Rosans

commune française du département des Hautes-Alpes

Rosans
Rosans
La mairie de Rosans.
Blason de Rosans
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Provence-Alpes-Côte d’Azur
Département Hautes-Alpes
Arrondissement Gap
Intercommunalité Communauté de communes du Sisteronais-Buëch
Maire
Mandat
Lionel Tardy
2020-2026
Code postal 05150
Code commune 05126
Démographie
Population
municipale
480 hab. (2021 en diminution de 2,44 % par rapport à 2015)
Densité 16 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 23′ 33″ nord, 5° 28′ 15″ est
Altitude Min. 532 m
Max. 1 563 m
Superficie 30,39 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Serres
Législatives Première circonscription
Localisation
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Rosans
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Rosans
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Rosans
Liens
Site web www.rosans.fr

Rosans [ʁozɑ̃] est une commune française située dans le département des Hautes-Alpes en région Provence-Alpes-Côte d'Azur. La commune fait partie du parc naturel des Baronnies provençales créé en 2014.

Géographie modifier

Localisation modifier

Le village de Rosans, ancien chef-lieu de canton jusqu'aux élections départementales de mars 2015, est situé à l'extrême ouest du département des Hautes-Alpes.

Ses communes limitrophes sont[1] :

Communes limitrophes de Rosans
Cornillac (Drôme) Pommerol (Drôme) Moydans
Verclause (Drôme) Rosans
Lemps (Drôme) Montferrand-la-Fare (Drôme) Saint-André-de-Rosans

Géologie et relief modifier

Marnes grises près de Rosans
Marnes grises près de Rosans.

Le village est situé dans la partie la plus large de la vallée du Lidane. La partie nord de la commune est plus vallonnée, bordée par la Montagne de Raton, culminant à 1 473 m d'altitude, ainsi que le Fourchat.

Hydrographie modifier

La commune est bordée, à l'est, par la rivière Lidane, cours d'eau de 6,6 km, affluent de l'Eygues. Il est alimenté par plusieurs ruisseaux, qui traversent le territoire communal[2].

Voies de communication et transports modifier

Rosans est accessible par la route départementale 994 (ancienne route nationale 94, qui relie Nyons, dans la Drôme, à Gap, dans les Hautes-Alpes.

À l'est de la commune, la route départementale 949 continue en direction de Saint-André-de-Rosans et de Laragne-Montéglin. Le territoire communal est également traversé par les routes départementales 25, reliant du nord au sud le col de Pommerol à Montferrand-la-Fare, et 325[1].

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen altéré, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Alpes du sud, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 850 à 1 000 mm, minimale en été[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 938 mm, avec 7,7 jours de précipitations en janvier et 4,8 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique installée sur la commune est de 11,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 826,9 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 41,1 °C, atteinte le ; la température minimale est de −17,9 °C, atteinte le [Note 1],[5],[6].

Statistiques 1991-2020 et records ROSANS (05) - alt : 625m, lat : 44°23'15"N, lon : 5°27'43"E
Records établis sur la période du 01-12-1986 au 04-01-2024
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) −2,2 −2,4 0,6 3,5 7,3 10,7 12,7 12,3 9,2 6,2 1,7 −1,5 4,8
Température moyenne (°C) 3,5 4,1 7,6 10,4 14,4 18,3 20,9 20,7 16,6 12,6 7,3 3,8 11,7
Température maximale moyenne (°C) 9,1 10,6 14,6 17,4 21,5 26 29,2 29,1 24 19 12,9 9,1 18,5
Record de froid (°C)
date du record
−16,5
18.01.1987
−17,9
12.02.12
−14,3
02.03.05
−7,2
08.04.21
−2,9
05.05.1991
1,3
03.06.06
3,9
17.07.00
4
30.08.1998
−1
29.09.1993
−6,2
30.10.1997
−12
23.11.1998
−15,4
18.12.10
−17,9
2012
Record de chaleur (°C)
date du record
21,5
10.01.15
25,7
27.02.19
26,1
23.03.19
29,5
21.04.18
33,9
22.05.22
39,7
28.06.19
39,4
24.07.19
41,1
22.08.23
35,5
16.09.19
33,5
08.10.23
24,8
07.11.15
20,4
30.12.21
41,1
2023
Précipitations (mm) 60 44,8 53,9 67,5 66,1 57,8 49 57,7 92,4 107 103,1 67,6 826,9
Source : « Fiche 5126001 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/01/2024 dans l'état de la base
Diagramme climatique
JFMAMJJASOND
 
