Roquebillière
Roquebillière [ʁɔkbiljɛʁ] (Rocabiera en dialecte) est une commune française située dans le département des Alpes-Maritimes, en région Provence-Alpes-Côte d'Azur. Ses habitants sont appelés les Roquebilliérois.
Roquebillière | |||||
Vue du nouveau village depuis Belvédère. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Provence-Alpes-Côte d’Azur | ||||
Département | Alpes-Maritimes | ||||
Arrondissement | Nice | ||||
Intercommunalité | Métropole Nice Côte d'Azur | ||||
Maire Mandat |
Gérard Manfredi 2020-2026 |
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Code postal | 06450 | ||||
Code commune | 06103 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Roquebilliérois | ||||
Population municipale |
1 815 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 70 hab./km2 | ||||
Population agglomération |
3 068 hab. (2021) | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 44° 01′ 11″ nord, 7° 18′ 43″ est | ||||
Altitude | Min. 500 m Max. 2 045 m |
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Superficie | 25,92 km2 | ||||
Type | Bourg rural | ||||
Unité urbaine | Roquebillière (ville-centre) |
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Aire d'attraction | Nice (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Tourrette-Levens | ||||
Législatives | Cinquième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Alpes-Maritimes
Géolocalisation sur la carte : Provence-Alpes-Côte d'Azur
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Jusqu'en 1860, le nom officiel était en italien : Roccabigliera.
Géographie
modifierLocalisation
modifierRoquebillière est une commune située en rive droite de la Vésubie dans le département des Alpes-Maritimes, aux portes du parc national du Mercantour.
Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de 5 communes :
Géologie et relief
modifierSituée au cœur de la vallée, elle est encadrée au nord par la Cime de Cayras (1 813 m) et à l'ouest, par les reliefs de la Tête de Siruol (2 053 m) et de la Pointe de Siruol (2 018 m)[1].
Surface de forêt : 1 980 ha, dont domaniale : 150 ha ; communale : 730 ha ; privée : 1 100 ha[2].
Patrimoine naturel
modifier- la Vésubie
- la Cime de Cayras
- le ravin du Drac
- la Tête de Siruol
- la Pointe de Siruol
- Petite grotte de Ranke[3]
- Forêt de la Malune
- Forêt de Sauma-Longa
- Site de Berthemont
- Sources thermales
- Grotte Saint-Julien
Hydrographie et eaux souterraines
modifierCours d'eau sur la commune ou à son aval[4] :
- rivière la Vésubie,
- vallons d'espaillart, de cervagne,
- la Gordolasque,
- ruisseaux des Lonas, de Barra Rossa.
Roquebillière possède des sources d'eau chaude sulfureuse qui se versent dans l'Espaillart, dans le quartier de Berthemont-les-Bains.
Roquebillière dispose d'une station d'épuration d'une capacité de 3 000 équivalent-habitants[5].
Climat
modifierEn 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen altéré, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[6]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Var, Alpes-Maritimes, caractérisée par une pluviométrie abondante en automne et en hiver (250 à 300 mm en automne), un très bon ensoleillement en été (fraction d’insolation > 75 %), un hiver doux (8 °C) et peu de brouillards[7].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 016 mm, avec 6 jours de précipitations en janvier et 5,8 jours en juillet[6]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Lantosque_sapc », sur la commune de Lantosque à 4 km à vol d'oiseau[8], est de 13,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 959,3 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 40,1 °C, atteinte le ; la température minimale est de −9 °C, atteinte le [Note 1],[9],[10].
Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[11]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[12].
Urbanisme
modifierTypologie
modifierAu , Roquebillière est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[13]. Elle appartient à l'unité urbaine de Roquebillière, une agglomération intra-départementale dont elle est ville-centre[14],[15]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nice, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[15]. Cette aire, qui regroupe 100 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[16],[17].
Planification de l'aménagement
modifierLa commune dispose d'un plan local d'urbanisme métropolitain approuvé le [18].
