Riom-ès-Montagnes
Riom-ès-Montagnes (prononcé [ʁjɔ̃ ɛs mɔ̃taɲ] ; Riòm de las Montanhas en occitan) est une commune française située dans le département du Cantal, en région d'Auvergne-Rhône-Alpes.
Riom-ès-Montagnes | |||||
Vue générale de Riom-ès-Montagnes. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Auvergne-Rhône-Alpes | ||||
Département | Cantal | ||||
Arrondissement | Mauriac | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du Pays Gentiane (siège) |
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Maire Mandat |
François Boisset 2020-2026 |
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Code postal | 15400 | ||||
Code commune | 15162 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Riomois, Riomoises | ||||
Population municipale |
2 428 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 52 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 45° 16′ 59″ nord, 2° 39′ 38″ est | ||||
Altitude | Min. 575 m Max. 1 102 m |
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Superficie | 46,48 km2 | ||||
Type | Bourg rural | ||||
Unité urbaine | Riom-ès-Montagnes (ville isolée) |
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Aire d'attraction | Hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Riom-ès-Montagnes (bureau centralisateur) |
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Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Cantal
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
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Liens | |||||
Site web | ville-riom-es-montagnes.fr/ | ||||
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Ses habitants sont appelés les Riomois et Riomoises[1].
Géographie
modifierLocalisation
modifierLa commune de Riom-ès-Montagnes, principale ville du « Pays Gentiane », se situe au nord-ouest du département du Cantal, et au cœur du parc naturel régional des volcans d'Auvergne.
Située entre les Monts Dore et les Monts du Cantal à une altitude de 840 mètres, Riom-ès-Montagnes compte 2 428 habitants en 2021.
Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de 7 communes :
Hydrographie
modifierLa rivière Véronne[3], traverse Riom-ès-Montagnes. Elle se jette dans la Petite Rhue[4] qui marque la limite entre Riom-ès-Montagnes et les communes voisines de Marchastel et Saint-Amandin.
Le barrage de Journiac se trouve en partie sur la commune, sur la Petite Rhue à la limite avec Saint-Amandin.
D'autres cours d'eau sillonnent la commune comme le ruisseau de la Grolle[5], le ruisseau du Cheylat[6], le Soulou[7]…
Climat
modifierEn 2010, le climat de la commune est de type climat de montagne, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[8]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Ouest et nord-ouest du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 900 à 1 500 mm, maximale en automne et en hiver[9].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 8,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 245 mm, avec 13,9 jours de précipitations en janvier et 8,9 jours en juillet[8]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique installée sur la commune est de 9,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 221,4 mm[10],[11]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[12].
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
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Température minimale moyenne (°C) | −2,3 | −2,8 | −0,2 | 2,7 | 5,9 | 9,5 | 11,5 | 10,2 | 7,4 | 5,1 | 1,4 | −1,4 | 3,9 |
Température moyenne (°C) | 2 | 2,4 | 5,3 | 8,9 | 11,9 | 16 | 18,5 | 17,2 | 14,1 | 10,7 | 6 | 3 | 9,7 |
Température maximale moyenne (°C) | 6,3 | 7,5 | 10,8 | 15,2 | 17,9 | 22,5 | 25,5 | 24,2 | 20,7 | 16,4 | 10,6 | 7,5 | 15,4 |
Record de froid (°C) date du record |
−16 31.01.10 |
−19 05.02.12 |
−11,5 13.03.10 |
−8 07.04.08 |
−3,5 03.05.21 |
1 13.06.19 |
3 15.07.16 |
2 29.08.10 |
−1,5 27.09.10 |
−8 29.10.12 |
−12 30.11.21 |
−18,5 18.12.10 |
−19 2012 |
Record de chaleur (°C) date du record |
19,8 28.01.24 |
24,5 27.02.19 |
25 31.03.21 |
26,5 09.04.11 |
32 21.05.22 |
39 28.06.19 |
38,5 24.07.19 |
38 08.08.20 |
33,9 04.09.23 |
30,3 08.10.23 |
26 08.11.15 |
20,1 31.12.22 |
39 2019 |
Précipitations (mm) | 99,7 | 90,2 | 87,5 | 108,6 | 113 | 89,5 | 85,3 | 92,5 | 102,5 | 108,1 | 125,1 | 119,4 | 1 221,4 |
Urbanisme
modifierTypologie
modifierAu , Riom-ès-Montagnes est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[13]. Elle appartient à l'unité urbaine de Riom-ès-Montagnes, une unité urbaine monocommunale constituant une ville isolée[14],[I 1]. La commune est en outre hors attraction des villes[15],[16].
