Roupy

commune française du département de l'Aisne

Roupy est une commune française située dans le département de l'Aisne, en région Hauts-de-France.

Roupy
Roupy
La mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Aisne
Arrondissement Saint-Quentin
Intercommunalité Communauté de communes du Pays du Vermandois
Maire
Mandat
Xavier Pamart
2020-2026
Code postal 02590
Code commune 02658
Démographie
Population
municipale
238 hab. (2021 en évolution de +3,93 % par rapport à 2015)
Densité 40 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 48′ 46″ nord, 3° 11′ 03″ est
Altitude Min. 79 m
Max. 102 m
Superficie 5,90 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Saint-Quentin
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Saint-Quentin-1
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Roupy
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Roupy
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Roupy

Géographie

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Communes limitrophes

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Hydrographie

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La commune est située dans le bassin Artois-Picardie. Elle n'est drainée par aucun cours d'eau[Carte 1].

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseau hydrographique de Roupy[Note 1].

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l'année et un hiver froid (°C)[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 698 mm, avec 11,4 jours de précipitations en janvier et 9 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Fontaine-lès-Clercs à 3 km à vol d'oiseau[3], est de 10,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 683,4 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].

Urbanisme

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Typologie

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Au , Roupy est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[7]. Elle est située hors unité urbaine[8]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Quentin, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[8]. Cette aire, qui regroupe 120 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[9],[10].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (92,2 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (92,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (92,2 %), zones urbanisées (7,8 %)[11].

L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie

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La présence du village est attestée en 1045 sous le nom de Rupeium, puis Roupiacus en 1153 (cartulaire de l'abbaye Saint-Martin de Laon), Ruppiacum en 1163, Rupi en 1200, Repis Castrum au XIIe siècle, Rouppi, Ruppiacum-in-Viromandia, Rouppy, Roupie en 1735 et enfin l'orthographe actuelle vers 1750[12].

Histoire

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Vestiges de l'ancien cimetière.
Carte de Cassini du secteur (vers 1750).

Sur la Carte de Cassini ci-contre, Roupy, vers 1750, était une paroisse située sur la route empierrée allant de Saint-Quentin à Ham.

Un relais de poste établi dans le village permettait aux cavaliers ou diligences de disposer de chevaux frais.

La Rue du Moulin évoque aujourd'hui la présence d'un moulin en bois au nord du village.

Une importante filature a existé dans le village de 1803 à 1860. Elle employait 400 ouvriers vers 1810 et encore une soixantaine au moment de sa fermeture vers 1860[13].

Première franco-allemande de 1870-1871

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Des combats ont eu lieu en janvier 1871 dans le secteur[14].

Première Guerre mondiale

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Les destructions : vivre au milieu des ruines.

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À partir du , se déroula à quelques dizaines de kilomètres du village occupé par les Allemands, la bataille de la Somme.

À l'arrière de cette bataille, notamment pour se prémunir d'une seconde offensive sur la Somme, les Allemands construisirent un formidable ouvrage de défense, sans doute le plus impressionnant du front ouest : la ligne Hindenburg, du nom d'un des principaux chefs de guerre allemands Paul von Hindenburg.

Cette ligne avait pour but de protéger le saillant formé par le front allemand entre Arras et Reims. Passant à l'ouest de Cambrai et de Saint-Quentin, la ligne Hindenburg préparait l'abandon aux Alliés de Bapaume, Péronne, Roye, Noyon, et de… Roupy ! Mais toute la région ainsi (provisoirement) libérée avait été systématiquement dévastée et minée.

Effectué dès le , le repli allemand sur la ligne Hindenburg renversa tous les plans échafaudés par Nivelle. Du Roupy d'avant-guerre, il ne resta rien. Un article du journal L'Illustration (édition du ) fit état des destructions allemandes à Roupy, sous le titre « Un nouvel exemple du vandalisme allemand ». On insista dans cet article sur le château du sénateur Touron, et sur la violence des destructions et leur inutilité. Le château ne fut pas reconstruit, un manoir, plus modeste, le remplaça.

Les populations évacuées retrouvèrent leurs maisons ravagées. Toutes les habitations ayant été détruites, il fallut répondre à l'urgence pour cela, comme partout dans les « pays dévastés », on construisit des « provisoires ». Les provisoires du Vermandois furent pour l'essentiel des baraques en bois. La mairie, les écoles et l'église ainsi que les habitations privées furent donc construites en bois recouvertes de cartons bitumés. Ce carton bitumé fut à l'origine de nombreux soucis qui témoignèrent des difficultés rencontrées au quotidien par les Picards.