 
 
9,1
−2,2
60
 
 
 
10,6
−2,4
44,8
 
 
 
14,6
0,6
53,9
 
 
 
17,4
3,5
67,5
 
 
 
21,5
7,3
66,1
 
 
 
26
10,7
57,8
 
 
 
29,2
12,7
49
 
 
 
29,1
12,3
57,7
 
 
 
24
9,2
92,4
 
 
 
19
6,2
107
 
 
 
12,9
1,7
103,1
 
 
 
9,1
−1,5
67,6
Moyennes : • Temp. maxi et mini °C • Précipitation mm

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[7]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Rosans est une commune rurale[Note 2],[9]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[10],[11]. La commune est en outre hors attraction des villes[12],[13].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (76,8 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (80,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (40 %), forêts (31,7 %), terres arables (11,3 %), zones agricoles hétérogènes (9,7 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (5,1 %), prairies (2,2 %)[14].

L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie modifier

Le nom de la localité est cité sous les formes Pagus Rosanensis en 988 dans les archives de l'abbaye de Cluny, Rosanum dès 1027[15], Villa de Rosants dans les archives delphinales.

Histoire modifier

Bâti en amphithéâtre sur le versant d'une colline, Rosans est l’antique capitale du Pagus Rosanensis[réf. nécessaire], devenu chef-lieu de canton.

Il a été occupé par les Sarrasins du commencement du IXe au Xe siècle. En 1256 Jordan de Rosans et Dragonnet de Montauban assiègent Montalin de Bruis dans Rosans. La guerre se termine par un traité fait par l'entremise du Dauphin du Viennois et l'évêque de Gap le 25 décembre, avec Montalis de Bruix. Ancien fief dépendant des Mévouillon, Rosans est annexé au Dauphiné avec toute la baronnie, en 1317.

Affreusement ravagée en 1390 par Raymond de Turenne à la tête de ses bandes provençales, Rosans est le théâtre de nombreux combats pendant les Guerres de religion. Montbrun, huguenot, s'en empara en 1574.

Durant la Seconde Guerre mondiale, dans la France occupée par les forces armées du IIIe Reich et gouvernée par le Régime de Vichy trente-trois jeunes juifs âgés de 13 à 20 ans hébergés dans le centre d'accueil du Lastic, sont raflés par la gendarmerie française le 26 août 1942 en envoyés vers les camps de la mort nazis. Seuls deux d'entre eux survivent[16].

Dans le contexte de la fin de la guerre d'Algérie, Rosans accueille 28 familles de harkis en février 1964, installées dans un hameau de forestage en lisière du village. Sous l'impulsion de son maire de l'époque, Raymond Hugues, Rosans fut la seule commune française à se porter volontaire pour accueillir des harkis[17].

C'est également le premier village à accueillir une famille de réfugiés syriens en novembre 2015.[réf. nécessaire]

Politique et administration modifier

Tendances politiques et résultats modifier

Aux élections municipales de 2008, tenues au scrutin majoritaire du fait d'une population inférieure à 3 500 habitants (493 en 1999[18]), Mme Josy Olivier a été élue maire au second tour à la suite du conseil municipal du 21 mars 2008, qui avait désigné trois adjoints[19]. Le taux de participation dépassait 90 %[20].

Au premier tour des élections municipales de 2014, toujours tenu au scrutin majoritaire, quatre sièges manquaient. Un second tour a donc été organisé, mobilisant 287 votants au lieu de 350 sur les 400 inscrits[21].

Administration municipale modifier

En 2011, Rosans comptait 512 habitants[22]. Le conseil municipal comptait alors quinze membres (article L. 2121-2 du Code général des collectivités territoriales) ; tenu le 4 avril 2014, il a réélu Josy Olivier au poste de maire et désigné quatre adjoints[23].

Liste des maires modifier

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1947 1992 Raymond Hugues SFIO-PS Conseiller général du canton de Rosans
1992 1996 Marinette Bessière    
1996 Frédéric Pinet UDF Conseiller général du canton de Rosans
Nicolas Rosin PS Ancien conseiller général du canton de Rosans
Josy (ou Josiane)[24] Olivier[Note 3] DVG Retraitée de l'enseignement
En cours Lionel Tardy[24],[26] App. PCF Cadre de la fonction publique

Intercommunalité modifier

Rosans a fait partie, de 1994 à 2016, de la communauté de communes interdépartementale des Baronnies. Celle-ci a fusionné avec d'autres communautés de communes voisines pour constituer, le , la communauté de communes du Sisteronais Buëch.