Occupation des sols
modifierL'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (69,4 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (70,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (56,2 %), forêts (22,9 %), zones agricoles hétérogènes (13,3 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (3,5 %), zones urbanisées (3,4 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,6 %), zones humides intérieures (0,1 %)[17]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Lieux-dits, hameaux et écarts
modifier- L'Estampe, dont le nom est Le Temple sur la carte de Cassini de 1783[18].
- La Volumard.
- Freytet, lieu habité depuis le Moyen Âge, comme en témoignent les cases présentes sur le plateau dominant le hameau.
- La Ribeyrette, ferme située à proximité de la croix et de la cascade du même nom.
- Les Bondes et son étang, un écosystème à préserver.
- Rignac, véritable petit village bordé par le Cheylat, rivière affluent de la Sumène.
- Les Mazets, devenu quartier de Riom-ès-Montagnes.
- Roussillou et son étang, lieu de pêche.
Habitat et logement
modifierEn 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 1 709, alors qu'il était de 1 777 en 2013 et de 1 721 en 2008[I 2].
Parmi ces logements, 73,5 % étaient des résidences principales, 10,5 % des résidences secondaires et 16 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 65,9 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 34 % des appartements[I 3].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Riom-ès-Montagnes en 2018 en comparaison avec celle du Cantal et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (10,5 %) inférieure à celle du département (20,4 %) mais supérieure à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 63 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (61,6 % en 2013), contre 70,4 % pour le Cantal et 57,5 pour la France entière[I 4].
Typologie | Riom-ès-Montagnes[I 2] | Cantal[I 5] | France entière[I 6] |
---|---|---|---|
Résidences principales (en %) | 73,5 | 67,7 | 82,1 |
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) | 10,5 | 20,4 | 9,7 |
Logements vacants (en %) | 16 | 11,9 | 8,2 |
Voies de communication et transports
modifierAutrefois très utilisé, le transport ferroviaire reste toujours actif grâce au Gentiane express, train touristique qui circule en Haute-Auvergne, s'arrête en gare de Riom-ès-Montagnes et reprend partiellement l'ancienne ligne de Bort-les-Orgues à Neussargues. Cette ligne fut inaugurée le [19].
Louis Bonnet, créateur de « l'Auvergnat de Paris » a été un précurseur dans ce qui est appelé de nos jours les « voyages organisés ». En 1904, il crée les trains qui portent son nom. Jusqu'en 1939, ils conduisent, à prix réduit, chaque printemps et chaque été, des compatriotes au pays. Une ambiance toute particulière règne dans ces wagons, comme il se doit entre Auvergnats : cabrette et casse-croûte, bourrée sur le quai, à chaque arrêt. Ces voyages passeront à Riom-ès-Montagnes en 1923.
Deux axes se croisent sur dans la ville, l'axe Mauriac/Condat et l'axe Bort-les-Orgues/Murat/Saint-Flour.
La route nationale 678 qui allait de Laguenne à La Sauvetat en passant par Mauriac, Riom-ès-Montagnes et Condat est déclassée en « route départementale 678 » sur le département du Cantal.
Toponymie
modifierDu gaulois rigomagos signifiant le marché du roi. Issu du mot gaulois Rix ou rig, le « roi » local, celui qui percevait sans doute les droits de marché, accompagné du mot gaulois magos qui a d'abord désigné un simple champ, puis un champ de foire, un marché et enfin le village ou la ville qui se développe autour de ce marché.
Histoire
modifierSur la ligne de Bort-les-Orgues à Neussargues, la commune a bénéficié d'une gare mise en service le par la compagnie du chemin de fer de Paris à Orléans. La SNCF a fermé le service voyageurs en 1990 et le trafic marchandise en 1991, mais la gare a retrouvé une activité en 1997 avec l'exploitation touristique partielle de la ligne par le train touristique Gentiane express.