" Sur un pan de mur isolé, une planche noire porte en lettres blanches: "This is Roupy". L'armée anglaise a tenu à indiquer par cette épitaphe laconique qu'ici fut "Roupy", gros village mort"[15].

L'ancienne église

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L'église en 1870
(dessin de Joachim Malézieux (1851-1906).

L'ancienne église de Roupy était un édifice modeste, reconstruit et restauré à plusieurs époques. Sa partie la plus récente était la tour, construite en 1783. Cette église n'était à l'origine que l'ancienne chapelle des seigneurs du village et de l'abbaye de Royaumont (à qui appartenaient les terres).

Le patron de la paroisse était saint Remi, une peinture attribuée au peintre Le Sueur représentant le baptême de Clovis était visible à l'intérieur mais fut semble-t-il détruite avec l'édifice.

L'emplacement de cette église, et du « vieux cimetière » qui l'entourait illustre le déplacement du village à travers le temps. Au fur et à mesure que la « route de Paris » (aujourd'hui départementale 930) prenait de l'importance, les constructions s'en rapprochèrent.

Les dommages de guerre

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Ce fut le très renommé architecte Gustave Malgras (dit Malgras-Delmas) qui fut choisi pour cette tâche. Le , Malgras-Delmas avait terminé l'élaboration du dossier des dommages de guerre, avait dressé les plans des bâtiments détruits, réalisé l'inventaire de leur contenu et expertisé leur valeur en 1914.

La procédure de dommages de guerre dura du au . Ce fut le maire, M. Touron, qui fut chargé de représenter la commune devant les instances judiciaires. Son opiniâtreté dans la défense des intérêts de la commune fut souvent saluée.

L'indemnité globale concernant l'église fut de 483  258,59 francs.

La reconstruction

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Le premier à travailler sur la reconstruction des bâtiments communaux fut l'architecte qui boucla le dossier des dommages de guerre : Malgras-Delmas. Il fut désigné par le conseil municipal le comme architecte de la commune pour la confection des plans et projets destinées à la reconstitution du village.

Dans les semaines qui suivirent, il prépara un projet et réalisa son plan le  : une église traditionnelle, semblable dans son allure générale à l'ancienne église et à de nombreuses petites églises de campagne de la région. Le projet manquait beaucoup de caractère, n'avait pas une once de modernité, mais sans doute avait-il le mérite de ne pas choquer la population et d'effacer la guerre.

Pourtant, la municipalité fit un choix tout autre. Le , le conseil municipal décida d'ouvrir un concours d'architecture pour les bâtiments communaux (mairie, écoles, église), rejetant donc implicitement la proposition de Malgras-Delmas. Ce concours était exclusivement réservé aux architectes diplômés par le gouvernement et agréés par la préfecture de l'Aisne avant le , ceci afin de se préserver des pseudos architectes qui parcouraient les régions dévastées avec des intentions uniquement mercantiles.

Ce furent les architectes Charavel, Melendès et Esnault qui remportèrent le concours. En plus des trois bâtiments communaux, ils travaillèrent également sur les habitations du village, ce qui contribua à lui donner une unité de style, un aspect plaisant et une originalité non feinte. La reconstruction du village fut citée en exemple à plusieurs reprises (L'Illustration du « La reconstruction d'un village dans la zone dévastée »).

Politique et administration

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Découpage territorial

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La commune de Roupy est membre de la communauté de communes du Pays du Vermandois, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Bellicourt. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[16].

Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Saint-Quentin, au département de l'Aisne et à la région Hauts-de-France[8]. Sur le plan électoral, elle dépend du canton de Saint-Quentin-1 pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[8], et de la deuxième circonscription de l'Aisne pour les élections législatives, depuis le dernier découpage électoral de 2010[17].

Administration municipale

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
avant 1876 après 1877 Bacquet[18]    
mars 1989 mars 2008 Alain Richard    
mars 2008[19] mars 2014 Quentin Bardet UMP  
mars 2014[20] En cours
(au 13 juillet 2020)
Xavier Pamart   Retraité
Réélu pour le mandat 2020-2026

Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[21]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[22].

En 2021, la commune comptait 238 habitants[Note 3], en évolution de +3,93 % par rapport à 2015 (Aisne : −2,08 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
450390484585669680699701697
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
609621580525537579583466394
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
367369355161258246225226253
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
244255244240295262251249229
2017 2021 - - - - - - -
230238-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[23] puis Insee à partir de 2006[24].)
Histogramme de l'évolution démographique

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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  • L'ancienne gare de la ligne de Saint-Quentin à Ham

L'église Saint-Rémi

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L'église de Roupy.