Population et société modifier

Démographie modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[28].

En 2021, la commune comptait 480 habitants[Note 4], en diminution de 2,44 % par rapport à 2015 (Hautes-Alpes : +0,04 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
910800911725818820816824874
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
823803862785814782770745703
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
752666676570524522519418372
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
387488515502506493521523505
2017 2021 - - - - - - -
468480-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[29] puis Insee à partir de 2006[30].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement modifier

Rosans dépend de l'académie d'Aix-Marseille. Elle gère une école primaire publique, où 30 élèves sont scolarisés[31].

Manifestations culturelles et festivités modifier

Santé modifier

Sports modifier

Médias modifier

Cultes modifier

Économie modifier

Agriculture modifier

Artisanat et industrie modifier

Activités de service modifier

Culture locale et patrimoine modifier

Lieux et monuments modifier

  • Rosans a conservé son caractère féodal avec ses rues et ses impasses à arceaux.
  • Château de Lesdiguières.
  • Église Saint-Jacques-le-Majeur de Rosans.
  • Chapelle Saint-Gabriel de Rosans.
  • Ancienne église Saint-Arey de Rosans.
  • La Tour carrée de Rosans, construite avec des blocs de pierre taillés, attire encore l'attention malgré les mutilations qui l'ont considérablement abaissée et détériorée. En diamant, ses murs ont quatre mètres d'épaisseur et chaque mur de la Tour Carrée regarde l'un des quatre points cardinaux de sorte que lorsque trois de ses côtés sont dans l'ombre, elle marque l'heure de midi. Cette tour, appelée à tort « Tour Sarrasine », n'est pas un spécimen de l'architecture mauresque dans le Midi de la France. L'édifice est inscrit au titre des monuments historiques en 1932[32].

Personnalités liées à la commune modifier

  • Rosans, ou sa proche région, serait le pays de naissance de Pierre de Bruys.
  • Éric Guirado y tourne son film Le Fils de l'épicier, sorti en 2007.
  • Jean Perret, artiste-peintre, y vécut et y travailla au XXe siècle, s'inspirant largement du village et des paysages qui l'environnaient.

Héraldique modifier

Blason de Rosans Blason
D'azur à trois roses d'argent, au chef d'or[33],[34].
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Voir aussi modifier

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Bibliographie modifier

Articles connexes modifier

Liens externes modifier

Notes et références modifier

Notes modifier

  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. Orthographié « Josiane Olivier » selon le ministère de l'Intérieur (pour les élections de 2014[21]) ou « Josy Olivier » selon la mairie[19],[23], le ministère de l'Intérieur (pour les élections de 2008[20]) et la préfecture[25].
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes modifier

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références modifier

  1. a et b Carte de Rosans sur Géoportail.
  2. Sandre, « Fiche cours d'eau - Rivière Lidane (V5300680) » (consulté le ).
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Rosans » - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « Rosans » - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le )
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le )
  9. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  11. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  15. Ernest Nègre - 1990 Toponymie générale de la France - Volume 1 - Page 670.
  16. « Le centre d'accueil du Lastic - Jewishtraces », (consulté le ).
  17. « Harkis de Rosans : une histoire à finir », sur Le Dauphiné libéré, .
  18. Population sans doubles comptes : « Populations légales de la commune : Rosans », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  19. a et b « Compte-rendu de réunion du conseil municipal » [PDF], sur le site de la mairie, (consulté le ).
  20. a et b « Résultats des élections municipales 2008 », sur le site du ministère de l'Intérieur (consulté le ).
  21. a et b « Résultats des élections municipales et communautaires 2014 », sur le site du ministère de l'Intérieur (consulté le ).
  22. « Populations légales 2011 de la commune de Rosans », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  23. a et b « Compte-rendu de réunion du conseil municipal » [PDF], sur le site de la mairie, (consulté le ).
  24. a et b « Résultats des élections municipales 2020 », sur le site du Télégramme de Brest (consulté le )
  25. « Liste des maires du département des Hautes-Alpes », sur le site de la préfecture des Hautes-Alpes, (consulté le ).
  26. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le )
  27. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  28. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  29. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  30. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  31. « École primaire publique », sur le site du ministère de l'Éducation nationale (consulté le ).
  32. Notice no PA00080603, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  33. « Carte postale de Rosans »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?).
  34. « La famille d'Ise », sur pagesperso-orange.fr (consulté le ).