Voies de communications et transports
modifierVoies routières
modifier- À la sortie du village de Plan-du-Var, par la route nationale 202, prendre sur la droite la RM 2565, indiquant la Vallée de la Vésubie.
Les routes métropolitaines 2565 et 69 sont reliées par une passerelle piétonne d'une longueur de 70 mètres financée a hauteur de 1,8 million d'euros par la Métropole Nice Côte d'Azur[19].
Transports en commun
modifierCommune desservie par le réseau Lignes d'Azur[20].
Risques majeurs
modifierRisque inondation
modifierLe : une vingtaine de maisons du village de Roquebillière est détruite par une coulée de boue à la suite de fortes pluies. Le bilan est de dix-neuf morts.
Le , de nombreux villages des diverses vallées des Alpes-Maritimes (Breil-sur-Roya, Fontan, St-Martin-Vésubie, Tende et Roquebillière...) sont fortement touchés par un épisode méditerranéen de grande ampleur[21]. Certains hameaux de la commune restent inaccessibles jusqu'à plus d'une semaine après la catastrophe et l'électricité n'a été rétablie que vers le . L'Arrêté du portant reconnaissance de l'état de catastrophe naturelle a identifié la commune au titre des « Inondations et coulées de boue du 2 au »[22].
Risque sismique
modifierCommune située dans une zone de sismicité moyenne[23].
Toponymie
modifierLe nom de Roquebillière provient de Roccabellera, ou roc aux abeilles. Un « rocher caractérisé par la présence d'abeilles »[24].
Histoire
modifierLa reine Jeanne avait d'abord désigné comme héritier Charles de Duras en 1372 puis Louis Ier d'Anjou, en 1380. Après le meurtre de la reine Jeanne, les deux branches de la maison d'Anjou s'affrontèrent en Provence. Le fils de Charles de Duras, Ladislas, nomma le Jean Grimaldi de Bueil lieutenant du roi et gouverneur, puis sénéchal le [25]. La commune a fait reconnaître ses privilèges le .
La faiblesse de Ladislas de Naples, les défections de l'ancienne noblesse de la Provence orientale au profit de Louis II d'Anjou va amener les communes situées à l'est du Var, sur les conseils de Jean Grimaldi à accepter le comte de Savoie, qui venait d'intervenir pour prendre le contrôle de la vallée de l'Ubaye, comme nouveau suzerain.
Barcelonnette avait reconnu le comte de Savoie comme suzerain le . Amédée VII de Savoie est à Saint-Étienne-de-Tinée le , à Saint-Martin-Vésubie, . Il fait une halte à l'Escarène puis se rend à l'abbaye Saint-Pons, aux portes de Nice, le . Le , à la suite de la guerre de succession de la reine Jeanne, Nice fit sa dédition. Roquebillière, comme les autres communes de la rive gauche du Var, va se placer sous la souveraineté de la maison de Savoie, c'est la dédition de Nice à la Savoie et constituer les nouvelles terres de Provence avant de devenir le comté de Nice. Pendant son séjour à Nice, le comte de Savoie a reçu l'hommage de la viguerie de Sospel, d'Utelle, de Tournefort, de la vallée de Massoins et a acheté le château de Gattières. Le il reçoit le château d'Èze. Sur son chemin de retour, le comte reçoit l'hommage de Puget-Théniers, le .
Les troupes françaises occupent le village de 1691 à 1696, puis de 1706 à 1708. La peste y arrive en 1764. La commune, pro-française, devient chef-lieu de canton durant la période révolutionnaire lorsque la France s'empare du comté de Nice en 1796. Elle devient définitivement française en 1860 par un vote pour le rattachement de 503 oui et 24 abstentions.
Le village connaît divers désastres comme des tremblements de terre en 566, en 614, des glissements de terrain en 1564 et 1926[26], des crues de la Vésubie qui, comme en 1094, en 1743 et 1789, emportent une partie des maisons. Le , un « horrible tremblement de terre » bouleverse les vallées de Roquebillière et de Lantosque. Après les éboulements et les inondations, le village a été reconstruit à chaque fois sur le même lieu, sauf lors du glissement de terrain du : la majeure partie des habitants ont alors quitté les hautes maisons sévères de leur vieux village pour la rive droite où se trouvait déjà une église du XVe siècle. Le vieux village reste cependant toujours habité. Le , le village subit de graves dommages dus à la tempête Alex.