L'église de Roupy détruite pendant la Première Guerre mondiale a été reconstruite durant l'entre-deux-guerres, en style Art déco. Dans le domaine de l'emploi des matériaux, on remarque que le béton « nu » est présent essentiellement dans le clocher, alors que le reste de l'édifice est en brique. On voit bien là la volonté à la fois d'innover et de respecter les traditions locales d'emploi de la brique.

Le plan simplifié de l'église de Roupy est en forme de T. Il est fait de volumes qui s'unissent harmonieusement. Le porche, doté d'une solide colonnade de béton soutient le clocher sous lequel les fidèles sont amenés à passer pour accéder à l'intérieur de l'édifice. Cet élément porteur, surdimensionné, marque la symbolique de l'ancrage de l'église.

Les architectes ont accentué la verticalité de l'ensemble en utilisant des effets d'optiques : le sommet du clocher se termine par des lignes creusées qui remplacent les alignements de cercles.

Le clocher est décoré de quatre croix latines qui sont ornées de motifs géométriques. Les croix se répondent en alternant les motifs car elles ne sont pas identiques mais fonctionnent par paires opposées. Ce simple stratagème suffit à éviter une quelconque sensation de monotonie.

Le thème des anges, très présent à cette époque, tient une place de choix à Roupy. En effet, aux quatre points cardinaux se trouvent des anges qui décorent le clocher et semblent bénir le village pour lui promettre paix et prospérité. Ces sculptures sur béton sont réalisées par Raoul Josset.

Le monument aux morts

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Monument aux morts.

En fait de monument, une simple plaque de marbre blanc est apposée sur la partie de l'église faisant face à la route de Paris. Une des premières décisions du conseil municipal () avait pourtant été d'affecter 2 000 francs à l'érection d'un monuments aux morts de la Grande Guerre et d'ouvrir une souscription publique pour obtenir le complément de ressources.

L'aménagement de la place et le bouleversement de la reconstruction sont sans doute les causes de l'avortement de ce projet.

Notons également que c'est l'église qui a été choisie à Roupy pour recevoir le monument à la mémoire des « enfants » de la commune « morts pour la France », et cela alors qu'ailleurs l'anticléricalisme retarde parfois la reconstruction des églises (nous sommes peu de temps après la loi de séparation de l'Église et de l'État). La mairie, situé sur la même place que l'église aurait d'ailleurs tout à fait pu recevoir cette plaque.

Cartes postales anciennes

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Personnalités liées à la commune

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  • Jean de Cambrai (documenté de 1375 à 1403 - mort en 1438 à Bourges) est un sculpteur gothique, ymagier au service du duc Jean de Berry de 1386 à 1416.

Voir aussi

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Bibliographie

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Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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  1. Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. « Réseau hydrographique de Roupy » sur Géoportail (consulté le 17 septembre 2024).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  3. « Orthodromie entre Roupy et Fontaine-lès-Clercs », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Saint-Quentin - Roupy » (commune de Fontaine-lès-Clercs) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  5. « Station Météo-France « Saint-Quentin - Roupy » (commune de Fontaine-lès-Clercs) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  7. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  8. a b c et d Insee, « Métadonnées de la commune ».
  9. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Saint-Quentin », sur insee.fr (consulté le ).
  10. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  11. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  12. « Dictionnaire topographique de la France. , Dictionnaire topographique du département de l'Aisne : comprenant les noms de lieu anciens et modernes / réd. sous les auspices de la Société académique de Laon, par M. Auguste Matton ; publ. par ordre du ministre de l'Instruction publique ; et sous la dir. du Comité des travaux historiques », sur Gallica, (consulté le ).
  13. « L'industrie dans le département de l'Aisne et en particulier dans le rayon de Saint-Quentin : première notice, la filature de Roupy (1803-1860) / Félix Ribeyre », sur Gallica, (consulté le ).
  14. « Pérégrinations aux principaux théâtres de la guerre 1870-1871 / par A. Ognier,... », sur Gallica, (consulté le ).
  15. « Impressions de Picardie dévastée / Maurice Garet,... », sur Gallica (consulté le ).
  16. « communauté de communes du Pays du Vermandois - fiche descriptive au 1er avril 2020 », sur banatic.interieur.gouv.fr (consulté le ).
  17. « Découpage électoral de l'Aisne (avant et après la réforme de 2010) », sur politiquemania.com (consulté le ).
  18. Almanach historique administratif et commercial de la Marne de l'Aisne et des Ardennes, Matot-Braine, Reims, 1877, p214.
  19. Préfecture de l'Aisne consulté le 7 juillet 2008
  20. « Liste des maires de l'Aisne » [xls], Préfecture de l'Aisne, (consulté le ).
  21. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  22. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  23. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  24. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.