Le gisement de diatomite de La Bade à Collandres (datant du Miocène moyen), dans la vallée de la Véronne approvisionnait l'usine CECA de Riom-ès-Montagnes. Il a été fermé en 1994 du fait de son épuisement. Extraite par des galeries souterraines, la diatomite y était extrêmement pure avec la seule diatomée Cyclotella, de très haute qualité pour les filtrations[20]. Ensuite, l'usine a été approvisionnée depuis le gisement de Foufouilloux située au nord de Murat.
Politique et administration
modifierTendances politiques et résultats
modifierListe des maires
modifierPopulation et société
modifierDémographie
modifierÉvolution démographique
modifierL'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[24]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[25].
En 2021, la commune comptait 2 428 habitants[Note 1], en évolution de −6,29 % par rapport à 2015 (Cantal : −1,36 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Pyramide des âges
modifierLa population de la commune est relativement âgée. En 2021, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 20,5 %, soit un taux inférieur à la moyenne départementale (26,5 %). À l'inverse, le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (47,9 %) est supérieur au taux départemental (36,6 %).
En 2021, la commune comptait 1 145 hommes pour 1 283 femmes, soit un taux de 52,84 % de femmes, supérieur au taux départemental (51,1 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit :
Manifestations culturelles et festivités
modifier- Rallye Gentiane, mai
- Fête de l'Axe Vert, mai
- Fête patronale, 3e week-end de juin
- Festival Entre ciel et terre, juillet
- Festival Es'contes (juillet)
- Fête de la gentiane, juillet
- Salon du livre, août
- Fête de la Rosière, week-end du
- Fête du Bleu d'Auvergne, avant-dernier week-end d'août[29]
- Journées mycologiques de Haute-Auvergne, octobre
- Marché de Noël, décembre
La communauté de communes du Pays Gentiane, l'Office culturel du Pays Gentiane, l'Office de tourisme du Pays Gentiane, la bibliothèque municipale et le milieu associatif en général organisent également plusieurs rendez-vous culturels de septembre à juin (concerts, théâtre, danse, expositions, compétitions sportives…).
Économie
modifierRiom est essentiellement un pôle tertiaire qui employait 1335 personnes en 2012[30]. La santé constitue le premier secteur d'emploi (environ 450 personnes). La ville compte plus de 100 commerçants et artisans ainsi qu'une centaine d'emplois relevant d'administrations centrales (Poste, Trésor Public…)[31].
Agriculture
modifierRiom compte une cinquantaine d'agriculteurs[31]. L'élevage de bovins de la race locale Salers joue un rôle important.
Agroalimentaire
modifierLa fabrication du cantal et du bleu d'Auvergne constitue la principale activité du secteur agroalimentaire. La Société fromagère de Riom est la principal entreprise dans ce domaine qui emploie 180 personnes. Plus de la moitié de la production de Bleu d'Auvergne provient de Riom[29]. La première laiterie est ouverte en 1900 par Charles Seroude et de 1949 à 1958, La vache qui rit y sera fabriquée. L'usine regroupe environ 1 000 agriculteurs au sein de l'UCFC.
Une marque de liqueur de gentiane, l'Avèze est produite localement et emploie quelques personnes.
Industrie
modifierChemviron, filiale de Calgon Carbon, dispose à Riom d'un des trois sites de transformation de la diatomite en France[32]. Celle-ci est désormais extraite du gisement de Foufouilloux situé sur la commune de Virargues. L'entreprise emploie une cinquantaine de personnes à Riom.
Culture locale et patrimoine
modifierLieux et monuments
modifier- Le dolmen de la Cousty.
- L'église Saint-Georges est une église romane bâtie du XIe au XVe siècle. Les chapiteaux du chœur sont classés Monument historique depuis 1924[33].
-
Vue extérieure.
-
Nef.
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Chœur.
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Fond du collatéral droit.
-
Fond.
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Fond du collatéral gauche.
- En 1924, les habitations préhistoriques de Châteauneuf furent aussi classées Monument historique[34].
- La gare de Riom-ès-Montagnes, terminus du train touristique Gentiane express à destination de la gare de Lugarde - Marchastel.
- Le viaduc de Barajol sur la ligne de chemin de fer de Bort-les-Orgues à Neussargues[35],[36].
Autres lieux :
- Maison de la Gentiane (site du parc naturel régional des volcans d'Auvergne) et Espace Avèze[29].
- Sentiers botaniques et randonnées familiales.
- Lacs de Roussillou, des Bondes, de Majonenc.
- Site de Montautel, orgues de Châteauneuf.