Malgré l'exode rural, la population de Roquebillière est restée relativement stable.
Politique et administration
modifierTendances politiques et résultats
modifierListe des maires
modifierUne élection municipale partielle eut lieu en 1976 amenant à l'élection de Anne-Marie Isaia remplaçant Gérard Bernasconi.
Une autre élection municipale partielle eut lieu en février 2006 à la suite de la démission de Gérard Camous pour raisons de santé, amenant à l'élection de Gérard Manfredi.
Finances communales
modifierEn 2019, le budget de la commune était constitué ainsi[28] :
- total des produits de fonctionnement : 1 969 000 €, soit 1 052 € par habitant ;
- total des charges de fonctionnement : 1 789 000 €, soit 956 € par habitant ;
- total des ressources d'investissement : 339 000 €, soit 181 € par habitant ;
- total des emplois d'investissement : 572 000 €, soit 306 € par habitant ;
- endettement : 2 238 000 €, soit 1 196 € par habitant.
Avec les taux de fiscalité suivants :
- taxe d'habitation : 12,52 % ;
- taxe foncière sur les propriétés bâties : 13,11 % ;
- taxe foncière sur les propriétés non bâties : 47,95 % ;
- taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0,00 % ;
- cotisation foncière des entreprises : 0,00 %.
Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2017 : médiane en 2017 du revenu disponible, par unité de consommation : 19 370 €[29].
Intercommunalité
modifierCommune membre de la Métropole Nice Côte d'Azur.
Jumelages
modifier- Emskirchen (Allemagne) depuis 1990
Population et société
modifierDémographie
modifierÉvolution démographique
modifierL'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[31].
En 2021, la commune comptait 1 815 habitants[Note 3], en évolution de +0,72 % par rapport à 2015 (Alpes-Maritimes : +1,99 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Sports et loisirs
modifierTrois terrains de tennis, deux stades de foot (synthétique et gazon), un plan d'eau douce, un parcours sportif et un gymnase. Une nouvelle salle de musculation a aussi été créée dans les locaux de l'ancien collège et inaugurée en . Un club de pétanque ouvert tous les jours.
Enseignement
modifierÉtablissements d'enseignements[34] :
- École maternelle et primaire,
- La commune compte parmi ses établissements scolaires le collège valléen de la Vésubie (collège Jean-Saline),
- Lycée à Valdeblore.
Santé
modifierProfessionnels et établissements de santé[35] :
- Médecins à Roquebillière, Lantosque, Saint-Martin-Vésubie,
- Pharmacies à Roquebillière, Lantosque, Saint-Martin-Vésubie,
- Hôpitaux à Roquebillière, Saint-Martin-Vésubie,
- Centre intercommunal hospitalier Jean Chanton, Établissement d'hébergement pour personnes âgées dépendantes (EHPAD)[36].
- Station thermale[37] réputée pour ses eaux sulfureuses soignant les affections respiratoires, les rhumatismes et les troubles articulaires[38].
- Centre de dialyse rénale ouvert depuis mars 2021
- maison de santé pluridisciplinaire
- Centre de radiologie CIT
Cultes
modifier- Culte catholique, Paroisse de la Vésubie[39], Diocèse de Nice.
Économie
modifierEntreprises et commerces
modifierAgriculture
modifier- Producteurs locaux : fromagers, éleveurs, agriculteurs.
Tourisme
modifier- 2 hôtels, 1 camping « Les templiers », locations de meublés, village vacances, chambres d’hôtes.
- Gîtes[40].
Commerces et services
modifier- La commune comporte sur son territoire la station thermale de Berthemont-les-Bains, ouverte d'avril à octobre.
- La commune produit son électricité depuis de nombreuses années, grâce à une centrale hydro-électrique gérée par la régie d'électricité de Roquebillière.
