie Miniconi, résistant français, y fut instituteur au début de sa carrière. Il dirigea à Cannes, sous le nom de Commandant Jean-Marie, un important réseau de résistance durant la Seconde Guerre mondiale.
Notes et références
modifierNotes
modifier- Les records sont établis sur la période du au .
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
modifier- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
modifier- Notice no APGLT01531, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mémoire, ministère français de la Culture Saint-André-de-la-Roche, vue générale
- Zonage sismique
- Le risque sismique dans les Alpes-Maritimes
- L'eau dans la commune
- Description de la station NICE-HALIOTIS
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Saint-André-de-la-Roche et Nice », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Nice », sur la commune de Nice - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Nice », sur la commune de Nice - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
- Les transports en commun
- « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Nice », sur insee.fr (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Nice », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Conseil général des Alpes-Maritimes : Le fief de Saint-André et la colline de l'Abadie, par Mgr Denis Ghiraldi
- Dominique Cureau, « Nice Côte d'Azur 1 : Saint-André-de-la-Roche », sur vexil.prov.free.fr (consulté le ).
- Les comptes de la commune
- Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Établissements d'enseignements
- École maternelle
- Professionnels et établissements de santé
- Paroisse Saint-Pons
- [PDF]« Création de 49 nouvelles Zones de Sécurité Prioritaires (ZSP) - dossier de presse »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur interieur.gouv.fr, Ministère de l'Intérieur, (consulté le ).
- La Petite Ferme, une ferme pédagogique
- Petite ferme de l’Abadie
- Gites et chambres d'hôtes
- Église de Saint André de La Roche
- Château de Saint-André
- Château de Saint André de La Roche
- Chapelle du château
- Chapelle du château
- Images de la Base mémoire
- Chapelle Sainte Claire La Gleia
- Grotte de Saint-André
- « Connaissez-vous l'ancienne pyramide de Nice ? », Nice-Matin, 7 août 2015.
- Les moulins
- Monument aux morts
- Monument aux Morts. Conflits commémorés : 1914-1918 - 1939-1945 - Indochine (1946-1954) - AFN-Algérie (1954-1962)
Voir aussi
modifierBibliographie
modifier- Collectif (dir.), Le patrimoine des communes des Alpes-Maritimes en deu, x volumes, vol. II : Cantons de Roquebillière à Canton de Villefranche-sur-Mer, Paris, Flohic Éditions, coll. « Le Patrimoine des Communes de France », , 574 p. (ISBN 2-84234-071-X)Canton de Nice : pp. 703 à 706 : Belvédère
- Saint-André-de-la-Roche suivant le dictionnaire de G Casalis
- La grotte de Saint-André, selon Blessington
- Des pyramides dans les Alpes Maritimes…?
- Présentation de la commune
- Saint-André-de-la-Roche, sur montnice.fr/cartographie/
- CG06 : Saint-André-de-la-Roche
- Chiffres clés publiés par l'institut national de la statistique et des études économiques (INSEE). Dossier complet
- Inventaire national du patrimoine naturel de la commune
- Cavités souterraines naturelles
Articles connexes
modifierLiens externes
modifier- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Saint-André-de-la-Roche sur le site de l'Institut géographique national
- Le patrimoine architectural et mobilier des communes sur le site officiel du ministère français de la Culture (Bases Mérimée, Palissy, Palissy, Mémoire, ArchiDoc), Médiathèque de l'architecture et du patrimoine (archives photographiques) diffusion RMN, et service régional de l'inventaire général de la direction de la Culture et du Patrimoine de la Région PACA]
- Site de la Direction Régionale de l’Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL) et Inventaire et protections réglementaires de l'environnement des communes