- Cascade de la Ribeyrette, sur la rivière le Cheylat.
Personnalités liées à la commune
modifier- Fernand Brun, homme politique, né et mort à Riom-ès-Montagnes.
- Victor Bataille (1887-1975), parlementaire de la Troisième République, né à Riom-ès-Montagnes.
- Georges Bataille (1897-1962), écrivain, a passé une partie de son enfance à Riom pendant la Première Guerre mondiale.
- Henri Delteil (1903-1980), général français, signataire des accords de Genève mettant fin à la guerre d'Indochine.
- Haïm Brezis (1944-2024), mathématicien français, est né à Riom-ès-Montagnes où ses parents s'étaient réfugiés pendant la Seconde Guerre mondiale.
- Didier Arnal (né en 1961), ancien président du Conseil général du Val-d'Oise.
- Pierre-Yves Bournazel, député de la 18e circonscription de Paris.
- Giuseppe Tribus, peintre décorateur italien du Trentin, est venu de Trizac en 1939 peindre des trompe-l'œil, des publicités et des tableaux comme la Font-Sainte daté précisément du , jusqu'à ce que l'Organisation Todt l'envoie construire le mur de l'Atlantique.
Héraldique
modifierBlason | De gueules au lion d'hermine, armé, lampassé et couronné d'or. |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Voir aussi
modifierBibliographie
modifier- Antoine Trin, Riom-ès-Montagnes. Son passé, son développement, ses environs. Clermont-Ferrand, Bussac, 1966, 24 pages.
- Antoine Trin, Riom-ès-Montagnes. Circuits archéologiques, églises romanes. Menet, Éditions cantaliennes, 1974, 24 pages.
Articles connexes
modifierLiens externes
modifier
- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Site officiel du Pays Gentiane
- Chiffres-clés de Riom-ès-Montagnes sur le site de l'Insee
- Riom-ès-Montagnes sur le site de l'Institut géographique national
Notes et références
modifierNotes et cartes
modifier- Notes
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Cartes
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
modifierSite de l'Insee
modifier- Insee, « Métadonnées de la commune ».
- « Chiffres clés - Logement en 2018 à Riom-ès-Montagnes » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Riom-ès-Montagnes - Section LOG T2 » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Riom-ès-Montagnes - Section LOG T7 » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2018 dans le Cantal » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
- « Évolution et structure de la population en 2021 - Commune de Riom-ès-Montagnes (15162). », (consulté le ).
Autres sources
modifier- Les gentilés du Cantal
- Géoportail.
- La Véronne sur le site du Sandre
- La Petie Rhue sur le site du Sandre
- Le ruisseau de la Grolle sur le site du Sandre
- Le ruisseau du Cheylat sur le site du Sandre
- Le Soulou sur le site du Sandre
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Riom-Montagnes » - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Riom-Montagnes » - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Riom-ès-Montagnes », sur insee.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- « Estampes, hameau de Riom-ès-Montagnes », page du Corpus Etampois
- La voie ferrée Bort-Neussargues
- Ph. Rocher, « Mémento diatomite », Rapport BRGM R 38758 - Service minier national, , p 18-19 (lire en ligne)
- Philippe Clavel, Riom-ès-Montagnes : de l'origine à nos jours, Aurillac, Éditions L'âme des mots, , 95 p. (ISBN 978-2-9521346-3-7)
- « Le nouveau conseil municipal a pris ses fonctions », sur La Montagne=, (consulté le ).
- Le PCF dans le Cantal
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département du Cantal (15) », (consulté le ).
- Jean-François Pujante, Valérie Pocheveux, « Le Baladeur de l'été: la fête du Bleu d'Auvergne à Riom-ès-Montagnes dans le Cantal », France Bleu Pays d'Auvergne, (lire en ligne)
- INSEE, « Riom-ès-Montagnes - Évolution et structure de la population », .
- Mairie de Riom, « Riom ès Montagnes - Présentation »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?) (consulté le ).
- « La diatomite, le minerai de la discorde à Saint-Flour », sur La Montagne, (consulté le ).
- « Église Saint-Georges de Riom-ès-Montagnes », notice no PA00093585, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Habitations préhistoriques de Châteauneuf », notice no PA00093586, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Viaduc de Barajols (également sur commune de Saint-Amandin) », notice no PA00093587, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- Le viaduc de Barajol, sur le site Structurae