- La commune compte des entreprises du BTP...
Culture locale et patrimoine
modifierLieux et monuments
modifierPatrimoine public
modifier- Ancien blockhaus au sud[41].
- Maisons alpines à greniers-loggias en hauteur.
- Moulins[42].
- Granges traditionnelles de montagne.
- Forge Braco[43].
- Moulins[44].
Patrimoine religieux
modifier- Église Saint-Michel de Gast[45], XVe siècle-XVIe siècle, style gothique, clocher roman, retable de Saint-Antoine XVIe siècle[46].
- Église Cœur Immaculée de Marie[47].
- Chapelles :
- Site ruiniforme de Castel-Vieil[55].
- Oratoire Saint-Roch.
- Monument aux morts[56],[57].
-
Le vieux village.
-
Église Saint-Michel-de-Gast, dite aussi église des Templiers.
-
Le clocher de la chapelle des pénitents blancs.
-
Village de vacances La Semeuse à Berthemont-les-Bains, hameau Roquebillière.
Personnalités liées à la commune
modifier- Anie Mouroux (1887-1978), sculpteur est mort à Roquebillière.
- Édouard Corniglion-Molinier (1898-1963), pilote de chasse pendant les deux guerres mondiales, général de brigade aérienne, ministre, député des Alpes-Maritimes, producteur de cinéma dont le père est né à Roquebillière.
- J. M. G. Le Clézio (1940-), romancier, nouvelliste, essayiste, Prix Nobel, réfugié à Roquebillière avec sa mère pendant la guerre.
- Gaston Franco (1944-), homme politique français, membre de Les Républicains, ancien maire de Saint-Martin-Vésubie, conseiller régional de PACA, et député européen de 2009 à 2014 est né à Roquebillière.
Héraldique
modifierBlason | Écartelé : au 1er et au 4e d’azur au lion couronné d’or, au 2e et 3e d’or aux trois abeilles d’azur mal ordonnées[58]. |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Notes et références
modifierNotes
modifier- Les records sont établis sur la période du au .
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Références
modifier- Des Granges de la Brasque, un tour par la Vacherie de Roquebillière, la Tête de Siruol, la Tête de Courpatou, la Pointe de Siruol et le Col du Fort
- Surface de forêt
- Cavité souterraine naturelle
- L'eau dans la commune
- Description de la station
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Roquebillière et Lantosque », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Lantosque_sapc », sur la commune de Lantosque - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Lantosque_sapc », sur la commune de Lantosque - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Roquebillière », sur insee.fr (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Nice », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- Le PLUm a été approuvé le 25 octobre 2019 et est exécutoire depuis le 5 décembre 2019
- Michel Bernouin, « Dix mois après la tempête Alex, une passerelle de 70m relie les rives de la Vésubie à Roquebillière », sur francetvinfo.fr, France 3 Provence-Alpes-Côte d'Azur, (consulté le ).
- Lignes d'Azur Nice - Saint-Martin-de-Vésubie
- Alex : Épisode méditerranéen en Provence en octobre 2020
- Communes reconnues en état de catastrophe naturelle - Alpes-Maritimes et Côtes-d'Armor
- Didacticiel de la règlementation parasismique
- Roquebillière
- Ernest Hildesheimer, La dédition de Nice à la Maison de Savoie, p. 87-93, Nice Historique, année 1988, no 135 Texte
- L. Perriaux, « Les mouvements de terrain dans les Alpes niçoises, en novembre 1926 », Annales de géographie, vol. 36, no 200, , p. 115–124 (DOI 10.3406/geo.1927.8626, lire en ligne, consulté le )
- Décret du 8 janvier 1976 portant révocation d'un maire, publié au Journal officiel de la République française du .
- Les comptes de la commune
- Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Établissements d'enseignements
- Professionnels et établissements de santé
- Centre intercommunal hospitalier Jean Chanton
- Station thermale
- Berthemont les Bains Roquebillière
- Paroisse de la Vésubie
- Roquebillière, station thermale de la Côte d'Azur
- Blockhaus dit ouvrage d'avant poste du col de Raus (RA)
- Moulins à farine, Moulin à Huile
- Forge Braco
- Moulins de Roquebillière
- Vésubian : Église Saint-Michel de Gast
- Église Saint Michel du Gast
- Église Cœur Immaculée de Marie
- Chapelle des Pénitents Blancs
- Chapelle Saint Julien
- Chapelle Sainte Anne
- Chapelle Saint Roch
- Chapelle Notre Dame de Grâce Berthemont Roquebillière
- Ruine de la chapelle Notre Dame de Gordolon
- Chapelle Notre Dame de Grâce Berthemont
- Monographie de 1948
- Monument aux morts, Conflits commémorés : 1870-1871- 1914-1918 - 1939-1945 - Indochine (1946-1954) - AFN-Algérie (1954-1962)
- Monument aux morts
- Dominique Cureau, « Vésubie - Mercantour : Roquebillière », sur vexil.prov.free.fr (consulté le ).
Voir aussi
modifierBibliographie
modifier- Découverte du premier village de Roquebillière
- Pierre-Robert Garino, La vallée de la Vésubie. Guide du visiteur, p. 50–56, Serre éditeur, Nice, 1998 (ISBN 2-86410-287-0).
- Pierre-Robert Garino, La vallée de la Vésubie. Guide du visiteur, p. 50-56, Serre éditeur (collection L'ancre solaire), Nice, 1998 (ISBN 2-86410-287-0) ; p. 80
- Collectif (dir.), Le patrimoine des communes des Alpes-Maritimes en deux volumes, vol. II : Cantons de Roquebillière à Canton de Villefranche-sur-Mer, Paris, Flohic Éditions, coll. « Le Patrimoine des Communes de France », , 574 p. (ISBN 2-84234-071-X)Canton de Roquebillière : pp. 752 à 759 : Roquebillière
- Philippe de Beauchamp, Photographies Loïc-Jahan, L'art religieux dans les Alpes-Maritimes, architecture religieuse, peintures murales et retables, Aix-en-Provence, Édisud, , 143 p. (ISBN 2-85744-485-0)Vallée de la Vésubie : Roquebillière, Eglise Saint-Michel-du-Gast, pp. 63 à 64
- Église Saint-Michel-de-Gast, dîte des Templiers…
- Chapelles de Roquebillière
- Le Comté de Nice en 1850
- Le village de Roquebillière
- La catastrophe de Roquebillière du 24 novembre 1926 et ses conséquences, par Aude Deerdt, Résumé d'un mémoire de maîtrise soutenu à la Faculté des Lettres de Nice sous la direction de M. Ralph Schor
- Renaissance de Roquebillière, chanson composée par Célestin Debos à propos de la catastrophe de 1926.
- Chiffres clés publiés par l'institut national de la statistique et des études économiques (INSEE). Dossier complet
- Inventaire national du patrimoine naturel de la commune
- FR 9301562 Directive « HABITATS ». Site à Spéléomantes de Roquebillière.
Articles connexes
modifier- Liste des communes des Alpes-Maritimes
- Liste des anciennes communes des Alpes-Maritimes
- Communes de la vallée de la Vésubie : Utelle, Lantosque, Roquebillière, Belvedère, La Bollène-Vésubie, Venanson, Saint-Martin-Vésubie, et Valdeblore.
Liens externes
modifier
- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Ressource relative à la musique :
- Portail de la vallée de la Vésubie
- Roquebillière sur le site de l'Institut géographique national
- Le patrimoine architectural et mobilier des communes sur le site officiel du ministère français de la Culture (Bases Mérimée, Palissy, Palissy, Mémoire, ArchiDoc), Médiathèque de l'architecture et du patrimoine (archives photographiques) diffusion RMN, et service régional de l'inventaire général de la direction de la Culture et du Patrimoine de la Région PACA]
- Site de la Direction Régionale de l’Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL) et Inventaire et protections réglementaires de l'environnement des communes